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Critiques de Charles Exbrayat (471)
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Les messieurs de Delft

Ne cherchez pas dans "Les Messieurs de Delft" la plume humoristique habituelle de Charles Exbrayat , ni ses célèbres intrigues policières.



Dans la petite ville hollandaise de Delft, Karel Klundert, la cinquantaine, riche industriel, est respecté. Régulièrement, il reçoit chez lui quatre amis, tous célibataire ou veuf, et amateurs de bonne chère qui sont gâtés par Mina la vieille gouvernante et excellente cuisinière de Karel. Un appel téléphonique reçu au cours d'une de leurs agapes va bouleverser leur existence et ébranler leur amitié. Au bout du fil, une jeune fille Karin menace de se jeter à l'eau si, comme il le lui a soi-disant promis, Karel ne l'épouse pas. Ne la connaissant absolument pas, l'esprit embrumé par l'alcool, ce dernier pensant à une plaisanterie douteuse lui raccroche au nez. Mais quand le lendemain, la police se présente chez lui en lui annonçant non pas un suicide mais un meurtre, Karel a beau jurer qu'il n'a aucun lien avec cette Karin, il est effondré. Peu à peu il sombre dans une profonde dépression.

Aux remords de n'avoir rien fait pour sauver cette malheureuse vont s'ajouter les regrets de toute une vie, une vie qu'il a consacrée entièrement à l'entreprise familiale, jusqu'à obéir à son père en quittant l'amour de sa jeunesse qui n'était pas de son monde.



L'enquête policière n'a finalement que peu d'importance. L'auteur s'attache à nous montrer la face cachée de la bonne société bourgeoise qui faisant foi d'une rumeur, n'hésite pas à descendre un des siens et nous parle d'un homme qui se cherche une raison de vivre autre que l'argent dont il dispose.



L'intrigue m'a déroutée, étant habituée à des histoires plus drôles de la part de l'auteur et la fin ne rachète pas vraiment le roman. 10/20
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Les filles de Folignazzaro

CHALLENGE ABC 2013/2014 (21/26)



Ah ! Qu'elles ont le sang chaud, ces filles de Folignazzaro, quand, sous la houlette du curé, sans doute un cousin de Don Camillo, elles décident de semer le trouble dans le travail et dans le coeur de l'inspecteur milanais, venu enquêter dans ce petit village piémontais. Imaginez : un enfant du pays, jeune carabinier, est accusé d'avoir assassiné son rival, un étranger venu lui aussi de Milan, sous prétexte qu' ils étaient tous deux amoureux de la fille du notaire.



J'ai bien aimé retrouver la plume de Charles Exbrayat, dont j'avais pu lire, au temps de mon adolescence la série des "Imogene". Même si ce n'est pas le meilleur de cet écrivain de ma région, fort prolixe au demeurant, l'humour "bon enfant" et les personnages hauts en couleur sont au rendez-vous.

Dommage que l'intervention de toutes ces jeunes filles, aussi belles les unes que les autres, faite dans l'intention de ralentir l'enquête de l'inspecteur, donne aussi un coup de mou à l'intrigue. 11/20
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Quel gâchis, inspecteur !

Larry Henderson est un représentant de commerce banal, renfermé, dont le couple commence à battre de l'aile. Sa femme, Joyce est institutrice.

Un soir Larry a un accident avec sa voiture et prend la fuite.

Se confiant à son épouse, celle-ci va le guider pour se sortir de ce mauvais pas. Il répare et vend sa voiture, verse l'argent gagné le jour de l'accident sur le compte de sa femme,

Elle rend visite à la police et prétend que son mari a été simple témoin de l'accident mais que le coupable étant un malfrat connu, il a peur de témoigner, car il pense avoir été reconnu.

En réalité, tout cela est la base d'une terrible machination ourdie par Joyce pour se débarrasser de son mari.

De plus, l'inspecteur Mortlocke qui s'occupe de l'affaire tombe amoureux de Joyce et cela le conduit à un aveuglement qui va aider les protagonistes.

Ce petit polar du Masque est à mon avis un des plus réussi d'Exbrayat. Le niveau de construction de l'intrigue est magnifiquement mené.

C'est encore un excellent moment de détente.



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Le colonel est retourné chez lui

Charles Exbrayat n'a pas rempli son contrat.

Il est avare d'humour (son personnage écossais l'aurait-il contaminé ?), il parle parfois français comme une vache espagnole et son intrigue ferait se retourner dans sa tombe un clone d'Agatha Christie.

Je voulais changer radicalement de style après un Laurence Sterne magicien.

