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Critiques de Charles Exbrayat (471)
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Notre Imogène

Dans la petite ville écossaise de Callander, Janet, la fille du boucher et Angus, l'ouvrier mécanicien sans famille s'aiment d'amour tendre. Ils voudraient bien se marier, mais le père de Janet, Keith Leadburn, ne veut pas en entendre parler. Une nuit, alors que Janet a fait sa valise et a échoué à fuguer avec Angus, son oncle pharmacien, Hugh Reston, sort pour parlementer avec le jeune homme. Un coup de feu déchire la nuit. Reston tombe à terre. Le vétérinaire et le boucher se jettent sur Angus qui est immédiatement accusé du meurtre car il a un révolver sur lui. Imogène McCarthery, la vieille fille aux cheveux rouges toujours prompte à lever le coude et à faire le coup de poing mène l'enquête à sa manière très particulière. Il faut dire que son souffre-douleur, le sergent Archibald McClostaugh, est vite dépassé par les évènements. La police lui adjoint un jeune inspecteur plein de morgue. Sera-t-il capable de faire éclater la vérité ?

« Notre Imogène » est un roman policier de facture classique avec ce côté bon enfant et picaresque qui est la marque de facture du grand Charles Exbrayat lequel n'avait pas son pareil pour rendre les ambiances alcoolisées et délirantes du pays des Highlands qu'il devait beaucoup aimer. L'écriture est agréable, rythmée au point qu'il est presque impossible d'abandonner la lecture à quelque moment que ce soit. Les personnages hauts en couleurs sans être caricaturaux restent proches de nous et sympathiques en diable. Cet ouvrage tonique mais un peu ancien (1969) procure un très agréable moment de divertissement. Il vaut bien tous les thrillers et autres romans noirs sanguinolents et déprimants qui sont produits actuellement.
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Jules Matrat

En cette année de centenaire et de célébration solennelle de la Grande

Guerre,il convient de relire ce roman simple et modeste de Charles

Exbrayat . Le héros , un paysan de la Haute-Loire qui par cet aspect

ressemble à la majorité des combattants de l'infanterie, traverse quatre

années de guerre sans le moindre dommage physique ; pourtant , c'est

un homme brisé qui revient chez lui : ce chanceux est anéanti , incapable

de se réadapter à la vie quotidienne et à ceux qui l'aiment , parce qu'une

part de lui-même est restée là-bas , avec ses copains disparus au combat.

Sans décrire aucune scène de guerre ( hormis deux pages), Exbrayat

réussit à nous montrer quelle folie insensée et criminelle fut cette guerre

victorieuse que d'aucuns vont s'empresser de célébrer, avec des termes

aussi creux et mensongers que "Patrie , Honneur , Devoir.."

Voilà un exemple rare d'une vision de l'Histoire qui prend soin de ne

jamais oublier les hommes et qui , à ce titre , mérite d'être tirée de

l'oubli qui nous serait fatal.
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Porridge et polenta

N'importe quoi, mais un joyeux n'importe quoi...
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Ces sacrées florentines

Le commissaire Tarchinini, habitant de Vérone, emmène son fils Fabrizio visiter la ville de Florence, ses musées et ses merveilles architecturales. Ils logeront chez une certaine Comtesse Maria Filippina Tegiano della Uva, amie de sa femme, qui se révèlera être une simple concierge imbibée de grappa. Le lieu est si sordide qu'il pense repartir dès le lendemain. L'ennui c'est qu'un meurtre d'un garçon boucher est commis dans le palais et que la plupart des locataires peuvent être soupçonnés que ce soit Sophia, la femme qui adore se promener toute nue, Adda, la douce masseuse, le Dr Viarnetto, Mario, le fonctionnaire bovin et sa femme insipide, les Della Chiesa, Tosca, la sorcière à moitié folle, Maître Bondena, sa femme infirme et sa secrétaire pleine de santé. Une enquête qui s'annonce particulièrement épineuse...

