AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,96

sur 14366 notes
J'ai trouvé ce livre passionnant et original. Je suis un grand lecteur, et je peux dire que je n'avais jamais vu ce sujet dans aucun livre. Ce livre est non seulement passionnant, mais il nous apprend l'histoire et la vie d'une civilisation inconnue. Peut-être trop petite...😉


Je vous conseille fortement ce livre !

Commenter  J’apprécie          00
"les fourmis" le roman de Bernard Werber qui explore le monde des fourmis. À travers l'histoire d'une colonie, il dépeint leur organisation sociale, leurs défis et leur quête de sens. Entre mystères et découvertes scientifiques, le livre offre une perspective unique sur la vie des insectes, tout en invitant à réfléchir sur l'humanité et son rapport à la nature. le tout en rapport avec le monde humain. Après cette lecture, j'ai lu tout werber :-)
Commenter  J’apprécie          40
Une double aventure prenante (on suit en parallèle quelques humains et quelques fourmis) qui me fait redécouvrir Bernard Werber environ 20 ans après avoir lu ''Le père de nos pères''. J'ai vraiment été happé par cette histoire, en particulier celle des fourmis. Mystères, meurtres, espionnage, batailles homériques, trahisons et explorations le tout au service de ces animaux si familiers et pourtant si peu connus (je parle pour moi), ça m'a un peu fait penser à des romans de fantasy et/ou Young Adult plus modernes, mais dans le monde des fourmis. La partie où l'on suit les humains était aussi prenante, mais bien moins épique, j'ai donc largement préféré l'aventure des fourmis. J'ignore à quel point Bernard Werber nous renseigne en informations exactes sur le monde des fourmis, je suppose que c'est un mélange de vraies informations et de prises de libertés pour les besoins de l'histoire, mais peu importe ça m'a beaucoup plus. Une fin peut-être en demi-teinte cependant, non pas tant dans la conclusion de ces deux histoires mais surtout parce que j'ai trouvé certaines choses un peu tirées par les cheveux, mais je ne peux en dire plus sans spoiler. J'ai bien évidement l'intention de poursuivre avec les deux tomes suivants (qui semble-t-il peuvent se lire indépendamment de ce premier tome) après une pause d'un livre.
Commenter  J’apprécie          120
Comment un livre peut aussi bien commencé et devenir aussi vulgaire et inintéressant ? Impressionnante performance de Werber qui réussit à tourner des récits palpitants et dynamiques en longues tirades insipides.
Tous ces détails sur les fourmis, leurs moyens de communications, de se nourrir, de se défendre, de se reproduire (chose que l'auteur à l'air de particulièrement apprécier vu comment il insiste à décrire précisément comment chaque insecte ou animal a un orgasme (les escargots ????)) sont de trop et m'ont personnellement sorti de ma lecture. Qu'est-ce qui est vrai ? Qu'est-ce qui est inventé ?
Les dialogues ne peuvent pas être plus artificielles, surtout à la fin. Les personnages n'ont plus aucunes âmes, ils deviennent au fur et à mesure de l'histoire inutiles.
On ne parlera même pas de vieux clichés qui ont beaucoup joué dans mon appréciation de ce livre (vraiment obligatoire la remarque sur les rousses ?)

