AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Herbjørg Wassmo (460)
Le livre de Dina, tome 1 : Les Limons vides

Quel étonnant personnage que cette Dina!



Petite fille , elle commet une maladresse qui entraine la mort de sa mère . La petite fille, à qui rien n'est vraiment expliqué et que les adultes regardent bizarrement , grandit comme un animal farouche et rétif . Elle pousse sans aucun souci du respect des règles les plus élémentaires . Son père engage un professeur pour l'instruire un minimum. Celui-ci réussira à lui apprendre à jouer du violoncelle , révéler son don pour les chiffres et à lui faire lire la Bible.



La jeune fille se retrouve mariée à un vieux mari , sans qu'on lui ait vraiment demander son avis . Pourtant elle acceptera son mari et entrainera celui-ci dans des ébats physiques et des difficultés comportementales épuisant ce vieil époux.... Il délaissera peu à peu Dina , mais celle -ci ne connaît pas le pardon .....



J'ai retrouvé les ambiances des paysans du grand nord , où l'on ne dit rien mais où l'on sait tout , où tout est régi par des règles sociales qui semblent immuables .... Dina qui ne respecte rien , dit ce qu'elle pense et vit au rythme de ses sens , casse ce bel ensemble et l'on ne sait pas où elle va aller ... il va me falloir lire le tome 2 et le 3 !



Dommage que ce soit découpé en 3 tomes je crois que j'aurais préféré comme 100 ans du même auteur un seul volume qui ne m'aurait pas coupé la lecture
Lien : http://theetlivres.eklablog...
Commenter  J’apprécie          20
Fils de la providence, tome 1

Dans « le fils de la providence », C’est l’histoire de Benjamin le fils de Dina qui se poursuit et l’on retrouve le merveilleux souffle épique du premier volume. Benjamin dont la vie de jeune homme sera horriblement marqué par le doute sur l’assassinat ou pas de Léo, l’amant de sa mère. Benjamin qui se perd dans ses émotions, ses doutes, ses angoisses. Benjamin qui devient père et ne s’en soucie guère. Benjamin qui vit au gré de ses passions. A la fin du volume la rencontre entre Dina et Benjamin est extraordinaire et tout nous sera dévoilé. Mais dans ce tome Dina m’a manqué.
Commenter  J’apprécie          20
Le Livre de Dina

Livre offert à une femme par une femme.

La lecture de ce livre est une aventure particulière. J'ai éprouvé des sensations et des sentiments aussi contradictoires que ceux décrits ou suggérés dans le livre. L'auteur parvient à nous faire comprendre l'indicible. "La Dina" exprime dans une langue minimale les sentiments les plus complexes. Le plus riche dans ce livre est ce qui n'est pas écrit. Ce qui explique peut-être qu'à certains moments je ne savais plus si j'aimais ou pas ce livre. Dina est l'image romanesque de la monstruosité féminine en réponse à la monstruosité de la nature et de l'humanité. Une allégorie plus qu'un personnage.

Je crois que je n'aurais jamais "accroché" si j'avais eu le livre en trois ouvrages distincts.

Commenter  J’apprécie          20
Cent ans

Herbjorg Wassmo nous offre une magnifique fresque familiale au féminin. Il ne s’agit toutefois pas d’une multibiographie mais d’une fiction, l’auteure invente et imagine ce qu’ont pu être les existences, les rêves et les espoirs des femmes de sa famille.

Quatre femmes, quatre générations qui se succèdent : Sara Susanne qui épouse un homme qu’elle connait à peine et qu’elle finira par aimer, Elida qui à dix-huit ans à peine épouse celui qu’elle aime passionnément, Hjordis qui comprendra très vite que l’homme dont elle est tombée amoureuse n’est pas celui qu’elle croyait, Herbjorg petite fille au lourd secret.

[...]

C’était ma première lecture de cette auteure et j’ai été totalement séduite.

Ariane
Lien : http://tantquilyauradeslivre..
Commenter  J’apprécie          20
Ces instants-là

C’est dans le cadre des matchs de la rentrée littéraire organisés par Price Minister que j’ai reçu ce livre. Le résumé m’a alléchée ainsi que le fait de savoir que l’histoire se déroule en Norvège. Le grand Nord, la neige et ses traditions m’attirent irrésistiblement en cette période (presque) hivernale.



