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3,96

sur 14581 notes
Très captivant et d'une imagination débordante voire exceptionnelle, L Univers est l'inéluctable où est fixé aussi bien que le rêve dont la quête est noble et pure. Évasion garantie. La richesse de la finesse et du thème est remarquable aussi. Une innovation et une impressionnante maîtrise du sujet.
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Pioche du mois de décembre 2021.

Je savais que cela sortait complètement de "mes" sentiers battus.

J'ai détesté lire ce bouquin : je me suis grattée pendant toute la lecture.

C'est passionnant, délirant, intéressant, enrichissant. Mais purée, y'a bien trop de bestioles là-dedans pour que ma lecture puisse être sereine.

Je suis quand même ravie de l'avoir lu. Pour ma culture générale. Pour découvrir l'auteur. Et avoir appris plus de choses en une lecture que pendant tous mes cours de sciences naturelles réunis.

Merci.
Je ne lirai pas les autres ...
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Ce fut à sa sortie la découverte d'un étrange auteur, Bernard Werber. Un livre consacré aux fourmis, avec un peu d'hommes aussi mais si peu, et incroyablement précis sur les moeurs, les habitudes, la vie de ces petites merveilles. J'avais adoré, et longtemps Werber a continué à bercer bon an mal an mes lectures annuelles, jusqu'à encore récemment où je l'ai abandonné (mais ça c'est une autre histoire). N'hésitez pas si vous ne connaissez pas encore: les fourmis est (sont?) e meilleur roman de l'auteur pour moi.
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Une lecture en demi-teinte pour moi :
- J'ai adoré la partie "myrmécéenne". C'est une immersion totale dans le microcosme et le règne animal.
- En revanche, la partie "humaine" manque cruellement de crédibilité... Je ne parle pas des technologies avant-gardistes, c'est le propre de la science fiction. Je pense aux réactions des différents personnages... Je ne sais pas si le caractère des fourmis est fidèlement restitué mais je sais que les humains de ce livre manquent fortement d'anthropomorphisme.
C'est d'autant plus regrettable qu'il y avait amplement matière à faire une excellente fiction uniquement avec la partie immersive dans le monde des fourmis.
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Comment raconter une aventure, tenir le lecteur en haleine, créer de l'affect avec des personnages, proposer des rebondissements quand les héros n'ont pour nom que de numéros, leur ordre d'apparition dans la fourmilière ?
Pourtant Bernard WERBER y parvient parfaitement.
On s'amuse, on vit l'histoire et on y apprend beaucoup de choses sur la vie des fourmis qui, au final, ne sont peut être pas si éloignées des humains
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Un monument médiatique que je n'avais pas encore lu; pas un monument littéraire ni un grand intérêt pour ma part. la moyenne, donc, car autant je me suis prise au jeu des aventures des fourmis autant l'histoire parallèle de Jonathan & co m'a laissée complètement de marbre… je laisse les autres tomes de la trilogie aux fans, ça sera sans moi.
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Reste à me renseigner pour voir si la moitié de ce qui est dit sur les fourmis, dans ce livre, est vrai, ou bien issu d'un délire de l'écrivain.
Je lis Werber depuis longtemps, et je n'avais encore jamais lu Les Fourmis. Voilà qui est fait.
Seulement même s'il y a un côté lecture facile et agréable, j'ai toujours un peu de mal avec le comportement des personnages, qui est toujours tout sauf cohérent.