Merci pour le coup du lapin !
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Amour et sparadrap

« Amour et sparadrap » est un polar humoristique réussi. Avec des Irlandais bagarreurs, nous avons droit à la bagarre générale, style Astérix et Obélix, avec des gens encastrés dans un buffet, des théières cassées sur le crâne, le père de famille juché sur une chaise qui encourage les combattants, le voisin qui vient pour s’enquérir de l’heure à laquelle cessera le bruits, pour écouter les actualités… Il est bien reçu !



L’histoire policière, quant à elle, tient la route

Les surprises sont ménagées jusqu’à la fin.

Un roman réussi. A découvrir.

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La honte de la famille

La honte de la famille, c’est Bruno qui se la coltine, quand il annonce qu’il veut devenir policier ! Dans une famille de gangsters.

A partir de là, le roman est une série de sketches basée sur ce thème. Bon, évidemment, il ne faut pas chercher un véritable roman policier… Sinon, il y a un cambriolage d’une bijouterie, des gangsters, des policiers, des morts C’est un livre amusant, à la Exbrayat, avec la mamma qui se tape de grosses colères, et tout. et même une histoire d'amour.



J’ai beaucoup apprécié cette lecture.





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Fini de rire, fillette

L’action se passe dans ce merveilleux village de Baroquier la Benoîte, avec son curé Jules Quettehou, frère de Don Camillo, Henri Héné, l’instituteur ; on a aussi la jolie fille, Margueritte Touques.

Bref, un monde à la Pagnol -ou à la Zola, comme dans cette scène où Agathe fesse au battoir à linge Stéphanie Aniane, la langue de vipère.

Ce début est vivant ; Un vocabulaire coloré, qui contribue à la vivacité du récit : être achiné, pétafiner, une boge, un couratier (un coureur de jupons), un beauseigne, une catolle, nioche, des clapotons (des pieds de moutons), la maluche (le battoir), à châ peu -peu à peu), la burle (vent du nord), bartaveller, et le beau s’encoucourler ( s’étrangler en buvant trop vite)

Des questionnements et des retournements de situations, jusqu’aux toutes dernières pages.



Je recommande ce livre ; sans prétention, mais où l’on retrouve les caractéristiques d’Exbrayat



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Elle avait trop de mémoire

"Fatty" Morgan est inspecteur-chef à Scotland Yard. Il adore la bonne cuisine, particulièrement la gastronomie française, et ne manque pas une occasion de quitter son Angleterre natale pour se rendre outre-Manche et déguster des bons petits plats. Assurément, ce personnage est aussi pittoresque que le commissaire véronais Tarchinini, autre héros de Charles Exbrayat.

L'affaire dont il est question ici, hélas, met en scène ses compagnons de cartes, à la brasserie où il se rend plusieurs soirs par semaine. L'un d'eux a disparu et l'adjoint de Morgan, le volage Clarence Bredford, a retrouvé la maîtresse du retraité des chemins de fer sauvagement égorgée dans son appartement. S'ensuivront deux autres assassinats de personnes détenant des informations pouvant identifier le coupable.

Qui a donc tué Phyllis Balebrook? Et pourquoi?



J'ai retrouvé avec une grande joie la plume de Charles Exbrayat ! Je dois dire que je n'ai fait qu'une bouchée de ce roman, dévoré en trois jours. Avec lui, je n'ai jamais été déçue, sauf lorsqu'il s'agit d'Imogène que je trouve insupportable mais, tant que je me tiens loin des romans mettant en scène l'Ecossaise, la lecture est toujours un plaisir !

Concernant le fond, l'enquête est bien ficelée et on ne s'ennuie pas une minute. Pour ce qui est de la forme, comme d'habitude, Exbrayat nous livre une histoire parsemée d'un humour toujours aussi piquant, pour notre plus grand bonheur !



Challenge XXème siècle 2021
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Le quintette de Bergame

Le quintette de Bergame d’Exbrayat, un petit roman policier de 187 pages qui vous tient par son histoire un peu fofolle mais très agréable à lire. Le commissaire Tarchinini Romeo policier véronais se vois confié une enquête sur Bergame pour retrouver les assassins d’un inspecteur. Pour cela il se fera passer pour un professeur archéologie Avec son allure débonnaire est son intelligence notre commissaire va arriver à ses fins non sans danger pour lui.
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Chewing-gum et spaghetti

Si vous aimez les romans policiers et si vous aimez rire, ce livre est fait pour vous plaire ! Je l'ai lu il y a plusieurs années et avais adoré ! Le commissaire Tarchinini est attachant et drôle, et l'intrigue bien construite.

