Adrian Voicu/5
1 notes
Résumé :
Ce que je peux dire maintenant est peu comparé à ce que propose ce livre : une morale et des leçons livrées avec humour et sans prétention à l'omniscience, des histoires modernes mais profondément poignantes, un registre attrayant pour les enfants (et aussi pour les adultes, si vous me demandez mon avis) , personnages drôles, mais tout aussi mémorables, et last but not least, une joie qui se transmet à chaque ligne. Ce qui en dit long non seulement sur le livre, mai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Moment d'amusement intense.
On s'est bien fendu la poire avec ses courtes histoires « vivantes » pour enfants rassemblées en rang d'ognon autour de « ce qui advint aux crêpes ». de belles aquarelles de Cerasela Dragoș, comme celle des papillons (pp. 22-23), qui donnent des couleurs à tout ce beau monde animalier, végétal et de petits objets personnifiés.
J'ai adoré « ce qui advint aux parfums » qui me semble une gageure à traduire. En effet, les noms des créateurs cités sont « Ursace » (construit sur le mot « Urs » qui signifie « ours »), « Georgio Lupani, Louis Bizon et Calvin Vulpein ».
Une langue roumaine savoureuse.
On s'est bien fendu la poire avec ses courtes histoires « vivantes » pour enfants rassemblées en rang d'ognon autour de « ce qui advint aux crêpes ». de belles aquarelles de Cerasela Dragoș, comme celle des papillons (pp. 22-23), qui donnent des couleurs à tout ce beau monde animalier, végétal et de petits objets personnifiés.
J'ai adoré « ce qui advint aux parfums » qui me semble une gageure à traduire. En effet, les noms des créateurs cités sont « Ursace » (construit sur le mot « Urs » qui signifie « ours »), « Georgio Lupani, Louis Bizon et Calvin Vulpein ».
Une langue roumaine savoureuse.
Citations et extraits (1)
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Ce qui advint chez le psychiatre
Le troisième lundi de la nouvelle année, connu comme le « lundi bleu » et jour le plus déprimant de l’année, le médecin sort de son cabinet pour noter la liste de ses patients :
– Toi, qu’est-ce qui t’arrive ?
– Je suis déprimée par ce que je n’arrête pas d’augmenter, dit la facture d’électricité.
– Et toi ?
– Moi, je me suis empli de spleen après avoir lu les poèmes de George Bacovia, dit un morceau de plomb.
– Et toi alors ?
– Moi, je suis bipolaire, dit l’aimant.
(p. 30)
Le troisième lundi de la nouvelle année, connu comme le « lundi bleu » et jour le plus déprimant de l’année, le médecin sort de son cabinet pour noter la liste de ses patients :
– Toi, qu’est-ce qui t’arrive ?
– Je suis déprimée par ce que je n’arrête pas d’augmenter, dit la facture d’électricité.
– Et toi ?
– Moi, je me suis empli de spleen après avoir lu les poèmes de George Bacovia, dit un morceau de plomb.
– Et toi alors ?
– Moi, je suis bipolaire, dit l’aimant.
(p. 30)
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