C’est donc avec un certain enthousiasme et quelques attentes que je me suis plongée dans ce roman. Au final, j’en ressors mitigée. Certains aspects du roman m’ont profondément déplue; d’autre m’ont ravie et entraînée, époustouflée.



Il faut d’abord savoir que le style de l’auteur est très particulier. Les phrases sont courtes. Elles ne comportent parfois pas de verbe. Certaines tournures sont même très poétiques et font perdre le fil de l’intrigue. L’auteur aime les circonvolutions, les chemins détournés, les images frappantes. Il faut donc s’habituer à ce style d’écriture. Il faut aussi apprendre à ne pas trop s’attacher à l’héroïne.



En effet, on ne connaîtra jamais son prénom. Cette « Elle » est une Norvégienne. On suit sa vie d’adolescente puis de femme mûre. Tout commence alors qu’elle a 14 ans et qu’elle tombe enceinte. Elle garde le bébé qui sera élevé en partie par ses grands-parents. Il faut tourner la page et passer à autre chose; envisager des études; devenir institutrice; se marier et gagner sa vie. J’ai éprouvé peu d’empathie pour cette héroïne. Le style de l’auteur m’a empêchée de me sentir proche d’elle. C’est comme s’il y avait eu un mur invisible entre elle et le lecteur. Certes, on comprend qu’il lui arrive des choses terribles: cette grossesse non désirée alors qu’elle est adolescente; plus tard, ce fœtus qui ne survit pas et enfin ce secret terrible, qui la concerne elle et son père, qui pèse sur ses épaules et qui ne sera jamais clairement révélé. Le roman n’est pas dramatique pour autant et l’héroïne paraît lointaine, comme détachée de tout. Difficile donc de s’y attacher ou de s’y identifier.



Il y a pourtant en elle des côtés que j’ai aimé. C’est une femme moderne, forte et déterminée qui fait de mauvais choix concernant les hommes et qui va pourtant trouver sa liberté. L’époque à laquelle se déroule le roman n’est jamais précisée. J’opterais peut-être pour les années 60. Dans tous les cas, il s’agit d’une société patriarcale dans laquelle les femmes ont peu droit à la parole. Pourtant, notre héroïne va s’émanciper: d’abord par la lecture puis par l’écriture en devenant un écrivain connu et reconnu dans tous les pays. C’est peut-être cet aspect du roman qui m’a le plus séduite. On suit finalement l’ascension d’une femme qui se libère grâce aux mots, aux livres, à la littérature. On la suit dans ses débuts timides d’écrivain puis dans ses tournées et ses conférences. Cette fille de presque rien devient enfin quelqu’un dont la parole est reconnue. Une belle revanche sur sa vie de femme.



Je suis donc assez mitigée après la lecture de ce roman. J’ai peu adhéré à la manière dont l’auteur nous présentait son personnage. J’aurais aimé qu’elle soit moins froide, plus accessible. J’ai cependant adoré suivre son ascension dans le monde des lettres et sa fulgurante prise de liberté.
Lien : https://carolivre.wordpress...
Commenter  J’apprécie          20
Cent ans

Parce que j'avais pris un très grand plaisir à la lecture "le livre de Dina" je me suis offert celui-ci en attendant le même. Bin non, ce n'est pas pareil, même si il y a un clin d'œil, ce n'est que cela. La froideur et la violence y sont plus présentes, ce qui n'enlève rien au plaisir de lecture.
Commenter  J’apprécie          20
Ces instants-là

Comme Cent ans, du même auteur (fantastique bouquin, à lire !), c’est une histoire de femme, au singulier cette fois. Histoire d’une femme, dont on a la tentation, à cause du style froid et de l’opinion de personnages à l’esprit étriqué, de confondre la force de caractère avec de l’insensibilité. D’autant qu’avec une histoire se passant en Norvège, il y a presque risque de choper des engelures rien qu’en tenant le livre. L’avantage de suivre cette femme sur le temps long, c’est son cheminement, que ce soit comme femme, comme écrivain, comme mère aussi.



« Tu pourrais témoigner un peu plus d’amour, affirme-t-il en plongeant en elle de grands yeux fixes. Sans paupières, juste des boules rondes menaçantes. Des globes.

Amour, c’est un très grand mot, murmure-t-elle comme pour s’excuser.

