Les beaux étés, tome 1 : Cap au Sud !

Eté 1973: Michel Sardou chante la maladie d'amour et voilà que cela fait déjà 3 jours que la petite famille belge Faldérault devrait être en vacances, cap au Sud !
Pierre, le papa dessinateur, n'a pas encore terminé ses planches.
D'ailleurs le papa a une une forte ressemblance avec Zidrou...
Je me disais que j'avais déjà apprécié la patte du Zidrou et de Jordi Lafebre, c'était dans Lydie.
Ici on est dans un family trip en 4L dans les années 70.
Flashback dans le temps: la tapisserie géométrique colorée, la robe tout aussi vintage de la maman, le camping sauvage en bord de route, les enfants qui se chamaillent...
Un agréable moment familial parsemé de moments difficiles mais où l'amour triomphe.
Lecture très sympa. Album très roots.

Une chronique familiale drôle et tendre à la fois.
Une grosse bouffée de nostalgie.
Plein de souvenirs de vacances qui remontent.
Un sourire aux lèvres.
Des tons pastels.
Un trait vif.
Un excellent moment!

Les Beaux étés, c'est l'histoire d'une famille belge qui part en vacances en Ardèche : Cap au Sud. C'est une tranche de vie familiale durant l'été 1973 : les enfants qui se chamaillent, la 4L rouge, « la maladie d'amour » de Sardou, le camping, les parents qui doutent de leurs sentiments l'un pour l'autre…

Les vacances vont-elles réussir à dissiper les doutes de l'un et les frustrations de l'autre ?

Laissez-vous embarquer, ils pourraient même vous faire une place dans la 4L !

Qu'es ce que j'ai aimé cette bande dessinée qui évoque des souvenirs d'enfance et de nostalgie avec les vacances et les voyages en voiture.

J'ai aimé suivre cette famille belge complétement déjante capable de faire demi-tour pour aller chercher un ami imaginaire, ils sont également prêt à mentir effrontément pour un petit coin pique-nique au bord de la rivière.

Les dessins sont également très beaux et j'ai plonger avec délice dans ce récit, je vais suivre cette famille de nouveau avec grand plaisir.

A force de la voir un peu partout, j'ai eu, moi aussi, envie de feuilleter cette bande dessinée qui avait l'air tout à fait sympathique.

Aucune déception à la découverte de l'album, drôle et touchant, dont j'ai aimé l'histoire et le dessin. Un moment agréable en compagnie d'une famille belge en route pour les vacances, tant attendues.

Une histoire sur l'insouciance de l'enfance, la magie des vacances en famille, les tracas du quotidien, les illusions perdues, la maladie, un scénario efficace dicté par la vie. Une lecture distrayante qui correspondait exactement à mes attentes.
Lien : http://edytalectures.blogspo..

Résumé : 1973. L'été est enfin arrivé, et la famille Faldérault va enfin quitter le temps maussade de Belgique, pour partir au volant de leur 4L, direction le soleil du sud de la France !

Mon avis : Retour dans les années 70, 1973 plus précisément, en compagnie de la famille Faldérault : Pierre, le père, est dessinateur de BD, et n'a pas encore fini les dernières planches demandées, alors toute la famille est obligée d'attendre avant de pouvoir enfin partir en vacances. Mado, la mère, travaille dans un magasin de chaussures, est triste, et pense offrir à ses enfants ces dernières vacances avant de leur annoncer son divorce d'avec leur père. Parmi les enfants, Louis, seul garçon parmi ses soeurs, adore lire des BD de Lucky Luke, et a un ami imaginaire, l'écureuil Tchouki. Julie est la fille toute mince, mais complexée, qui se dispute régulièrement avec Nicole, sa soeur plutôt ronde, tandis que la petite dernière, Paulette, fait rire tout le monde par ses réparties.

C'est enfin le moment de partir, au volant d'une mythique 4L rouge, et c'est le début d'un trajet tortueux sur les routes de Belgique et de France, cap vers le sud ! L'important est dans le chemin, avec les pauses sur la route, les étrangers qui squattent le lieu de pique-nique… Mais les vacances vont être plus courtes que prévu.

