Réseau(x), tome 1

Des jeunes exposent leurs rêves nocturnes sur des réseaux sociaux nocturnes et diurnes... Une jeune fille se fait prendre au piège par un gang qui reprend exactement son rêve, son icone, son pseudo pour commettre des meurtres.

Un roman déroutant et un peu compliqué à suivre. On est mal à l'aise mais on ne peut lâcher le livre car on veut absolument connaître la fin...

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce roman. La multiplication des personnages au début n'a pas été aisée à lire, de même qu'avec les rêves mélangés à la narration. Tout cela est censé poser les lieux, les enjeux et les protagonistes mais j'ai été longue à la détente pourrait-on dire. Au début, je me demandais qui était Justine, d'où sortait-elle ? de même pour Maud et Maldita je pensais que c'étaient deux personnes différentes :

" - Ce n'est pas seulement un réseau, Maldita. C'est le territoire de nos rêves. [...] J'ai rêvé de toi, tout à l'heure... Tu faisais la révolution et tu mourrais." (p. 35)

"Maud... Maldita... Pourquoi Maud n'était-elle jamais dans ses visions stupéfiantes ?" (p. 86)

Contradictoire non ? Et je crois me rappeler qu'à un moment son copain dit que Maud n'était pas Maldita alors j'étais complétement déboussolée (je ne retrouve pas la citation, désolée) et j'ai même cru que la fameuse Maldita du rêve était peut-être Justine.

Mais par la suite, tous les éléments sont en place, on entre dans l'histoire et les événements qui se déroulent. Les protagonistes sont assez bien décrits. J'ai eu des préférences pour Nada 1, César Diaz, Théo et les trois flics : Gouvenon, Fanelli et Kowacks. Par contre, l'héroïne Sixtine me paraît fade, elle apparaît plus comme une victime et a toujours besoin de l'aide des autres.
De plus, ce tome pose des bases, des questions mais aucune réponse n'est donnée dans ce tome. Il faut lire la suite ! Ce que je ferais, rien que pour les personnages que j'ai aimé !

Autre point négatif : j'ai relevé deux, trois "erreurs" typographiques de la part de l'éditeur, cela ne gêne pas vraiment la lecture mais c'est dommage :
- "moscou" avec une minuscule (p. 75) ;
- des tirets de séparation manquants quand un mot est coupé ("désor-mais" - p. 273 ; "l'en-semble" - p. 397) ;
- un interligne trop grand alors qu'il n' a pas lieu d'être (p.317).

Voilà pour ma critique. Je lirais malgré tout la suite pour finir cette série.

Avec "Réseau(x)", Vincent Villeminot nous plonge dans un monde assez similaire au nôtre dans lequel un réseau social du nom de DKB (et sa partie nocturne MDP) est au centre de toutes les attentions.
Dans ce monde où le virtuel prime, on fait la connaissance de Sixie, jeune fille de quinze ans, sujette à d'affreux cauchemars et utilisatrice régulière de DKB.

Ce fut une lecture longue et confuse dont je ne sais que penser.
Pour ma part, j'y ai vu deux parties : la première, rassemblant les 300 premières pages, qui fut vraiment laborieuse à la lecture. Comme beaucoup sur la blogosphère, j'ai eu énormément de mal à m'y retrouver au beau milieu de tous ces personnages, tous ces complots, toutes ces alliances… revenant sans cesse en arrière pour saisir certains passages.
Le récit est haché, tout ne se suit pas : on découvre l'histoire à travers le point de vue d'une dizaine de protagonistes, vivant d'un bout à l'autre de l'Europe, se succédant toutes les deux ou trois pages. Pour la plupart, ils n'ont aucun lien les uns avec les autres. C'est cette absence de relation qui est assez déstabilisante pour le lecteur.
Ce fut trois cents pages durant lesquelles je me suis ennuyée, me demandant où ce roman veut nous mener.

Puis passés les trois quarts du livre, tout s'est éclairé, j'ai enfin été happée par l'intrigue avec l'impression que le roman commençait réellement. Les nombreux personnages et leurs multiples péripéties se croisent enfin.
Seul souci : ce dénouement a lieu à 100 pages de la fin, ce qui est bien dommage car malgré ce début difficile, l'auteur a eu d'excellentes idées. Ce thème autour des réseaux sociaux - qui nous privent de toute intimité - est bien traité.
Mais « mieux vaut trop tard que jamais » dit-on, ce fut une agréable dernière partie.

