Les beaux étés, tome 1 : Cap au Sud !

Pour cette première chronique de l'année, Cap au Sud ! avec le premier tome de la série Les beaux étés de Zidrou et Jordi Lafebre.
Août 1973, le chanson La maladie d'amour de Michel Sardou passe en boucle sur les radios...
Nous allons découvrir la famille Faldérault, Pierre, le papa, dessinateur de BD souvent à la bourre, Magdalena, la maman, qui vend des chaussures, et leurs quatre enfants.
Un couple qui bat de l'aile, et qui part en vacances pour oublier le quotidien, notamment la maladie de Tante Lili mais aussi une séparation qui se profile à l'horizon...
Direction le Sud pour engranger de merveilleux moments qui deviendront de merveilleux souvenirs....
J'ai emprunté ce premier tome à la bibliothèque et j'en suis ravie :) J'aime beaucoup lire des bandes dessinées et encore plus quand celles ci parlent d'une famille et que c'est plein de bons sentiments comme c'est le cas ici.
Je trouve les illustrations vraiment très jolies, j'adore le trait de crayon de Jordi Lafebre. Les textes sont pertinents, l'ensemble donne une excellente bande dessinée qui m'a charmée de la première à la dernière page.
J'ai apprécié de partir en vacances avec cette famille belge. Ils sont sympathiques, attachants et on découvre avec plaisir une petite tranche de leur vie.
Ma note : 5 étoiles bien méritées.

Comme chaque année, après avoir rendu ses planches de dessins, Pierre donne le top départ des vacances, direction le Sud de la France.
On voyage par les route départementales plutôt que par l'autoroute ce qui permet de profiter des paysages et de pique nique tout en prenant son temps.
Des tensions entre les parents, des tensions entre les enfants mais après un retour anticipé pour raisons familiales, la petite famille se retrouve plus unie qu'avant.
Les décors, les vêtements, les expressions, tout nous ramène aux années 70 avec un brin de nostalgie.

Une B.D. sympa où il se passe beaucoup de choses, peut-être un peu trop pour que je n'aie pas l'impression qu'on survolait tout ça un peu trop vite. On découvre une famille joyeusement brouillonne, avec les parents sous tension, leurs quatre enfants pleins de vie et l'ami imaginaire inséparable de la petite troupe... Entre effervescence du départ, menues contrariétés en chemin, plaisirs estivaux ou coup du sort mettant un terme aux vacances, on les suit dans leur aller-retour entre la Belgique et l'Ardèche, en 1973.
J'ai beaucoup aimé retrouver le duo Zidrou - Lafebre dont j'avais adoré l'album Lydie. On retrouve le subtil équilibre entre humour et émotion, ainsi que des dessins chaleureux.
J'ai hâte de lire les tomes suivants pour en apprendre un peu plus cette famille sympathique.

Retour en 1973 ! Oui je sais certains d'entre vous n'étaient pas encore nés !
C'est le temps des vacances en famille. La famille Faldérault attend impatiemment de partir vers le sud de la France. Les bagages sont prêts mais Pierre, le père, dessinateur de BD, termine ses dernières planches...il veut avant tout partir l'esprit tranquille quitte à rogner un peu sur le temps des vacances.
L'heure du départ sonne enfin et tout le monde s'entasse dans la 4L, rouge Estérel.
Voilà toute la famille en route pour le grand sud !
Tout est là pour nous mettre dans l'ambiance de l'époque : le passage de la douane (la famille vit en Belgique), l'étape pique-nique habituelle malheureusement déjà squattée, les chansons de vacances qui passent en boucle à la radio, les disputes à l'arrière entre les enfants...
Mais tout n'est pas rose pour autant même si tout le monde a besoin de ces vacances pour oublier l'année qui vient de passer et les soucis du quotidien, oublier le manque d'argent, les rêves enfouis, le manque de reconnaissance...la séparation des parents à venir. Car Mado la mère a en effet décidé de quitter son mari à la rentrée mais avant, elle veut offrir à ses enfants un mois inoubliable.
Les petits sont quatre à l'arrière de la 4L. Il y a d'abord Louis, le seul garçon de la fratrie, qui passe son temps le nez dans une BD de Lucky Luke et Tchouki, son ami imaginaire (vous verrez qu'il aura une importance capitale dans le récit).
Puis les soeurs qui sont toutes différentes et traînent avec elles quelques problèmes : Julie est une angoissée de nature ; Nicole souffre beaucoup de ses rondeurs, et Paulette pose toujours la question qui dérange : c'est normal c'est la petite dernière !
Mais un deuil familial interrompt les vacances...

Voilà une BD emplie de poésie et de tendresse, qui nous offre tout un panel de personnages tous aussi attachants les uns que les autres...
Au cours de sa lecture, on ne peut empêcher la nostalgie de nous atteindre...
Cela nous donne envie de lire les autres tomes qui, au contraire de ce à quoi on pourrait s'attendre dans une série, remonte dans le temps au lieu de voir grandir les enfants...sans doute pour nous en apprendre un peu plus sur cette famille et ses blessures.
Un pur bonheur pour les fans de BD, désolée pour les autres !
J'ai adoré ce contraste entre le graphisme léger et joyeux tout en rondeur et dynamisme et la gravité du scénario...
Lien : http://www.bulledemanou.com/..

