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4,07

sur 194 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
« L'épée, la famine et la peste » est un roman de fantasy sombre, aux personnages maudits qui vont pourtant briser le coeur du lecteur. La thématique principale est celle de la différence sur fond moyenâgeux.

C'est un roman envoûtant qui m'a happé dès les premières pages. Les scènes sont visuelles, glauques et pleines de légendes, de malédictions. Cela crée une atmosphère inquiétante, parfois sinistre, récit macabre au fin fond de la forêt.

Pour aller dans le sens de cette ambiance, l'élément clé du récit est l'araignée. La mythologie du roman s'articule autour de plusieurs espèces d'arachnides ayant chacune des affects bien particuliers sur les personnages. Arachnophobes fuyez, elles sont présentes tout au long du livre ! Pour ma part, j'ai vraiment apprécié le système de magie en lien avec ces petites dames !

Les personnages sont au coeur de l'histoire. Entre noirceur et recherche de soi, ils sont au fond, terriblement humains. On les suit d'abord séparément puis leur quête prendra un sens communs. Ils ne formeront quasiment plus qu'un à la fin du roman. Plus généralement, la thématique de l'acceptation de la différence est au coeur de leur épopée.

En effet, le récit prend place au moyen âge. L'Inquisition vient punir toutes formes de sorcellerie ou de malédiction. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il n'en faut pas beaucoup pour se retrouver en geôle ! La magie de l'univers inventé par l'autrice vient donc se mélanger à tout cela. On lit bien sûr entre les lignes la critique de l'intolérance vis à vis de la différence.

C'est un roman prenant. Les chapitres sont taillés sur mesure pour maintenir l'envie de connaître la suite. Chacun est focalisé sur un élément clé à amener au lecteur. L'ensemble construit la relation des personnages et permet d'affirmer le second thème important du roman : la fraternité au sens large.

Malgré des thèmes lumineux comme l'amitié ou l'acceptation de l'autre, le roman n'en reste pas moins très violent. Meurtre, guerre, torture … Les scènes de combat sont rudes et la fin amène un second tome qui devrait s'inscrire dans la même ligne !

J'ai beaucoup aimé cette lecture marquée par des légendes sombres, son atmosphère remplie de fantômes. On s'attache inévitablement à ces trois personnages entre monstres et victimes, mais pourtant humain à souhait. On traverse beaucoup d'émotions à la lecture de ce premier tome. Et heureusement … le second est à portée de main !
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Dans son diptyque de fantasy "L'Épée, la Famine et la Peste", Aurélie Wellenstein plonge ses lecteurs dans l'univers sombre et captivant du royaume de Comhghall, un monde en proie à la désolation et aux horreurs indicibles. Avec une plume aussi sombre qu'envoûtante, Wellenstein construit une narration dense et immersive, où les monstres et les malédictions ne sont pas seulement des entités extérieures, mais reflètent aussi les tourments intérieurs des personnages.

Ce récit s'ancre dans un paysage où le désespoir semble avoir pris racine : villages engloutis sous les toiles d'araignées géantes, créatures terrifiantes dictant leur loi, et une population en proie à une mélancolie profonde, symptôme d'une maladie de l'âme plus qu'un simple état d'esprit. Au coeur de cette atmosphère oppressante, trois figures brisées par la vie deviennent malgré elles les protagonistes d'une lutte acharnée pour la survie et la quête d'une rédemption incertaine.

Le garçon possédé par l'esprit d'un loup, la jeune fille dotée des pouvoirs redoutés d'une araignée, et l'ancien soldat hanté par la perte et la folie, sont dessinés avec une profondeur psychologique qui transcende les archétypes classiques de la fantasy. Wellenstein réussit le tour de force de les rendre profondément humains, vulnérables, et d'une certaine manière, incroyablement proches du lecteur. Leurs parcours, empreints de douleur mais aussi d'espoir, s'entremêlent dans une quête de sens et de libération qui questionne la nature même de la culpabilité et de la rédemption.

La menace incarnée par le chef de l'Inquisition et son archère introduit une tension constante, rendant la lecture haletante. Ces antagonistes, loin d'être univoques, sont eux-mêmes pris dans la toile complexe des thèmes abordés par l'oeuvre : le pouvoir, la peur de l'autre, et la violence comme réponse au chaos.

"L'Épée, la Famine et la Peste" se distingue par sa capacité à tisser des liens étroits entre le destin des personnages et celui d'un royaume à l'agonie. Cette fresque sombre, riche en émotions et en rebondissements, ne laisse pas indifférent. Elle interpelle, remue, et invite à une réflexion sur la condition humaine face à l'adversité.