Mais c’est ce que tu devrais ressentir. Naturellement pas comme si tu y pensais tout le temps, mais assez souvent pour avoir mauvaise conscience à cause de ce que tu ne ressens pas, tempête-t-il. »



C’est cette volonté de vivre pour elle-même qui crée, page après page, des conflits avec… à peu près tout le monde. Avec les femmes qui ne comprennent pas, mais surtout avec les hommes. Peu, d’ailleurs, s’en sortent avec les honneurs. A désespérer de la gente masculine, des relations de couple et des mentalités moyenâgeuses.



« Tu fais preuve d’une singulière capacité à tomber sur des hommes minables, remarque l’auteur.

Et que dois-je y faire ? demande-t-elle en s’efforçant de camoufler que l’incident occulte encore ses pensées.

Il faut les ignorer. Ils ne sont pas à toi. Ne les laisse pas avoir l’occasion de croire d’un organe sexuel et des mains suffisent.

Dois-je soupçonner tous les hommes ? M’abstenir de leur parler ?

Non, mais il faut leur montrer qui tu es dès le premier instant, affirme Simone. »



Il me faut toujours un peu de temps pour me faire à ces styles dépouillés, durs qui semblent vouloir mettre un mur (transparent sinon c’est pas pratique) entre le lecteur et le personnage, qui refusent de coller un prénom qui conduirait plus facilement à de l’attachement. Pour donner au personnage un côté plus universel ? J’entends aussi parler d’autobiographie romancée, mais je ne suis pas un intime d’Herbjorg, je me garderai de toute (brève) analyse (de comptoir).



Les chapitres sont très courts, comme les phrases, déroutant au premier abord mais sans doute nécessaire alors que tant de chose se passent dans la vie et la tête de cette femme. Herbjorg Wassmo évite l’écueil du tout factuel et s’attarde sur les réflexions de la femme sur son rapport a son mari, sa famille et surtout à son propre épanouissement personnel. A la fin de la lecture, le livre ne pourrait mieux porter son nom.



« -Tiens-toi à l’écart de ma chaise ! Ils rigolaient ! Tu n’as pas vu ?

À cet instant, elle voit qu’il est figé dans ses petites routines masculines rassurantes, sans saisir que le monde saigne. Et d’un seul coup, elle grandit à ses propres yeux pour prendre des dimensions qu’il ne saurait contenir. »



Un style subtil, poétique même, et toujours juste. Des phrases magnifiques, au point que la concision du style n’est plus dur ou froid, juste une nouvelle couleur a la palette d’artiste d’Herbjorg Wassmo. Il y a ainsi des passages qu’on relit plusieurs fois, juste pour le plaisir. On part même assez loin lorsque le personnage s’abandonne dans ses rêveries et devise avec son imagination (et notamment la figure rassurante de Simone de Beauvoir). La lutte avec autrui ne suffit pas, il faut aussi (surtout ?) qu’elle lutte avec elle-même.



Mais contrairement à ce que j’espérais de la part de cette auteur, il y a aussi eu des moments où mon attention se relâchait, à cause de longueurs où parce que le contenu m’intéresse moins, ces moments, souvent redondants, étant plus nombreux sur la troisième – et dernière – partie du livre. Cette fin en demi-teinte m’a laissé déçu et empêché de livrer une critique dithyrambique sur ce que j’aurais souhaité être le dernier chef-d’œuvre de l’auteur.







Et pour ne pas finir, moi aussi, en demi-teinte, je tiens quand même à précise que Ces instants-là reste un livre puissant à découvrir et qui, par la neutralité froide de la forme et les luttes passionnelles du fond, a vraiment la capacité de parler à chacun.
Lien : http://blogameni.wordpress.c..
Commenter  J’apprécie          21
Ces instants-là

Je voulais tout d’abord remercier les éditions Gaïa et l’opération Masse critique grace à qui j’ai pu recevoir ce livre.



Connaissant plusieurs personnes qui aimaient beaucoup cet auteur, j’avais voulu essayer de la découvrir également avec « Ces instant là ».

Malheureusement je me suis résolu (pour le moment en tout cas) à arrêter la lecture de ce livre après 130 pages (environ un tiers du roman).



Si le style de l’auteur est très particulier, hâché, presque impersonnel, je ne pense pas qu’il soit ici la cause de mon « arrêt », on notera tout de même (ou moi seulement) – est-ce dû à la traduction ? - qu’il arrive que celui soit plutôt fluide et « agréable » ou en tout cas donne vraiment une ambiance au texte, mais qu’à d’autres, l’émulsion ne se fasse pas et qu’en plus de ne rien apporter il complique la lecture.



