Chrystine Brouillet

Sans prétention, fort divertissant et original: que demander de mieux?

public cible : mon chouchou Patrick Sénécal

Mais, comment fait-il pour toujours faire mouche ? A chaque fois, son écriture m’attire… Aussi court soit le texte, je suis entrainée malgré moi dans sa folie. C’est la première nouvelle du livre et pourtant, il me semble qu’il ne pourrait y en avoir de meilleure. Quelles idées ! Quel développement ! et quelle fin !

J’ai moins aimé Benoit Bouthillette, non pas l’histoire mais le style d’écriture, trop de fioritures, de détournements, d’apartés culturels soit pour en mettre plein la vue soit pour se faire un plaisir d’écriture...



Les autres nouvelles sont de belles découvertes qui me donnent envie de lire plus d’écrivains québécois. J’en ai profité pour noter le nom de quelques-uns : Latulippe (apparemment en romans adolescents - Soulières - Meney - Bouchard : en gros, je les ai presque tous aimés. Je suis ravie de cette découverte, je crois ne pas abandonner les auteurs canadiens de si tôt.

Lecture mitigée.



La dynamique entre les personnages me mets tout de suite mal à l'aise et la clareté des mises à mort aussi.



Sans doute un très bon thriller dans son genre mais alors pas du tout mon style.



Pourtant j'ai lu d'autres thrillers de l'auteur et j'ai adoré.



A lire si vous aimez les columbo...

Ce sont seize nouvelles policières d'autant d'auteurs québécois. Ce sont seize courtes situations ayant un seul point commun, crimes à la librairie. Ce lieu particulier à l'abri des tempêtes et du temps qu'est la librairie constitue en effet le centre de ces brefs polars et devient une scène de crime. C'est cet argument en forme de contrainte qui a permis à un amateur chevronné de lecture policière québécoise de réunir dans ce recueil seize auteurs à découvrir, seize auteurs à mieux connaître, seize auteurs à lire. On peut affirmer qu'il a réussi et que cette incursion dans le domaine du polar québécois appelle de nouvelles lectures.
Lien : http://rivesderives.blogspot..

Un court roman qui commence à avoir de l'âge mais qui saura encore plaire aux jeunes curieux ! Chrystine Brouillet est fidèle a elle-même dans ce livre. Elle réussit aussi bien dans la littérature jeunesse que dans les romans pour adulte.



Je ne peux malheureusement pas en dire plus puisque, malgré le bon moment de divertissement que le roman m'a procuré, c'est aussi le genre d'histoire aussitôt lue aussitôt oubliée. Je me rappelle seulement que ça coulait bien, et que je me suis interrogée sur le mystère de la boîte jusqu'au dénouement.


Lien : http://lecturesdisabelle.blo..

C'est le 2eme que je lis et je sais pas encore si j'aime vraiment ou pas....je sais c'est pas très net. Mais bon, je vais continuer à me fier aux babéliottes qui aiment bien cette série et lire le suivant et si vraiment je le trouve trop déroutant ben j’arrêterai là et puis voilà. Y'aura pas mort d'homme ;-)

je le lis actuellement pour en faire l'analyse dans le cadre de mon cours de francais.



jai pas lue les autres roman de la serie maud graham que je ne connaissait pas sauf le collectionneur dont jai vue le film mais pas lue encore le roman pour le comparer.

bien que normalement je ne lis que des roman de james patterson de marc fisher ou john grisham jai bien aimer les enquetes de maud graham dans le film et dans ce livre et cela m'incite beaucoup

a lire bientot d'autres roman de la serie maud graham.



ce que jai aimer du film et du livre pour moi ca ete que ca resemble beaucoup aux romans americains que je lis normalement

Six minutes est une autre enquête de Maud Graham et porte sur la violence conjugale. Surtout sur les femmes qui la vive, qu'elle survivent aux épreuves ou non.

J'ai toujours aimée Chrystine Brouillet, plus souvent qu'autrement j'achète ses bouquins dès qu'ils sortent. Mais au fil des ans je me suis mise à aimé de moins en moins. Pas par manque d'imagination ou de talent, simplement parce qu'au fil de mes lectures, que se soit celle de Chrystine Brouillet ou d'autres auteurs de roman policier, je suis devenue plus aguerrie sur le sujet. Et comme la structure des romans de cette auteure n'a jamais changée, les histoires changeant mais restant toutes assez prévisible dans une structure narrative qui se répète toujours, j'en étais venues à m'ennuyer ferme à chacunes de ces nouvelles lectures. Donc j'ai pris une très longue pause et lue autre chose.

Cette éloignement avec l'auteur m'a fait du bien et donc, la lecture de Six minutes fut plaisante. Que l'histoire soit prévisible ne m'a pas dérangée, je m'étais même un peu ennuyée de Maud Graham. Donc ce roman vaut la peine. Si vous avez un doute, reposer le et revenez y plus tard!

Bon suspense pour enfants/adolescents, bien écrit, rapide et facile à lire, avec des éléments d'intrigue suffisamment pertinents pour capter l'intérêt des jeunes lecteurs.

Habituellement, j'adore les romans policiers de Chrystine Brouillet, mais j'ai trouvé celui-ci beaucoup moins enlevant que ceux que j'ai lus précédemment. Pourtant, le style littéraire est le même, c'est simplement l'histoire qui ne m'a pas emballée.

Pour moi, c'est le meilleur de la série. J'avais été quelque peu déçue en lisant Les fiancées de l'enfer, son précédant roman, mais avec C'est pour mieux t'aimer mon enfant, Chrystine Brouillet revient en force. Elle nous entraînera dans le monde médical, chez ces mères qui aiment trop et trop mal. Un vrai bon moment de lecture, un bon thriller psychologique.