Un roman policier de facture classique, agrémenté de pas mal d'humour et de truculence. Charles Exbrayat a très bien su rendre l'ambiance particulière de la Toscane en général et de la ville de Florence en particulier. Ses personnages sont braillards et hauts en couleurs sans tomber dans la caricature. C'est un vrai plaisir de lire cette histoire quasi picaresque, pleine de rebondissements et de fausses pistes. Le style est impeccable, simple, clair et agréable. Il y aurait des leçons d'écriture à prendre chez l'auteur.
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Quel gâchis, inspecteur !

Livre lu en 2010 dont je viens de retrouver la fiche (de lecture ^^). En voici mon avis, mi-critique, mi-résumé ^^



Lorsque je l'avais lu, je l'avais trouvé bien (comme tous les Exbrayat ^^) mais très compliqué car c'est l'histoire d'un inspecteur du Yard qui se monte la tête à la suite de la déposition d'une jeune femme (mariée de surcroît), du point de vue sentiments comme enquête policière!!



Celle-ci vient demander de l'aide car son mari a été témoin d'un accident qui a causé la mort d'une femme et de son enfant, et que le meurtrier a fait très peur au mari. L'inspecteur commence donc à se faire des films concernant cette femme qu'il aimerait bien avoir comme épouse et sur les évènements qui ont suivi cette déposition par rapport au mari de cette femme, à son superintendant, au meurtrier réel...



Il s'est trompé du tout au tout et il s'est bien fait roulé dans la farine ^^ alors qu'il n'est pas un débutant dans la police...



Bonne lecture à vous :-)
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Les filles de Folignazzaro

Dans un petit village perdu du Piémont italien, un crime en apparence passionnel est commis. Un clerc de notaire, arrivé récemment de Milan au milieu de ces montagnards rudes et peu accueillants est retrouvé assassiné d'un coup de poignard en plein coeur alors qu'il avait été vu plus tôt dans la soirée en pleine rixe avec son rival, un jeune carabinier amoureux comme lui de la belle Agnese. Un inspecteur venu de la ville s'imagine en mesure de confondre le meurtrier dans les plus brefs délais. Mais c'est sans compter avec l'esprit frondeur des villageois et surtout sans tenir compte de la malice des filles de Folignazzaro, capables d'embrouiller n'importe quelle intrigue amoureuse et parfaitement aptes à rendre fou un policier un tantinet borné et obstiné.

Un joli roman policier picaresque comme savait si bien en écrire Exbrayat l'auteur aux 94 titres dont un grand nombre dépassèrent en leur temps le demi-million d'exemplaires. Ce texte n'a pas vieilli, bien au contraire. Comme un bon vin, il se serait même bonifié au fil du temps. Avec un certain humour, cette pastorale criminelle sert de prétexte à une description fort amusante des moeurs paysannes lombardes et à une galerie de portraits on ne peut plus pittoresques : un maréchal de carabinier jouisseur et cordon bleu, un maire misanthrope, un notaire atrabilaire, un curé à la Don Camillo et tout un tas de femmes et de jeunes filles hautes en verbe et en couleur. Le lecteur comprendra que l'intrigue policière et la résolution de l'énigme en deviennent tout à fait secondaires. L'enquête piétine sur plus des neuf dixièmes du livre sans avancer d'un iota et tout ne se dévoile que dans la dizaine de pages de la fin. Ensemble néanmoins amusant et distrayant dans un style qu'on ne pratique plus. Malheureusement.
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Au ''Trois cassoulets''

Retrouvé avec plaisir un récit qui se situe en province, - quand on ne disait pas encore "en région" -, à Rodez. Des descriptions de personnages très différents, et quelques uns attachants. Pas la première victime, oh non! Celle-ci fut bourreau et personne ne la regrette. Des descriptions des sentiments aussi, que je trouve bien vues, et jamais pesantes. Et en cadeau, la petite coquille p 70 qui fait chercher et sourire...

