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Editions Tribord (01/01/1945)
4.5/5   2 notes
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Wassilewska Wanda
La patrie

Permettez-moi de reprendre ici quelques notes du traducteur éla Pologne (vers les années 1900/1905) après 5 nouvelles années de guerre et d'oppression cherche l'espoir de revivre, la question paysanne est un problème de vie ou de mort »
La paysannerie qui est une des plus grandes parties de la Pologne vit non pas sous le seuil de pauvreté, mais bien pis que cela. Et c'est pour cette raison que le gouvernement de Varsovie tente d'en faire une pièce maitresse de son programme.
Il voudrait faire en sorte qu'il y ait une redistribution de la propriété terrienne, ce qui est un immense défi tant pour le paysan qui voudrait son lopin de terre sans être sous le joug de propriétaire, mais comme partout certains tentent de jouer l'influence.
L'auteure est connue par son activité antinazie alors présidente de l'Union des patriotes pomonais en URSS.
C'est un livre assez dur à lire, si l'on a un peu de coeur face aux vie non pas difficile, mais atroces de ces paysans tirés à hue et à dia suivant les dirigeants du moment
Certes le livre montre une famille, un village est les horreurs qu'il s'y passe mais cela concerne la Pologne entière, c'est juste un exemple qui d'après ouï dire d'anciens polonais émigrés sur le sol Belge, représente, sans mensonge, le terrible sort de l'époque.
Le titre à lui seul est une sorte de mot d'ordre : celui du paysan polonais floué, battu, affamé, en lutte malgré cela pour sa liberté car ils vivaient sous une forme de féodalité. Les terres appartenaient à plus de deux tiers à de grands propriétaires qui considéraient le peuple comme de la chair à travail et à rapporter de quoi les nourrir et leur permettre eux, de faire fêtes et fortune.
µcertains possédaient plus de cent septante mille hectares et pour cela il fallait une main d'oeuvre corvéable et malléable à l'excès, parfois ils laissaient un lopin pour leur permettre de cultiver quelques pommes de terre pour subvenir à leur existence, mais généralement les mini morceaux de terrains se situaient souvent sur des terres presque incultivables.
Certains ont tenter l'immigration dans les mines à l'étranger surtout.

Et : je reprends encore une note du traducteur :
Dans cette Pologne dont l'histoire n'est que le triste récits d'occupations étrangères et de spoliations qui plus que tout autres a subi tous les genres d'oppression, après de nouvelles humiliations, après de nouveaux échecs, et de combats et de sang versé. Pawel (héros du livre) a enfin gagner une chance de vivre dans SA patrie où l'homme pourra parler à l'homme comme à un homme.
Lire dur à lire mais on se dit qu'au vu de toutes ces souffrances, on ne devrait pas se plaindre du tout

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