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Citations de Charlotte Erlih (183)


Séparer les rêves et la vie, c'est renoncer à changer les choses.
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Les livres ne parlent que de ça : de ceux qui se battent jusqu'à faire triompher leurs désirs, de ceux qui, malgré leurs efforts, ne réussissent pas à faire plier la réalité, ou de ceux qui baissent les bras sans lutter. De ces trois catégories, les seuls vraiment malheureux sont ceux qui n'essaient pas. Qui renoncent. Qui subissent.
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Les livres ne parlent que de ça : de ceux qui se battent jusqu'à faire triompher leurs désirs, de ceux qui, malgré leurs efforts, ne réussissent pas à faire plier la réalité, ou de ceux qui baissent les bras sans lutter.

De ces trois catégories, les seuls vraiment malheureux sont ceux qui n'essaient pas. Qui renoncent. Qui subissent. (...) Je vais continuer à me battre.
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A peine a-t-elle fermé la porte que j'explose : « Comment oses-tu mentir comme ça, alors que tu passes ton temps à dire que c'est le pire des péchés ?! »
De ma vie, je n'avais crié ainsi sur personne. Encore moins sur ma mère... C'était si inconvenant que mes soeurs, bien que rêvant que je me fasse punir, ont baissé la tête.
- Les seuls à qui on ne doit pas mentir sont les membres de sa famille, rétorque maman en conservant son sang-froid. Les autres, c'est différent.
- Soit le mensonge est un péché, soit ce n'en est pas un. Mais ça ne peut pas être l'un ou l'autre selon ce qui t'arrange !
- Tout n'est pas noir ou blanc... Parfois, les apparences l'emportent sur le reste et justifient le mensonge.
(p. 89)
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Une petite roulotte, bariolée et un peu boulotte, sillonne le vaste monde. Qu'il vente ou qu'il mouille, qu'il crachote ou qu'il bouille, elle trotte, cahote, engloutit du pays.
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Je repense à une histoire que papa m'avait racontée, d'un paysan chinois qui avait un cheval. Un jour, l'animal s'enfuit. "C'est pas de chance !" le plaignent les voisins. Il répond "Chance ou malchance qui pourrait le dire ?" Quinze jours plus tard, le cheval revient, suivi d'une dizaine de chevaux sauvages. "T'en as de la chance !" l'envient alors les voisins. L'homme a la même réponse que la fois précédente : "Chance ou malchance, qui le sait ?" Le lendemain, le fils du paysan saute sur une des montures , part à toute allure, tombe et sa casse la jambe. Les voisins ont beau dire que c'est de la malchance, le père répète : "Chance ou malchance, on verra bien." Une guerre civile éclate dans la province. Un groupe de soldats enrôle de force tous les jeunes gens du village en âge de porter un fusil. Sauf le garçon a à la jambe cassée. Chance ou malchance, qui pourrait le savoir ?
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Voilà mon identité : lutter. Mon identité, c'est de persévérer, et non pas d'être un garçon ou une fille. Je suis moi - Farrukh ou Farrukhzad, peu importe - et moi, je me bats.
ça ne me gêne pas de mourir. Mais seulement quand j'aurai tout tenté.
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Chaque kilomètre qui file sous ses roues le fait grandir. Plus il avale de paysages, plus il voudrait en avaler. Son appétit de nouveaux horizons croît à chaque instant, monstrueux, pantagruélique !
Il a envie d'aller partout. De bouger, à ne plus avoir de repères. De marcher, courir, nager, voler. De parler aux gens, d'apprendre leurs langues. De tout voir, à s'en faire exploser la mémoire. Le Pakistan, l'Inde, la Chine, les steppes de Sibérie. Et l'Europe ! Et l'Afrique ! Et l'Amérique du Sud ! Et l'Australie ! Il est ivre de toutes les destinations possibles, ivre de tout ce qu'il ne connaît pas. Ivre de tout ce qu'il imagine, et de tout ce qu'il ne peut imaginer.
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La vie est vraiment étrange. Pendant des semaines, parfois des mois, il ne se passe rien, on est englué dans la répétition du quotidien, et tout d'un coup, ça s'emballe et tout arrive en même temps.
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Mon identité, c'est de persévérer, non pas d'être un garçon ou une fille. Je suis moi. Et moi, je me bats.
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Séparer les rêves et la vie , c'est renoncer à changer les choses.
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« Je ne veux pas me morfondre dans mon coin en maudissant le sort. Je n'aime pas ce rôle. Je vais donc continuer à me battre. Voilà mon identité : lutter. Mon identité c'est de persévérer, non pas d'être un garçon ou une fille. Je suis moi. Et moi je me bats. Ça ne me gêne pas de mourir. Mais seulement quand j'aurai tout tenté. »
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La petite roulotte est bariolée et un peu boulotte... mais elle n'est ni sourde ni gourde.
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Ces tutus, ces voilettes, ces cache-cœurs, ces dégradés de roses pâles et de blancs. Comment a--t-elle pu supporter cela pendant tant d'années sans se rendre compte que c'est une duperie, que ce monde de bonbonnière n'a rien avoir avoir avec la vie?
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Elle glisse la main sous son matelas et en sort la Promesse de l'Aube. Plus que quelques pages avant la fin, et Farrukhzad pleure. Emue de découvrir ce qu'a fait la mère de Romain afin que son fils ne s'inquiète pas pour elle pendant qu'il faisait la guerre.
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Il est ivre de toutes les destinations possibles, ivre de tout ce qu'il ne connaît pas. Ivre de tout ce qu'il imagine, et de tout ce qu'il ne peut imaginer.
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C'est le risque, faut l'assumer, argue crânement Sekkou. Si tu veux vraiment vivre, faut être prêt à mourir. Sinon, tu végètes comme les automates qu'on voit partout à Paname, avec leurs tafs de merde, leurs apparts Ikea tous pareils, leurs lifes bien réglées, leurs bitures minables du week-end, leurs caméras de surveillance...
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Ca veut dire que dissimuler son identité permet d'être davantage soi-même que de se montrer sous son vrai jour ? Que parfois, le mensonge peut engendrer la vérité ?
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Les livres ne parlent que de ça : de ceux qui se battent jusqu'à faire triompher leurs désirs, de ceux qui, malgré leurs efforts, ne réussissent pas à faire plier la réalité, ou de ceux qui baissent les bras sans lutter. De ces trois catégories, les seuls vraiment malheureux sont ceux qui n'essaient pas. Qui renoncent. Qui subissent. Je ne veux pas me morfondre dans mon coin en maudissant le sort. Je n'aime pas ce rôle. Je vais continuer à me battre".
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Quand mes parents se sont séparés, je me suis fissurée
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