Le plus gros problème que j’ai trouvé en lisant ce roman, c’est qu’il ne s’y passe pas grand-chose d’intéressant, rien qui donne envie de poursuivre. On assiste (en tout cas de ce que j’ai lu) à une succession de faits quotidiens, sans grand mystère ni intrigue, sans même vraiment d’émotions exprimées ou ressenties par la narratrice hormis peut-être sa haine constante et viscérale pour son père. Pour le reste, elle semble juste vivre « ces instants là » sans qu’on perçoive vraiment sa psychologie son envie, son implication : on a seulement l’impression qu’elle vit comme par… fatalité ou par procuration peut être, les choses ne font « qu’arriver ».



Il y a bien à deux trois moments, quelques petites « envolées », ou l’auteur « pimente » un peu le récit, notamment un passage où l’on frise un peu le récit fantastique, mais l’envolée retombe bien vite et on retourne à cette sorte de morosité monotone des pages précédentes. Et pour moi s’en fut de trop (ou plutôt pas assez).



Donc voilà, je suis plutôt déçu, qui plus est de ne pas avoir pu découvrir cet auteur, car peut être que la fin du livre se « réveille », mais en tout cas ce roman n’aura pas su m’amener jusqu’à là...
Commenter  J’apprécie          20
Fils de la providence, tome 2

La suite de la série "le livre de Dina". Dans les deux tomes "fils de la providence" nous suivons Benjamin le fils de Dina qui quitte le domaine familial pour faire ses études de médecin. Un garçon très perturbé par son enfance, des nuits pleines de cauchemars, des relations difficiles avec les femmes. Toujours autant de plaisir à la lecture de ces romans, on a envie que cela dure encore et encore...il reste encore la suite " l'héritage de Karna". Nena
Commenter  J’apprécie          20
Le livre de Dina, tome 1 : Les Limons vides

La trilogie du "Livre de Dina" continue en fait avec 6 autres tomes (Fils de la Providence, concernant le fils de Dina et L'héritage de Karna, concernant la petite-fille de Dina)... donc 9 volumes en tout pour cette majestueuse saga. Cependant, pour moi ce sont les trois premiers tomes qui restent les meilleurs. Si vous avez aimé le personnage de Dina, je vous conseille la lecture de Karitas sans titre de Kristin Marja Baldursdottir (roman traduit de l'islandais chez Gaïa, 2008) à la découverte d'un personnage féminin, proche de Dina, artiste, fantasque...inoubliable !
Commenter  J’apprécie          22
Cent ans

Absolument superbe. La vie de ces femmes dans les îles Lofoten, c'est superbe. Quelle vie ! On ne peut être qu'admiratif. Et puis c'est beau, c'est sensible et très humain. Un très beau livre qui marque.
Commenter  J’apprécie          20
Le Livre de Dina, tome 3 : Mon bien aimé est ..

Dans ce troisième volet, Dina gagne encore en humanité, on est loin du personnage sauvage et indomptable du début de la trilogie même si elle reste atypique. J'ai particulièrement été touchée par l'épreuve qu'elle endure au cours d'une traversée en bateau. La scène est dure et pourtant tout en pudeur, très bien écrite dans le choix des mots et avec beaucoup d'émotion qui s'en dégage.

Ce tome c'est aussi pour Dina la poursuite de l'impossible et sa difficile acceptation des choses qui ne se passent pas comme elle le souhaiterait...
Commenter  J’apprécie          20
Cent ans

Une belle saga familiale qui suit plusieurs générations de femmes dans l'Europe du Nord. Le portrait de ces femmes est très touchant. On découvre au fil des pages le caractère de chacune d'elle : leurs amours, leurs enfants et leur vie quotidienne dans une région où il est souvent difficile de s'adapter. Chaque génération apporte son lot de joies et de difficultés, et il est très facile de s'attacher à ces femmes malgré leurs failles apparentes.
Commenter  J’apprécie          20
Cent ans

Une saga, histoire de plusieurs générations de femme, que l'on lit d'une traite. La vie, les personnages, les paysages sont magnifiquement décrits.
Commenter  J’apprécie          20
Le Livre de Dina

Dina est l'histoire d'une petite fille dont la vie va être bouleversée après avoir ébouillanté par maladresse sa mère. Laquelle mourra dans d'atroces souffrances. Privée d'éducation, cette fille deviendra plus louve que femme, écorchée vive, sauvage et cruelle. Constamment hantée par ses morts. Le tout se passe dans la Norvège de la fin XIXème, où les poêles à bois sont d'indispensables compagnons. L'ambiance froide au coeur d'une nature un brin hostile est bien rendue. C'est un monde où l'on se déplace plus facilement par la mer que par la terre, un univers de riche propriété qui grouille de domestiques en tous genres pour faire vivre le domaine, sa ferme, son commerce, son "auberge"...