Aurélie Wellenstein, avec ce diptyque, confirme son talent pour créer des univers denses et complexes, peuplés de personnages qui, malgré leurs failles, luttent avec acharnement pour trouver leur place dans un monde qui les rejette. "L'Épée, la Famine et la Peste" est une oeuvre magistrale qui marque par son originalité, son intensité et sa profonde humanité.
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Le royaume de Comghall connait des temps troublés depuis que la population est condamnée par les terribles tarentas, faisant disparaître des villages entiers sous des toiles d'araignées. Or, pour lutter contre ce fléau et le culte qui lui est dédié, l'inquisition a été dépêchée et exerce sa mission avec beaucoup de zèle. Elle va d'ailleurs prendre en chasse un ancien soldat qui a pris bien malgré lui sous son aile deux jeunes gens : Cillian, en proie à une malédiction de loup et Erin, accusée à tort de sorcellerie. Alors que le piège semble se refermer sur eux, arriveront-ils à s'échapper ?

L'Epée, la Famine et la Peste est une fantasy crépusculaire qui nous entraîne au coeur d'un royaume mourant, marqué par la famine et la peste grise. Fruit d'une malédiction qu'il doit à la morsure d'une tarentule venant du royaume voisin et condamnant la princesse mordue à devenir une tarenta, autrement dit une femme araignée.

Pour nourrir son univers, Aurélie Wellenstein emprunte donc à cette croyance païenne de la Tarenta comme araignée mythique qui, par sa morsure symbolique et le poison inoculé, génère des troubles du corps et de l'âme. Entre ces lignes, les conséquences de la morsure de l'araignée dépendent de l'espèce en présence. Ainsi, la veuve noire tisse les pensées de leurs victimes les plongeant ainsi dans une profonde mélancolie, la lycose de Tarente change les femmes en sorcières et les hommes en illuminés, et la fileuse suscite des rêves prémonitoires. Certaines femmes mordues prennent donc des caractéristiques physiques ainsi que des capacités propres aux araignées. En outre, Comghall est littéralement envahi par ces arachnides qui tissent leurs toiles partout au point d'étouffer toute étincelle de vie. Mais le tarentisme n'est pas le seul fléau qui sévit dans ce monde car il faut aussi compter avec des cas de lycanthropie.

Pour tenter d'endiguer cette tragédie entre en scène l'inquisition qui va traquer à l'extrême toute suspicion de tarentisme ou de lycanthropie faisant régner la terreur au sein du royaume car les persécutions vont bon train. Sa présence ajoute de l'infâmie à l'horreur ambiante et donne de suite le ton funeste au texte.

Ici, les manifestations surnaturelles sont autant considérées comme des malédictions que comme des miracles, selon l'interprétation que chacun leur donne. On en croise beaucoup au fil des pages de ce livre, tantôt pour émerveiller tantôt pour horrifier.

En outre, l'autrice joue également sur le détournement de conte. En effet, derrière ce palais maudit et entoilé que l'on est amené à visiter à un moment de l'histoire, il est très facile d'y voir une personnification du château assoupi de la Belle au Bois Dormant, notamment à travers ce temps suspendu qui semble avoir cours en ces lieux. Seulement, les résidents ne sont pas victimes d'un sommeil éternel car dans ce cas-ci, ils sont bel et bien morts. Emmaillotés dans les toiles, leurs corps ne tombent simplement pas en poussière.

Comme à son accoutumée, l'univers qui sert d'écrin à son intrigue est très immersif, troublant et captivant à la fois.

Le récit est également très riche, porteur de questions de société. Aurélie Wellenstein nous y parle de la persécution des minorités et des femmes. Sa plume est incisive pour traiter cette thématique du bouc émissaire comme catalyseur de la violence sociale. le livre est dur et rugueux nous plongeant dans un tourbillon d'émotions fortes jusqu'à tutoyer l'insoutenable.

Avec L'Epée, la Famine et la Peste, on est à nouveau sur un texte puissant et très psychologique. Aurélie Wellenstein m'a une nouvelle fois embarquée sans mal dans cette histoire. Comme d'habitude, j'apprécie le travail poussé qu'elle fait sur ses protagonistes. L'univers est intriguant et ne laisse clairement pas indemne. Vite, la suite !

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Je ne suis pas fan de ce type d'histoire, ayant peur d'un univers inconnu. Et pourtant quand j'ai vu cette magnifique couverture, je me suis laissée tenter.

Je l'ai emprunté et en une journée je l'ai terminé. Une histoire passionnante, un univers glaçant (j'ai une peur bleue des araignées), un quête pour la survie.

Je me suis beaucoup attachée à Cillian, le premier personnage que l'on découvre.

On plonge dans un monde agonisant entre monstres, hommes, inquisition et miracles. Les descriptions sont parfaites, je n'ai eu aucun mal à imaginer les lieux, les personnages.