1973, la famille Faldérault s'entasse dans sa 4L, direction le sud de la France pour des vacances attendues.
Le père, dessinateur courant après le succès, la mère pilier financier et les 4 enfants sur la banquette arrière (oui oui à l'époque 4 à l'arrière c'était courant.. ) sans oublier Tchouki l'ami imaginaire partent sur les routes sans aucune contrainte d'horaires ou de lieux. le couple en crise s'offre des dernières vacances ensemble avant d'officialiser un divorce programmé.
S'en suit un périple mouvementé sur les petites routes de France entre disputes parentales, chamailleries enfantines, pique-niques et camping sauvages, baignades, pudeur adolescente, événement familial....

C'est un véritable retour dans le temps, chansons, environnement, petits détails dans les illustrations, on est pris d'une douce nostalgie. Les auteurs portent un regard attendri sur ces vacances tumultueuses en famille, pleine de complicité, d'insouciance mais de drames aussi où les liens se resserrent.

Une petite tranche de vie bourrée de tendresse, des dessins plutôt réalistes et vivants, une série à poursuivre assurément !

Lien : https://chezbookinette.blogs..

On dirait que Zidrou fait du nostalgique pour faire du nostalgique, et a part ça... Je n'ai pas été sensible, le charme n'a pas opéré. Je n'aime pas non plus le dessin : personnages enfants assez laids, colorisation uniforme et sans profondeur, artificielle numérique (les dégradés photoshop commencent sérieusement à me donner des boutons !), le dessin trop léché, stérile. Et l'histoire n'est pas passionnante, les caractères des personnage, en voulant jouer la corde sensible, sont trop caricaturaux, voire gnangnans. Et je n'y ai trouvé que l'ennui.

1973 qu'est ce qu'on entend à la radio ? Elle court, elle court la maladie d'amour de Michel Sardou. Et à ce moment là ce Mado que voit courir et s'enfuir ce sont les vacances. Pierre, son mari, doit finir son travail de dessinateur avant de prendre la route, alors elle et ses 4 enfants attendent depuis 3 jours. Puis enfin ça y est! C'est le départ. de Belgique jusque dans le sud de la France la 4L familiale va rouler vers un bel été...

Voici une jolie histoire familiale. Comme nous l'annonce la 4e de couverture pas de bagarres sanguinolents, pas de complots juste la vie, la vraie. celle de tous les jours. celle de tous. Avec les petites joies du quotidien, les petites éclaircies et les petits orages.
Je suis bien contente de mettre laissé tenter par cette petite BD, sans prétention mais tellement émouvante par ses personnages fragiles et forts à la fois. Par ces petites choses qui peuvent arriver à tous.

Les dessins sont très sympathiques, colorés et rendant bien les nombreuses émotions qui y passent.

Sympathique histoire sans prétention sur la nostalgie des années 70, quand on partait à 6 dans une 4L, avec un arrière-plan de gravité quand même (le risque de divorce, le décès de la belle-soeur, et un petit air de la chanson de Souchon : "tu la voyais pas comme ça, ta vie" plus peut-être que la maladie d'amour de Sardou, en fait.)
Les gamins finissent par être lourdingues à se chamailler toujours sur les mêmes trucs, mais c'est ptet voulu (comme des vrais gamins, quoi !)
Les dessins sont jolis et ça m'a fait sourire une ou deux fois, j'espère que les auteurs n'en attendaient pas davantage.
Bon, en vrai, j'avoue que c'est pas trop ma came ce genre de BD (c'est un cadeau), mais je suis sûr que ça peut plaire à plein de gens.

Un album tendre qui évoque l'enfance et les souvenirs de famille.
Des souvenirs joyeux, les vacances, les jeux, mais également plus tristes, les difficultés du couple parental ou la maladie d'une tante.
Les dessins et les couleurs pastels servent parfaitement le propos de cette histoire qui se déroule au début des années 1970.
Une BD réussie.

Eté 1973: Michel Sardou chante la maladie d'amour et voilà que cela fait déjà 3 jours que la petite famille belge Faldérault devrait être en vacances, cap au Sud !
Pierre, le papa dessinateur, n'a pas encore terminé ses planches.
D'ailleurs le papa a une une forte ressemblance avec Zidrou...
Je me disais que j'avais déjà apprécié la patte du Zidrou et de Jordi Lafebre, c'était dans Lydie.
Ici on est dans un family trip en 4L dans les années 70.
Flashback dans le temps: la tapisserie géométrique colorée, la robe tout aussi vintage de la maman, le camping sauvage en bord de route, les enfants qui se chamaillent...
Un agréable moment familial parsemé de moments difficiles mais où l'amour triomphe.
Lecture très sympa. Album très roots.