AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Anne Perry (1968)
Charlotte Ellison et Thomas Pitt, tome 1 : ..

L'intérêt principal du livre réside dans le personnage de Charlotte, une jeune fille de bonne famille, dotée d'un caractère peu compatible avec ce que la société victorienne attend d'une femme. Lorsqu'elle rencontre l'inspecteur Pitt, venu enquêter sur une série de meurtre dans son très respectable quartier, elle découvre que le monde est bien plus complexe que ce que son éducation lui a laissé voir. Les autres personnages féminins (la mère et les soeurs de charlotte) sont aussi fouillés et dépeints tout en nuances. Mais, l'intrigue n'est pas très originale ; on se doute bien de le tournure que va prendre la relation entre Charlotte et l'inspecteur et même l'auteur n'a pas l'air de beaucoup s'intéresser à la résolution de l'énigme policière. Bref, rien d'inoubliable mais parfait pour un moment de détente.
Commenter  J’apprécie          70
Mémoire coupable

Autant j'ai aimé 'Du sang sur la soie' d'Anne Perry, autant j'ai été déçue de 'Memoire coupable' dont j'attendais un bonheur de lecture similaire...

J'ai trouvé ce roman poussif, caricatural et pour tout dire assez ennuyeux ! Jusqu'au bout, j'attendais une surprise ou un rebondissement, mais non : les méchants sont vraiment très très méchants mais heureusement Monk (pourtant piètre détective dans ce roman) parvient à contrer leurs sombres desseins.

Les gentils sont tellement gentils qu'ils en deviennent mièvres à force de bons sentiments. Puis l'histoire est terriblement prévisible, je me faisais des nœuds au cerveau en me disant 'j'ai du rater quelque chose, elle va nous trouver une péripétie de derrière les fagots, ça peut pas être si plat'. Mais si, ça l'est !

Heureusement qu'Hester est là pour remonter le niveau, avec sa force de vie, sa pugnacité et son refus de respecter les conventions de la bonne société. Mais on se demande un peu ce qu'elle fiche avec ce benêt de Monk, inefficace et geignard...



Bref, plutôt bof et pas indispensable. Cela dit, j'ai vraiment adoré 'Du sang sur la soie' alors je vais peut être retenter la chance sur un autre Monk, ou sur la série des Pitt, pour voir.
Commenter  J’apprécie          73
Charlotte Ellison et Thomas Pitt, tome 2 : ..

Cela faisait très très longtemps que j’avais lu un livre qui me fasse louper ma station de métro. Vous savez quand vous êtes passionnée par une histoire et que vous avez l’impression que le monde entier à conspirer contre vous pour empêcher de lire ce livre.

Et bien ce livre est passionnant, palpitant. L’histoire est très bien trouvée, même en lisant la fin dès le début, j’ai quand même pas pu me détacher de ce livre (c’est dire !). Oui, je sais c’est nul de lire la fin d’un roman policier au début de sa lecture mais sinon je bâcle la lecture et après je comprends plus rien.

Bref, Anne Perry arrive à planter tellement bien le décor et les personnages que l’on s’immisce dans l’intimité de chaque protagoniste, on se les imagine parfaitement et ils deviennent réels.

Le banquier poltron qui culbute ses bonnes, le géneral écrivant sur les guerres vécues pour sa famille, la petite dinde prétentieuse qui doit se marier en urgence, etc.

Toutes ses vies, les faiblesses des protagonistes, leurs motivations rendent cette lecture palpitante. C’est super bien écrit. Le personnage de l’inspecteur Pitt est très sympathique, Charlotte, sa femme encore plus.

Bon, si vous ne l’avez pas encore compris, je vous recommande chaudement cette lecture.
Lien : http://patacaisse.wordpress...
Commenter  J’apprécie          70
Charlotte Ellison et Thomas Pitt, tome 7 : ..

Anne Perry tisse des liens entre ses différentes enquêtes, n'hésitant pas à réutiliser des personnages que nous avons déjà croisé. Si l'on y réfléchit, ce principe est parfaitement logique : même divisée en quartier, la ville de Londres n'est pas si grande. Trois ans se sont écoulés depuis Le mystère de Callander Square (et presque deux ans depuis que j'ai lu cette enquête) mais le général, lady Augusta, leur fille Christina ainsi que Miss Ellison (alias Charlotte Pitt) vont se trouver à nouveau méler à un crime sordide.