L'intrigue est bien ficelée, les péripéties s'enchaînent avec facilité et on reste accroché au livre tant on veut découvrir la suite.

Je suis épatée et j'ai hâte de lire le second tome.
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Un roman qui vous prend franchement aux tripes. Encore une fois, l'autrice n'est pas tendre avec ses personnages, ils sont complexes et attachants. le roman est prenant comme toujours, j'avais l'impression que si j'arrêtais de lire, les personnages allaient restés figés dans le temps pour toujours, avec des araignées qui en profiteraient pour tisser leurs cocons. Attention pour les arachnophobes.
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Avec l'Epée, la Famine et la Peste, nous entrons de plain-pied dans un monde extrêmement sombre et violent, où une nouvelle forme de Peste fait rage, puisqu'elle est une invasion d'araignées qui font disparaître des villages entiers, et leurs habitants, dans des toiles gigantesques, qui transmettent en mordant, selon l'espèce, diverses malédictions à la population. La pire d'entre elles est, selon la majorité, la tarenta, créatrice de sorcières finissant par se métamorphoser elles-mêmes en araignées, et menées au bûcher manu militari par l'Inquisition au moindre signe évocateur de morsure, ou de comportement marginal.

Au milieu de ce chaos qui gangrène le royaume de Comhghall depuis désormais de bien nombreuses années, le destin va faire se croiser trois personnages que tout portait à croire incompatibles, mais qui, finalement, par delà leurs inimitiés et différences premières, vont s'unir pour mieux tenter de mettre fin à leurs tourments solitaires : Cillian, jeune brimé dans son village qui va enfiler un heaume en forme de loup trouvé par hasard, pour le meilleur comme pour le pire ; Sulyvahn, ancien de l'Inquisition qui l'a quittée, ne supportant plus ses exactions, qui est tombé sur un cerf aux ramures de métal dont il dit avoir vu dans un oeil son fils ; Erin, accusée quant à elle d'être une tarenta après avoir refusé les avances d'un des jeunes de son village, qui devra fuir pour échapper à l'Inquisition, campée par Conrad, général de celle-ci, et Lile, son bras-droit.

Une fois que tous les rouages de l'univers, des personnages, alternativement au départ dans les chapitres, et de l'intrigue se mettent en place, de manière progressive et intelligente, sans temps morts, l'on suit sans coup férir les aventures, et surtout mésaventures, de nos trois compagnons, bien décidés à vaincre leurs "malédictions", traqués sans relâche par l'Inquisition, en un dénouement qui donne envie de lire au plus vite la suite. Ce que j'ai eu, heureusement, la chance de pouvoir faire, ayant emprunté la série en une fois à la médiathèque.
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Une chose est sure la lecture de ce troisième finaliste ne m'aura pas laissée indifférente. J'ai littéralement ADORE et pourtant, je ne partais pas sereine avec les sales bestioles mises en scène dans ce dyptique.

Découvrir la plume de l'autrice à travers cette histoire et cet univers a été incroyable, je craignais que cela soit trop dark pour moi et finalement j'ai savouré chaque seconde de cette lecture durant un weekend.

Côté histoire, nous suivrons trois personnages dans cet univers où les araignées pullulent et envoutent les humains. Trois destins aussi forts et puissants les uns que les autres, un but commun, une amitié et une loyauté sans faille qui se créée au fil des pages. Une vraie aventure fantasy comme je les aime. Vous accompagnerez Sulyvahn, l'ancien soldat de l'Inquisition, Cillian le garçon au heaume de loup et Erin, la fille d'une Tarenta. Improbable trio soudé et uni pour survivre à travers ce monde dévasté par les toiles et les araignées qui infectent l'esprit des humains. Pas une seconde de répit avec une inquisition criante de vérité qui traque les Tarentas, sorcière femme-araignée (yeuurk) avec une cruauté sans nom. Vous frissonnerez je vous le garantis, surtout si vous avez tendance à l'arachnophobie comme moi ^^ mais pas de panique, c'est très supportable.

C'est violent, c'est sanglant, c'est cruel mais c'est aussi une magnifique histoire d'entraide et de famille, cette famille que l'on choisit et qui est plus forte que tout. J'ai tout aimé dans ce livre, je ne peux pas dire mieux, que ce soit l'écriture fluide et agréable, le style incisif et puissant sans compter sur le rythme impeccable et dosé à la perfection. Bref, je ne sais pas s'il sera mon gagnant cette année car j'ai encore deux livres à lire mais… il prend une nette avance c'est certain.
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Nous nous retrouvons pour l'avant-dernier finaliste du PLIB2023. Il s'agit de L'Épée, la Famine et la Peste d'Aurélie Wellenstein.

