Les campagnes corréziennes étaient frappées par les épidémies de fièvres intermittentes, de type paludéen. La fatigue, la mauvaise qualité des eaux, la mauvaise nourriture, les vêtements de mauvaise qualité, le manque d'hygiène faisaient de nos ancêtres des proies faciles pour les maladies qu'ils ne soignaient d'ailleurs pas sinon en allant voir un "mage" (voir
Gaston Vuillier). Pauvre Martin, pauvre misère disait
Georges Brassens...