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Critiques de Graham Swift (366)
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Le dimanche des mères

30 mars 1924. Une journée dans la vie de Jane Fairchild, une jeune bonne qui profite de son seul jour de congé de l’année pour rejoindre son amant, promis à une belle héritière.

Ça vous évoque plein de choses ? Des amoureux éperdus ? Une fuite à deux ou une séparation déchirante ?

Tout ce que vous pouvez imaginer à la lecture du résumé est erroné. Ce roman est une totale surprise, donc j’essaierai de ne pas trop en dire.



La principale originalité de ce court roman, c’est la narration. On a parfois l’impression qu’elle est omnisciente, mais en fait tout est du point de vue de Jane. Sauf que cette dernière, en plus de raconter ce qui se passe, évoque aussi ce qui ne s’est PAS produit, ce qui s’est produit, ce qui va se produire. On a donc une narration un peu tentaculaire où le fantasme se mélange à la réalité et où le présent, le passé et le futur s’entrechoquent.

Heureusement que le roman est assez court pour ne pas que cela devienne excessivement fatiguant.

Et on se prend au jeu des deux Jane, la Jane du passé qui exploite de nouvelles possibilités et la Jane du futur qui pose un regard tendre sur cette journée qui a bouleversé sa vie.



Ce roman est un hommage à l’imagination, dans la forme comme dans le fond. Il illustre comment la réalité s’invite dans la fiction.

L’auteur se plaît à sublimer certains détails (presque) insignifiants. Encore une fois, si le roman avait plus long, cela aurait été lassant, mais le format permet de déguster ces descriptions qui allongent le temps, qui posent à merveille une atmosphère, la vérité d’un moment.



Je ne saurais dire si j’ai vraiment aimé ou non ce texte, car il n’y a pas vraiment d’histoire et c’est ce qu’il me manque, mais indéniablement, j’y repenserai et je le relirai sans doute !

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Le dimanche des mères

Un roman très court mais fort et qui se dévore d'une traite.

Angleterre en 1924, c'est "le dimanche des mères". Il s'agit d'une tradition qui fait que les aristocrates anglais donnent un jour de congé à leurs domestiques afin que ceux-ci puissent rendre visite à leur mère. Or, Jane Fairchild est une orpheline de 22 ans, qui travaille chez Monsieur et Madame Niven. Elle choisit de passer son temps libre avec son amant, Paul, jeune aristocrate qu'elle voit en cachette depuis plusieurs années. C'est la première et la dernière fois qu'ils auront la maison de Paul rien qu'à eux.

L'auteur raconte cette journée très particulière avec beaucoup de détails car elle se révélera déterminante dans le destin de Jane.

Il n'est pas uniquement question de leur relation, on apprend également à connaître Jane qui , contrairement à la plupart des servantes de l'époque, sait lire et aime ça. Son maître lui prête d'ailleurs des romans et elle a des goûts plutôt "masculins".

Une très belle écriture, un joli roman.
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Le dimanche des mères

C'est sur les conseils de ma bibliothécaire que j'ai découvert cet ouvrage. Bien que le résumé ne m'ait pas attiré au premier abord, c'est l'histoire d'amour présentée qui a tout de même attiré ma curiosité.



Jane, qui est bonne dans une famille anglaise aristocratique, entretient une relation secrète depuis sept ans avec Paul, fils des voisins de ses maitres. Toutefois, le 30 mars 1924 sera à l'heure des adieux, puisque Paul est promis à Emma, sous la coupe d'un mariage arrangé...



Nous suivons donc Jane, une bonne orpheline, assez distinguée puisqu'elle sait lire et s'intéresse à la littérature, ce qui était impensable pour les jeunes femmes de sa condition. Amoureuse depuis des années de Paul, elle se prépare néanmoins à tirer un trait sur leur histoire, à travers une ultime étreinte, le 30mars 1924.

Paul, lui, est un homme assez indifférent des choses qui l'entourent, mais se consacre à des études d'avocat. Promis à Emma, avec laquelle il doit se marier dans une quinzaine de jours, il semble néanmoins attaché à sa maitresse...



Rentrons directement dans le vif du sujet: il semblerait que je sois totalement à contre-courant des critiques à propos de ce livre. Mais je n'ai pas peur de dire que j'ai eu un mal fou à le finir tellement je n'ai pas trouvé l'histoire intéressante. Pourtant, ce livre ne comportait que 140 petites pages, et pourtant !