Trois êtres vont voir leur vie basculer et pas pour le mieux… Un garçon possédé par l'esprit d'un loup, une jeune fille soupçonnée d'avoir les pouvoirs d'une araignée et un ancien soldat qui a tout perdu et qui pense que son fils vit dans l'oeil d'un cerf.

C'est le roman qui me faisait le moins envie de la sélection, je l'avoue… Donc, j'ai eu du mal à me lancer dans sa lecture et les premières pages ne m'inspiraient pas confiance. Et pourtant j'avais déjà lu des romans d'Aurélie que j'avais adoré, mais allez savoir pourquoi mon cerveau n'avait pas envie !

Franchement, je suis bien contente de l'avoir découvert et d'avoir pu lire ce premier tome. Ce fut une belle découverte et une agréable lecture.

On est plongé dans un univers sombre où les monstres sont de plus en plus nombreux. Les araignées sont des créatures craintes de tous et qui peuvent conférer des pouvoirs aux Hommes ou les anéantir. Bien évidemment, les femmes touchées sont considérées comme mauvaises et doivent être éliminées.

Le contexte se met en place doucement et on va suivre chacun de nos héros dans les aventures qui les ont amenés à devoir fuir et à se rencontrer. J'ai vraiment beaucoup aimé l'univers mis en place par l'auteur et le fait que nos héros soient rejetés par la société.

J'ai beaucoup aimé découvrir les différents personnages, leur combativité à vouloir à tout prix survivre malgré le fait que tous sont contre eux. Ils ont vécu des moments pas faciles même avant de voir leur vie basculer.

J'ai beaucoup aimé la fin, la manière dont les choses se passent. J'avoue avoir eu des petits doutes sur ce qui allait se passer et je n'étais pas peu fière lorsque mes soupçons se sont avérés.

Bref, une lecture qui ne m'emballait pas, mais qui a complètement su me convaincre !
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La petite histoire
Nous suivons quatre fugitifs Sulyvahn, Cillian et Erin et Aalis, quatre maudits qui cherchent à échapper à l'Inquisition Dans un monde en destruction, devoré par les superstitions, les fanatismes, les violences et la folie. Leur périple est semé d'embûches, chacun se cherche, cherche sa raison de vivre ou du moins de survivre.
Mon ressenti
On retrouve dans cette dark fantasy, les peurs de l'enfance des contes oubliés ( le Petit chaperon rouge, la Belle au bois dormant et d'autres contes cruels...). Chaque protagoniste porte en lui sa folie, sa différence, son espoir, sa mort, sa vie, sa résurrection.
La métamorphose, l'image de la chrysalide est filée par l'autrice- araignée tout au long de ce récit sombre, nocturne et violent.
J'ai aimé accompagner les personnages dans cette atmosphère poisseuse, lugubre et sanglante où seul un fil tenu et tendu tout du long matérialise le lien lumineux, pur et brillant entre les personnages. Une écriture fascinante, envoûtante, qui attire inexorablement le lecteur dans ses filets.
Qu'en sera-t-il de la suite de cette marche incessante ? Les réponses seront certainement dans le prochain et dernier tome que je souhaite découvrir.
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Wahooo cette couverture, mon dieu qu'elle est belle, j'attends de découvrir le prochain tome pour me repaître d'une nouvelle merveille. J'en avais vaguement entendu parler mais je n'étais pas convaincu alors il a fallu un bon coup de pied au cul et le voici entre mes doigts boudinés.

On va faire un petit tour dans le royaume de Comhghall qui subit depuis de nombreuses années l'arrivée de monstres. Des villages entiers se font avaler par les toiles d'araignées et les tarentas tissent des toiles dans l'esprit des hommes qui finissent par s'enfoncer dans la mélancolie et le désespoir. Nous allons suivre l'histoire d'un garçon qui va trouver le casque d'un loup et ainsi se faire posséder par l'esprit de celui-ci et qui est assoiffé de chair, d'une jeune femme soupçonnée d'avoir des pouvoirs, poursuivie par l'inquisition et d'une ancienne légende qui était un soldat obnubilé par un étrange cerf persuadé que son fils vit encore dans celui-ci. Tous les 3 vont se retrouver à suivre le même chemin et ainsi survivre à de nombreux dangers.

C'est un étrange résumé mais je n'ai pas réussi à faire mieux puisque c'est une histoire plutôt complexe qu'il faut saisir rapidement pour profiter pleinement de sa lecture. C'est bien écrit et cela fait du bien, de la fantasy noire mais moderne avec des créatures étranges mais attachantes, des personnages attachants mais étranges, des hommes de foi assassins et cruels, des assassins bons et repentis. Pour résumé, un bon cocktail dans lequel il faut se plonger et profiter des quelques bulles d'oxygène que nous laisse ce roman dans cette aventure éreintante.
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