Pour ce qui est de l'écriture de l'auteur, bien que j'aie eu du mal à accrocher à l'histoire, elle reste prenante. Un peu trop de termes techniques à mon goût, mais c'est tout le sujet du roman.

Le nombre élevé de personnages n'est pas qu'un défaut, j'ai apprécié leur diversité. Ils sont pour la plupart très attachants et atypiques : Théo est sans aucun doute celui qui m'a le plus plu, une romance entre lui et Sixie aurait été la bienvenue ; César, on ne sait pas vraiment s'il faut l'aimer ou le détester ; Sixie, un peu froide certes, mais originale…

Un roman choral, singulier, un peu confus aussi, au début vraiment compliqué, dont je ressors avec un avis mitigé.
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Ce fut dur. Je n'ai jamais abandonné un livre. Pour la première fois, j'ai failli… mais j'ai persévéré. J'en ai été plus ou moins récompensée.

La première centaine de pages a été pour moi un calvaire. Au début, rien ne me plaisait, rien ne m'emballait. Je n'avais pas l'envie de lire, d'avancer, de reprendre ma lecture. Arrivée page 150, je ne savais toujours pas à quoi m'attendre. Je croulais sous les acronymes, réels et inventés, sous les notes en bas de page qui m'assommaient plus qu'autre chose. Je suivais plein de personnages à la fois, sans savoir qui ils étaient, sans m'attacher à eux, sans que je rentre dans leur tête, sans que l'auteur ne s'attarde vraiment sur eux, si ce n'est pour dévoiler quelques-uns de leurs faits et gestes, comme s'ils n'étaient pas assez intéressants. L'histoire tardait à décoller, je nageais dans un vrai fouillis, comme si l'auteur voulait tout placer en même temps, sans ordre particulier.

Je n'accrochais définitivement pas. Et pourtant, en général, j'adore le foisonnement de personnages qui veulent tous débarquer en même temps dans les premières pages. Je pense à Dôme (King) ou à Une place à prendre (Rowling). Sans doute faut-il avoir une main de maître pour gérer correctement ce genre de narration, car ici ça n'a pas du tout fonctionné pour moi.

Et puis pour ne rien arranger, la plume de l'auteur m'a vraiment laissée de marbre. Je ne sais pas si c'est dû au fait que j'ai lu les épreuves non corrigées et donc, qu'il restait encore beaucoup de corrections à faire, mais j'ai relevé plein de fautes, de répétitions, de tournures moyennement esthétiques, de mauvaises traductions des petites phrases que l'auteur insère en anglais (china shop n'est pas une « échoppe chinoise », mais un « magasin de porcelaine »). Je ne dirais pas que c'était mauvais, mais le style n'a rien de particulièrement recherché, les mots choisis ne sont pas envoûtants, les phrases ne s'harmonisent pas joliment (enfin, ça c'est très subjectif et personnel, bien sûr).

Alors, ce roman est bon à jeter ? Non. Parce que comme beaucoup l'ont expliqué avant moi, il faut passer ce cap des 150 pages pour apprécier vraiment la lecture. Même si le thème des jeux vidéo, des snuff movies et des réseaux sociaux n'a jamais réussi à vraiment m'intéresser (je ne suis pas une adepte du racontage de vie sur internet, alors un site où on détaille ses rêves, ça me semble un peu fou…), l'intrigue est enfin lancée et j'ai lu la suite presque d'une traite. Tout devient plus clair et on se rend compte de l'originalité de cette histoire qui ne ressemble à aucune autre. On est entraîné dans un tourbillon d'actions et de rebondissements, jusqu'à la fin. Donc au final, je ne me suis pas ennuyée, mais j'ai tellement peiné au début que j'en garde surtout un goût amer, malheureusement.
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J'étais curieuse de découvrir ce roman, un cyber-polar de Vincent Villeminot, l'auteur de la trilogie Instinct. Des copinautes ont beaucoup aimé ce premier roman et m'avaient prévenu de "m'accrocher aux 150 premières pages". Elles avaient raison. Néanmoins, même si la seconde moitié s'est avérée plus intéressante, je n'ai malheureusement pas eu d'atomes crochus avec ce livre.

