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Critiques de Gwenaëlle Aubry (139)
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Lazare mon amour

Ce livre est un essai biographique sur Sylvia Plath, poete Américaine du 20 ème siècle décédée à 30 ans par suicide au gaz.



Cette ecrivain a toujours marqué mon interet, sa courte vie au destin tragique m'a souvent rappelé des bouts de ma personnalité et ainsi ai je toujours ressenti une sorte de correspondance complice avec son univers poétique.

Cherchant sa voie et sa voix au delà de la voie maternelle aliénante et celle silencieuse , absente, d'un père trop tot décédé, usant du langage pour s'incarner dans les mots pour etre Tout au risque de n'etre pas entendue ni reconnue et ainsi n'etre plus Rien, etre Rien . Les mots epousant des univers tant cauchemardesques qu'extatiques. Se délier des chaines qui clouent à terre et à la fois chercher à s'ancrer davantage. Etre la Femme et la mère, parfois encore une petite fille blessée.



L'élan de son désir à étre, d'Etre, semblable aux ailes de cet oisillon rescapé qui ne cesse de se bagarrer pour tenir, paraitre tenir le coup. Et puis tout disjonte.

Seuls restent ses mots : d'une effroyable beauté , des coups de machette ecarlates dans le bleu du ciel sans soucis.

Stéphanie
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Nous sommes Charlie : 60 écrivains unis pour ..

Je voulais acheter ce livre suite aux attentats du mois de janvier. Je voulais soutenir Charlie hebdo mais aussi tous les autres innocents qui se sont fait assassiner. Le livre raconte l'attentat où tout ce qui touche à la liberté, vu par différents auteurs. C'est un bon livre mais au bout d'un moment ça devient long de lire souvent la même chose. Voilà pourquoi la raison de mon 13 en note. Mais je trouve qu'acheter ce livre permet de mieux comprendre ce qui s'est passé.

Je le conseille surtout si vous voulez mieux comprendre les faits et comprendre la liberté.
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Nous sommes Charlie : 60 écrivains unis pour ..

Une très belle initiative, de magnifiques textes, de belle et tristes vérités... Tous unis pour la liberté d'expression, c'est ce que nous devons retenir et garder de ces tragédies de janvier 2015.
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Nous sommes Charlie : 60 écrivains unis pour ..

L'esprit du 11 janvier. Tout simplement.
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petit recueil de textes variés très intéressants

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L'isolement

Premier roman que je lis de cette auteur ; autant le dire tout de suite , j'ai été très déçu. Déçu par l'histoire, déçu par la façon d'écrire, il n'y a rien de compréhensible dans cette histoire. J'ai retenu vaguement qu'une fille est en prison, elle s'appelle Margot et qui raconte en écrivant. Raconte quoi finalement ? Faut-il lire entre les lignes? Dois-je peut-être le relire pour comprendre quelque chose à cette histoire? Non, je ne le ferai pas, en voyant le nombre de lecteurs ayant lu ce roman, on comprend qu'il n'en vaut pas la peine. J'ai donné une étoile, et déjà je trouve une étoile trop pour ce roman qui m'a déçu à 200%.
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Partages

Deux vies si différentes qui se croisent et s'unissent dans un même destin tragique. Ni l'une ni l'autre ne choisit réellement son chemin, elles ne subissent rien non plus mais se laissent mener là où on leur conseille de se rendre. La Cisjordanie, vendue comme un paradis à l'une, vécue comme un enfer par l'autre et toutes deux unies à jamais. La chaleur du désert, la poussière des ruelles, la violence des camps, ce roman nous étourdi et cette fin qui nous laisse sans voix, inertes et.....tristes, car on sait depuis longtemps que c'est la vérité, car on sait que c'est leurs vies, car on sait mais on y peut rien......
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Partages

On suit le parcours dans ce livre de deux jeunes filles qui se ressemblent, qui vivent dans la même ville toutes les deux, mais n'ont pas la même origine, l'une est juive, l'autre palestinienne. Et on suit tout au long du roman la vie de ces deux jeunes filles en parallèle, un châpitre pour chacune, et le regard différent de l'une et de l'autre sur un même évènement. Roman facile à lire, malgré des phrases longues et beaucoup de description...le dernier chapitre est particulièrement bien écrit car chaque page représente une jeune fille, j'ai trouvé cela original, par contre, la fin est un peu floue..mais il ne laisse pas indifférent face à la vie là-bas.
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Partages

C’est un roman fort qui touche un sujet très sensible vu à travers deux adolescentes. Gwenaëlle Aubry a tenté de rester neutre en montrant deux points de vues opposés, elle n’a choisi ni un camp ni l’autre, ni un camps intermédiaire.



« Partages » est un roman qu’on ne peut lire que si l’on a l’esprit ouvert, ceux qui ont une opinion très arrêtée risquent de ne pas apprécier certaines idées avancées par l’auteure.



