Frédéric Solis est un brillant avocat parisien. Pétronille est son assistante. Quand Frédéric reçoit une petite boîte en héritage de la part d'un inconnu, leurs vies vont s'en voir modifier.
Si le titre correspond bien à la nature de l'histoire, le roman de
Caroline Vermalle est un trésor à lui seul. Au travers des pages, il apparaît clairement que le personnage principal n'est pas celui qu'on croit mais bien quelque chose après quoi tout le monde court : le bonheur. Dans un style épuré, grâce à des références à un peintre célèbre, le livre nous plonge dans un univers où l'art nous permet de nous évader.
Ce livre est un pur instant de bonheur, au sens le plus strict du terme. Si les personnages semblent communs, proches de nous, de notre réalité, ils parviennent à nous faire rêver au travers de petites choses anodines. de surprise en surprise, l'auteur parvient à donner sens à une quête de vérité qui s'avère bien plus complexe que tout ce que l'on aurait pu imaginer.
Au sens le plus noble, ce roman est simple, et non simpliste. Tout le monde peut s'y retrouver, grâce à des personnages qui pourraient être nos propres voisins. Il est saupoudré de références picturales à un célèbre peintre qui prend une place toute particulière dans le déroulé des évènements. Cela donne au livre une couleur différente et permet au lecteur – connaisseur d'ancrer son imagination dans un univers précis. Les trésors minuscules sont le fil rouge du roman et leur découverte permet de tenir le lecteur en haleine. Mais ils sont aussi symbole d'une poésie de la vie de
Caroline Vermalle transmet sans mal…