Les descriptions et compléments d'informations sont apportés par simple juxtapositions de phrases. Au début ce style m'a un peu gênée et puis je m'y suis faite. Sur 640 pages j'avais largement le temps de m'y faire du reste.

J'ai été plutôt intriguée par Dina que touchée par elle. Je ne m'y suis pas attachée, c'est un personnage trop sec et cassant, trop animal et sans affects pour que je puisse m'y attacher. La fin... on se doute bien que quelque chose de ce genre va arriver. Ce n'est pas du doute un roman rose avec des passions amoureuses et une saga familiale classique. C'est bien une sorte de saga familiale mais bien plus sombre et tragique, centrée autour d'un personnage qui aurait tout aussi bien pu être élevé par les loups mais qui va devoir d'une manière ou d'une autre s'intégrer au monde et gérer un domaine. C'est un beau roman, avec des anecdotes plutôt fines, des personnages attachants autour de Dina qui elle même est trop "spéciale" pour qu'on s'identifie même si on comprend très bien la logique de ses comportements et réactions. Une belle découverte pour moi dans le cadre de masse critique.

Je n'ai par contre par du tout accroché aux citations du "cantique des cantiques" et autres passages bibliques qui précédaient chaque chapitre. A vrai dire j'ai fini pas les zaper carrément. Sinon les quelques éléments de religion disséminés deci delà dans le roman ne m'ont pas trop gênée, s'expliquant par le fait que la bible soit longtemps le seul livre lu par Dina.
Commenter  J’apprécie          20
Cent ans

A la fois épique et intime, Cent Ans est un livre de combattante et un très beau roman d'aventures.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
Commenter  J’apprécie          20
Fils de la providence, tome 2

La suite me plait toujours autant ! En plus on y voit revenir (enfin !) Dina avec grand plaisir car c'était quand même mon personnage préféré ! J'espère que les prochains tomes (une trilogie) dépasseront toutes mes attentes ! Benjamin fait autant d'erreurs que sa mère comme s'il l'a suivait pas à pas alors qu'il n'a pas eu du tout une même enfance. Les retrouvailles mère-fils sont d'ailleurs intéressantes et fortes !
Commenter  J’apprécie          20
Cent ans

Âpre, voire rugueux, ce roman suit le parcours d'une famille à travers plusieurs génération de femmes. Prenant et touchant.
Commenter  J’apprécie          20
Cent ans

On est un peu perdu au début, parce que les cahiers se mélangent et qu’on ne reconnaît plus les personnages. Mais on s’y fait ! Un très beau livre, mais quelle vie triste pour toutes ces femmes. On ne ????? on faisait des enfants, des tas d’enfants ! J’ai pris plaisir de rentrer dans ce monde norvégien que je connaissais très peu. Un bel hommage pour toutes ces femmes qui n’avaient aucune chance de vivre une autre vie. H.S.
Commenter  J’apprécie          20
Cent ans

Sara Susanne, Elida et Hjørdis, sont respectivement l'arrière-grand-mère, la grand-mère et la mère de la narratrice. Cent ans est le roman de leurs vies.



Au cœur de la Norvège Septentrionale, dans un paysage rude mais grandiose, on vit de la pêche intensive, les hommes partent longtemps en mer, et les femmes restent à terre, trimant pour nourrir des tribus de six à dix enfants. Herbjørg Wassmo nous transporte dans ce quotidien rugueux où la vie est un perpétuel renoncement.



Ce roman intime est une très belle épopée scandinave. L'auteur nous dresse avec sensibilité trois magnifiques portraits de femmes.



Rachel (rayon littérature)
Lien : http://librairielefailler.bl..
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Herbjørg Wassmo Voir plus

Quiz Voir plus

Veiller sur elle (Jean-Baptiste Andrea)

Que constate-t-on à la naissance de Michelangelo Vitaliani ?

Sa grande taille
Sa petite taille

27 questions
95 lecteurs ont répondu
Thème : Veiller sur elle de Créer un quiz sur cet auteur

{* *}