Merci Exbrayat pour tous ces moments de lecture.
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Un coeur d'artichaut

La situation initiale : Un policier, Benito Piediluco, a fait de Nola Fernandino sa bête noire. Pourquoi ? Fernando est beau, et séduit de riches veuves, pour vivre à leurs crochets. Benito, lui, a vu sa femme le quitter pour un autre…



Un livre gai, truculent, qui ne se prend pas au sérieux. J’ai beaucoup aimé cette littérature qui s'amuse, et Exbrayat excelle dans ce domaine.

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J'aimais bien Rowena

Le roman est écrit à la première personne, par Tony Bellano, un « Rital » du FBI. Première personne, donc récit plus vivant.

A une époque, j’ai lu plusieurs livres d’Exbrayat, mais j’ai le souvenir d’une littérature plus légère, avec des traits humoristiques.

Là, c’est un roman d’aventure, bien ficelé.

Bon, certains rebondissements sont prévisibles, mais j’ai bien marché.



Un bon livre pour découvrir Exbrayat.

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Imogène est de retour

Je me marre toujours en lisant les aventures d’Imogène McCarthery. Je m’amuse en découvrant les relations du microcosme de Callander et les situations cocasses dans lesquelles elle a le chic pour foncer tête baissée. Imogène est de retour et avec elle les coups et les cadavres pleuvent, ainsi que les bagarres dans les chaumières.



Je me suis par exemple beaucoup amusé lors de l’enquête préliminaire ou lors de la bagarre à Inverness. On ne s’ennuie jamais et les passages caricaturaux ne nous empêchent pas de nous attacher aux personnages.

L’enquête n’est par contre pas très développée et la seule question qu’on se pose est : « à quel point se trompe-t-elle et pourquoi? ». Un livre relaxant à ne pas lire si on cherche une intrigue fouillée.

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Joyeux Noël, Tony

C'est un roman que j'ai trouvé surprenant, car je suis habituel à un Exbrayat humoriste, et ici je n'ai pas retrouvé cette patte.

Ce coup de patte, je l'ai tout de même retrouvé dans l'écriture... Ah ! ce fameux imparfait du subjonctif; "Il souhaitait que je le PRISSE chez moi." ou encore : "il fallait que les phrases qu'on lui adressait SIGNIFIASSENT quelque chose." Ce pauvre imparfait du subjonctif, qui a quasiment disparu, par négligence ou désintérêt.



L'histoire en soi n'a pas grand intérêt, mais tient à peu près la route...
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Une petite morte de rien du tout

Attention ! les imparfaits du subjonctif volent bas ! Quel plaisir que de lire un ouvrage si bien façonné !

Et la forme ne fait pas tout ; pour le fond, l’enquête est bien menée, elle est vécue « de l’intérieur, pas à pas, grâce à Thélis, le retraité, avec des moments amusants, come cet interrogatoire d’Antoine, le Corse qui ne veut pas se fatiguer…



Je recommande la lecture de cet ouvrage.

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Dors tranquille Katherine

Comment suis-je le premier à critiquer ce chef-d'oeuvre ? Car oui, pour moi "Dors tranquille Katherine" est un des meilleurs - voire le meilleur - roman policier de notre Exbrayat national. Pourtant, on n'y retrouve nullement son humour caractéristique. Le ton est plutôt noir, à vrai dire, ce qui permet à l'auteur de nous offrir des personnages intéressants loin des archétypes habituels. Si la révélation finale n'est pas spécialement spectaculaire ou inattendue, l'auteur utilise fausses pistes et rebondissements avec dextérité.



Bref, je ne peux que vous conseiller ce petit bijou que vous retrouverez peut-être en vieille édition le Masque, perdu au milieu de la bibliothèque poussiéreuse de vos grands-parents. Le format du roman se prêterait bien à une adaptation en mini-série, cela pourrait dans le même temps refaire découvrir cet auteur prolixe et qui sait? peut-être le remettre au goût du jour.
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Ne vous fâchez pas, Imogène !

