Jayne Ann Krentz

Retour dans la romance à l'époque Victorienne. Et avec ce résumé sur fond de paranormal qui a de quoi aviver la curiosité, je m'attendais à une lecture des plus palpitantes. Mais au final, ce ne fut pas du tout le cas...



...je m'attendais à mieux.



Je n'ai rien à dire sur l'écriture de l'auteure. C'est fluide et plaisante. Amanda Quick pose les bases de sa série. L'histoire de trois jeunes femmes avec des dons particuliers qui travaillent pour une agence spéciale afin de mener des enquêtes bien précises. La trame est surtout axée sur le thème de «l'énergie psychique» et c'est bien là le problème. D'ordinaire cela ne me dérange nullement mais là il y a tellement trop d'éléments, que j'ai finit par me perdre en pleine lecture. De plus, le côté psychique-enquête supplante le côté romance. Et pour une fois j'aurai voulu avoir un peu plus de romance.

Par contre là où l'auteure a fait un excellent boulot c'est dans les descriptions du décor de Crystal Gardens et l'atmosphère qui y dégage. Mais malheureusement cela n'a pas suffit à m'emporter littéralement.



Que dire des personnages ?



Evangeline et Lucas. Un duo qui possède des capacités extrasensorielles qui vont devoir faire équipe pour mener une enquête des plus épineuses. Bien que je les ai trouvés sympathiques et intéressants mais je n'ai pu réellement m'attacher à eux. Je m'explique. Je pouvais entrevoir cette attraction entre eux ainsi que leurs sentiments l'un envers l'autre. Et pourtant, j'aurai voulu que cet amour soit plus approfondis pour être réellement impliquée.

Lucas est le genre de héros qui a tout pour plaire. Arrogant, charismatique et dangereux mais il m'a manqué ce petit quelque chose pour que je sois littéralement séduite. Evangeline est le genre d'héroïne douce, intelligente et indépendante mais c'est tout. Elle n'est pas si spéciale que cela finalement.

Quand aux autres personnages, ils sont assez nombreux mais là encore très peu développés. Certains sortent du lot comme les amies d'Evangeline. Clarisse et Béatrice. Ou les frères et sœurs de Lucas.



En bref



Bien que l'histoire en elle même soit bien, je ressors de ma lecture avec cette sensation d'être restée sur ma faim. C'est très différent de ce que je connais de l'auteure. Cependant, j'espère trouver cette petite étincelle qui m'a tant manqué dans les prochains opus car pour ma part je pense que cette série a vraiment du potentiel.
Lien : http://wp.me/p5AuT9-2Qs

4ème de couverture

Quand sa demi sœur Meredith trouve la mort dans des circonstances troubles, Leonora bibliothécaire, ne peut s’empêcher de penser à un meurtre. Dns la petite ville de Wing Cove, en Californie, Meredith traînait en effet une réputation sulfureuse de redoutable séductrice doublée d’une virtuose de l’arnaque. Son dernier coup en date ? un million et demi de dollars dérobés dans la caisse d’une fondation pour la recherche

Cet argent, justement Thomas Walker, frère du président de la fondation aimerait bien remettre la main dessus. Pourquoi ne pas envisager un marché ? Si Leonora l’aide à retrouver le magot, il démasquera l’assassin de sa sœur et de sa belle sœur. La jeune femme accepte volontiers, d’autant sue l’homme est séduisant, mais cet échange de bons procédés ne tarde pas à prendre un tour imprévu.

petite note perso :

Un livre à prendre en vacances, beaucoup de rebondissements, pas mal écrit du tout, certes, policier mais roman d’amour par la suite aussi.

Si vous voulez vous détendre, c’est un livre à lire

Certes je ne vous parle pas des rebondissements, ni de la suite, cela enlèverait le charme de ce gentil livre que j’ai bien aimé.

Un polar/roman d'amour distrayant et sympathique à lire. Pour remonter le moral ...

Un peu d humour, des femmes pas chochottes, super!

Cette lecture m’a vraiment ravie. Ça date de 1986, mais ça n’a pas pris une ride ! Il faut dire que l’histoire se passe dans un futur indéterminé, dans un autre système, une autre galaxie. Sur cet archipel de planètes vivent deux types d’humains : les Harmonics et les Wolves (loups). Les premiers sont une sorte de race supérieure, gardiens des arts et des sciences, liés ensemble par une communion télépathique, mais autrement très détachés du monde. Les “Loups”, au contraire, forment la populace, encline au vice et au crime, capable du meilleur comme du pire.



