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3,63

sur 771 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
C'est vraiment dommage, ça manque de tout : d'humour réussi, de consistance, de suspense, de bon goût et de justesse. J'ai ouvert ce livre à cause de la réputation de l'auteur et je dois admettre que nous sommes loin des Fourmis qui a fait la renommée de Bernard Werber. Werber est un auteur qui a des idées, qui sait écrire, mais qui n'arrive pas à en faire ce qu'il veut. Visiblement attiré par le mystère de ce qu'il y a (ou pas) après la mort, Werber signe ici un roman où le protagoniste est mort et cherche à découvrir qui l'a tué. Mais voilà, l'enquête est maladroite et ridicule, le duo écrivain-mort et médium professionnelle ne tient pas la route. Écrit à la première personne, le roman nous fait suivre le personnage de Gabriel Wells qui nous déballe quantité de clichés déjà vus : les fantômes passent à travers les murs, les esprits qui nous hantent sont ceux qui ont encore une mission à accomplir ici ou qui ne sont pas apaisés, etc. de la part de Werber, je m'attendais à de l'originalité, à ce qu'il malmène les conceptions que nous avons déjà des esprits et qu'il invente des choses surprenantes. Tout cela est accompagné d'un humour qui ne prend pas et qui de fait en devient ridicule et lourd. Je n'ai pas fini le roman, lassée de ne pas voir l'intrigue décoller au bout de la 150ème page (et ce n'est pas faute d'avoir espéré !).

Petit plus qui m'a dérangé et qui sonne faux : Bernard Werber a mal observé les réactions féminines. Je m'explique. le personnage de Lucy cherche désespérément à retrouver son premier amour, disparu du jour au lendemain alors qu'il trainait dans un trafic bizarre. Mais elle cherche à savoir ce qui lui est arrivé… pour se remettre avec !! Quelle femme serait assez idiote pour se remettre avec un mec qui disparaît soudainement parce qu'il trempe dans des trucs louches ? Personnellement (et j'ai demandé à plusieurs amies), si on cherchait à le retrouver, ce serait pour lui faire la peau ! Donc encore une fois, problème de réalisme dans les relations humaines chez Werber… D'autres auteurs masculins savent très bien se mettre dans la peau des femmes et analyser les comportements, à l'image de Gilles Legardinier.

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Déçue!J'ai toujours apprécié le style et les références de Werber, depuis longtemps..Un suspens incroyable qui, tel un soufflé raté, s'écrase dans un vieux bruit sec & désolant.. Devant mes yeux dépités & mon cerveau qui me dit "quoi tout ça pour ça?!?" La fin, aucune originalité, un pâle copié-collé des Thanatonautes... Très nombriliste j'ai trouvé aussi, car c'est facile de deviner que Werber parle de lui au travers de Gabriel, je trouvais qu'il avait un côté prétentieux via les réseaux sociaux, ce livre le confirme... Son règlement de compte entre écrivain & critique, c'est assez puérile, il se justifie au final.. Demain les Chats m'avait un peu déçue, j'étais tellement heureuse quand j'ai acheté depuis l'Au-delà, j'étais tellement surexcitée de le lire, et je suis tellement blasée du manque d'originalité totale de la fin du livre... Vous êtes cultivé certes monsieur Werber, mais vous restez sur vos acquis.
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J'ai été séduite par le titre et le résumé. Je me suis dit que je retrouverai peut être le même bonheur que j'avais eu à lire les fourmis...et ses autres livres du début.
Mais non !! le commencement était prometteur mais la fin... je n'ai pas compris, j'ai l'impression qu'à force de vouloir surprendre le lecteur, il en perd le fil de l'histoire. La fin est certes imprévisible mais complètement à côté de la plaque. Ça ne m'a vraiment pas plus.
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C'était mon premier Werber et je suis malheureusement déçue. Je n'ai pas accroché à l'intrigue ni aux personnages. J'ai trouvé certaines scènes à la limite du ridicule car pas crédibles du tout (du genre "oh je vais m'échapper d'une cave en 30 secondes avec 2 clous"). En plus, ça part dans tous les sens. Les événements, les thématiques s'enchaînent et je cherche encore certains liens. Et cette fin... j'ai envie de dire "euh, ça sort d'où" ? Bref, je ne m'attendais pas du tout à ça. Seul point positif, j'ai adoré lire les chapitres tirés de "L'encyclopédie du savoir relatif et absolu". Je retenterai plus tard avec un autre titre de cet auteur pour ne pas rester sur une déception.
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Il y a pas mal d'années maintenant, j'ai beaucoup aimé « Les fourmis » de Bernard Werber. Vraiment beaucoup. J'ai donc essayé depuis, de lire d'autres romans de lui pensant avoir trouvé là un auteur à mon goût. Déception à chaque fois depuis… au point même que je n'ai pas terminé certains livres. Ayant de la suite dans les idées, je viens de réessayer avec « Depuis l'au-delà », d'autant que l'idée du livre, un écrivain assassiné cherchant son assassin depuis l'au-delà, me plaisait bien. Eh bien, le résultat n'est pas fameux. Je l'ai terminé mais je n'ai pas vraiment accroché à cette histoire. Pas assez de rythme, une intrigue très ténue, des interruptions fréquentes (trop) qui cassent encore ce petit rythme, avec des extraits d'une encyclopédie (fictive) : Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu d'Edmond Wells, grand-oncle de l'écrivain assassiné, Gabriel Wells, et accessoirement aussi le héros des Fourmis. L'auteur profite de ce roman qui tourne autour d'un écrivain pour donner son sentiment sur la littérature, le monde des livres, et le dédain des « vrais » littéraires pour la littérature dite populaire et de l'imaginaire. On a un peu l'impression qu'il règle quelques comptes avec certains critiques littéraires et la société des « bien-pensants ». Par ailleurs, les personnages sont assez stéréotypés et je ne suis pas parvenu à m'y attacher. Bref, en résumé, c'est un roman qui se lit assez facilement, mais pour moi sans grand plaisir ni intérêt.
Pour les fans inconditionnels de Bernard Werber.