Enfin un livre léger, pas prétentieux et qui n'a d'autre ambition que de faire rire. Merci au bouquiniste qui me l'a conseillé. Dans une ville d'eau quand il pleut, ce livre est un très bon compagnon. Un peu futile, certes, mais c'est ce que je recherchais. Ca date un peu ? Oui, aussi. A lire et à relire...
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Ne vous fâchez pas, Imogène !

Ne vous fâchez pas Imogène... Ou de nouveau le bouquin entre deux Agatha Christie dans ma pile à côté du lit.... Ou aussi le premier bouquin de la série Imogène, et le seul que j'ai.. Et au final je comprends pourquoi... Et ça me chagrine un peu...





Pitch :

Imogène McCarthery est vieille fille et écossaise ( et l'un ne sous entend pas l'autre)

Imogène McCarthery est secrétaire à Londres dans les bureaux de l'Amirauté, en exil donc...

Imogène McCarthery en écossaise pure souche a donc un fort attachement pour sa patrie et le whisky...

Imogène McCarthery a la langue bien pendue et ça fait des vagues dans les bureaux de l'Amirauté..

Imogène McCarthery...



- Oui bon ça va, on a compris qu'elle s'appelait Imogène machin... on a compris qu'elle est « l'héroïne » du livre... on a compris...

- Peut-être que t'as compris, mais est-ce que t'as compris qu'elle est bête à bouffer du foin ?

- Ah ça non..

- Et bin si, Imogène McCarthery est bête à bouffer du foin...



Et j'ai beaucoup de mal avec les héros ou héroïnes bêtes à bouffer du foin, voyez-vous... En fait en général je souhaite leur mort, et je suis dépitée en m'apercevant que bien sûr ce n'est pas le cas, car se sont les héros.. Et pourtant dieu qu'ils mériteraient de passer l'arme à gauche, qu'on les envoie ad patres.. et non bien sûr...



Alors bien sûr on va me dire humoristique, c'est du policier humoristique...

Et alors ?



Parce que oui certes Exbrayat c'est le ton de l'humour.. et c'est sincèrement drôle, vraiment... Mais est-ce que quand on écrit des choses drôles le reste doit en pâtir ?

Si on fait dans le roman policier, dans le roman d'espionnage, est-ce que l'intrigue doit en pâtir ?

Est-ce que Exbrayat se sentait trop mauvais pour écrire, tout en étant drôle, une intrigue avec un personnage, un héro intelligent ?

Si son héroïne avait eu deux neurones remarquez qu'il n'y aurait pas d'histoire...

Sa bêtise est affligeante, et je ne parle pas de son chauvinisme pour son écosse chérie, voir même son orgueil, et ce même si tout cela est franchement bête c'est parfois drôle, certes.. Non, je parle du reste... de cette enquête, cette histoire d'espionnage aussi fine qu'un cheveux... que la dame se fasse avoir une fois ok, je veux bien.. mais se faire avoir trois fois de suite avec le même scénario.. heu perso tu mérites la mort et pi c'est tout... j'en ai frémi, le frisson désagréable, qui efface les touches d'humour, qui efface tout....



Et en fait je me souviens que j'avais lu en premier, il y a longtemps, du même auteur Un joli petit coin pour mourir (que j'ai relu y a pas longtemps) et que à cette époque-là ce livre m'avait donné envie de découvrir plus cet auteur (comme maintenant d'ailleurs) et donc j'avais enchaîné avec ce Ne vous fachez pas Imogène (premier tome de la série des Imogène qui en compte sept), et que j'avais là-aussi sûrement été déçue (vu que j'en ai pas d'autres dans ma bibliothèque) et bien exactement comme maintenant, en fait...



