Eliette Abecassis

De perdez pas votre temps à lire ce livre, il ne reflète aucunement la réalité que nous vivons sur les réseaux sociaux. Tout est beaucoup trop exagéré et on ne se retrouve pas dans les personnages. Le libre est long, c’est une réel perte de temps. Lisez de vrai livre mais celui là ne vaux pas le détour. En plus la couverture donne une impression de vite fait bien fait. C’est dommage…

Déception totale... Une histoire plate et prévisible, des personnages stéréotypés et des dialogues peu inspirés. Malgré une promesse de profondeur émotionnelle, ce roman laisse un goût amer. Une descente aux enfers littéraire avec ‘Instagrammab’e’ d’Éliette Abécassis. Un scénario chaotique, des personnages insipides et des retournements de situation invraisemblables. À éviter à tout prix !

Histoire lente, conversation exagérées ou même caricaturer, l'histoire ne dénonce rien de nouveau. De plus l'auteur a repoussé à mainte reprise une rencontre sensée s'effectuer avec la classe tout en prévenant à chaque fois à la dernier minutes.

Je ne recommande pas ce livres, passez votre chemin.

J’ai lu ce livre parce que j’ai découvert par hasard qu’un ami le lisait. Pour la petite histoire, il s’appelle Zebulon, de la nom de la tribu dont il est fait mention dans le livre et son gendre est... Japonais.



Ce livre, comme tous ceux de l’auteur, est un mélange de roman policier, de symbolisme judaïque et de rapprochements entre judaïsme et d’autres univers, ici le shintoïsme et la tribu des Chiang Min.



Sur le plan du symbolisme, l’auteur touche sa bille : elle connaît bien le sujet.

Sur le plan du roman policier, c’est très moyen : les ficelles sont grossières, les personnages et les situations presque caricaturaux.

Sur le plan du rapprochement entre différents univers, cela devient plus intéressant. J’y ai appris pas mal de choses. J’ai vérifié certaines sources : si les Chiang Min, par exemple, existent et ont de telles légendes, la rapprochement entre judaïsme et shintoïsme est plus spéculatif : ces liens sont basés sur des similitudes entre les légendes et les artefacts archéologiques. C’est ténu et chacun est libre d’y croire ou non.



Un dernier point sur la rapport entre Jésus et les Esséniens qui est affirmé dans le livre. Là aussi, il y a débat. Quelques observations pour en avoir débattu avec des chrétiens spécialistes de la Bible.

D’abord, les rouleaux des esséniens sont postérieurs à Jésus (1 ou 2 siècle après). Qui a influencé l’autre ?

Ensuite, seuls une partie des rouleaux ont été décryptées et publiées. Est-ce qu’on n’a pas cherché à produire que ce qui renforce cette hypothèse ?

Enfin, quel est l’intérêt de cette filiation ?



Tout cela donne un vaste débat, à l’image du reste du livre : à chacun de creuser la question et de se faire son opinion. Donc un livre à lire si vous aimez réfléchir sur ce sujet. A vous ensuite de creuser la question pour vous faire votre opinion.

Le gros avantage de ce livre est qu'il est tout petit donc il se lit bien, même pour un lecteur qui ne lit pas souvent. Après, bon... Faut accrocher avec l'histoire. Une fille accrochée à son père, lequel est décédé dès le début de l'histoire. Une recherche du passé. Rien d'extraordinaire. L'écriture est agréable, sans être très poussée non plus. On n'est pas dans du Alexandre Dumas. Ceux qui aiment ce genre de livres aimeront celui-ci aussi. Moi je l'ai lu et je ne compte absolument pas le relire un jour. Ni même lire un autre ouvrage de cet auteur...
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Quel fabuleux roman !

Eliette Abecassis nous plonge dans les méandres de la vie d'un couple.

C'est si beau, si tendre, si lumineux.

Alice et Jules.

Au fil du temps.

Quelle originalité au niveau de la structure chronologique.

Découvrez toutes ces surprises que les chapitres vous réservent...

Un peu comme la vie qui passe, qui repasse, se pousuit...

’ai un vague souvenir d’avoir vu le film

J’ai trouvé intéressant tout ce qui est lié au chamboulement quand on devient mère. J’ai eu mon premier enfant il y a plus de 20 ans donc à la période où est sorti le livre. Certains propos sur la place du Père dans un des chapitres sont pour moi dépassés 🌈 (signe de l’évolution positive de notre société )

C’est une lecture rapide, agréable mais qui je pense ne me marquera pas .

