Warhammer - Tome 29 - Du Sang pour le Dieu du Sang

Abandonné au bout d'un quart, ce billet me servira avant tout à me rappeler de ne pas retenter l'expérience de ce roman.
Mieux vaut regarder un "C'est pas sorcier" sur le métier de boucher ou une compil de vidéo L214... je passe mon tour.

Exemple type de roman "gros bourrin" :un personnage invincible , des adversaires n'ayant de variété que de forme , des personnages sans psychologie autre qu'élémentaire , un scénario réduit à une succession de combats , une surenchère permanente , un vocabulaire stéréotypé et répétitif jusqu'à la caricature , une traduction pour le moins approximative . Bref, c'est mauvais .

Je retire ma plume vengeresse de sa carcasse. le moribond exhalait son dernier souffle gargouillant, son fluide, rouge et visqueux, s'écoulant à gros bouillons de ses larges plaies... Ames sensibles s'abstenir... Ce roman est fait de sang, beaucoup de sang, d'odeurs de mort, de squelettes poussiéreux et de combats violents. Adepte de boucherie, n'hésitez pas, achetez le... L'histoire se déroule au-delà de la Norsca, et seuls les meneurs qui voudraient faire jouer des personnages chaotiques dans un univers où la violence est reine seront intéressés, les autres, vous pouvez passer votre chemin. Plus de trois cent pages de combats, de violence, de boucherie (les descriptions sont assez bien détaillées, chaque partie est dépecée comme il se doit, ficelé, prète à la vente, qui veut acheter ce roti, il est bon, il est frais, marqué par la rune de Khorne, un vrai massacre dans les règles de l'art, achetez la viande Kurgan)... Un roman très décevant et devant le nombre impressionnant de déception à la lecture des romans Warhammer, je vais commencer à freiner dangereusement leur achat...
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