N'hésitez pas à lire la suite: Le plus beau des bersagliers, et Chianti et coca-cola.
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Le nez dans la luzerne

Un livre qui m'a permis de découvrir Exbrayat et son humour, que l'on retrouve également dans la série Imogène. Cet auteur est facile à lire et c'est toujours un plaisir de relire ses livres.

Que dire d'autre ? A vous de les découvrir maintenant ^^
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Ne vous fâchez pas, Imogène !

Si elle était un pays, elle serait l'Ecosse.



Si elle était un relief, elle serait les Highlands.



Si elle était une plante, elle serait un chardon.



Si elle était une bataille, elle serait celle de Bannockburn.



Si elle était une héroïne historique, elle serait Mary Stuart.



Si elle était un poème, Robert Burns l'aurait écrit.



Si elle était un roman, Walter Scott l'aurait signé.



Si elle était une couleur, elle serait en fait un mélange, celui qui donne l'écossais.



Si elle était un vêtement, elle serait un kilt aux couleurs des McLeod, ses ancêtres.



Si elle était un alcool, elle serait un bon whisky pur malt, évidemment écossais.



Si elle était un plat national, elle serait un copieux haggis (ou panse de brebis farcie).



Si elle était un sport, elle hésiterait entre le lancer d'arbre et le golf.



Si elle était une qualité, elle serait le courage.



Si elle était un défaut, elle serait la naïveté.



Vous l'avez reconnue sans peine : ce portrait est celui d'Imogène McCarthery, héroïne imaginée par le Stéphanois Charles Exbrayat dans les années cinquante et qui apparut pour la première fois dans "Ne Vous Fâchez Pas, Imogène !" Selon moi, il s'agit là du plus structuré et aussi du plus policier de la série car, pour être honnête, les volumes suivants cultivent surtout la farce et l'affrontement perpétuel entre Imogène et le chef-constable de son village natal, Archibald Mac Clostaugh, que la redoutable héroïne finira par considérer comme étant amoureux d'elle en secret.



L'intrigue de ce premier opus est simple : le supérieur hiérarchique de son propre chef de service confie à Imogène un document top secret regardant la défense nationale, à charge pour elle de le remettre à un correspondant qu'elle rencontrera en Ecosse, à Callander, son village natal. (Comment et pourquoi idée aussi baroque naît-elle dans l'esprit dudit supérieur hiérarchique, cela, je vous laisse le découvrir.) A peine Imogène grimpe-t-elle dans le train qui doit l'amener dans son pays que surviennent les premiers incidents étranges. Très vite, notre héroïne se sent poursuivie - que dis-je ? traquée - par un horrible personnage (aux yeux bleus et à la grosse moustache) qui surgit toujours là où elle l'y attend le moins.



Mais Imogène, bien que méprisant l'envahisseur anglais, est patriote : le document, elle le remettra à qui de droit et les espions qui cherchent à le lui dérober n'ont qu'à bien se tenir !



Le reste, vous le lirez dans ce petit livre sans prétention, dont le charme désuet ne se fait pas sentir tout de suite mais qui délasse bigrement nos imaginaires contemporains, tout encombrés de gangs, de gore et de tueurs en série plus ignobles les uns que les autres. Un agréable moment en perspective. ;o)
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Une brune aux yeux bleus

Malgré l'humour dans la présentation de Deborah au début, j'ai trouvé que ce roman était long à commencer.

Passé le meurtre de l'oncle Jérôme, on a un peu plus d'action.

Il faut avouer que maintenant on lit des thrillers qui sont beaucoup plus rapides que les policiers du siècle dernier.



Je recommande ce roman malgré tout.

J'ai aimé ce policier c'est reposant.

Il est juste dommage que j'ai découvert l'assassin assez tôt.
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Ne vous fâchez pas, Imogène !

Londres dans les années 50. Imogène McCarthery est une grand rousse, célibataire (enfin.. plutôt une vieille fille, n’ayons pas peur des mots) et elle est dotée d’un fichu caractère. Ecossaise au sang chaud, elle déteste cordialement les Anglais et ne manque jamais une occasion de le leur faire savoir ! Malheureusement pour elle, elle vit et travaille à Londres ; mais pas n’importe où : elle est sténodactylographe pour l’Intelligent Service. Son caractère bien trempé fait qu’elle est convoquée chez le grand patron qui va la charger d’une mission de la plus haute importance : apporter des documents top secrets à un homme résidant dans son village natal. Et là, les ennuis vont commencer pour Imogène, pour le plus grand plaisir des lecteurs !