Cette BD est un instantané des années 70, au coeur d'une famille où les rêves de jeunesse se sont parfois envolés, ou pas réalisés comme on le pensait, sur les routes d'une France bucolique, au son de la chanson tube de l'époque « La maladie d'amour », et où la dure réalité rejoint parfois les vacances.

Les tomes suivants remontent encore dans le temps, sûrement pour comprendre un peu mieux ce qui arrive à cette famille.
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La famille Falderault attend avec impatience que le père termine les planches de sa BD en cours et à eux les vacances. Mais cette petite famille est au bord du drame, la femme veut tout quitter pour assouvir enfin ses rêves.

Une tranche de vie familiale avec ses joies et ses peines mais aussi les coulisses du monde de la BD et ses problèmes de création. L'histoire se situe en 1973, on sourit devant certains événements, c'est tendre et en même temps triste. J'ai hâte de lire la suite de cette famille belge qui nous ressemble tant.

Lien : http://lespapotisdesophie.ha..

Voici encore une lecture bien différente de ce que j'avais imaginé. Je pensais voir un récit de vacances d'été... mais il s'agit plutôt d'un récit de famille. Alors oui les vacances d'été sont bien présentes : mais ce n'est qu'un prétexte.
Et j'ai beaucoup apprécié de reprendre les premières pages après avoir fini la lecture... tout devient plus clair.

J'ai commencé cette série par le tome 2, dont l'histoire se déroule en 1969 (année érotique !), avant de lire le tome 1, dont l'histoire se déroule en...1973. Vous suivez ?!
J'ai ainsi retrouvé avec plaisir la famille Faldérault, qui a hâte de quitter la Belgique cet été 73 pour prendre la route du Sud. Oui mais voilà, Monsieur, dessinateur, doit impérativement achever au préalable ses planches ! Et c'est donc avec quelques jours de retard sur la date envisagée que la troupe s'entasse dans la 4L familiale direction le soleil...
Ce premier tome a, me semble-t-il, un ton un peu plus sombre que le second, évoquant par exemple les relations difficiles entre les parents Féderault, ou le décès d'un proche. Mais cette histoire parle finalement, avec beaucoup de fraîcheur et une bonne louche de nostalgie, de la vie, avec ses joies petites et grandes, et ses peines. Une belle réussite !

Les beaux étés, une chronique familiale qui écrit l'histoire d'un jeune couple accompagné par un puis deux puis trois et … quatre enfants Julie, Nicole, Louis avec son ami imaginaire Tchouki et Paulette.
Cet été là est vécu comme une trêve … le papa n'a pas la réussite espérée avec ses bandes dessinées … la maman est lassée d'un quotidien qui ne ressemble pas à ses rêves de jeunesse … le couple est en danger, l'amour est en fuite a cause d'un quotidien trop envahissant qui ne ressemble pas à la vie … les enfants se chicanent les uns et les autres … une belle soeur très malade …
Alors les parents décident d'offrir à leurs enfants un dernier souvenir de vacances communes et ils vont faire comme si tout allait bien.
Le couple scénariste et dessinateur excelle dans la réalisation de l'album.
Les pages s'enchaînent pour nous raconter de façon très réaliste les petits bonheurs (et les petits ou gros malheurs) de la vie quotidienne.
Une belle évocation de l'année 1973 qui me replonge dans mes souvenirs …
L'été 1973, éveille pour les gens de ma génération beaucoup de souvenirs …
Août 1973 … près de 50 000 personnes selon les organisateurs ont participé à la marche sur le Larzac et se sont regroupées dans le cirque naturel du rajal del guorp contre l'extension du camp militaire … j'y étais !
Septembre 1973 … un 11 septembre sanglant, le mardi 11 septembre 1973, le gouvernement du président démocratiquement élu Salvador Allende est renversé par un coup d'état militaire dirigé par Augusto Pinochet … j'aurais du y être si je n'avais pas attendu un enfant !