Bref, un livre qui déçoit à de nombreux égards malgré un début de lecture très positif, notamment sur les liens entre les histoires fourmis et humaines... C'était le premier livre de cet auteur que j'ai lu, et sûrement le dernier.
Commenter  J’apprécie          00
isbn:9782253063339
Commenter  J’apprécie          00
Le premier livre de Bernard Werber que j'ai lu a été le jour des fourmis. Il y a bien longtemps, et j'avais adoré. Ce mélange scientifico-ésotérico-romanesque m'avait séduit dès les premières pages. Dans la foulée, j'avais dévoré le premier tome de la trilogie, Les fourmis, et ensuite le troisième, La révolution des fourmis. Depuis, je suis fan de l'auteur, même si, à part peut-être avec la trilogie des dieux et d'autres trop rares exceptions, je n'ai pas retrouvé la magie du début.
Un jour, mon fils, alors au collège, devait choisir un livre à lire et à présenter à sa classe. Il n'aimait pas lire. Je lui ai suggéré Les fourmis, parce que j'avais entendu dire que c'était un excellent choix pour amener les enfants à la lecture. Pourtant l'histoire l'a laissé perplexe, la lecture a été laborieuse et la magie n'a pas opéré. de plus, je lui avais dit que c'était un roman de science-fiction, or son professeur n'avait pas du tout été d'accord… Avec du recul, je comprends un peu son manque d'enthousiasme et j'aurais dû lui proposer le jour des fourmis à la place, que je préfère finalement, car je le trouve plus abouti et plaisant à lire notamment grâce à la confrontation fourmi humain.
Tout ça pour dire que Les fourmis n'est pas, à mon avis, le meilleur de l'auteur. Il n'en reste pas moins son best-seller, à plusieurs millions d'exemplaires dans le monde, et le plus traduit de ses romans. Un succès planétaire indéniable et mérité de par son originalité, qui a propulsé son auteur, accessible et attachant, au-devant de la scène.
Dans Wikipédia, il est dit qu'il s'agit d'un roman animalier. Sur le site Babelio, l'étiquette qui ressort le plus est « science-fiction », et « Littérature française » suit de près. Sur celui de la FNAC, il est classé dans la rubrique « Fantasy et Science-Fiction ». Alors, à quel genre doit-on rattacher ce roman ? Science-fiction ? le débat fait rage, mais je crois qu'il n'y a pas de bonne réponse à cette question. C'est un inclassable, un de ces OVNIS littéraires qui bouscule les habitudes et les certitudes. C'est aussi pour ça qu'on l'aime.
Lien : https://www.pascific.fr/1991..
Commenter  J’apprécie          40
Paru en 1991, ce livre m'a été prêté par une collègue de travail qui m'a vendu les mérites de cette trilogie. Au premier abord, je n'étais pas plus emballée que ça par la lecture. le titre ne m'inspirait pas et je n'étais pas attirée par le résumé. Mais je me suis finalement lancée, et quelle surprise !

Dans ce roman, nous suivons deux histoires en parallèle, celle d'humains, plus particulièrement, les découvertes de Jonathan WELLS après la mort de son oncle entomologiste, ainsi que l'histoire d'une fourmilière. Ce livre m'a permis d'en apprendre énormément sur les fourmis. Je ne pensais pas du tout que cela allait m'intéresser et pour autant j'ai été captivé.

L'auteur partage son savoir sur les “races” de fourmis, leurs morphologies, les reproductions mais également leur mode de vie comme la communication, la méthode de défense, la hiérarchie au sein de la fourmilière et le rôle de chacune d'entre elles. Au fur et à mesure de l'histoire, l'auteur évoque les similitudes entre la société humaine et la société fourmilière.

Vous l'aurez compris, ce livre est un vrai coup de coeur pour moi, je peux vous garantir que maintenant dès que je croise une fourmi je la vois différemment.

En tout cas, cela montre bien qu'il ne faut jamais se fier à 100% à la couverture, à un titre ou à un résumé d'un livre car sinon on risque de passer à côté d'une pépite, comme ce roman. J'hésite encore à me lancer dans la lecture du tome 2 et 3 car j'ai peur d'être déçue.

Si vous avez lu la trilogie, est-ce que vous me conseillez les autres tomes ? 😊
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          82
1ère lecture d'un ouvrage de Bernard Werber !

Les Fourmis nous racontent l'histoire parallèle de la société humaine et de la société sous terre d'une colonie de fourmis, sur fond de guerre de pouvoir et de mystère.

Un ouvrage pour le moins déstabilisant, qui nous en apprends plus sur ces insectes mais surtout, qui est construit comme un livre policier. Et qui dit livre policier dit enquête et secrets, qui se dévoilent au fur et à mesure des pages, avec un climax atteint à la fin du livre.

La force de ce roman est de nous plonger dans l'univers de ces petites bêtes comme si on y était : elles sont à la fois personnalisées de façon humaine, mais juste ce qu'il faut pour ne pas tomber dans de l'anthropomorphisme trop poussé.