Sinon ça reste agréable à lire, et le point de vue des insecte était vraiment intéressant, ça change et c'est frais.
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On plonge dès ce premier tome dans l'univers passionnant des fourmis. Bernard Werber nous conte l'histoire de Bel-o-kan, la fourmilière mère d'une fédération comprenant 65 cités mais pas seulement, on s'intéresse également à la vie de la famille Wells puis à sa disparition. L'alternance entre la narration de l'histoire des fourmis et celle des hommes, même si elle peut être quelque peu déroutante au départ, nous tient en haleine tout au long de l'oeuvre. de surcroît lorsque les membres de la famille Wells disparaissent dans la cave de leur appartement, il devient pratiquement impossible de poser ce livre, tant on veut connaître le fin mot de l'histoire. Personnellement j'ai beaucoup aimé les passages de recherche des disparus qui donnent un côté polar à ce roman, mais aussi la « conquête du bout du monde » par les fourmis qui est un grand récit d'aventure. Cependant, un élément qui est légèrement ambigu dans ce roman est l'appellation des fourmis. Ces derniers sont en effet nommées par des chiffres et il m'est donc arrivé au départ de confondre certains personnages à cause de cela. Ceci mis à part, on ne s'ennuie jamais lors de cette lecture notamment grâce aux passages tirés de l'encyclopédie du savoir relatif et absolu, qui nous apprennent des faits véridiques et intéressants sur les fourmis mais également à propos de la vie sur Terre en général.
Bernard Werber se sert de son oeuvre pour réfléchir à la place de l'homme dans l'Univers. En utilisant le regard des insectes, des êtres extérieurs à notre civilisation, il nous interroge sur plusieurs sujets, particulièrement quel regard et comportement adoptons nous face aux animaux ? Personnellement, j'ai trouvé absolument passionnant de remettre en question la façon dont nous nous considérons, cela permet de prendre du recul par rapport à nos actions : nous n'aimerions pas que « la terre soit un jour offerte en cadeau de Noël à un jeune dieu irresponsable » alors pourquoi imposerions-nous cela à d'autres êtres-vivants en les enfermant en cage pour notre plaisir. D'autant plus qu'après avoir lu ce roman il m'est impossible de penser que les fourmis ne sont pas des êtres intelligents. Certes, elles sont dotées d'un génie bien différent du nôtre mais font indubitablement preuve d'ingéniosité, ce que ce livre m'a permis de réaliser. La narration du point de vue des fourmis a le mérite de nous faire descendre du piédestal sur lequel nous, êtres-humains, avons la fâcheuse tendance à nous placer. « 103 683e est amusée par cette vision. Dire qu'il existe des êtres aussi petits que les acariens et d'autres aussi gros que les fourmis sur la même planète. » Cela donne une conscience aux fourmis, les humanise légèrement et m'a permis de m'identifier à ces êtres, pourtant bien différents de nous, sans jamais obstruer le fait que ce ne sont pas des hommes : leur mode de pensée reste différent du notre.
En définitive, Les fourmis est une histoire d'insectes, d'hommes, de vie et d'aventure, qui par sa singularité, son originalité mais aussi son côté divertissant m'a instruit, questionné et emporté dans un autre monde. Désormais, lorsque j'aperçois des fourmis en sortant de chez moi, je ne peux m'empêcher d'imaginer que ce sont les êtres extrêmement intelligents, complexes et aventuriers que j'ai découvert dans ce livre. Alors, la prochaine fois que vous apercevrez un convoi d'ouvrières revenant de la chasse, n'hésitez pas à faire un petit détour et épargnez-les. On ne sait jamais, cela pourrait éviter un conflit diplomatique entre le peuple myrmécéen et les géants de la surface.
