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EAN : 9781290238939
24 pages
Hardpress Publishing (10/01/2012)
4/5   1 notes
Résumé :
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Coïncidence ou non, j'ai lu cette nouvelle après avoir lu « Sous des dehors si calmes » de Jacqueline de Romilly dans laquelle des détails de la vie quotidienne du personnage principale la poussent inconsciemment à émettre un flot de pensées. Et c'est aussi ce que l'on ressent lorsque l'on lit « La marque sur le mur ». Cette marque, que l'on imagine plus que quelconque, donne lieu à un cheminement de réflexions sur des sujets variés. C'est pertinent, mais pas forcément toujours évident à suivre (on retrouve des phrases longues, avec beaucoup de virgules… et on peut parfois devoir revenir au début pour réellement tout comprendre).



Le caractère autobiographique de cette nouvelle est très appréciable. Il n'est pas ouvertement revendiqué, donc on ne peut pas en être certain à 100% mais le « je », certains indices (quand elle parle, par exemple, du manque de nettoyage) nous donnent l'impression de faire face à ses pensées. Tel un journal intime qu'elle aurait un peu romancé. 



Comme dans plusieurs de ses oeuvres, Virginia Woolf aborde (mais pas seulement) de la question des apparences : comment on se perçoit (aime se percevoir) et comment les autres peuvent nous percevoir. Étant moi-même très intéressée par ce sujet, c'est très intrigant de voir cet intérêt revenir régulièrement dans son travail et ça nous pousse à voir son travail et sa personnalité sous un autre angle.



L'aspect féministe est également présent dans quelques lignes. Avec talent et sans agressivité, elle émet l'espoir que les hommes ne dicteront plus comment les femmes doivent vivre.



J'ai aussi apprécié que, contrairement à certains de ses textes qui sont parfois assez pesants émotionnellement parlant, « la marque sur le mur » nous fait connaître un certain moment d'optimisme. On sent que pour la narratrice/auteure, l'observation de cette marque et ce qui en découle, lui donnent un certain moment de répit et d'apaisement. C'est agréable à lire, et ça peut peut-être pousser le spectateur à chercher ce qui peut lui permettre de se couper parfois de durs moments.
La conclusion est aussi assez drôle (je n'en dis pas plus !).
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Ils sont partis parce qu’ils voulaient vivre dans d’autres meubles, à ce qu’il disait, lui, et il était en train de dire qu’à son avis l’art devait exprimer des idées, lorsque nous avons été brutalement coupés, à la façon dont, emporté à toute vitesse dans le train, on pert brutalement de vue un jardin de banlieue où une vielle dame s’apprêtait à verser le thé et un jeune homme à frapper sa balle de tennis.
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Videos de Virginia Woolf (84) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Virginia Woolf
Soirée rencontre à l'espace Guerin à Chamonix autour du livre : Vers l'Everest de George Mallory traduit par : Charlie Buffet
enregistré le 24 février 2024
Résumé : Inédits du célébrissime George Mallory, premier disparu de l'Everest.
«Une masse triangulaire incongrue a surgi des profondeurs; son côté se perdait dans les nuages. Très progressivement, nous avons vu apparaître les flancs d'une grande montagne, ses glaciers et ses arêtes, tantôt un éclat, tantôt un autre à travers les échancrures mouvantes, jusqu'à ce que, bien plus haut dans le ciel que ce que l'imagination avait osé suggérer, apparaisse le sommet blanc de l'Everest. C'était comme la création la plus folle d'un rêve.» En 1921, un homme marche vers l'Himalaya, fasciné. Il est le premier Occidental à approcher le plus haut sommet du monde, à le décrire, à le photographier, et à s'élever sur ses pentes. Cet homme, c'est George Mallory. Britannique, dandy, courageux dans l'effort et l'inconfort, il est alpiniste par passion, écrivain et artiste par vocation: «Les alpinistes n'admettent aucune différence sur le plan émotionnel entre l'alpinisme et l'Art. Ils prétendent que quelque chose de sublime est l'essence même de l'alpinisme. Ils peuvent comparer l'appel des cimes à une mélodie merveilleuse, et la comparaison n'est pas ridicule.» Mallory écrivait. Ses textes racontent au plus intime ce que fut l'exploration exaltante de l'Everest jusqu'à ce 8 juin 1924 où il disparut sur les dernières pentes du Toit du monde, qu'il fut peut-être le premier à atteindre. Et où son corps momifié a été découvert le 1er mai 1999. Tous les écrits de George Mallory sont rassemblés pour la première fois dans ces pages: textes de réflexion, récits d'ascension, lettres à sa femme Ruth, jusqu'au dernier message confié à un Sherpa…
Bio de l'auteur : George Mallory, né le 18 juin 1886 en Angleterre, fils d'un pasteur anglican, proche du « groupe de Bloomsburry » (Keynes, Virginia Woolf) pendant ses études, alpiniste élégant (une voie porte son nom à l'aiguille du Midi), disparu à l'Everest le 8 juin 1924.
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