Je dévoilerai peu de choses sur l'enquête, si ce n'est qu'elle est en partie (mais en partie seulement) la conséquence des événements qui ont eu lieu trois ans plus tôt et que Charlotte comprendra, à ses dépens, qu'enquêter est douloureux.

Non, ce qui m'a le plus intéressée dans ce livre est ce qu'Anne Perry dévoile de la société victorienne. Au fond, j'ai l'impression que mes lectures se suivent et que leur thématique se ressemble, puisqu'il est aussi question d'hommes qui ont tous les droits, et de femmes qui n'en ont aucun. Un homme peut jouer à Devil's Acre, rencontrer des prostituées, parfois même des prostitués, et ses activités sont tolérés - la bonne société ferme les yeux sur cette distraction. J'ajoute néanmoins qu'au vue de ce qui est arrivé à Oscar Wilde, je me pose tout de même des questions sur cette soi-disant acceptation de l'homosexualité masculine. A une femme malheureuse en ménage, il restera les oeuvres de charité, puisque des gouvernantes élèvent ses enfants, que pratiquer un sport est inconcevable (ne parlons même pas de jouer). Elle a de la chance si elle aime lire - des ouvrages choisis, évidemment - et si elle se montre capable de tenir son rang.

L'autre constance est la difficulté à ce que le ménage soit heureux. Les jeunes beautés jetées dans le monde au début de la saison ont un an avant que la nouvelle fournée de belles ne viennent quérir un mari. Les mères-dragons font alors de leur mieux pour trouver un parti présentable et surtout, le retenir dans leur filet jusqu'aux noces. Et après ? Que dire des hommes qui ne retrouvent pas avec leurs timides épouses ce qu'ils ont connu avec des prostituées ? Que dire aussi de ces hommes qui découvrent au sujet de leur épouse des secrets qu'ils auraient aimé ignoré ? Tous les couples ne sont pas comme Charlotte et Thomas. Si Thomas se montre parfois hésitant à révéler les horreurs de son métier à sa jeune épouse, il règne entre eux une liberté de parole que les autres ménages pourraient bien leur envier. Point de conseiller conjugal à cette époque, point même de parentes ou d'amies pour aider les jeunes mariées : une jeune femme n'est plus sous la responsabilité de ses parents une fois mariée, et sa propre mère se gardera bien de lui prodiguer des conseils : on ne s’immisce pas dans l'intimité des gens car ce serait sous-entendre que quelque chose ne va pas, que la jeune épouse a failli, et cette seule pensée est inconcevable. Dès lors, le silence fait de non-dit prend toute la place. Bienheureux ceux qui savent, comme le général et son gendre, se comprendre à demi-mots.

La catastrophe finale ne sera pourtant pas évitée.
Lien : http://le.blog.de.sharon.ove..
Commenter  J’apprécie          70
Funérailles en bleu

Un Monk de bonne facture dans l'univers de l'art à la fin du 19èsiècle
Commenter  J’apprécie          70
Mariage impossible

Une tragédie grec dans l'Angleterre de Victoria et Monk, l'homme sans mémoire que l'on a appris à apprécié qui enquête encore et toujours.

très bon
Commenter  J’apprécie          70
Un cri étranglé

Un Monk de bonne facture et toujours la vie si bien détaillé sous victoria, rapport entre les différentes couches sociales, détails du quotidien
Commenter  J’apprécie          70
Défense et trahison

Un très bon Monk où le trio Détective, avocat so chic et infirmière digne de Florence Nightingale
Commenter  J’apprécie          70
Charlotte Ellison et Thomas Pitt, tome 22 :..

Malgré les félicitations de la reine une force obscure chasse Thomas de la police et le voilà dans la Special Branch, officine quasi occulte avec un chef pour le moins antipathique

Un très bon Perry
Commenter  J’apprécie          70
Charlotte Ellison et Thomas Pitt, tome 7 : ..

Les moeurs pas si comme il faut des femmes comme il faut de l'ère victorienne. Pas le meilleur des Pitt mais intéressant
Commenter  J’apprécie          70
Charlotte Ellison et Thomas Pitt, tome 2 : ..