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Je n'ai pas pu m'empêcher de réagir après la lecture de ce livre ... Que dire ? Tout d'abord une petite explication sur mon cheminement. J'adore Maxime Chattam et j'apprends qu'il a créé, avec une dizaine d'autres auteurs, La Ligue de l'Imaginaire. Cool ! Je découvre une liste des 20 oeuvres les plus remarquables sur ce site, encore plus cool ! Je lis les 4ème de couverture de chacun et fais un 1er choix, je les commande, impatience et légère excitation ... et je commence mes lectures jusqu'à arriver sur "Les Fourmis". Je vais être clair, j'ai l'impression que ce livre n'est pas tout à fait écrit, qu'il manque plein de choses, que c'est un pâle brouillon de quelque chose, rien de plus qu'un premier jet, sans plus ! Et non, il est vendu à des millions d'exemplaires et traduit en une petite vingtaine de langues ... C'est la toute première fois que j'ai l'impression d'avoir clairement perdu mon temps et pourtant, je suis patient ! J'ai, tout d'abord passé, au 1er tier du livre, tout ce qui parlait des fourmis car complètement inintéressant, sans relief, rien qui me donne envie de découvrir leur petit monde et j'en suis vraiment très déçu, frustré, un énorme goût de trop-peu ! Ensuite, j'ai envie de savoir ce que cache cette cave et j'avance jusqu'à la dernière page avec courage et abnégation ... "Ils sont tous descendus, ne sont quasi pas remontés et se sont accommodés de ce qu'ils trouvaient là-dessous, enfouis sous une fourmilière" Voilà le résumé complet de ce bouquin ! La platitude complète, aucune accroche, aucun suspense, même pas ce petit soupçon de mystère qui vous donne envie d'y croire ... le néant, le vide absolu, rien de rien ... Circulez, il n'y a rien à voir ou, plutôt, rien à lire ... Enorme déception, grosse frustration. Je vais faire l'effort de lire "Les Thanatonautes" pour "donner une chance" à l'auteur de se rattraper à mes yeux ... fatigués de tant de vide ! Heureusement qu'il y a d'autres oeuvres palpitantes sur cette liste, sinon j'allais aller marcher dans le désert comme Louis de Funès à la fin de "La Folie des Grandeurs" ;-)
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Livre intéressant mais ce n'est le cas qu'à la fin du livre ou tu vois que ce livre est vraiment ouf !!! Mais ouf dans le sens ou tu te pose pleins de questions sur la société. Et toutes ces questions tu ne te l'ai pose qu'au dernier chapitre, que je ne peux bien évidement pas spoiler mais ce livre est un livre à lire déjà parce qu'il met en parallèle deux histoires, une histoire avec des fourmis et une histoire avec des humains et les deux sont super intéressante dans le sens où l'humain lui va essayer de comprendre une énigme. D'ailleurs l'énigme comme je ne la connaissait pas ça m'a beaucoup turlupiné dans le sens où plus je lisais ce livre plus j'avais envie de connaître la solution de cette énigme que de l'histoire en elle-même et aussi car ce livre nous parles des fourmis et que la société des fourmis et très intéressante du coup ça m'a appris pas mal de choses sur les fourmis car je ne connaissais pas grand chose d'elles et quand tu aimes bien la nature ça devient vraiment intéressant. Et rien que pour le monde des humains avec cette énigme à résoudre te donne envie daller au bout du livre. Et l'histoire en elle-même est intrigante car tu veux comprendre le pourquoi du comment et en plus de tout ça en parallèle il y a des mini informations d'un livre qui s'appelle l'encyclopédie du savoir relatif et absolue, et cette encyclopédie nous en apprend beaucoup sur les insectes et les fourmis avec des données super scientifiques et super intéressant sur l'ordre de l'observation et du coup ça nous donne des mini histoires en faite entre temps qui ce joint à l'histoire de l'humain et à l'histoire de ses fourmis et tout à une corrélation mais tout n'en à pas en faite à la fois donc c'est ça qui est super drôle. C'est que tu passe d'une histoire à une autre et tu sais qu'elles sont entre-mêler mais tu vois pas comment elles peuvent y être et ça pendant toute l'histoire. Et c'est juste au dernier chapitre où là l'auteur te met un coup en pleine face et là tu te dit que l'histoire est vraiment bien trouvé. Et à la fin ça te remet beaucoup en question car tu te dis qu'au final toi aussi tu es une fourmi dans notre société. du coup je vous conseille vraiment de lire ce livre.
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