Cidra Rainforest, une Harmonic qui souffre d’un défaut de télépathie, a besoin d’un lift vers une autre planète pour trouver son pouvoir manquant. Teague Severance, un coursier privé, accepte avec réticence de la prendre à bord du Severance Pay. Commence alors une aventure semée d’embûches en compagnie de Fred, qui ressemble à un tapis avec des dents (mon personnage préféré !), à la rencontre d’amis et d’ennemis sur les différentes planètes du système…



Le premier chapitre est d’accès difficile. On est plongé immédiatement dans ce monde qui, s’il rappelle certains aspects du nôtre, n’en est pas moins très bien conçu et remarquablement complet. J’ai toujours peur, lorsque je lis des mélanges de romance et d’autre chose, que l’auteure ne soit pas à la hauteur des standards de “l’autre genre”… Ici, quoique la romance prenne clairement plus de place que dans de la pure science-fiction, j’ai plutôt été impressionnée à quel point Krentz osait nous emmener loin dans la SF.



Du coup, même si l’on peut toujours espérer que Sweet Starfire fasse découvrir et aimer la science-fiction à des amatrices de romance et vice versa, je pense plutôt qu’il va plaire à des personnes qui, comme moi, apprécient sincèrement autant la romance que la science-fiction. Finalement, croiser des genres a souvent pour effet de réduire le public cible. Je me demande si c’est pour cela qu’il n’est pas un favori des lectrices… Parce que du côté de la romance, on aime ou on n’aime pas, mais moi, j’ai adoré !



On a ici droit à un couple du type demoiselle noble/homme rustique. Sauf que la demoiselle, loin d’être une mijaurée précieuse et fragile, possède dès le début un courage et un culot certains, avant de se montrer forte pour deux lorsque Severance est quasi-mortellement blessé… Mais surtout, j’aime les hommes rustiques. Pour une fois, le héros n’est pas plus riche, plus célèbre et mieux placé dans la société que notre héroïne ! De plus, il a beau avoir des pulsions sexuelles très claires (c’est un Wolf, n’oubliez pas !), il se démène pour ne pas les imposer à Cidra, ce qui est d’ailleurs assez drôle…



Enfin, un autre trait digne d’être souligné : il n’est pas un tueur de sang-froid, que le méchant l’ait bien mérité ou pas. J’ai lu parfois que la science-fiction, comme l’historique, permettait de se soustraire davantage au politiquement correct… c’est-à-dire de faire mieux passer des héros « macho » ? Eh bien, tant mieux pour moi, ce n’est pas du tout ainsi que j’ai perçu Severance. Malgré son côté lupin, homme de terrain, je l’ai surtout trouvé sensible et réaliste. Or une bonne romance se caractérise par un bon héros, n’est-ce pas ?
Lien : http://romanceville.wordpres..

Par la force des choses, Lavinia Lake et Tobias March sont obligés de faire équipe pour résoudre une étrange énigme. Chantages, meurtres, trahisons sont au programme de ce roman aux multiples rebondissements. Ce duo bien sympathique a egalement beaucoup d'humour, tout comme les personnages secondaires. On devine qu'il y aura sans doute d'autres livres avec les nouvelles aventures de ce couple détonant. Un bon moment de lecture.

Qued'étonnement en lisant ce livre ... arrivée à la dixième page, je me disais déjà çà y est, Desdemona et Starck vont se courtiser, et tout le livre (450pages) va parler de cela. Quelle horreur. Et bien non pas du tout... il y a tout une intrigue pendant le livre qui est très bien écrite. Je fus donc emportée dans le livre et en deux soirées, je l'ai terminé. Très bien écrit, on se sent proche des personnages, on vit "avec". Je n'en dit pas plus pour ne pas gâcher la lecture.

J’ai adoré le personnage de Lyra. Pleine d’humour et de détachement, elle ne se laisse pas facilement impressionner. Simon a fort à faire avec elle. Ce volume, le 5ème dans la série sur Burning Cove, et également l’occasion de découvrir le passé de Raina Kirk et d’approcher de plus près sa relation avec Luther Pell. Toujours dans l’ambiance glamour des années trente où l’on sent les prémices de la guerre s’annoncer et avec une petite touche de surnaturelle.

