Comme souvent, les livres de
Bernard Werber ouvrent des pistes de réflexions.
Ayant fait pendant un an de la relaxation autogène, basée sur l'auto-hypnose, le thème de
la Boite de Pandore m'a d'autant plus intéressée.
Pour ce qui est d'aller explorer de potentielles vies antérieures, je serai plus comme René au départ, septique. Et certainement effrayée de ce que je pourrais éventuellement découvrir.
Explorer ses vies antérieures pour avoir une vue plus vraie de l'Histoire, plutôt que d'avoir une possible orientation de son écriture en fonction d'un pouvoir politique est une théorie intéressante, même si on peut à priori implanter de faux souvenirs par la technique d'hypnose.
Un des fil conducteur du roman, le déluge, reste un point intriguant, parce qu'on retrouve en fait dans pas mal de "récits" des origines de différents peuples, cette référence à un déluge originel. C'est donc bien qu'il y a du y avoir un événement lié à une montée des eaux rapides qui auraient laissé un souvenir dans la mémoire collective.