Les personnages sont creux, survolés. Je ne me suis pas du tout identifié à eux. De plus l'intrigue prend place en une seule journée, dans laquelle on retourne dans le passé, dans des souvenirs, dans des suppositions, des rêves, des issues possibles. Avec des "si" on refait le monde, mais ici, la sauce n'a vraiment pas prise pour moi. On se retrouve avec un livre brouillon, avec des répétitions incessantes (ne me parlez plus de tâche, de nudité !), des divagations sans fin. Jane s'imagine l'issue possible des événements, se questionne sur les différentes possibilités de son avenir. Cela donne un rendu fouilli, inutile, longuet. Je n'ai pas du tout aimé la forme, tant que le fond. Bien que le vocabulaire soit très riche dans cet ouvrage, j'en ai eu un sentiment de lecture imbuvable. Tout cela pour ça ? Car en réalité, la dernière page tournée, je n'en retiens pour ainsi dire, rien.



En conclusion, je dirais que je n'ai pas adhéré aux personnages. La trame de l'histoire est pauvre, sans réel intérêt pour moi. Ce n'est pas vraiment une histoire d'amour, ni une étude sur les inégalités sociales, ni un roman d'aventures ni ceci, ni cela... Non, vraiment, je n'ai pas aimé, et c'est son petit nombre de pages qui m'a retenu de ne pas l'abandonner.
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Demain

Paula Hook est inquiète et une nuit blanche se précise, car demain elle et Mike son mari vont révéler un secret à leur jumeaux, secret qui risque de sérieusement bousculer l'harmonie familiale.

D'ailleurs le roman aurait pu s'appeler cette nuit, car c'est par la pensée de Paula et cette nuit interminable que le puzzle se met en place.

Avec délicatesse et charme, Graham Swift déroule le destin d'un couple qui par amour s'apprête à délivrer l'origine de leur conception à leurs ados.

Si par moment, le récit semble s'enliser quelque peu et manquer de rythme, il reste au final une jolie réflexion sur l'existence et sur les choix d'une vie.

Swift nous délivre une petite musique gracieuse et bien agréable.

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Le dimanche des mères

Avant de rédiger ma première critique, je tiens à vous souhaiter à toutes et tous, une très belle année 2022. Joie bonheur et surtout prenez soin de vous.

Nous sommes en Angleterre, le 30 mars 1924 où, comme chaque année, les aristocrates accordent un congé à leurs domestiques pour qu’ils aillent rendre visite à leurs mères, le temps d’un dimanche.

La narratrice de ce roman, Jane, femme de chambre des Niven, est orpheline. Cependant, elle retrouve son amant, Paul ( fils d'une autre grande famille, dont les deux frères sont morts pendant la grande guerre.), au creux d’un grand lit qui abrite un amour impossible, puisque Paul doit épouser une riche héritière, quinze jours, après cette dernière rencontre.. Jane découvre, émerveillée la chambre de son amant inondée de soleil, ainsi, que le reste de la maison.

J’ai suivi cette journée, heure après heure, minute après minute, seconde après seconde, mais je dois être honnête avec vous, ce dimanche m’a paru un peu monotone. Si pour autant je n’ai pas abandonné ce roman, c’est d’une part, parce que l’histoire est agréable à lire et d’autre part, parce que j’ai tenu à connaître la destinée de Jane.
Lien : https://www.babelio.com/monp..
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Le grand jeu

J'entame l'année avec un tour de passe-passe. Je vogue de 1939 à 2009, entre Brighton (au bout de la jetée, le théâtre), Londres (le blitz) et Oxford (toujours verte). La magie n'est plus ce qu'elle a été mais elle opère toujours. Surtout quand Ronnie est évacué vers de vrais parents. Il apprend a réussir un tour, tout en ratant le tournant de sa vie. Ce n'est pas de sa faute. Des choses, des êtres, des sentiments disparaissent vraiment.

Sur scène, ça se termine toujours bien, il suffit de donner au public ce qu'il attend.

L'adolescence de Ronnie à la campagne donne les plus beaux moments. Les questions en bout de récit et descriptions prennent à contrepied. Un suspense étiré brouille l'écriture charmante et si british, mélange de lucidité, de touches d'humour et de mélancolie élégante. 2022 sort le grand jeu.