Je ne pense pas lire d'autres Imogène, peut-être d'autres Exbrayat sans doute, mais des Imogène pas une chance...

Les héros bêtes qui méritent la mort à chaque pas qu'ils font, chaque pensées qu'ils ont ou chaque mots qu'ils professent n'ont aucune chance avec moi...

Je n'ai aucune indulgence pour la bêtise, pour la stupidité crasse.. le côté on dit au héros « si tu croises une route noire, ne marche pas dessus ça signerait ton arrêt de mort » et le héros croise une route noire, que fait-il ? Il marche dessus, tu mérites de crever héro..

Ou encore « attention y a des gars qu'en ont après toi, y a la guerre qui arrive, faut que tu te casses maintenant ! »... et le héros « oh bin non, je vais plutôt aller me faire une belote, ou des semailles, ou une balade dans la foret » et bien sûr en effet y a les gars la guerre peu importe, et le héro fait " oh bin zut, j'aurais du écouter, maintenant c'est la merdasse "... direct tu mérites la mort et je me fous de ton sort « héro » et je te la souhaite du plus profond de mes tripes et je suis déçue à chaque fois qu'elle te rate !.. Il paraîtrait que je suis un peu méchante, ou que j'ai un coeur de pierre, ou que je suis une blasée aigrie et je ne vois pas ce que tout ça vient faire là... et le rapport avec la choucroute...



Je hais les héros boulets, et qui n'évoluent pas avec l'histoire, avec les épreuves ou les péripéties que leur a réservé leur auteur, et restent donc aussi bêtes à la fin qu'au début... vous méritez de crever, et l'auteur mérite lui aussi un cours express sur la nature humaine.... et je soupire...



Et là c'est la même.. ok la mère Imogène n'est pas espionne, ok... mais heu... elle a un cerveau non ? Ou est-il si imbibé de whisky que réfléchir deux secondes ne rentre plus dans ses capacités ? Et surtout n'apprend rien de ses erreurs passées, et continue sur le même rail... Est-ce que tu te fous de moi ? … allez va mourir dans un buisson de bruyère sur la lande que tu aimes tant, je m'en fous.. tu mérites...



Et c'est bien dommage, j'aime bien l'univers, les personnages secondaires, et la manière d'écrire de son auteur, une manière paf prends-toi ça dans les dents, les bâches qu'ils s'envoient sont sympas et parfois jubilatoires... ça flingue de tous les côtés ^^



Il est juste dommage d'avoir fait son personnage débile pour s'éviter de s'embêter à écrire une intrigue qui tienne la route et ne soit pas téléphonée, oui s'éviter de trop s'embêter avec ça, de se fatiguer, créons donc un héros complètement stupide comme ça je m'emmerde moins, je l'ai ressenti comme ça..



Comme si en plus l'humour ne pouvait être que collé à la bêtise la plus crasse... Comme si l'humour ne pouvait en aucun cas marcher avec l'intelligence, comme si l'humour ne pouvait être que se moquer d'autrui, parce que là c'est un peu ça... elle en tient tellement une couche que bon... et je penche la tête sur le côté, en me disant dieu que c'est facile, et que définitivement je ne suis pas cliente de ce genre truc... Et pourtant j'étais pleine de bonne volonté... Et pourtant j'ai apprécié le style d'Exbrayat...



Allez sans rancune Imogène...





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Ne vous fâchez pas, Imogène !

Une écossaise au caractère bien trempé, une affaire d'espionnage, les highlands... bref un cocktail bien relevé comme un bon whisky qui ne manque pas d'humour et de rebondissements.