Je devais avoir 13 ans lorsque j’ai lu ce livre pour la première fois. Une récente critique de Janelle2 l’a rappelé à mon bon souvenir. Je me suis empressée de racheter le livre et de me plonger dans sa lecture. Sans le savoir à l’époque puisque ce terme n’existait pas, Charles Exbrayat a écrit un cosy mystery ! Tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment : humour, intrigue et une écriture agréable. Sauf qu’au bout d’un moment j’avoue m’être lassée des tribulations d’Imogène. Sa crédulité et son sale caractère ont eu raison de ma patience et j’ai eu hâte de terminer ma lecture pour en commencer une autre plus passionnante. Je pense en revanche que l’on peut le recommander à des pré-adolescents qui ont envie de découvrir des romans policiers autres que ceux réservés à la jeunesse.

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Ne vous fâchez pas, Imogène !

Toute mon adolescence! Les Exbrayat dans la collection du masque piqués dans la chambre de mes parents... du commissaire Tarchinini à cette grande bringue d'Imogène en passant par les Blondes et papa, Jenny Plumpett ou Plaies et bosses. Un poème. Exbrayat qui faisait du cosy mystery avant l'heure et me faisait rigoler ou trembler toute seule dans le jardin.
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Ces sacrées florentines

Arrachant son fils Fabrizio aux bras jaloux de sa Giulietta car il lui avait promis de l'emmener à Florence quand il serait premier de sa classe, Romeo Tarchinini part en voyage. Du palazzo Bignone où ils doivent loger à la comtesse, amie de pension de Giulietta, le commissaire et son fils vont de surprise en surprise dans la belle ville de Toscane, qui n'égale pas Vérone, cela va sans dire.

Entre les disputes des locataires et la découverte d'un cadavre dans l'immeuble, voilà des vacances bien occupées pour nos deux Véronais: Et pour nous une occasion de plus de lire les exploits du grand policier !



Ce fut, comme toujours pour moi, un plaisir de retrouver le personnage principal, Romeo Tarchinini ! Autant je ne supporte pas Imogène, autant, lui, je l'adore.

Bien sur, il ne faut pas s'arreter aux nombreux clichés sur les Italiens (quoique c'est plutot amusant) ni à certains passages qui feraient hurler au scandale les féministes d'aujourd'hui. Non, il convient là de prendre les choses au second degré et on est certain de s'amuser durant la lecture. Imaginez-moi, attendant patiemment ma correspondance en lisant dans un coin d'un aéroport et faisant des efforts surhumains pour ne pas éclater de rire au milieu d'un tas d'autres personnes très sérieuses - oui, j'en étais parfois à ce point-là.

Bref, Tarchinini, soit on l'aime soit on ne l'aime pas, avec sa grande théorie que tous les crimes sont basés sur des histoires d'amour - Vérone oblige -, mais personnellement je ne m'en lasse pas !



Challenge ABC 2017/2018
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La route est longue, Jessica

Sur fond de western, Charles Exbrayat dépeint ici les sentiments parmi les plus sombres de l'être humain.

La vie est rude pour les habitants de la petite ville de Beechupland, pourtant une certaine solidarité existe.

Mais, cette solidarité se transforme un jour en sentiment collectif de honte et de culpabilité, quand suite à un événement tragique, la réaction majoritaire relève plutôt du lynchage ...

Toutefois, certains ne se satisfont pas de la manière dont les choses se sont passées et cherchent à en savoir plus. C'est alors que s'engage un autre type de lutte : une lutte entre la recherche de justice d'une part et la volonté de préservation de la communauté d'autre part.

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Les dames du Creusot

Un polar sympathique à lire. Rien de mieux pour se détendre et rire.
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Fini de rire, fillette

On s’éveille avec le village au son des cocoricos du coq Gaillardet.

Je dis « on » parce que c’est tellement réaliste dans le style et dans le ton qu’on s’y croirait.

Les noms des lieux et des personnages semblent sortis de Groland.

Les dialogues sont savoureux, l’écriture vive.

Bref, on ne s’ennuie pas une seconde en compagnie du curé du village, débonnaire, fort porté sur la bouteille, plein de bons sentiments envers ses paroissiens, désespéré des meurtres qui surgissent à Baroquier-la-Benoite.

Je n’avais jamais lu Exbrayat, je retenterai bien volontiers.

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Elle avait trop de mémoire

Une enquête bien tournée, avec une petite dose d’humour, à la Exbrayat.

Nous avons un personnage clé : Fatty Morgan, inspecteur à Scotland Yard, qui est un passionné de la gastronomie française ; donc, un gars bien !

Un de ses compagnons de cartes, Clarence Bredford, a disparu et une de ses conquêtes Phillis Balebrook est retrouvée assassinée.

Et voilà, les éléments sont en place, et l’enquête peut commencer…



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