J'ai longtemps voulue lire cette trilogie de Chrystine Brouillet, ses seuls romans qui ne sont pas des policiers. Je ne trouvais jamais les trois tomes ensemble jusqu'à récemment. La lecture du premier tome m'a presque découragée à lire les deux autres. Je dirais que les 300 premières pages auraient pu être résumé dans 150 pages maximum tellement ce premier tome est plein de clichés sans intérêt. La mère condamnée au bûcher qui fait un marché avec l'homme riche de la ville, la fille amoureuse d'une crapule qui se voit forcée de marier l'homme riche, tous les amis de la mère prêt a aider la fille alors que celle ci se croit bien au dessus des conseils. C'est à partir du moment ou la jeune Marie Laflamme, en fuite de son mari, s'embarque pour la Nouvelle-France que l'histoire devient intéressante. En espérant que la vie de la rousse impétueuse soit plus captivante sur le nouveau continent que sur l'ancien, sinon je risque bien d'abandonner!

Troisième aventures de Louise, celle-ci est loin de m'avoir autant plu que la précédente. Une très bonne connaissance de l'auteure peut-être.

Donc, ont retrouve l'amoureuse des animaux quelques semaines à peine après les aventures de Louise est de retour. Cette fois, des mafieux qui n'aiment pas du tout les animaux et qui convoitent le restaurant Carte Noire seront les proies de notre douce psychopathe. Ce qui m'a le plus agacer dans ce roman est surtout la finale qui ont réunis Louise et Rafael, l'autre criminel notoire de l'histoire, question de piégés un troisième personnage, l'ultime vilaine de ce tome. Cette finale, tellement peu probable qu'elle m'a fait drôlement tiquée, presque suffisamment pour que j'abandonne cette auteure (voire ce personnage) vingt cinq pages avant la fin!

Belle façon de s'initier à plusieurs auteurs de polar québecois. Même si tous ont des styles différents je dois dire que tous savent nous charmer et surtout nous transporter dans leur monde plus ou moins noir. Et au final nous avons le désir de mieux connaître chacun de ces 16 auteurs.

Détesté totalement. Classer ce roman dans la catégorie des romans policiers est une honte à la littérature et au suspens policier. Ce roman est dépourvu de tout sens, de toute logique, et ne me sortez pas l'excuse de: il faut lire entre les lignes, comprendre aux delà des mots... Non non, il n'y a strictement rien derrière les mots de ce livre de Christine Brouillette. Dire dès le départ qui est le meurtrier? D'accord, intéressant, me suis-je dis. Mais j'ai été très déçue. Ce «roman» est caractérisé par des personnages mal pensés, mal décrits et tout à fait non inspirants. L'histoire est sans suspense. Ce n'est pas prévisible, me direz-vous? Ah ça non, ce n'est pas un roman prévisible! Mais dans ce cas, pas de quoi se vanter, puisqu'on s'attend à des actions, et qu'il ne se passe strictement rien. Qu'une dame avec des chats, et un homme qui joue l'handicapé par paresse et qui, la nuit, viole et tue des dames dans leur semaine. Les meurtres sont racontés de piètre façon, de façon vulgaire et très très très mal faite. La fin est mauvaise, juste, mauvaise. Ce roman n'est absolument pas bon, et il suffit à vous faire renoncer la plume de mme. Brouillette pour toujours.

Roman policier pour la jeunesse parsemé de clins d'oeil à Arsène Lupin. C'est bien écrit, c'est intrigant et les personnages sont sympathiques.

Histoire de peur et de suspense pour les adolescents, ce roman est bien meilleur que ceux des séries de type "frissons" ou "peur", car il est bien mieux écrit!

Pas aimé du tout... une armée de personnages apparaissent au fil des pages (j'en ai compté pas moins de vingt-cinq) alors que l'action ne concernent que quatre ou cinq personnages, tout au plus.



Toute l'action du livre se déroule à Québec, ce qui en soit aurait pu être intéressant, mais cela devient quelque peu ostentatoire comme si le livre devait aussi servir de guide touristique. On nomme les rues, on identifie les restos, on décrit les places publiques, on donne le trajet etc... Trop, nettement trop !



Et l'intrigue est tout simplement cousue de fil blanc... Imaginez un peu, sur le même bout de rue, un voisin tue sa bonne femme (sans raison apparente), une voisine fouineuse élimine son encombrant mari, un avocat visite une autre voisine, on le retrouve mort. Un prof de littérature est retrouvé assassiné après avoir visité une autre voisine. Et finalement cette même voisine se fait elle-même sauvagement agresser... Même Agatha Christie qui ne faisait pourtant pas dans la nuance quand il s'agissait d’empiler les cadavres, aurait été gênée d'une telle concentration de "morbidité" dans un même lieu.

Bon roman d'enquête, mais si on le compare aux autres romans de Chrystine Brouillet mettant en scène la détective Maud Graham, celui-ci est nettement inférieur aux autres.

Récit vraiment touchant qui raconte l'histoire d'Anne LaFlamme, une femme condamnée au bûcher pour avoir pratiqué la médecine. C'est la mère de Marie Laflamme à qui elle a transmis son savoir de guérisseuse. Comme elle craint pour sa fille et ne veut pas qu'elle subisse le même sort, elle la donne en mariage à un armateur. Cependant, ce dernier est cruel, obsédé par l'argent et Marie le déteste. À partir de là, il arrivera plusieurs aventures à Marie qui est inlassablement à la poursuite du bonheur.