Aïe aïe aïe la bourgogne !, je m'en souviendrai, je viens de passer 5 jours sans pouvoir écrire, ni lire à cause d'un coup de froid qui m'a cloué 3 jours au lit.
On s'est bien occupé de moi et je peux désormais rédiger la chronique du Roman «
Ne tue pas qui veut » que m'a envoyer
Emma Veil que je remercie vivement.
Elle s'est bien habituée à la Bourgogne Clarisse, dont la première enquête à permit de connaître l'assassin du curé Rozeau, se faisant rapidement des amis, dont Valérie, la maire du village de Saint-Saulnier.
La pauvre, d'ailleurs vient d'apprendre que sont fils Thomas, vient de faire une chute de moto. Les deux amies se rendent immédiatement sur les lieux de l'accident, et arrivent au moment ou Thomas part dans l'ambulance. le gendarme Gibert les retrouve et leur relate les circonstances. Puis elles se rendent à l'hôpital de Nevers, où Thomas se retrouve dans le coma.
Il est évident que connaissant Clarisse au travers de sa première enquête, la thèse de l'accident ne va pas lui convenir, on s'en doute, mais on se demande : quelle stratégie va-t-elle adopter pour découvrir la vérité.
Alors, tout au long de ce roman passionnant,
Emma Veil va accaparer notre attention et notre écoute enfin façon de parler parce qu'en fait c'est nous qui allons la lire et suivre ses recherches. On va se régaler de la devancer, ou de la suivre, car elle trotte Clarisse.
Bravo encore une fois à
Emma Veil pour ce savoureux roman qui nous permet de nous évader et de passer de bons moments.
Je recommande ce roman.