Les concepts de base sont présents mais avec une vision du passé qui a mal vieilli...

La perception du féminisme dans cet ouvrage est extrêmement réducteur dans son action et sa temporalité : il n'aurait servi et ne servirai qu'à sortir la femme du "foyer". POINT. Il aurait alors créé un "corset invisible" dans lequel la femme est emprisonnée alors que le féminisme est bien l'outil qui permet de se sortir de celui-ci !

Peu d'intérêt.

La plongée dans ce milieu juif ultra-orthodoxe qui m’est totalement inconnu est vraiment intéressante et instructive. La trame (une épouse comprend qu’elle va être répudiée puisque n’ayant pas d’enfant après presque 10 ans de mariage) est prenante et le personnage principal est attachant.



Mais… que le style est pompeux! On a vraiment l’impression que l’auteure passe son temps à se relire et, très fière d’elle, écrit une nouvelle phrase quasi-similaire à la précédente, à la fois dans le style (phrases très longues, peu de verbes) et dans les mots.



Quel dommage d’avoir choisi une telle écriture, qui se veut chic mais qui surtout, gâche sensiblement l’œuvre…

Voilà un polar que j’ai lu à sa sortie il y a plus de 25 ans et je m’en souvient encore. Il faut dire que nous faisions une lecture commune avec une collègue de l’époque et que tous les jours nous débriefions nos découvertes.

Qumram est un thriller métaphysique, mystique et théologique, à partir de la disparition des manuscrits de la mer Morte.

Un premier roman incroyable.

Un rouleau a disparu, son contenu est extrêmement important car il a trait à l’existence et au rôle de jésus et peut remettre en question certain dogme catholique.

L’armée israélienne charge un jeune juif hassidique Ary Cohen et son père archéologue, David Cohen de récupérer le précieux texte.

Ary, et son père aidés par une journaliste du Bibical Archeologic Rewiew, se lancent à sa recherche

Y parviendront-ils ? Rien n’est moins sûr car leur chemin est très vite jalonné de meurtres angoissants.

Un évêque orthodoxe est assassiné à Jérusalem, plusieurs archéologues spécialisés dans ‘étude de ces textes sont à leur tour crucifiés.

Une sorte de malédiction semble attachée aux manuscrits de la mer morte.

Mais rien n’arrête Ary, David et tout en faisant dans les grotte de Qumram une surprenante découverte.

Ce livre intéressant et passionnant est un vrai pavé compact.

On ressent tout de suite que notre autrice a de très vastes connaissances religieuse. En plus de suivre une intrigue palpitante. On en apprend énormément sur le Hassidisme, sur les origines du christianisme et les esséniens

J’y ai découvert aussi la mystique juive.

Moi l’impie j’ai adoré cet excellent thriller théologique truffés de textes bibliques. J’ai adoré parcourir le désert de Judée et découvrir tous les trésors qu’il renferme.

Je ne peux que vous le recommander.
Lien : https://collectifpolar.wordp..

Il y a presque 3 ans, les talibans (re) prenaient le pouvoir à Kaboul.



Aujourd'hui, les femmes n'ont plus aucun droit.



L'occasion pour moi de vous recommander cette lecture émouvante, rendant hommage à ses femmes, devenus des fantômes sans droits.

Une histoire d'amour à "rebrousse-temps". L'histoire d'Alice et Jules, c'est l'amour. Celui de la passion, celui du romantisme, celui du quotidien, celui des trahisons, celui des blessures. Et cette histoire nous la découvrons en remontant le fil de vie d'Alice et Jules par la fin. Nous sommes invités dans des moments clés de la vie de Jules ou d'Alice, ces moments où leur couple aurait pu prendre un autre chemin. Nous vivons avec ce couple uni dans le temps malgré les tempêtes de la vie.

Ce roman fait du bien, il est vivant, il est une sorte d'ode à l'amour véritable. C'est beau tout simplement.

Quand j'ai couru tout chose au rendez-vous de Marinette

La belle disait "je t'adore" à un sale type qui l'embrassait

Avec mon bouquet d'fleurs, j'avais l'air d'un con, ma mère

Avec mon bouquet d'fleurs, j'avais l'air d'un con



Marinette – Georges Brassens



Amélie et Vincent se sont connus lors d’une soirée, se sont plu, ils ont parlé toute la nuit et se sont donné rendez-vous le lendemain. Voilà une histoire qui commence bien, romantique à souhait.

Il est là, l’attend, elle ne viendra plus, s’en va.