Je m'en vais maintenant au 19ème siècle, rencontrer Becky, une mini-série inspirée de Thackeray.
Lien : http://cinemoitheque.eklablo..
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La dernière tournée

abandonné au premier tiers non pas à cause de la qualité de ce roman chorale à 4 voix mais car il s'agit d'une histoire d'amitié entre hommes, les femmes sont au second plan simplement femme de.. La complicité masculine dans une angleterre middle class. La mort de l'un d'eux, les souvenirs etc. Je ne suis pas entrée dans l'histoire.
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Le dimanche des mères

J'ai beaucoup aimé ce livre, très bien écrit, entrecoupé de paragraphes courts à l'enchaînement parfait. une écriture minutieuse, détaillée, concise.

Graham Swift, avec l'imagination d'un romancier, évoque la vie de Jane Fairchild, née en 1901 en Angleterre, Abandonnée à sa naissance, elle fut placée à 14 ans dans une famille bourgeoise. Un destin à la fois banal pour une orpheline, et atypique car, ce qui était rare à l'époque, elle parvint à sortir de sa condition sociale et devenir romancière.

L'histoire racontée dans ce livre se déroule sur une journée, le dimanche 30 mars 1924, appelé "le dimanche des mères", car la coutume voulait que ce jour-là les maîtres donnaient congé à ses domestiques pour aller rendre visite à leur mère. Jane, ne connaissant pas la sienne, elle partit retrouver son amant. Belle journée printanière de totale liberté qui commence sous les meilleurs hospices mais s'achève dans le drame. L'héroïne découvre alors que tout évènement a sa part d'ombre et d'inexpliqué.

Mais le véritable avenir de Jane Fairchild ne s'arrêtera pas à cette journée funeste.
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Le dimanche des mères

Un roman "petit" en nombre de pages mais grand dans l'intensité et la surprise.

Donc surtout, ne pas "raconter l'histoire".

Un contexte historique précis : ces domestiques dans l'Angleterre Upper class de l'entre deux guerres. Il ne faut rien dire d'autre. C'est sensuel. Il y a un début de quête de liberté que nos grands parents (arrières grands parents) ont connu.

Il faut lire. Un dimanche, par exemple. Clin d'oeil.

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Le dimanche des mères

Cela faisait un moment que je voulais lire ce livre et j'ai attendu la sortie en poche pour me le procurer.



N'ayant jamais vu "Downton Abbey" mais ayant lu des romans de Julian Fellowes, le bandeau m'a incitée ne pas laisser ce roman dormir dans ma PAL.



Si l'intrigue m'a intéressée, le parti pris narratif (on passe d'un milieu à l'autre, d'une époque à l'autre sans transition), au début, déconcertée. Puis au fil des pages, je suis rentrée dans l'histoire et me suis laissée charmer.



Les rapports entre les aristocrates et leurs domestiques sont finement évoqués. Ce lien entre Jane et Paul est dépeint avec sensualité.



Ce qui m'a surtout marquée c'est cet événement qui va faire basculer le destin de l'un(e) des protagonistes.



Une jolie découverte même si je demeure persuadée qu'une intrigue plus dense aurait emporté mon adhésion totale.



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Le dimanche des mères

Ce court roman est, selon mon goût, un bijou à bien des égards. Il conte le moment décisif de la vie d'une jeune bonne dont le destin s'en trouvera chamboulé. Le point de vue du narrateur est omniscient au point qu'on a la sensation que c'est la jeune bonne qui écrit elle-même en se travestissant en un narrateur omniscient. On est en présence d'une petite prouesse stylistique. L'histoire laisse libre court à nombre d'interprétations. Beaucoup est suggéré. Le lecteur devient acteur. Enfin, la trame narrative est ce que j'appellerais "spiralée", pardon pour cette expression inventée... Le narrateur part d'un point A, développe à compter de ce point A, s'arrête puis revient juste après le point A (disons le point B) , développe à nouveau, s'arrête puis revient juste après le point B, etc. Et une bonne partie du roman est construite ainsi. Enfin, que dire du "twist" de la page 91 auquel on ne s'attend pas du tout, alors qu'on est pile au milieu du gué ... Bref, vous l'avez compris, j'ai beaucoup apprécié ce livre. Quant à moi, je ne sais si la comparaison avec la série anglaise Downton Abbey est à faire car je ne l'ai jamais vue ... :)
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Le dimanche des mères

Livre remporté grâce à Masse Critique de Babelio



Il y a des révélations dans une vie de lecteur (trice) et de réels moments de joie !