J'ai eu du mal à rentrer dans le livre, mais une fois lancée, je me suis surprise à tourner les pages fébrilement pour connaître la suite. La brillante idée du roman est réellement de l'avoir construit sous forme de livre policier, qui tend au fur et à mesure sur un livre fantastique, pour nous accrocher à cette société de bêtes grouillantes à nos pieds.

Le petit bémol des Fourmis est pour moi le traitement des humains finalement. Si leur histoire ajoute une part de mystère qui ne se dévoile qu'à la toute fin, et qui est en plus indissociable de l'épopée de nos petites bêtes à 6 pattes, j'ai été particulièrement choquée du traitement de certains personnages, et j'ai trouvé le propos peu crédible à ce niveau.

Ce pan du récit étant pourtant la clé de l'énigme de ce 1er livre, on prend son mal en patience jusqu'aux derniers chapitres, pour connaître le fin mot de l'histoire.

Les fourmis est une trilogie toutefois, je n'ai pas senti l'urgence (voire même l'envie) de lire les tomes suivants. J'ai vraiment l'impression qu'on peut prendre ce roman comme un one-shot, car si la fin ouvre clairement sur les prochains tomes, elle peut se suffire à elle-même.

Je n'exclus pas le fait de me plonger à nouveau dans cet univers si l'occasion se présente.

Très belle découverte en tout cas.
Commenter  J’apprécie          60
Pour les entomologistes qui s'ignorent. Quand tu lis le titre, tu te demandes ce qu'un auteur peut broder sur 300 pages autour de ces petites bestioles dont tu sais juste que leur travail en équipe est bien plus efficace que dans les entreprises françaises. Et surtout, tu te demandes pourquoi tu t'infliges cette lecture. La réponse se trouve très exactement page 1: parce que c'est excellent. Tu viens de lire un texte fluide qui t'a appris 10 choses que tu ignorais. Sache que cela se poursuivra tout au long de ta lecture. Plongé au coeur d'une fourmilière de fourmis rousses, tu réalises très vite que les fourmis ont bien d'autres choses à penser que voler une rondelle de saucisson à des pique-niqueurs: stratégies offensives et défensives, autosuffisance, médication, collaborations inter-espèces, communication élaborée en vue d'entraide, toute la vie et le fonctionnement de cette mini société y est décortiquée. Mais pas à la manière d'un ennuyeux prof de fac qui s'écoute parler. le tout est replacé dans le contexte d'une mystérieuse nouvelle arme secrète (possiblement inventée par les termites), d'une colonisation de terrains, d'attaques d'autres espèces, de nécessité de reproduction… et de consoeurs à l'odeur de roche qui agissent très étrangement. Tu crapahutes avec elles à ras du gazon, te surprenant à prier pour que leur idée de tank fonctionne contre les fourmis naines, qu'au moins une des futures reines passe entre les becs affamés des hirondelles et que ce lézard ne les bouffe pas toutes. L'expérience trépidante de vie réelle au milieu des insectes se suffit largement à elle-même, l'histoire parallèle inventée par l'auteur en est presque superflue: un homme qui hérite du logement de son oncle décédé, ancien spécialiste des fourmis, dont la cave semble avaler tout ceux qui osent s'y risquer. Toi aussi lâche une bouffée de phéromones de plaisir en lisant ce livre.
Lien : https://tsllangues.wordpress..
Commenter  J’apprécie          80
Je n'ai pas accroché du tout ! Cela faisait un moment que je voulais le lire mais je m'en tiendrai à celui là... au début l'idée est originale mais les aventures avec descriptions à n.en plus finir de ces fourmis même avec les explications scientifiques sont très vite lassantes... l'intrigue finalement moins grande de cette famille et disparitions dans cette cave est tt aussi décevante
j'ai fais de la lecture rapide au bout de la moitié....
Commenter  J’apprécie          00





Lecteurs (50107) Voir plus



Quiz Voir plus

Les fourmis

A qui appartenait la nouvelle maison de Jonathan?

Son oncle Edmond
Son père Henry
Son frère Bob

16 questions
330 lecteurs ont répondu
Thème : Les Fourmis de Bernard WerberCréer un quiz sur ce livre

{* *}