Elle : j’ai rien à me mettre, et cette coiffure, ça va pas, y aller ou ne pas y aller, that is the question bref, quand enfin elle se décide, il est déjà parti, c’est ballot.

Ces deux-là vont passer trente ans de leur vie à se rater, se revoir après dix ans, elle a quelqu’un dans sa vie, lui aussi dans la sienne, il a l’air heureux et un enfant va arriver, caramba, encore raté.

Ils vont se retrouver, se séparer à nouveau, il va partir à l’étranger, elle va changer de métier, leurs couples respectifs vont se briser. A cinquante ans, ils vont encore se retrouver. Les planètes seront-elles alignées ?

Cela ne vaut pas l’amour au temps du choléra de Gabriel Garcia Marquez sur le même thème mais ce n’est pas désagréable à lire.

« Trente ans qu’ils se connaissaient, trente ans pour apprendre à parler et à se dire la vérité. Des mariages, des divorces, des deuils, des enfants, des centaines de voyages, parfois au bout du monde, des succès, des échecs, des souffrances, des espérances, déçues, des rêves d’enfance perdus, des enfances déchues ».



Cha-cun sa route cha-cun son che-min

Cha-cun son rêve cha-cun son des-tin dites leur que

Cha-cun sa route cha-cun son che-min

Passe le mes-sage à ton voi-sin



Chacun sa route – Tonton David.

N’ayant jamais lu Les liaisons dangereuses je ne me pourrais pas dire si c’est une bonne réécriture ou non. Pour le reste, je pense qu’il y avait de l’idée dans l’histoire et les points à aborder mais c’est tellement mal amené…



Les personnages sont plats et creux et ont des dialogues de robots sans intérêt ni sentiment. Je veux bien comprendre que certains ados sont accro aux réseaux sociaux et à leur image mais bon à ce point j’avoue que je suis septique, je trouve ça tellement cliché; par exemple la Sacha que l’on suit qui connaît le lieu de vacances de chaque star/influenceuse.. bref. Aussi on dirait que l’autrice avait une liste de mots à placer dans le livre et on se retrouve avec des phrases qui m’ont fait lever les yeux du style « machin commande un burger sur Uber Eats, avec ses AirPod dans les oreilles il écoute Nekfeu ».



Bref de bonnes idées mais un regard sur la jeunesse qui semble un peu biaisé et une histoire peu captivante.

"Le Maître du Talmud" est un roman écrit par Eliette Abecassis, une auteure française spécialisée dans la littérature juive. L'histoire se déroule dans la communauté juive de Paris en l'an 1240, où nous suivons l'atmosphère de la cours du roi Saint Louis et dans l'obscurantisme dogmatique de l'Inquisition contre les juifs, avec en toile de fond l'univers du livre le plus fascinant, mystérieux et subversif de la tradition juive : le Talmud.



Au cœur du livre se trouve une réflexion sur les dynamiques de pouvoir et de genre. La plume d'Abecassis est fluide et entraînante, et elle parvient à capturer la vie quotidienne de cette communauté avec une grande précision. Les scènes de dialogue sont particulièrement réussies et permettent au lecteur de s'immerger dans les débats intellectuels animés autour du Talmud.



Cependant, malgré la qualité de l'écriture et la force des thèmes abordés, certains aspects du livre m'ont dérangé. Tout d'abord, les personnages semblent parfois unidimensionnels et manquent de profondeur, ce qui rend difficile de s'attacher à eux.



En outre, le roman peut sembler par moments didactique et explicatif, notamment lorsqu'il s'agit d'expliquer les différents concepts du Talmud. Cela peut rendre la lecture lourde pour ceux qui ne sont pas familiers avec le sujet. Enfin, j'ai trouvé que la résolution de l'intrigue était étonnante est imprévisible.



"Le Maître du Talmud" est un roman intéressant et bien documenté sur la vie de la communauté juive de Paris. Les thèmes abordés sont importants et l'écriture d'Abecassis mérite d'être saluée. Cependant, j'aurais aimé voir plus de développement des personnages et un rythme plus équilibré dans le récit.

Je m'attendais à retrouver le romantisme et à nouveau un beau livre sur l'amour entre un homme et une femme. Un peu comme Bégaudeau et son magnifique livre "L'amour."

Tellement à contre-courant des écrits habituels. Comme dans les contes de fée où, malgré les difficultés de la vie de couple et les trahisons, l'éclair et la passion de la jeunesse résiste à tout et les surmonte .Celui où les enfants nés de cet amour peuvent dire qu'ils ne sont pas nés par hasard. Qu'il y a autre chose qu'une loterie sans but ni raison et que la beauté n'est pas là par hasard non plus.