Il faut savoir que j'adore les livres d'Amanda Quick qui réunissent souvent romance historique et enquêtes. Encore une fois, je n'ai pas été déçue ! Les personnages sont attachants et ont une réelle alchimie. J'ai aimé Louisa qui est une femme forte et indépendante, qui sait se relever et fait preuve de ressource lorsque la vie n'est pas tendre avec elle. J'ai vraiment apprécié que la première fois entre nos deux tourtereaux ne se passe "pas bien" car cela fait plus réaliste que certaines scènes qui partent souvent dans le cliché. J'ai aussi apprécié le fait qu'ils en parlent et en plaisantent mais aussi qu'Anthony ne monte pas du tout sur ses grands chevaux de male blessé dans son égo. L'enquête policière est intéressante et facile à suivre.

Note : 9/10

Romance historique pimentée par une énigme des plus folles, "La Dame de Coeur" nous entraîne dans le Londres de 1830. Nous y découvrons Iphiginia Bright se faisant passer pour la maîtresse du comte de Masters, Marcus Valerius Cloud, afin de démasquer un maître chanteur.

Je suis d'accord que l'histoire est une peu tirée par les cheveux mais cette lecture est pleine de légèreté. Le côté enquête n'est pas pousser à l'extrême (ce qui m'a permis de facilement deviner qui était le méchant de l'histoire) mais les rebondissements restent intéressants. Les personnages sont attachants et j'aime beaucoup la répartie d'Iphiginia et Marcus. Ce que j'aime moins à leur propos est : les mensonges en début de roman d'Iphinia envers Marcus et le côté trop bourru et colérique de Marcus. Je ne vois que deux autres mauvais points à ce livre :

1) les fautes de mise en page de l'édition qui peuvent perturber, surtout au niveau des dialogues ;

2) La scène de la première pénétration (c'est la meilleure description que je peux donner puisqu'il ne s'agit pas vraiment de leur première fois) d'Iphiginia. Iphiginia est encore dans un mensonge envers Marcus et celui-ci est peu attentif à elle. Heureusement, ils sont capables de se remettre en question. (La fin me laisse un petit goût amer, si nous voulons entrer dans les détails. J'aurais préféré une véritable déclaration orale de la part de Marcus ; mais je suis peut-être un peu trop tatillonne).

Sinon, j'ai beaucoup apprécié les scènes de sexe. Je ne lis pas spécialement de New Romance car le sexe y est souvent malsain (du moins, chez les plus populaires). Ici, nous restons dans du bel érotisme vraiment agréable à lire.

En bref, cette lecture, rapide et légère, m'a fait beaucoup de bien (elle est juste dans sa critique de la société sans pour autant en devenir pesante).

Ça a failli être un coup de cœur.

Vraiment ça ne s’est joué à pas grand chose 🙁

J’ai adoré les 2 personnages principaux Malcolm et Sophy. Autant elle que lui, ils sont attachants, drôles et pétris de bonnes intentions. Sophy a des idées avant-gardiste sur la condition de la femme, alors que Malcolm est très collet-monté. Malcolm est un ours blessé et Sophy une fleur des champs sauvage et et pleine de fraîcheur. Elle aime Malcolm depuis qu’elle a 18 ans. Mais depuis qu’il est veuf il a tant changé qu’elle est sur la réserve. Ce mariage de convenance et de dernière chance pour elle est une épreuve car elle voudrait se faire aimer de lui, mais rien n’est simple avec Malcolm qui veut un héritier et une épouse docile.

Leurs échanges sont un régal, vraiment j’ai ri de bon cœur. C’est un vrai page turner. Donc personnages, écriture, thèmes tout est parfait. Simplement j’ai un bémol sur la fin et un événement un peu dramatique dont je n’ai pas aimé la résolution. Là aussi c’est un ressenti personnel qui est peut-être lié à mon mood du moment qui sait !

A lire quoiqu’il en soit car c’est savoureux !

Si je devais résumer La Nuit des Amants, ça serait :

Joutes verbales.

Joutes verbales.

Et…

Joutes verbales.

À foison.



