Les beaux étés, tome 1 : Cap au Sud !

C'est parti pour les vacances en famille ! Tout le monde en voiture et direction le sud ! Enfin… c'est sans compter sur quelques imprévus. Qu'importe : les éclaircies sont toujours présentes ! Cette bande dessinée fait voyager le lecteur au coeur du passé et on prend vite goût à l'apparente simplicité d'antan. L'attachement à chaque figure de la famille devient alors naturel et immédiat et le plaisir est grand de suivre leurs aventures tumultueuses. L'intrigue est simple et permet de partager une page de quotidien avec cette savoureuse famille. Vivement la lecture d'autres années !
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"Cap au Sud" est le premier volet d'une saga estivale.
Une famille belge, les Faldérautlt, aux enfants nombreux s'engagent sur la route des vacances. A bord de leur 4L un couple et leur 4 enfants (et aussi l'ami imaginaire d'un des enfants). Zou, direction le Sud de la France (Ardèche), sans ceinture, sans permis ... nous sommes dans les années 70 ! Peace and Love !
Justement il est question d'insouciance estivale où l'on campe à la sauvage (je le redis, année 70 !), on parcours les nationales de France en chantant à tue tête ou au rythme des chamailleries des enfants. Une bien jolie tribu et autant de beaux moments tendres !
"Famille nombreuse, famille heureuse" oui ! néanmoins l'auteur ne décrit pas seulement la force d'une union familiale construite sur des petits moments de vie mais pointe aussi la fragilité des liens: une séparation conjugale, la perte d'une personne chère sont autant d'éléments qui viennent perturber ce road trip estival.

Bref, c'est l'histoire d'une famille qui part en vacance. Chacun s'y retrouvera certainement.
Une expérience de vie peinte avec nostalgie et légèreté.

Depuis le temps qu'on me conseille cette série... Eh bien j'ai adoré !!! Ces vacances paraissent plus vraies que nature et malgré le deuil qui vient entamé leur bonne humeur, c'est aussi l'occasion pour tous de prendre conscience de ce qui les relient.
Une belle chronique familiale dont je vais m'empresser de lire la suite !
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Tellement humain, comme toujours avec ces artistes, encore une jolie respiration que nous offre le duo Jordi Lafebre / Zidrou !

Pas mielleux pour deux sous, voilà de quoi quêter des sourires avec intelligence, bienveillance et énergie. Dans ces pages, rien que du crédible, qui touche et sensibilise, sans en faire trop, sans poursuite de pathos. Des chemins de vie qui se cherchent, des doutes, des envies, des espoirs, des rebonds, la vie de famille quoi.

La prose de Zidrou fait mouche. de belles formules parsemées, des phrases clefs, les citations sur Babelio s'en font l'écho. le dessin de Lafebre est joliment soigné, vif et coloré, et nous transporte dans une imagerie appréciable des années 70. Un très bon moment pour une saga prometteuse.

Une bd rigolote et touchante à la fois : une famille sur la route des vacances de l'été 1973, le couple en crise et les quatre enfants, en 4L de la Belgique au Sud de la France. Des personnages sensibles et cocasses, leurs petits bonheurs, leurs espoirs et leurs désarrois. Très chouette !

Proposé lors des 48h de la BD il y a un an, je me suis lancé que récemment dessus et je ne regrette pas.

Les beaux étés ne peut pas être accusé d'un titre mensonger, on suit ici une famille lors des vacances d'étés et les péripéties lors de ces dernières. Particulièrement fan du style de Zidrou, je retrouve sa faculté à construire des personnages en quelques pages, on cerne tout de suite leur caractère, leur personnalité et dans cé récit, on s'attache très vite à ces derniers. Sans "réel but" (ce n'est pas un titre d'action, un thriller, polar,...), il a tout de même réussi à me captiver tout du long par ces dialogues entre les personnages avec la finesse qu'il lui est propre je trouve.

Ce titre fait écho à mes souvenirs de vacances jeune et à ces moments privilégiés avec mes parents que je ne pouvais que trop rarement avoir en période scolaire.

Pour les dessins, autant dire que Jordi Lafebre nous livre de superbes planches. L'auteur espagnol livre des dessins somptueux et mis en valeur par une variété de couleurs à la fois chaudes et froides.

Un titre que je recommande à quiconque souhaite s'évader sans prise de tête pendant quelques dizaines de minutes.

Eté 1973, les souvenirs d'une famille de Bruxelles qui part en vacances avec leur 5 enfants en 4L. Et oui à l'époque certaines familles se tassaient dans de tous petits véhicules et franchissaient ainsi de longues distances. Mais le fond de l'histoire tient avec une menace de divorce sous jacent...
Le dessin est clair et coloré.

Les beaux étés a un graphisme assez sympathique, et surtout cette famille va finir par vous toucher en plein coeur. L'été c'est le moment de se ressourcer, de partir en famille, de voyager, et de vivre des aventures. Il faut dire qu'ils sont beaucoup dans la famille, une ribambelle d'enfants, sans oublier Tchouki. Mais cela suffira-t-il à apaiser les tensions ? Mado, la maman n'est pas contente de son travail, c'est loin d'être son rêve. le père, Pierre, rend ses planches en retard, et retarde le départ en vacances de tout le monde. Il est dessinateur de BD, il poursuit son rêve, mais pour l'instant sans le succès escompté. La vie est compliquée. Heureusement, il y a de beaux et précieux moments, ainsi que des souvenirs. Cette famille avec ses petits rituels est touchante. Ils nous amusent et peut être nous rappelle des choses avec leur voiture, leur envie de Sud, La maladie d'amour de Michel Sardou, le camping, le camping sauvage, le mille borne, l'envie d'éviter les péages etc. Au milieu de tout cela, la vie ne s'oublie pas totalement : Mado est en crise, son couple bat de l'aile. Dans la famille de Pierre, il y a un problème, il appelle souvent, et s'inquiète des ventes de sa bande dessinée. Il y a également des disputes. Rien ne vaut de se prendre du temps, de se ressourcer loin de la vie de tous les jours, des problèmes, même s'ils ne disparaissent pas pour autant. Jordi Lafebre & Zidrou nous content de manière réaliste et touchante en nous faisant rire, nous inquiéter, et tant d'autres choses.
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Cela commence comme une ritournelle annuelle. C'est l'été 1973. La petite famille Pif attend avec impatience le départ en vacances, quelque part dans le sud de la France.
Jolie et limpide chronique familiale entachée dès le départ par la tyrannie du père, plus motivé par ses planches de dessins à rendre que par l'impatience de ses enfants. Petites et grandes contrariétés parsèment leur chemin vers la mer : les places de pique-niques trustées par d'autres occupants, l'attaque de taons mais aussi un couple qui se lézarde ou encore un frère malade resté au pays.
La luminosité des couleurs contraste avec le récit, parfois drôle, parfois triste, souvent doux-amer. Les protagonistes hésitent entre drame et comédie sans pour autant verser dans le mélodrame. Ils restent toujours attachants et touchants.

Cette BD nous raconte l'histoire d'une famille belge composée des parents et des quatre enfants lors de l'été 1973 et de leur départ en vacances pour le sud de la France. C'est sympathique et de lecture très facile nous replongeant dans les années 1970.