C'est bien écrit, un peu confus parfois néanmoins,original dans la construction ,et comme chez Bégaudeau une petite musique nostalgique très agréable au départ.

Et patatras, tout est faux, la réalité est classique et finalement banale.

Un couple banal aussi dans ses mensonges.Et même très cliché. L'homme la trompe pour le sexe, elle par amour. C'est du Boulevard mais sans la sympathie pour les personnages.

Pourtant chez Bégaudeau aussi tout n'est pas rose et pourtant on en ressort heureux. Chez Abecassis on passe de la nostalgie à une certaine tristesse. On a pas envie d'être ce couple là malgré la fulgurance initiale.

Les titres des livres résument tout :

L'amour d'un côté

Un couple de l'autre mais est ce vraiment un couple ?

Que choisir ?

Je voudrai d'abord parler du livre de façon physique. J'ai l'édition poche, de 331 pages, et honnêtement, je n'ai jamais eu en mains un livre d'aussi mauvaise qualité. Je l'ai trouvé lourd, rigide, j'avais le sentiment de forcer dessus à chaque fois que je l'ouvrais et que je tournais une page, pages qui d'ailleurs étaient épaisses et rugueuses. C'est dommage, car le récit est vraiment très bien et prenant, troublant même.



En fait, au fil de ma lecture, je me sentais dépassé parce que je ne comprenais pas comment deux personnes peuvent se déchirer comme ça après s'être aimé, avec deux enfants qui plus est. J'étais troublée et terrifiée de me dire : "ah oui ?! C'est une fiction, d'accord mais il y a vraiment des gens comme ça ?!" ...



Et en même temps, cette histoire a fait écho à une relation toxique que j'ai moi même vécu. Elle m'a aidé à comprendre, à mettre des mots sur ce que je n'avais pas identifié et de me rassurer une fois encore sur le fait que j'ai bien fait de sortir de cette relation.



C'est véritablement une belle fiction. Bien écrite, avec des personnages attachants et détestables, le film se fait tout seul le long de la lecture, c'est un très bon roman.

C’est bien écrit, fluide.

C’est un petit livre qui se lit vite dans le cadre du « challenge « petitmoispetiteslectures2024 » »

Une histoire d’amour, deux étudiants qui visiblement s’aiment mais oseront-ils se l’avouer ? La vie leur permettra t’elle de s’aimer? A découvrir

Bonne lecture

Warren Buffett disait :



« Il faut 20 ans pour construire une réputation et cinq minutes pour la ruiner. »



C’est encore plus vrai avec l’influence des réseaux sociaux, où quiconque possède un minimum d’abonnés peut ruiner une réputation le temps d’un post.



Sacha, 16 ans, est amoureuse et rêve d’être influenceuse. Lorsque Jade, LA grande influenceuse du lycée la contacte, elle est surprise mais ne voit pas le danger arriver. Comme la plupart des adolescentes nées dans les années 2000, elle s’enivre d’images qu’elle scrolle sans arrêt sur Instagram. Elle s’identifie aux plus grandes stars, refaites, sans cesse en vacances, pensant que c’est la vraie vie et qu’elle n’a décidément pas de chance.



A travers cette histoire moderne, l’auteur décrit un monde volatile et instable. Elle signale combien la génération Z est dépendante des réseaux sociaux et leurs effets pervers. Toutefois, la fin n’est pas celle pressentie et l’espoir demeure.



Ce roman est addictif comme Les enfants sont rois de Delphine de Vigan. Il est une fois de plus la preuve inquiétante de l’influence des réseaux sociaux auprès des ados qui échappent encore plus à leurs parents. Heureusement que tous ne leur accordent pas une importance capitale. Ce livre témoigne aussi combien chacun, qu’il soit ado ou adulte, peine à déconnecter tant cela fait désormais partie de notre quotidien. C’est assez inquiétant, avouons-le.
Lien : https://alinebouquine.fr/ins..

Si c'est une fiction, ce n'est pas une réussite. Bavard, décousu voire déconstruit, clichés et grosses ficelles … Si c'est un essai d'histoire sur le peuple séfarade, c'est déjà mieux, quoique… Si c'est un roman à visée historique, on est loin du résultat escompté. Bon, malgré toutes ces réserves, je ne regrette pas ma lecture. J'ai découvert un univers et une histoire et cela m'a donné envie d'en savoir plus.