Je pourrais résumer ce roman en un mot : confus. Dès le début, Vincent Villeminot nous perd totalement en nous proposant plusieurs récits qui s'entremêlent. Nous découvrons ainsi bon nombre de personnages différents : de la jeune adolescente aux rêves prémonitoires : Sixtine, à l'inspecteur ex-alcoolique : Abel Fanelli en passant par la jeune commissaire stagiaire : Alice ou encore le leader charismatique quasi schizophrène du mouvement Nada : Cèsar etc... Nous les suivons dans leur quotidien : certains sont accro au réseau social le DKB (Dream Katcher Box) qui possède une section entière consacrée aux cauchemars des internautes : MDP (My Dark Places) et d'autres, comme Maud, font partie d'un mouvement étudiant.

De plus, le récit a une construction étrange : nous avons un tas de petits paragraphes et nous passons sans arrêt d'un personnage à l'autre à l'intérieur des chapitres. Dès le début, j'ai donc été complètement larguée. Impossible de comprendre où Vincent Villeminot voulait nous emmener. Lorsqu'on arrive à la moitié du roman, on commence à comprendre les liens entre les différents protagonistes. A partir de là, j'ai commencé à apprécier Réseau(x), malheureusement, l'histoire part à nouveau dans tous les sens.
Au final, je suis passée à côté de ce livre. le langage est souvent trop technique et il manque un glossaire pour aider les "non-geeks". L'univers m'a semblé riche et intéressant, maheureusement, je ne l'ai pas totalement compris, tout comme le projet De Cèsar dit Nada#1.

Côté personnages, on arrive au bout d'un moment à tous les identifier et on se les représente plutôt bien, malgré leur nombre. Cependant, la plupart d'entre eux ne m'ont absolument pas touché. le seul pour qui j'ai ressenti de l'affection, c'est Théo. J'aurais préféré en découvrir quelques uns plus en profondeur, je pense notamment à Sixtine, Cèsar et Alice qui sont, à mon avis, les plus intéressants du roman.

Concernant le style, j'ai apprécié la plume de Vincent Villeminot. Même si la construction et l'histoire ne m'ont pas plu, l'auteur a un style fluide qui m'a permis d'aller jusqu'au bout. Je pense tenter la trilogie Instinct pour savoir si je peux aimer un autre roman de l'auteur et ça tombe bien, le premier tome est dans ma PAL.

Pour conclure, j'ai été déçue par Réseau(x) car je ne m'attendais pas du tout à cela et j'ai trouvé l'ensemble trop brouillon. Je vous invite à découvrir l'avis plutôt positif de ma partenaire Justine et même à lire Réseau(x) pour vous faire votre propre avis.
Lien : http://megworld.over-blog.co..

Avec ce roman Vincent Villeminot nous fait découvrir un univers que beaucoup connaissent. Celui des réseaux sociaux, des sites internet et malheureusement de tout ce que cela engendre.
L'histoire pourrait malheureusement arriver, même si c'est peut-être irréaliste quand on y réfléchit. Mais je pense que ce genre de situation peut arriver à petits échelle aux Etats-Unis, ville de beaucoup de dérives.

Personnellement je n'ai pas vraiment pris du plaisir à lire cette histoire. Bien que je sois inscrite sur des réseaux sociaux et que j'aie des blogs je pense que je ne suis pas assez passionnée par cet univers.
Ce livre peut davantage plaire à des geeks, des fans de jeux vidéo ou des passionnés de sites internet. Il y a aussi des références à des films ce qui peut donc attirer les cinéphiles.
Ce qui m'a un peu déstabilisée c'est que l'auteur rassemblait, dans un seul roman (enfin tome), plusieurs choses. On peut donc retrouver des références cinématographique, musicales et évidemment la culture internet… Je pense que cela fait beaucoup. L'auteur aurait vraiment dû se concentrer sur une chose plutôt que d'essayer de faire un roman pour plaire à un maximum de personnes… Finalement tout le monde peut y trouver son plaisir quand on y réfléchit.

Les descriptions sont assez intéressantes. Je suis parfois arrivée à m'imaginer les scènes ou ce que pouvait ressentir les personnages, ce qui est un bon point.
Ce que j'ai apprécié aussi c'est que l'auteur change de points de vue. On sait donc vraiment ce qui se passe à plusieurs endroits en même temps. Je trouve cela orignal ! Par contre j'aurais un peu plus aimé que les points de vue durent plus longtemps… Ils sont souvent réduits à un petit paragraphe ce qui est dommage et surtout frustrant.

