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Citations de David Eddings (317)


En parlant des femmes (ils ont mal à la tête parce qu'ils ont la gueule de bois):
"- Elles sont toutes aussi sadiques? geignit le monarque en souffrant.
- Les femmes? Ben, oui, pourquoi? rétorqua Belgarath avec un haussement d'épaules. Elles ont ça dans le sang. "
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Barrak serra fougueusement Polgara contre son cœur dans une étreinte digne d'un ours.
- Barrak, dit-elle, en reprenant son souffle, vous seriez infiniment plus agréable de près si vous vous laviez la barbe après avoir mangé du poisson fumé.
- Je n'en ai mangé qu'un ce matin, objecta-t-il.
- Ça suffit, vous savez.
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- Bonne idée, approuva Emouchet.
- C'est tout? Juste "bonne idée"? Pas de protestations, d'objections, de sermon d'une heure sur la nécessité d'être prudent? Je suis très déçu, Emouchet.
- Tu m'écouterais si je protestais ou si je te faisais un sermon?
- Ben, non, mais...
- Alors à quoi bon perdre du temps? Tu sais ce que tu as à faire et comment le faire. N'y passe pas la nuit, c'est tout.
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Les événements sont comme les chevaux, observa Hettar. Il leur arrive de s'emballer. Mais quand ils ont galopé un moment, ils finissent par se remettre au pas. Le moment viendra où tu arriveras à mettre de l'ordre dans tout ça.
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L'indignation vertueuse avec laquelle l'Ulgo dénonçait les péchés des autres avait surtout pour but de dissimuler ses propres faiblesses.
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- (...) Vous ne voulez pas comprendre que le servage fait partie de l'ordre des choses, ici ? Nos serfs ne seraient pas capables de se débrouiller seuls. Il faut bien que ceux qui occupent une position sociale plus élevée acceptent la responsabilité de prendre soin d'eux.
- Mais bien sur, acquiesça Silk, d'un ton sarcastique. Ils sont moins bien nourris que vos porcs, pas aussi bien traité que vos chiens, mais vous vous occupez d'eux, hein ?
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Seul peut désormais la toucher un être totalement dénué de mauvaises intentions, assez pur pour la prendre dans ses mains au péril de sa vie, et la déplacer sans la moindre volonté de pouvoir ou de possession.
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— Quelqu'un avait acheté tante Pol ? demanda-t-il comme s'il n'en croyait pas ses oreilles.
— C'est une coutume local, expliqua Silk. Pour les Nadraks, les femmes sont des biens comme les autres. Une femme doit appartenir à quelqu'un ; ça ne se fait pas de ne pas avoir de propriétaire.
— Elle était esclave ? reprit Garion en serrant les poings si fort que ses jointures blanchirent.
— Bien sûr que non ! Tu vois, même une seconde, ta tante se plier à une coutume de ce genre ?
— Mais tu as dit...
— J'ai dit que je l'avais rachetée à son propriétaire. Leur relation était purement formelle. Elle avait besoin d'un propriétaire pour agir ici, et voilà tout. Quant à l'homme, le fait de posséder une femme aussi remarquable lui a valu un prestige considérable. J'ai dû lui verser une fortune pour la récupérer, reprit Belgarath en faisant la grimace. Je me demande parfois si elle en valait la peine.
— Grand-Père !
— Je suis sûr, mon cher Belgarath, qu'elle serait très intéressée par cette dernière remarque, commenta suavement Silk.
— Je ne suis pas sûr, mon cher Silk, qu'il serait utile de la lui rapporter.
— Mon cher Belgarath, on ne sait jamais, riposta Silk en riant aux éclats. Ça peut toujours être utile.
— Mon cher Silk, vous êtes abject.
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— Qu'est-ce qui s'est passé ? demanda Belgarath en revenant de l'autre côté de la tour.
— Brill, lâcha simplement Silk en remettant sa robe murgo.
— Encore ? fit Belgarath, exaspéré. Qu'est-ce qu'il fabriquait, cette fois ?
— Eh bien, la dernière fois que je l'ai vu, il essayait d'apprendre à voler, gouailla Silk.
Le vieil homme le regarda avec stupeur.
— Il n'était pas très doué, ajouta Silk.
Belgarath haussa les épaules.
— Ça lui viendra peut-être avec le temps.
— Je ne crois pas qu'il ait beaucoup de temps devant lui, reprit Silk en jetant un coup d'œil vers le parapet.
D'en bas, très loin, terriblement loin, leur parvint un choc sourd, amorti ; puis, au bout de plusieurs secondes, un autre.
— Ça compte quand on rebondit ? s'informa Silk.
— Pas vraiment, répondit Belgarath avec une affreuse grimace.
— Alors je dirais qu'il n'a pas eu le temps d'apprendre, conclut allègrement Silk.
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En remontant sur l'autre berge, Garion regarda autour de lui à la recherche de quelque chose qui différencie l'Arendie de la Tolnedrie, un changement dans le sol ou la végétation, mais il n'y en avait apparemment aucun. Indifférence aux frontières des hommes, la terre continuait, inchangée.
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— Pourquoi ne l'avez-vous pas coupé en deux avec votre hache?
— Je n'aime pas tellement taper sur les gens, déclara le forgeron.
Silk regardait Durnik, le visage de cendre.
— Alors vous avez préféré le pourchasser dans les sables mouvants et vous êtes resté à le regarder s'engloutir dedans? Mais Durnik, c'est monstrueux!
— La mort c'est la mort, rétorqua Durnik avec une brutalité inhabituelle chez lui. Quand elle vient, peu importe comment, non? Bon je suis tout de même désolé pour le cheval, conclut-il, un peu songeur.
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— Ne me touchez pas! Jamais!
L'Ulgo s'enfuit au pas de course.

