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Citations de David Eddings (317)


p.324.
- Pourquoi est-il fâché après moi ? Chuchota Taïba d'un ton infiniment las.
- Couvre ta nudité, femelle ! Ordonna Relg. Tu constitues un outrage à la décence.
- C'est tout ? Fit-elle en éclatant de rire, un rire de gorge, chaleureux. Je n'ai rien d'autre à me mettre, reprit-elle avec un coup d'œil à sa silhouette voluptueuse. D'ailleurs, il n'est pas mal, mon corps. Il n'est ni difforme ni laid. Pourquoi devrais-je me cacher ?
- Femelle lubrique ! Lança Relg d'un ton accusateur.
- Si ça vous ennuie tant que ça de me voir, ne me regardez pas, recommanda-t-elle.
- Relg à des problèmes religieux, expliqua Silk avec une pointe d'ironie.
- Ne me parlez pas de religion, ajouta-t-elle en frissonnant.
- Vous voyez, souligna Relg avec un reniflement méprisant. Elle est complètement dépravée.
- Pas vraiment rétorqua Belgarath. C'est plutôt qu'à Rak Cthol religion est synonyme d'autel et de poignard.
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Vous me diriez que les cadavres se soucient peu de leur apparence, et vous auriez raison. La mort est une occupation trop prenante pour qu'on est le temps de se montrer coquet.
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Le monde était jeune alors. Les sept Dieux vivaient en harmonie, et les races de l'homme étaient comme un seul peuple.
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Beldin, dit-elle fraîchement, il y a combien de temps que vous ne vous êtes pas lavé?
- J'ai pris une averse il y a quelques mois, répondit le nain en haussant les épaules.
- Eh bien, il n'a pas dû pleuvoir beaucoup. Vous puez comme toute une porcherie.
- Tu es bien ma nièce préférée, s'esclaffa Beldin. J'avais peur que tu aies perdu ton mordant, avec les années.
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Barak enleva sa tunique. Il avait un torse énorme et couvert de vilains poils roux.
- On dirait une vieille carpette, laissa tomber Silk.
- Qu'est-ce que tu veux? fit Barak. Les hivers sont rudes à Cherek, et les poils me tiennent chaud.
Il enfila une tunique propre.
- Il fait tout aussi froid en Drasnie, reprit Silk. Tu es vraiment sûr que ta grand-mère n'a pas fauté avec ours pendant un de ces longs hivers?
-Un jour, ami Silk, votre grande bouche pourrait vous valoir de gros ennuis, gronda Brak, d'un ton qui ne présageait rien de bon.
- Ami Barak, j'ai passé la majeure partie de mon existence à avoir des ennuis, répondit Silk en riant.
- On se demande bien pourquoi, commenta ironiquement Barak.
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- Écoute, Garion, tu devrais aller te recoucher.
- Je croyais que tu avais envie de parler à quelqu'un.
- Pas à ce point là.
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- Pourquoi pas? Le bon gros sens paysan a sa place en ce bas monde, lui aussi, et mes spéculations sont parfois un peu éthérées.
- Le terme approprié est fumeuse, Beldin, f-u-m-e-u-s-e-s.
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- Pourquoi, non, mais pourquoi faut-il toujours que ça se termine dans un bouge? soupira Polgara, désespérée.
- Parce que les gens qui ont bu aiment parler, Pol, lui expliqua Belgarath comme s'il parlait à une enfant. On en apprend plus en cinq minutes dans un taverne qu'en une heure dans un salon de thé.
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"- Pol n'est pas encore levée? demanda-t-il en bâillant.
- Durnik était là il y a un moment et il m'a dit qu'elle était très abatture après... enfin, hier, répondit Garion.
- Il n'y a pourtant pas de quoi; grogna le vieux sorcier. C'était spectaculaire, d'accord, mais pas si épuisant que a.
- Je ne pense pas que ce soit le problème, Grand-père. Selon Durnik, elle aurait passé la moitié de la nuit à ruminer.
- Ah, fit le vieux sorcier en se grattant la barbe. J'oublie toujours que Pol est une femme. Il y a des choses qu'elle n'arrive pas à admettre, et elle est beaucoup trop portée à la compassion. "




