Dans un lot de livres aux enchères, je tombe sur une couvée années 40, années 50 et m'y attèle. Que dire ? Je suis toujours surpris et choqué des formules racistes qui ponctuent l'ouvrage même si le personnage principal se défend d'être aussi raciste que les autres, il se dit parfois choqué lui aussi mais le narrateur (l'auteur ?) se noie-t-il dans l'ambiance encore bien colonialiste de l'époque ? S'y complait-il ? En est-il victime ? Je ne saurais répondre mais heureusement l'intrigue se détache de la géographie africaine et un autre personnage prend le dessus et raconte sa belle histoire d'amour maudit, certes, mais amour quand même. En bref, l'histoire d'un jeune ingénieur tout frais qui s'engage dans un chantier ferroviaire plus ou moins fantôme en Afrique Noire. Ses illusions tomberont mais n'entameront pas son intégrité. Je n'ai qu'un Paul Vialar dans ma bibliothèque alors ma découverte de l'auteur s'arrêtera là pour l'instant.
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Comme tout le monde, de ce que l'on peut appeler ici une bonne mort, il a cessé d'être assez résistant pour continuer à vivre, voilà tout.
Une maladie, cela se soigne, ou on vous en sauve, mais une idée !
18 mai 1976
Paul Vialar présente et joue avec ses chiens, Quick et Ismaël, Cocker Spaniel. Il parle également d'Isidore le Cocker qu'il a offert au Shah d'Iran. Il parle de l'importance des chiens dans la vie des hommes qui apportent énormément d'amour. Le Cocker Quick caliné par le petit fils Edmond. Images d'archive INA
Institut National de l'Audiovisuel