L'histoire est un peu fouillis à quelques moments mais on passe un bon moment avec cette Imogène à la fois détestable et attachante.
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Jules Matrat

Repiqué à GildeLance dans Babelio : "En cette année de centenaire et de célébration solennelle de la Grande

Guerre, il convient de relire ce roman simple et modeste de CharlesExbrayat. Le héros, un paysan de la Haute-Loire (qui par cet aspect ressemble à la majorité des combattants de l'infanterie ) traverse quatre

années de guerre sans le moindre dommage physique ; pourtant c'estun homme brisé qui revient chez lui : ce chanceux est anéanti , incapable de se réadapter à la vie quotidienne et à ceux qui l'aiment , parce qu'une

part de lui-même est restée là-bas , avec ses copains dis

parus au combat"

Merci GildeLance.
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Amour et sparadrap

Charles Exbrayat, nom de plume de Charles Hubert Louis Jean Exbrayat-Durivaux, est l’auteur, entre autre, de la série « Imogène ». Mais Exbrayat nous a également alimenté en roman policier.

« Amour et sparadrap » est un roman policier qui va vite, parfois trop vite. Les personnages sont attachants et on y trouve beaucoup d’amour, non, d’humour !!! Désolé, je me suis trompé !!

On y trouve aussi d’autres ingrédients, tel que la violence, la haine et j’en passe.

Et on nous dit que le tempérament des Irlandais est calme et posé, à vous de voir..

Je vous conseille fortement cet auteur.



Bonne lecture à vous.

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Espion où es-tu, m'entends-tu ?

(...) Choisie au hasard parmi les livres qui ne tenaient pas dans mon étagère à PAL, cette lecture est ma première rencontre avec l’auteur. Autant dire que je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre et que, question n’importe nawak, c’était quelque chose 😆



L’intrigue en elle-même n’a rien de très inédit ou de vraiment palpitant: on est dans l’espionnage basique, mais à la sauce burlesque, avec dialogues ironiques et situations improbables. Et ça fonctionne plutôt bien, si on arrive à passer sur le côté daté du bouquin.



Parce que bon, le livre date de 1947 et ça se sent, dans le développement de l’intrigue et surtout dans la façon de parler des personnages. Je ne sais pas si tout le monde arriverait à passer outre le style d’écriture pas vraiment moderne, personnellement, après un petit temps d’adaptation, je n’y ai plus vraiment porté attention.



Il faut dire que l’action démarre assez vite et qu’ensuite tout s’enchaîne très rapidement. Il se passe toujours quelque chose et les péripéties sont pour la plupart très amusantes. L’auteur ne s’assoit pas pour autant sur la cohérence de son histoire. Tout se tient jusqu’à la fin, même si les révélations finales sont un peu tirées par les cheveux et qu’on voit arriver pas mal de choses au fil de l’histoire.



Bref, rien de vraiment grandiose ou réellement palpitant, mais c’est distrayant, amusant (les mésaventures du majordome m’ont fait mourir de rire) et on n’a pas le temps de s’ennuyer. Je lirai avec plaisir d’autres titres de cet auteur (ça tombe bien, j’en ai plusieurs dans ma PAL ^^).
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Quand Mario reviendra

Un roman court bien sympathique à découvrir comme toujours avec les livres de Monsieur Charles Exbrayat !

Cette fois-ci, ce dernier nous emmène dans un petit village de Sicile où le notaire, Luciano Partinico un mafieux prospère, a des vues sur le domaine de la Mincia juxtaposé à ses terres. Tous les moyens sont bons pour parvenir à faire main basse sur la propriété quitte à tuer ou à menacer. Par peur, personne n’ose se mettre en travers de son chemin. Qui peut l’arrêter ? Mario peut-être… quand il reviendra…

Des personnages savoureux, des dialogues vifs et cette petite pointe d’humour noir, je reconnais bien ici le style de Charles Exbrayat et il me plait toujours autant. Certes l’intrigue et le dénouement restent prévisibles et simples mêmes mais, j’m’en fiche, car j’aime ses petites histoires divertissantes et je garde toujours ce petits sourire au coin des lèvres quand j’en découvre une nouvelle. Et chouette, il m’en reste encore quelques autres à découvrir dans ma PAL ! :)

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