Les retournements de situations ne sont pas trop nombreux. le roman est prenant et je pense que si le sujet intéresse le lecteur le livre peut se lire très rapidement. Même si je n'ai malheureusement pas complètement apprécié cette histoire j'ai tout de même eu envie de découvrir la fin et ce qui allait se passer pour les différents protagonistes.
La fin est surprenante. Personnellement je n'ai pas vraiment tout compris de ce qui se passait dans le dernier chapitre et on sent vraiment qu'il va y avoir un deuxième tome. Malheureusement je ne pense pas continuer l'aventure et lire le tome 2.
En résumé, un roman qui peut vraiment plaire aux fans de jeux vidéo et de tout cet univers pour peut-être comprendre les dérives que certaines situations peuvent engendrer.

Lien : http://fais-moi-peur.blogspo..

Un monde comme le nôtre, un poil plus loin dans le temps. Des hommes, des femmes, des ados imprégnés de réalité virtuelle, à la recherche "d'autre chose". Un réseau social clair-obscur, qui joue sur l'antithèse jour-nuit et qui surfe sur la vague pour proposer à ses adeptes de raconter leur vie et leurs rêves les plus fous, les plus cruels... pour les partager, en faire des films... ou la réalité. Pourquoi? Et quel rôle a la jeune Sixie dans ce plan?
Une intrigue intéressante, mais quel fouillis au début! Cela est peut-être voulu, mais on y perd les lecteurs les moins tenaces, c'est sûr. J'ai failli lâcher moi-même. Il a fallu passer laborieusement les 130 premières pages avant de trouver du plaisir à cette lecture, et plus de clarté dans le propos. Ensuite, tout s'enchaîne beaucoup plus harmonieusement.

Dans une société où les jeunes partagent toute leur vie et même leurs rêves sur les réseaux sociaux, nous rencontrons Sixie, une ado victime de cauchemars extrêmement réalistes et effrayants, qui n'hésite pas à les livrer aux yeux de tous, et même des moins bien intentionnés...

La quatrième de couverture était alléchante, j'imaginais déjà un roman à la fois totalement futuriste, onirique et plutôt sombre, j'ai été bien déçue... Faire un résumé complet de cette histoire serait un défi tant elle est décousue et vide de sens, en quelque sorte.

Nous découvrons énormément de personnages, et je n'ai eu le temps de m'attacher à aucun d'entre eux, même Sixie m'a laissée de marbre alors qu'elle est censée être le personnage principal.

Les objectifs et les désirs des différents protagonistes sont plutôt flous, j'ai passé une grande partie du livre à me demander ce qui avait vraiment enclenché cette "guerre" et les différents événements racontés. Il y a bien quelques éléments mais rien de vraiment extraordinaire. Je me suis vraiment accrochée en me disant qu'il y aurait bien une révélation à un moment donné, mais non, rien. Alors certes, c'est un premier tome, mais quand même, il faut bien comprendre le but de l'histoire après plusieurs centaines de pages...

J'ai vraiment eu du mal à accrocher à l'histoire et à tout comprendre, surtout pendant les premières dizaines de page où l'auteur introduit énormément de personnages les uns à la suite des autres, alors je ne m'aventurerai pas à le recommander à un jeune ado.

Au final, je suis très déçue par ce livre mais c'est peut-être aussi à cause de mes (trop ?) grandes attentes à la suite de la lecture de la quatrième de couverture.

Le début de ce livre m' a pas mal ennuyé. Mais peu à peu l' histoire s' est développée et je suis un peu rentrer dans l histoire mais sans plus.
En conclusion ce livre ne m' a pas énormément plus car je n' ai pas trop accroché mais pour ceux qui aime les choses un peu étrange et mistérieux je vous le conseille quand même .
Gaspard

Je ne mettrai pas de note, car je n'ai lu que le début.
J'ai laissé tombé assez rapidement.
Ce n'est pas que j'ai trouvé ça nul mais j'ai été perdu par tous les personnages qui défilent, avec un style très "zapping" lié aux réseaux sociaux et je n'ai donc pas eu le courage de m'accrocher...
Une autre fois peut-être ?