Le dimanche des mères de Graham Swift m’a fait vivre un étincelant moment de lecture.

Nous sommes en 1924, Jane Fairchild est bonne dans la famille Niven. En ce dimanche des mères où les domestiques britanniques disposent d’une journée de congés, Jane, qui est orpheline, n’a personne à qui rendre visite. Sauf, son amant Paul Sheringham, fils de bonne famille sur le point de se marier.

Ce 30 mars 1924, alors que son amant part rejoindre sa fiancée, la vie de Jane bascule.

Je n’avais jamais lu de roman de Graham Swift et très franchement il va falloir que je comble cette lacune.

Ce roman court, 170 pages, est dense, intense. Il prouve avec force que rien ne sert d’être trop démonstratif.

Graham Swift nous emmène au cœur d’une aristocratie déclinante à l’issue de la seconde guerre mondiale et qui subit le contrecoup des pertes humaines de cette guerre.

Il entre en détail dans l’intimité de Jane. L’intimité la plus nue, toute en sensualité, mais aussi toute son intimé intellectuelle.

Il évoque aussi avec force le plaisir de lire et d’écrire.

Un roman ciselé, tout en délicatesse dans lequel le moindre détail, le moindre mot trouve sa place. Un roman que j’ai lu en quelques heures sans pouvoir m’en détacher.
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Le dimanche des mères

Une très belle lecture, à laquelle je ne m'attendais pas du tout...J'ai ce livre sue mes étagères depuis plusieurs mois, et la 1ère de couverture ne m'attirait pas...J'ai aimé ce récit très lent, cette histoire surannée, ces vestiges d'un temps passé et ces douleurs muettes....
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Le dimanche des mères

1924. Angleterre. Jane Fairchild, 21 ans, est une des domestiques de la famille Niven. Cette jeune femme de chambre est arrivée à leur service alors qu'elle était âgée de 16 ans. 

Ce 30 mars sonne le dimanche des mères. Toutes les domestiques des maisons sont libres. Une fois l'an, une journée toute entière pour que chacune d'elle aille rejoindre la famille. Or, de famille, Jane n'en a point. Mais des projets, elle en a : retrouver son amant, en catimini.

Elle enfourche donc une bicyclette des Niven, remonte une allée de gravier et pénètre par la porte avant d'une demeure. Ce détail qui pourrait sembler normal ne l'est guère puisque cet accès ne devrait pas lui être autorisé. En effet, elle va rejoindre Paul, son amant, un jeune aristocrate.  Jane sait qu'ils ne passeront qu'une partie de la journée ensemble puisque Paul doit aller rejoindre Miss Hobday sa fiancée qu'il va prochainement épouser.

Confrontation des classes. Le voilà au lit avec Jane, sa maîtresse depuis des années. La jeune femme, le temps d'une journée a le droit de partager le lit de Paul, sa demeure familiale. Mais une bien sombre nouvelle va venir ternir cette chaude journée.



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L'auteur décrit la journée telle une pâte à tarte que l'on malaxerait, que l'on aplatirait pour en étaler tout ce qui est possible, pour en voir l'aspect grossier extérieur et réussir à faire surgir des détails, des précisions, une finesse, une complexité. J'ai beaucoup aimé cette première moitié du roman jusqu'au moment où surgit un fait marquant. Je ne comprenais pas pourquoi soudainement, il arrivait là, à ce moment de l'histoire. Je l'attendais à la fin. Puis j'ai rapidement compris et vu que la seconde moitié du roman allait nous entraîner auprès de Jane, devenue adulte avec une situation plutôt enviable pour ne revenir que succinctement à la fin du roman sur ce moment dramatiquet et ses conséquences. J'aurais juste voulu rester dans cette chambre, avec Paul et Jane, tout le temps du livre ou presque sans avoir à prendre connaissance de la nouvelle vie de Jane aussi tôt dans le roman ; seules quelques pages à la fin auraient été suffisantes. J'aurais voulu rester avec eux deux et avec la stupéfaction, la tristesse et l'humanité de Mr Niven.