L’histoire débute alors que les deux jeunes filles sont traumatisées par le passé et par le présent. Ce n’est pas plus facile pour l’une que pour l’autre.



Sarah a une porte ouverte avec la présence de son père aux USA, mais elle est enfermée dans sa façon de penser.



Leïla joue avec l’idée de partir faire ses études en Angleterre mais elle est bloquée de par ses traditions culturelles et familiales.



Toutes deux se sentent reliées à leur communauté. On les voit se transformer au fur et à mesure que les événements viennent bouleverser leur existence.



Le lecteur est pris entre deux feux … j’ai beaucoup aimé Lily et sa mère et leur façon d’appréhender la vie. Elles veulent croire qu’il y a un espoir.



La violence entraîne la violence, c’est une spirale infernale.



Le constat lorsque l’on referme le livre c’est qu’il semble qu’il n’y ai pas de sortie possible.



C’est un roman qui ne laisse pas indifférent, rien qu’en repensant à ce roman j’ai des frissons dans le dos.



Gwenaëlle Aubry joue avec ses personnages dont la folie est à fleur de peau.
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Partages

Deux trajectoires parallèles dans un même lieu, Jérusalem. Deux réalités aux antipodes l'une de l'autre. Sarah, 17 ans, jeune juive new-yorkaise, dont la mère a décidé de quitter les Etats-Unis après les attentats du 11 septembre. Leïla, même âge, palestinienne, vivant dans un camp en Cisjordanie, bercée par les récits des villages disparus de son peuple. Elles se croisent furtivement au début du roman, sans le savoir.



La mère de Sarah est d'origine polonaise et porte en elle le poids d'une histoire tragique. Elle a rejoint son fils aîné en Israël, persuadée que sa place ne peut être que là. Sarah a suivi, malgré le désaccord de son père et essaie tant bien que mal de s'habituer à un environnement dont elle n'a pas les codes.


Lien : http://legoutdeslivres.canal..
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Partages

Je découvre la plume de cette auteure, sèche, parfois sans virgules. Un rythme à prendre, pas sûre que j'accroche.



Pourtant je continue, attirée par les histories parrallèles de Sarah et Leïla.



L'auteure décrit le bouleversement qui les prend au même moment : Sarah voit son meilleur ami mourir dans un attentat et tombe en dépression - Leïla voit son frère arrêté puis relâché et devenir martyr lors du même attentat.



Même si elles ne sont pas facile à lire car manquant de paragraphes, les interrogations et visions de la vie qu'ont ces deux jeunes filles m'ont passionnées. Je ne partage aucune de leurs vues, mais je les ai comprise, le temps de ma lecture.



Toutefois, cela reste un roman sombre, car de partages, de communions, il n'y a pas. le seul partage qui existe dans ce livre et le partage, la séparation d'une même terre et de deux communautés qui se haïssent.



Un dernier chapitre intéressant par le procédé de narration qu'il propose. Une lecture différente, en miroir.



L'image que je retiendrai :



Celle des deux jeunes filles se retrouvant dans un même lieu qui ne porte pas le même nom.
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Partages

Vies brisées à Jérusalem



Dans son nouveau roman tragique et puissant, Partages, Gwenaëlle Aubry évoque le conflit israélo-palestinien à travers les voix entremêlées de deux adolescentes, l’une juive et l’autre arabe.



Rêves d’adolescentes

Gwenaëlle Aubry raconte l’histoire de Sarah, une jeune fille juive polonaise née et élevée à New York, qui revient vivre sur la terre de ses ancêtres avec sa mère, à Jérusalem, après les attentats du 11-Septembre. Alors qu’elle tente ainsi de s’adapter à ce pays où les morts semblent cohabiter avec les vivants, elle croit trouver dans l’amour une échappatoire. Sa voix alterne avec celle de Leïla, qui a grandi dans un camp de réfugiés en Cisjordanie. Très jeune, elle nourrit l’espoir d’étudier à l’étranger et de devenir journaliste tout en regardant son petit frère jouer au Juif et au martyr.



Entremêlements vertigineux

L’auteur fait pressentir habilement au lecteur que ce qui oppose ces « sœurs ennemies » est ce qui finira par les réunir tragiquement. En effet, tout au long du roman, elles se croisent lors de leurs déambulations dans les rues de Jérusalem, s’aperçoivent et se voient, l’une à côté de l’autre, par le prisme du miroir, se confondent même. L’écriture, voire la mise en page du roman de Gwenaëlle Aubry, rend sensible l’entremêlement des destinées de Leïla et de Sarah, tant et si bien que le lecteur risque parfois de s’y perdre.