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Un écrivain meurt, assassiné. Réduit à l'état d'"ectoplasme", il va s'allier a une spirite pour enquêter sur sa propre mort. Lui, en échange, recherchera l'ancien compagnon de la spirite, disparu quelques années auparavant.
Je n'ai pas accroché du tout, je me suis ennuyée. Meme le dénouement m'a laissé sur ma faim.
Je ne connaissais pas Weber. Ce livre ne m'incite pas à le découvrir.
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Roman qui goûte beaucoup trop l'autopromotion et l'autodéfense. Intrigue intéressante au début, mais plus ça va et plus on dirait un roman bâclé, écrit à la sauvette et sans grande réflexion, sinon d'ajouter ces éléments visant à défendre ce style d'écriture (style formaté). C'était mon premier ouvrage de cet auteur et disons que ça ne m'a pas encouragé à poursuivre.
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Auteur de mon adolescence, j'étais persuadée que j'allais retrouver mes anciennes sensations en lisant ce livre. Las, à la limite de l'ennui, j'ai accroché à l'intrigue, et c'est tout...
Un écrivain décède et découvre sa mort depuis l'au-delà, ce qui le conduit à s'interroger sur les circonstances de celle-ci. Convaincu d'avoir été assassiné, il obtient l'aide d'une médium pour l'assister dans son enquête.
De crainte de ne pas être très élogieuse face à l'écriture, que je trouve suffisante, prétentieuse et moralisatrice, je me contenterai de vous dire que si vous aimez les intrigues mêlant surnaturel et suspens, vous ne vous ennuierez pas avec ce roman.
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J'avais beaucoup aimé le premier roman de Bernard Weber, « Les fourmis », qui pour moi apportait un style vraiment nouveau dans ce qu'on peut appeler le roman d'imagination : pas vraiment de la science-fiction, mais un récit qui part d'une hypothèse extraordinaire : si nous pouvions entrer dans les pensées d'une fourmi, à supposer qu'elle en ait vraiment…
Depuis, les quelques romans de Werber que j'ai lus m'ont plutôt déçu, et celui-ci fait malheureusement partie du lot. Je trouve qu'il y a toujours au début une idée intéressante, une situation inédite et généralement très bien trouvée.
Ici par exemple, le jeune écrivain Gabriel Wells s'aperçoit tout-à-coup, à ce qui devrait être son réveil un matin comme un autre, qu'il est mort, et même qu'il a été assassiné. Et depuis l'au-delà, en utilisant le pouvoir de médium de la jeune Lucy Filipini, il décide de retrouver son assassin. le scénario est prometteur, mais malheureusement cela s'essouffle assez vite, avec des péripéties dans le monde des esprits que je trouve pour ma part assez puériles, et où on sent que l'auteur, peut-être en mal d'inspiration, est allé puiser dans un précédent ouvrage, « Les Thanatonautes ». Tout cela se termine de manière plutôt confuse, dans un au-delà très hiérarchisé et peuplé d'esprits issus de la littérature et de diverses mythologies joyeusement mélangées.
Notons au passage un argumentaire développé par Gabriel Wells, qui décrit son combat contre les critiques littéraires l'accusant d'être un auteur de romans faciles et non de véritable littérature. Comment ne pas penser que dans ces pages, Gabriel Welles est en réalité la voix de Bernard Weber lui-même.
En définitive, je retrouve la même déception qu'après la lecture du « Papillon des Etoiles » : là aussi nous avions un thème très riche, qui aurait pu alimenter une superbe saga en plusieurs volumes, et au final un roman un peu bâclé, peut-être par suite d'impératifs de date de sortie… (Il faut impérativement un Werber pour les fêtes de fin d'année…)
Je crois que je vais attendre un peu avant de reprendre un livre de cet auteur.
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Vide, vide et vide. Je m'étais juré de ne plus lire de Werber, mais fan de la première heure j'ai toujours espoir... Ce n'est pas pour cette fois non plus.
Livre facile à lire certes, mais sans profondeur, les personnages sont toujours les mêmes, les thèmes idem... Bref, il est grand temps de se ré-inventer Mr Werber.
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