Anne Perry est au programme du challenge Solidaire, je n’avais rien lu d’elle et savais vaguement qu’il s’agissait de polars victoriens. Après lecture, effectivement, c’est bien ça. Ce n’est pas mal fichu, pas mal écrit, c’est très classique, les personnages de la haute société anglaise et leur domesticité sont bien brossés, pour un peu, on se croirait dans Downton Abbey. Bref, ce n’est pas un mauvais bouquin, mais le souci, c’est que dans très peu de temps, il ne me restera rien de ce livre hormis la vague idée que c’était un polar victorien.
Commenter  J’apprécie          64
Charlotte Ellison et Thomas Pitt, tome 20 :..

Une série policière que je prends en cours de route, mais ce n'est pas dérangeant. Nous sommes en 1891, époque intéressante, à Londres.

Ambiance so British pour cette série sympathique même si le rythme est très lent



Le commissaire Pitt doit résoudre une affaire gênante. Le corps d'un homme vient d'être découvert sur la Tamise. Une scène macabre assez déroutante qui va donner du fil à retordre au commissaire Thomas Pitt.



Je découvre donc cette autrice et cette série. Ce tome est le 20 ème. Aussi les références diverses et variées à des tomes précédents ne m'ont pas vraiment interressé. Toutefois, nul besoin d'avoir suivi la série, pour comprendre ce récit.

J'ai bien apprécié l'ambiance du roman où figure pas mal de petites références historiques et culturelles assez plaisantes. Les protagonistes se rendent souvent au théâtre, puisque l'un d'eux est acteur et nous côtoyons donc l'univers du théâtre. Nous y rencontrons même Oscar Wilde et Yeats. Cela m'a donné envie de lire la maison de poupée d'Ibsen.

Une intrigue secondaire presque plus importante que l'enquête. Beaucoup de bavardages autour d'un thé, de visites au théâtre..., l'enquête, elle, avance lentement mais sûrement, mais passe un peu au second plan.

Très certainement la marque de fabrique de cette grande série, dont le plaisir réside dans le fait de retrouver nos protagonistes au fil des tomes.

Un roman très agréable à lire, mais une enquête très plan-plan, ne pas s'attendre à des courses poursuites et à un suspens insoutenable.

Anne Perry figurant cette année dans le challenge solidaire, j'aurais l'occasion de me replonger dans un autre de ses romans.



Challenge solidaire

Challenge entre-deux

Challenge gourmand

Challenge plumes féminines



Commenter  J’apprécie          60
Charlotte Ellison et Thomas Pitt, tome 1 : ..

Londres vers 1880, Charlotte Ellison et Thomas Pitt vont tenter d’élucider les meurtres successifs de jeunes femmes étranglées. L’ambiance dans les familles huppées de la haute société, un rien surannée est admirablement décrite et le fossé avec les classes populaires est profond et difficile à franchir. Un polar bien mené qui ne s’épanouit toutefois que dans la seconde moitié du roman, la première partie étant assez touffue. L’intrigue captivante augure bien de la suite de cette série.
Commenter  J’apprécie          60
Un Noël en Sicile

Il y avait longtemps que je n’avais pas lu un livre de cette autrice et je me suis souvenu du pourquoi.

J’avais aussi lu de ses livres de Noël et bien, je n’ai pas vraiment adhéré à l’histoire, ni aux personnages.

C’est un livre assez court mais je me suis un peu ennuyée. Je n’ai pas aimé les personnages non plus ce qui ne m’aide, en général, pas à m’immerger dans l’histoire.

En plus, ce livre ne fait que mentionner a quelques reprise que l’intrigue se déroule dans le temps des fêtes mais il n’y a aucun autre indice (décoration, fête, préparation ...) qui en fait un livre de Noël.

C’est quand même une petite déception pour moi.
Commenter  J’apprécie          60
Un Noël à Eaton Square

Entre les secrets bien gardés des maitres, les vols et les rivalités entre les domestiques, Grace n’est pas au bout de ses surprises mais saura, bien évidemment, venir à bout de cette affaire qui ressemble davantage à un conte de Noël qu’à une histoire policière, ce qui est loin de me déplaire !