Une lecture que j'ai beaucoup aimée malgré ce bémol dont je parle.
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Le dimanche des mères

Que dire? Une libraire me l'a vendu comme étant une "pépite"... Franchement, je n'irai pas jusqu'à ce qualificatif... D'accord, l'auteur sait nous emmener au rythme d'une écriture poétique sur l'épisode - phare de la vie de son héroïne, Jane, à savoir ce fameux dimanche des mères, fête traditionnelle en Angleterre où les femmes, y compris les domestiques, sont priées de rendre visite à leur génitrice. Jane, étant orpheline, va aller se rouler avec joie dans les draps de son amant, Paul Sheringham, profitant de cet état de naissance.

Sauf qu'elle est domestique et qu'il est le maître de la demeure voisine.

Autant les premières pages sont intéressantes- sensualité et curiosité sont mêlées - autant la fin, prévisible, est longue à venir. De plus, j'ai trouvé que la vocation future de notre héroïne était tout de même peu probable, voire surfaite, étant donné le statut de la femme dans les années 1920; d'autant plus quand celle-ci ne venait "de nulle part"...

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Le dimanche des mères

C’est érotique, sensuel, aristocratique… vielle Angleterre coquine… Mais c’est un peu confus



En fait, c’est sympa, mais je sais pas trop où ça va… un peu… Oui, c’est sympa mais flou et emmêlé comme un nuage d’été.




Lien : http://noid.ch/le-dimanche-d..
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Le dimanche des mères

Le dimanche des mères, c'est une journée accordée par les aristocrates anglais à leurs domestiques pour aller voir leur mère.

Et ce dimanche des mères 1924 va changer la vie de Jane Fairchild, une jeune bonne qui entretient une liaison avec un fils de famille qui va se marier.



Ce court roman joliment écrit dresse par petites touches un beau portrait de femme. Il y a également un très beau passage sur le rôle de la bibliothèque (la pièce) dans un manoir anglais.



L'atmosphère d'après première guerre mondiale dans l'aristocratie anglaise est également bien rendue.



Enfin, pour les fans, on ne peut pas s'empêcher de faire certains rapprochements avec Downton Abbey.
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Le dimanche des mères

C'est l'histoire de Jane Fairchild, une orpheline, placée comme domestique chez M. et Mme Niven. Comme chaque année, les domestiques ont le droit a une journée de congés pour rendre visite à leurs parents. Sauf que Jane n'a pas de famille. Elle passera donc un moment chez son amant. Les derniers instants ensemble, puisqu'il va se marier... Tout ne se passera pas comme prévu. Mais peut-être ces événements seront-ils le déclencheur d'une vocation ?

J'étais très attirée par ce livre, mais je suis déçue par l'écriture. Que de répétitions. Des pages et des pages pour évoquer le même sujet. L'auteur revient sans cesse sur les mêmes choses. Sur 300 pages pourquoi pas mais sur 140 pages. C'est irritant. Les résumé parle de sensualité... je n'ai pas trouvé que ce soit sensuel. Cru oui !

L'histoire est intéressante mais l'écriture ne m'a pas permis d'y entrer.
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Le dimanche des mères

Ce court roman nous entraîne dans la vie de Jane, une jeune bonne au service d'une famille aristocratique de l'Angleterre à la sortie de la première guerre mondiale. Elle entretient une relation avec le jeune héritier de la grande maison voisine. En somme une histoire très banale.

Après ma lecture je reste déçue par cet ouvrage. Les descriptions traînent beaucoup trop en longueur, les allers-retours narratifs me paraissent mal ficelés et on ne voit pas très bien ce qu'apporte le récit depuis le point de vue de la Jane âgée. On ne comprend pas non plus comment elle en vient à devenir écrivaine. bref on a la sensation d'être davantage face à une ébauche de roman plutôt qu'une œuvre achevée.
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Le grand jeu

Lecture agréable et intéressante

On suit Jack le show man et Pablo le magicien avec son assistante Eve à Brighton en 1959

Ils ont un succès fou durant cet été

On suit leur vie à chacun depuis leur naissance jusqu' en 1959

Puis on fait un bond dans le temps on retrouve Eve qui a 75 ans

Le personnage principal est le magicien et l'intrigue est centrée sur lui

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