— Mais qu'est-ce qui lui arrive? s'étonna Barak.
— Il ne tient pas à ce que vous le profaniez, expliqua Belgarath.
— Le profaner? Moi, le profaner?
— Il est très jaloux de sa pureté personnelle. D'après lui, tout contact risque de le souiller.
— Le souiller? Mais il est sale comme trente-six cochons!
— Il ne s'agit pas de ce genre de saleté.
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Ce ne fut pas le coup de foudre entre le duc Olkar et le chef Laiwon, et Althalus dut admettre que c'était en partie sa faute. D'abord, il avait oublié de mentionner les kilts, et la réaction du duc fac au costume traditionnel des Arums fut assez bruyante. Son tonitruant « ils portent des robes ! » n'avait pas mis Laiwon dans de bonnes dispositions à son égard. Althalus avait dû parler très vite pour empêcher toute effusion de sang.
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Le prêtre tituba en arrière en se couvrant les yeux et en hurlant comme si on venait de le plonger dans un chaudron d'huile bouillante.

— J'espère que vous ne le prendrez pas pour vous, votre prêtreur, dit Eliar en lui plongeant le Couteau dans la poitrine.
[...]
— Pourquoi t'es-tu excusé avant de le tuer ?
— J'essayais d'être poli. Maman m'a appris les bonnes manières. Vous savez comment sont les mères.
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_ On ne peut pas résoudre les problèmes du monde par le meurtre, commenta Dolmant, désapprobateur.
_ Voyons, Votre Grâce, je ne parlais pas de meurtre. Les chevaliers de l'Eglise sont des soldats de Dieu. Si Dieu nous dit de tuer quelqu'un, c'est un acte de foi, pas un meurtre (...)
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Il retrouva Barak, Silk et Durnik en train de rire de bon coeur.
-Tu étais censé lui courir après, dit Barak.
-Pour quoi faire? demanda Garion en s'empourprant sous leurs quolibets.
-Elle espérait que tu allais la rattraper.
-Je ne comprends pas.
-Barak, dit Silk, je crois que l'un de nous devrait informer dame Polgara que notre Garion a besoin d'un petit complément d'éducation.
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- Quel bateau veux-tu voler ? demanda Silk.
- Pourquoi me demande-tu ça à moi ? rétorqua Garion en laissant tomber le Grollim inconscient sur le ponton qui s'avançait sur le lac.
Il n'aimait pas le mot qu'avait employer Silk.
- Parce que c'est Durnik et toi qui allez le manœuvrer. Je ne comprend même pas qu'un bateau puisse se déplacer sur l'eau sans se renverser.
- Chavirer, rectifia machinalement Garion en examinant les navires au mouillage.
- Hein ?
- On dit chavirer, Silk. Une charrette se renverse. Un navire chavire.
- Ca veut dire à peut près la même chose, non ?
- A peu près, oui.
- Alors, à quoi bon épiloguer ? Que dis-tu de celui-là ? suggéra le petit Drasnien en lui indiquant un vaisseau aux larges baux et à la proue ornée d'une paire d'yeux.
- Le flanc-bord est insuffisant, objecta Garion. Les chevaux sont trop lourd; à tous les coups il coule.
- C'est toi l'expert, répondit Silk en haussant les épaules. Tu commences à t'y connaitre autant que Barak ou Greldik. Tu sais, Garion, reprit-il avec un grand sourire, c'est la première fois que je vole quelques chose d'aussi gros qu'un bateau. Je suis excité comme une puce.
- Je voudrais que tu arrêts d'employer le mot voler. TU ne pourrais pas dire emprunter .
- Tu as l’intention de le rapporter à son propriétaire une fois que tu n'en auras plus besoin ?
- Non, pas vraiment.
- Eh bien, c'est du vol. Toi, tu t'y connais en bateaux ey en navigation; moi, je suis expert en vol.
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Nous sommes tous blasés, nous autres les héros. C'est un critère de sélection. Nous combattons un ou deux monstres tous les matins, avant le petit déjeuner. Ça nous ouvre l'appétit.
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Quand un idiot hurle "mon dieu est meilleur que le tien", mon seul réflexe est de planquer ma bourse.
(Le sergent Khalor)
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Silk crachait comme des pépins de melon des invectives colorées et d’une grande variété exprimant un jugement globalement négatif sur la naissance, la parentèle et plus particulièrement les habitudes de leurs poursuivants, des coyotes infâmes qui avaient eu l’idée abjecte de mettre sa chère tête à prix et de ceux, encore plus infâmes, qui avaient diffusé l’information parmi la population.
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