L’impuissance face à l’Histoire

Toutefois, l’élan de vie auquel les deux jeunes filles de 17 ans tentent de s’accrocher captive le lecteur fébrile. Dans ce chaos, l’espoir est permis par l’art ou la littérature, jusqu’à ce que Sarah doive gérer le traumatisme que lui fait subir la perte de son ami Ben et que Leïla ait à regarder sa famille et sa communauté endurer la sanction des policiers israéliens. De chaque côté des communautés, l’Histoire s’écrit douloureusement et les deux adolescentes n’échappent pas à leur destin scellé sous les yeux du lecteur impuissant. Car l’amour que Sarah trouvera finalement avec Joseph ne sera pas suffisant pour la libérer du poids du conflit qu’elle porte en elle. Leïla, quant à elle, n’a pas d’autre choix que de lier son destin à celui de Sarah. Leur rencontre, bien qu’attendue, bouleverse.



Gwenaëlle Aubry, il est vrai, n’aborde rien de nouveau sur le traitement du conflit israélo-palestinien. Mais s’il faut lire Partages, c’est non seulement pour le plaisir d’une écriture juste et belle, mais aussi pour le devoir de mémoire, car des vies sont incessamment brisées à Jérusalem.

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Partages

Le chemin emprunté par deux jeunes filles de 17 ans qui passeront de l’idéal pacifiste à l’engagement de la violence la plus aveugle. Celle qui croyait en …. Celle qui n’y croyait pas, mais qui croyait en …

L’une est juive. L’autre palestinienne. Nous sommes à notre époque. Et la haine va gangrener leur quotidien jusqu’à devenir sœurs ennemis. Adolescence fracassée. Division et réunion habitée par « la même cohorte de morts »

Un roman magnifique, puissant et dur qui laisse un arrière-goût de malaise au bord des lèvres !

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26 chapitres abécédaires avec des phrases très longues

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Vraiment un texte émouvant, une forme littéraire originale et plaisante qui n'arrive pas tout à fait à épuiser le personnage et sa folie. Difficile de faire le tour d'un homme aux multiples facettes, comme 26 lettres de l'alphabet. un livre juste et beau.
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Un livre d’une grande sensibilité d’une fille envers son père défunt. L’auteure décide de décrire son père et sa maladie dans les 26 lettres de l’alphabet qui correspondent à des mots en rapport avec son père. Pendant toute la lecture du livre, on ressent l’amour du père ; mais on comprend aussi qu’elle a commencé à l’aimer davantage après sa mort. (lire la suite)
Lien : http://litteraire-en-herbe.b..
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Un livre d’une grande sensibilité d’une fille envers son père défunt. L’auteure décide de décrire son père et sa maladie dans les 26 lettres de l’alphabet qui correspondent à des mots en rapport avec son père. Pendant toute la lecture du livre, on ressent l’amour du père ; mais on comprend aussi qu’elle a commencé à l’aimer davantage après sa mort. La suite sur http://litteraire-en-herbe.blogspot.com/2011/04/personne-gwenaelle-aubry.html
Lien : http://litteraire-en-herbe.b..
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Personne



C'est un portrait original sous forme d'abécédaire, en vingt-six angles, Gwenaëlle Aubry essaye de décrire son père disparu à la personnalité double. Livre a deux voix, car Gwenaëlle Auby a retrouvé un manuscrit, des notes de son père sur sa vie. Ce livre est un témoignage, elle ne juge pas, elle essaye de comprendre son père, atteint d'une mélancolie, il possède une âme chahutée joie accompagnée de souffrance, que les médecins nomment : la psychose maniaco dépressive.

C'est un livre qui se lit très lentement, un livre qui fait réfléchir fortement car en ce qui me concerne j'ai essayé de comprendre cette jeune femme Gwenaëlle Aubry et sa sœur comment elles ont pu grandir avec un père éternellement malade, mélancolique. C'est un roman sur les questions fondamentales : qu'est ce qu'un homme, qu'est un père ? C'est un témoignage brulant accompagné d'une écriture juste, calme, sincère.
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La Folie Elisa



Quatre femmes malmenées par la vie qui se retrouvent aux portes d’un refuge. Elles ne se connaissent pas, elles vont raconter leur vie, leur souffrance et leur détresse face à la violence et surtout, elles vont tenter de se reconstruire.

En fil rouge, un graffiti les relie.



La construction de ce roman est originale, on se laisse porter par l’écriture fluide de G. Audry. Un roman très dur et pourtant émouvant ancré dans notre réalité.

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Saint Phalle : Monter en enfance

Au plus près du secret du geste créateur de Saint Phalle, qui elle-même y vécut, enfouie dans les entrailles scintillantes, tapissées de tessons de miroirs, de L’Impératrice, dans son « ventre de pierre, vivant, inervé », dont elle avait fait une matrice
Lien : https://www.telerama.fr/livr..
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