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(Sur Althalus): "voleur, un menteur, à l'occasion un assassin, un vantard de première et, plus généralement, un homme dépourvu d'honneur. Ajoutons que c'est un ivrogne, un glouton et un client assidu des dames de petite vertu.."
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-Tu es toujours meilleur que moi en tactique.
- C'est parce que je ne porte pas d'armure. Le sentiment d'invincibilité a de curieux effets sur le cerveau
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- Et mon sanglier ? demanda faiblement Garion. Où il est ?
- Les chasseurs le rapportent répondit Silk. Tu auras droit à ton retour triomphal. Si je puis me permettre une suggestion, toutefois, tu devrais réfléchir un peu aux vertus positives de la lâcheté et lutter contre ta propension naturelle à la bravoure. Tu es en proie à des instincts auxquels tu pourrais bien succomber un jour pour de bon, c'est le cas de le dire.
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Rien n'est normal la première fois.
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- Mais qui est au juste cet Asharak ? s'informa Hettar, en plissant les yeux.
- Un Grolim, sans doute, répondit sire Loup. Son rayon d'action est décidément un peu trop vaste pour qu'il ne s'agisse que d'un simple Murgo.
- quelle est la différence ? s'enquit Durnik.
- Il n'y en a pas justement. Ils se ressemblent énormément. [...] , mais il est impossible de de reconnaître un Murgo d'un Grolim.
- Je n'ai jamais eu aucun problème, rétorqua tante Pol. Ils n'ont pas du tout la même mentalité.
- Ca va beaucoup simplifier les choses, commenta Barak, d'un ton sarcastique. Nous n'aurons qu'à fendre le crâne de tous les Murgos que nous rencontrerons en chemin, comme ça vous pourrez nous apprendre à différencier ce qu'ils ont dans la tête
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— Tu as vu mon sanglier, Sire Loup ? demanda fièrement Garion.
— Un magnifique animal, répondit le Vieux Loup Solitaire, sans guère d’enthousiasme toutefois. Mais personne ne t’a dit que la coutume consistait à s’écarter d’un bond après avoir atteint la bête ?
— Je n’y ai pas vraiment pensé, admit Garion. Mais est-ce que ça n’aurait pas eu l’air un peu... euh, lâche ?
— Tu t’inquiétais donc tellement de l’opinion du cochon ?
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Poussé en avant par les réserves, le troupeau s'éparpilla et dévala la pente de la colline telle une vague blanche cotonneuse pour engloutir les forces de Pekhal.

— C'est le genre de chose qu'on ne voit pas tous les jours, dit Khalor avec un hochement de tête entendu. J'ai du mal à me souvenir de la dernière fois où j'ai vu un troupeau de moutons attaquer une armée.
— C'est la dernière mode, gloussa Althalus. Les moutons guerriers font fureur, cette saison.
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— Peux tu faire semblant d'être stupide ?

Eliar eut une grimace navrée.
— Ma dame, lui rappela-t-il, je suis un paysan des hautes terres d'Arum. Nous avons inventé la stupidité.

—[...] Voilà ta mission: chaque fois que nous parlerons à un prêtre, prend ton expression la plus typiquement arum et montre-lui le Couteau en demandant: « Excusez-moi, vot'sainteté, mais vous pourrions point m'dire c'qui est marqué sur c'couteau ? »

Eliar éclata de rire.

— Je vais avoir du mal à rester sérieux ! Personne n'est débile à ce point...
— Si tu savais...
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Je vous présente Séphrénia, grande prêtresse de la Déesse Aphraël.
- La Déesse -Enfant ?
- Vous la connaissez ? demanda Séphrénia.
- Certains de mes collègues styriques à l'Université m'ont parlé d'elle. Ils n’en disent pas que du bien. Ils semblent dire qu'elle est frivole et un peu évaporée.
- Évaporée ? objecta Flüte. Frivole ?
- Ne le prends pas pour toi, fit Emouchet.
Mais c'est de moi qu'il s'agit, Emouchet ! C'est une insulte ! Quand tu rentreras à Mathérion, je veux que tu ailles à l'Université faire rendre gorge à ces maudits impies ! Du sang, Emouchet ! Je veux du sang !
- Un sacrifice humain, ô Divine demanda-t-il d'un petit ton innocent. Ce n'est pas ton genre.
- Eh bien ..., reprit-elle d'un ton hésitant. Tu ne pourrais pas au moins leur flanquer la fessée ?
Itagne les regardait, les yeux écarquillés.
- Rude déception, hein murmura Talen.
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D'habitude, quand je veux un bateau, je le vole. Je trouve immoral d'utiliser un des miens.
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La princesse s'installa de son mieux sur un banc de bois, dans leur chambre de fortune. Polgara était inhabituellement sereine, presque rêveuse. Elle entoura Mission de ses bras, le serra contre elle et posa la joue sur ses boucles blondes comme si le contact du petit garçon l'apaisait.
- Il y a deux Prophéties, Ce'Nedra, mais le moment approche où il n'y en aura plus qu'une. Tout ce qui est, a été ou sera un jour, fera partie de celle des deux prophéties qui l'emportera sur l'autre. Tout homme, toute femme, tout enfant a deux destinées possibles. Pour certains, il n'y a pas grande différence entre les deux, mais pour moi, il y en a une énorme.
- Je ne vous suis pas très bien.
- Dans la Prophétie que nous servons, celle qui nous a amenés ici, je suis Polgara la sorcière, la fille de Belgarath et la gardienne de Belgarion.
- Et dans l'autre ?
- Dans l'autre, je suis l'épouse de Torak.
Ce'Nedra étouffa un hoquet de surprise.
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