Point de meurtre ou de mort suspecte ici mais une histoire empreinte de l’esprit de Noël, avec un contexte qui n’est pas sans rappeler Downtown Abbey, du côté domestiques. Grace découvre un groupe soudé qui se définit comme une véritable famille et en complète empathie avec la vieille dame, quitte à perdre leur emploi. J’ai apprécié cet état d’esprit et le mystère autour de vieille dame enfermée dans une chambre et la solidarité qui l’entoure.



Les méchants ici sont les Harcourt qui vivent sur un grand pied mais qui ont aussi des dettes et qui attendent avec impatience le décès de la vieille lady, quitte à la laisser mourir de faim pour que les choses aillent plus vite. D’affreux personnages que l’on déteste d’emblée !



J’ai aimé encore une fois me plonger au coeur de l’Angleterre victorienne avec ses us et coutumes, son monde à part. Anne Perry n’a pas son pareil pour tricoter des histoires tellement agréables à lire, en racontant si bien cette période qu’elle connait par coeur, en insufflant une bonne dose de bienveillance, de chaleur humaine et en nous proposant un joli dénouement, très attendrissant.



Lire la suite...
Lien : https://deslivresdeslivres.w..
Commenter  J’apprécie          60
Marée funèbre

La voix d'Anne Perry s'est définitivement tue et je regrette la perte de cette auteure prolifique qui avait su rebondir et triompher de ses démons personnels par l'écriture de romans policiers se déroulant principalement à l'époque victorienne dont elle excellait à restituer l'ambiance générale.

C'est ici la 24ème ( et dernière enquête) de William Monk le brillant détective amnésique qui a gagné ses galons en compagnie de son épouse et assistante la courageuse Hester, infirmière sur les champs de bataille de Crimée qui de retour à la vie civile n'aura de cesse de venir en aide aux plus défavorisés.

Avec leur fils adoptif Scuff, ils restent familiers de la grande misère des londoniens de la seconde moitié du 19ème siècle et se trouvent confrontés aux crimes abjects et aux assassins retors.

A la tête de la police fluviale, Monk doit prêter main forte à un riche bourgeois dont la femme a été enlevée et il va descendre dans les bas fonds des îles de la Tamise pour remettre la rançon. Mais rien ne se passera comme prévu car la rançon va bel et bien disparaître mais l'épouse enlevée aussi ... Monk aurait il été trahi par un membre de son équipe ? Le veuf inconsolable (et ruiné ) est il vraiment aussi pitoyable qu'il parait ? Quand il y a beaucoup d'argent en jeu, les grands principes peuvent s'effacer devant la cupidité .

Le récit est haletant avec une traque des ravisseurs et ensuite un procès à scandale où intervient le brillant avocat Rathbone , ami du couple.

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé le style de ces récits où les éléments psychologiques sont toujours bien mis en avant, chacun des protagonistes se confiant face au lecteur et exposant ses doutes et ses failles.

Une fois de plus les travers de la société victorienne sont exposés sans concession et le roman se fait dénonciation d'un monde cruel aux faibles, corseté dans ses principes moraux qui ne laissent pas une grande part à l'indulgence et à l'empathie.

On pourrait penser qu'au bout de 24 enquêtes quelquefois calquées sur le même moule, la lassitude se fait sentir ...En ce qui me concerne, pas vraiment car il y a si longtemps que j'ai découvert cet auteur que des mois passent entre chaque lecture et la magie peut encore opérer, intacte.

Commenter  J’apprécie          60
Défense et trahison

Défi ABC 2023-2024

Voilà ce que j'appelle un "livre de train": n'y voyez surtout aucun sous-entendu péjoratif, mais un moyen de qualifier ces romans faciles à lire, plaisants, qui ne nécessitent pas le calme feutré d'une bibliothèque, qui se lisent en douceur avec un délicieux petit goût de déjà vu, et qui finalement font oublier l'annulation/le retard/ l'arrêt en pleine voie/la rupture de caténaire (rayez la mention inutile). Sans rien dévoiler de l'intrigue fort bien ficelée, sachez que le ou la coupable n'est pas (seulement) celle qu'on croit, qu'il ne faut pas se fier aux apparences et que les robes à panier sont bien difficiles à porter.
Commenter  J’apprécie          60
Esclaves du passé

Encore un grand moment de plaisir de lecture grâce à Anne Perry et Monk. Dans cet épisode, la grande et regrettée dame du polar Victorien tresse son intrigue entre géopolitique et drames intimes. Monk et Hester, employés par un marchand d'armes, sont projetés dans les débuts de la guerre de Sécession.

