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Léon Wieger (Traducteur)
(01/01/1900)
3.92/5   6 notes
Résumé :
Les pères du système taoïste
I. LAO-TZEU II. LIE-TZEU III. TCHOANG-TZEU
par Léon Wieger S.J (1856-1933)


Extrait:
A. Lie-tzeu habitait un cottage, dans la principauté de Tcheng, depuis quarante ans, sans que personne
prît garde à lui ; sans que le prince, ses ministres et ses officiers, vissent en lui autre chose qu'un
homme vulgaire. La famine étant venue à sévir dans le pays, il se disposa à émigrer dans ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Un livre très intéressant pour aller aux sources du taoïsme. Accessible et bien présenté.
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une synthèse claire sur les principes et l'hsitoire du taoïsme
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Le Maître a dit :
— L’action du Principe par le Ciel, est infinie dans son expansion, insaisissable dans sa subtilité. Elle réside, imperceptible, dans tous les êtres, comme cause de leur être et de toutes leurs qualités. C’est elle qui résonne dans les métaux et les silex sonores. Elle est aussi dans le choc qui les fait résonner. Sans elle, rien ne serait... L’homme qui tient d’elle des qualités de roi, marche dans la simplicité et s’abstient de s’occuper de choses multiples.
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Les êtres diffèrent dans la vie, mais non dans la mort. Durant la vie, les uns sont sages et les autres sots, les uns sont nobles et les autres vils ; à la mort, tous sont également une masse de charogne fondante. Ces différences dans la vie, cette égalité dans la mort, sont l’oeuvre de la fatalité. Il ne faut pas considérer comme des entités réelles, la sagesse et la sottise, la noblesse et la vulgarité, qui ne sont que des modalités réparties au hasard sur la masse des hommes. Quelle qu’ait été la duré e et la forme de la vie, elle est terminée par la mort. Le bon et le sage, le méchant et le sot, meurent tous également. A la mort des empereurs Yao et Chounn, des tyrans Kie et Tcheou, il ne resta que des cadavres putrides, impossibles à distinguer. Donc, vivre la vie présente, sans se préoccuper de ce qui suivra la mort.
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Les Hommes vrais anciens ignoraient l’amour de la vie et l’horreur de la mort.
Leur entrée en scène, dans la vie ne leur causait aucune joie ; leur entrée dans les coulisses, à la mort, ne leur causait aucune horreur. Calmes, ils venaient, calmes, ils partaient… Ils acceptaient avec joie ce que la vie leur donnait… ainsi leur esprit était libre… en harmonie avec toutes choses.
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Si le ciel et la terre durent toujours, c’est qu’ils ne vivent pas pour eux-mêmes.
Suivant cet exemple, le Sage, en reculant, s’avance ; en se négligeant, il se
conserve. Comme il ne cherche pas son avantage, tout tourne à son avantage.
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Primitivement, aucune division en livres et en chapitres n’exista. La division fut faite plus tard, assez maladroitement.
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