Dans ce roman, on suit Victoria, une jeune femme fortunée de Londres, qui fuit les prétendants comme la peste. Pourtant, sa rencontre avec le nouveau comte du domaine Stonevale va quelque peu chambouler ses habitudes. Elle est une adepte de frissons et d’aventures excitantes en dehors des quartiers aisés. L’une va entraîner l’autre dans ses escapades nocturnes, tandis que cet autre va tenter de séduire la jeune femme.



Honnêtement, j’ai eu du mal au début. Vu la tournure que ça prenait, j’imaginais déjà Victoria succomber au charme fou de Lucas rapidement et ainsi dire adieu à ses idéaux.

Alors ensuite, ça allait mieux. J’ai découvert les aspects sombres des quartiers malfamés de Londres à l’époque victorienne.



Mais.



Pour moi, il y a trop de manipulation. Lucas utilise chaque situation pour la retourner à son avantage, remettant la faute sur Victoria et en lui crachant au nez qu’elle devrait cesser ses caprices. Pas une seule excuse. Trop de « la femme doit faire ce qu’on lui dit parce que je suis l’homme dans l’histoire ».

Alors oui, on est dans une époque où l’égalité homme-femme n’est pas du tout glorieuse (n’entamons pas de débat sur l’époque actuelle s’il vous plaît), mais ça m’a franchement hérissé le poil, si je puis dire. Lucas fait en sorte de contrôler n’importe quelle situation. Victoria essaie de s’en sortir à sa façon, peu conventionnelle, mais aussitôt le comte de Stonevale s’en mêle pour la restreindre, et je trouve qu’elle lui pardonne trop vite.

Mais en fin de compte, est-ce que ça ne représente pas cette époque-là ?



Globalement, j’ai apprécié la trame avec cette histoire de badinage entre les deux, bien qu’avec une petite peur de voir trop rapidement toute la virilité de Lucas se dévoiler dans des étreintes brûlantes avec la jeune femme. Il y a une part de mystère que j’ai bien aimée et qui se dilue au fil de l’histoire.



Peut-être que c’est l’époque victorienne où les hommes et les femmes étaient vraiment différenciés et pas placés au même niveau qui a été dépeint dans le roman, mais certains comportements m’ont déplus.



Du coup, plutôt mitigée sur ce roman.

Que dire de cette couverture affreuse et ce titre mal traduit? Ça ne lui rend pas justice, assurément.

L'histoire se déroule en Arizona, donc dans le désert (pourtant on voit de l'eau sur la photo....) dans une petite ville avec toutes ces rumeurs et commérages.

Avec le titre, on s'attend à une histoire d'amour culcul mais pourtant, le sujet principal du livre est un possible meurtre. Oui, il y a quand même une histoire d'amour prévisible mais ça passe bien.

Le livre en soit n'était pas mauvais, je dirais que la mauvaise traduction n'a pas dû tout aider tout au long de l'intrigue. Puis, il est sorti en 1999 et a un peu mal vieilli à mon avis.



C'était divertissant sans plus.

un livre facile a lire mais je dois avouer que l'histoire n'etait pas trop recherchée dailleurs y'avait pas de conflits emotionnels entre les deux heros "elias" j'ai adoré ce prenom et charity ils etaient toujours daccord y'avait pas dans cette histoire un coup de magie ou quelque chose de special

mais bon j'ai appris quelque chose qui s'appelle: tal kek chara; art chinois se basant sur le pouvoir de l'eau

Ce n'est peut-être pas de la grande littérature mais la lecture est agréable, l'intrigue est intéressante, et j'ai passé un agréable moment en lisant ce roman. Je me serais passé des scènes d'amour qui n'apportent pas grand chose.

Coup de coeur pour cette magnifique romance avec des héros plein de caractère et touchants. J'ai adoré cette lecture.

lu il y a longtemps, j'adorais cette auteure, il faudrait que je la relise. de la passion, de l'humour et un poil de fantastique, une bonne lecture.

lu il y a longtemps, j'adorais cette auteure, il faudrait que je la relise. de la passion, de l'humour et un poil de fantastique, une bonne lecture.

lu il y a longtemps, j'adorais cette auteure, il faudrait que je la relise. de la passion, de l'humour et un poil de fantastique, une bonne lecture.

lu il y a longtemps, j'adorais cette auteure, il faudrait que je la relise. de la passion, de l'humour et un poil de fantastique, une bonne lecture.