Leur enquête les emmène aux États-Unis jusqu'au champ de la bataille entre confédérés et unionistes. On perçoit cependant dès le début que les ressorts du crime sont dans les relations entre les personnages mais comme toujours dans cette série, la vérité n'éclate que dans les toutes dernières pages.



Je crois que je me suis (enfin !) avouée pourquoi j'aime tant cette série, moi qui ne suis pas du tout cliente pour les romans à l'eau de rose. Les relations de couple entre Hester et Monk, et l'ambivalence de leur ami Rathbone tissent une intrigue toute sentimentale, délicate et pleine de noblesse, au cœur de la série. J'avoue, c'est juste un petit plaisir coupable que de suivre leurs sentiments et l'évolution de leur relation. Vivement le prochain tome...
Commenter  J’apprécie          60
Passé sous silence

Ce dixième épisode de la série Monk commence comme une enquête de Sherlock Holmes, avec une fiancée qui semble s'enfuir de son plein gré à la veille de ses noces, sans pouvoir expliquer la raison de son geste. Il s'achève comme souvent dans une audience à rebondissement au tribunal, dans le registre de la tragédie grecque.



Pour construire son récit, Anne Perry reprend des motifs récurrents dans la série : le secret inavouable qui condamne une femme au silence, la violence et la duplicité des hommes, les faux semblants des classes aristocratiques. Comme souvent, l'autrice joue avec son lecteur, lui laissant des indices sans que le noeud de l'intrigue ne soit compréhensible avant le dévoilement final.



Le roman met également l'accent sur le fonctionnement du système de santé de l'époque, le statut des infirmières, un des fils rouges de la série, et le sort des anciens combattants et des personnes âgées.

Sur un plan plus frivole, Hester et William sont de jeunes mariés et pour le lecteur attaché à ces héros, il y a un vrai plaisir à les voir enfin heureux ensemble et découvrir leur vie conjugale.



Autour de l'aéropage des personnages principaux Anne Perry fait évoluer un grand nombre de figures secondaires passionnantes qui donnent à ce roman une ampleur qui dépasse le cadre de son intrigue policière à proprement parler. Le génie de la plume de l'autrice nous plonge dans les réalités humaines d'une époque, les injustices et les combats des personnages.
Commenter  J’apprécie          60
La Marque de l'injustice

M'étant retrouvée dépourvu de liseuse suite au vol de celle-ci par un voleur indélicat dans la ville dont les spécialités culinaires sont, entre autres, les boulets sauce lapin et les délicieuses gaufres, je me suis rabattue sur la boîte à livres de mon quartier et dans laquelle j'ai trouvé ce roman.



J'ignorais totalement qu'il s'agissait d'une suite, cela ne m'a d'ailleurs pas gênée pour la lecture.



Pour ce qui est de l'histoire en elle-même, cela démarre fort avec un meurtre, puis deux autres meurtres dans la foulée.

Qui sont les victimes, sont-elles choisies au hasard ou sont-elles liées par quelque chose ?

A cette enquête vient se greffer un procès pour plagiat.



Nous avons donc deux histoires, dont on comprend peu à peu qu'elles seront forcément liées à un moment ou à un autre.



Si j'ai passé un bon moment de lecture, que je ne me suis pas ennuyée, je n'ai pas non plus été emportée. Tout se passe trop vite au début et ensuite il faut meubler et c'est parfois long.



L'explication du pourquoi du comment m' a semblé un peu trop tiré par les cheveux.



Lirais-je un autre livre de cette série ?

Hum, pas certain.

Commenter  J’apprécie          63




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Anne Perry Voir plus

Quiz Voir plus

Les Titres de la série des Charlotte et Thomas Pitt

Quelle est la particularité des titres dans cette série ?

ils indiquent toujours le type de crime commis
ils indiquent toujours le lieu du crime
ils indiquent toujours l'heure du crime
ils indiquent le nom de l'assassin

8 questions
103 lecteurs ont répondu
Thème : Anne PerryCréer un quiz sur cet auteur

{* *}