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Citations de Jean-Jacques Rousseau (1370)


Il changea de religion pour avoir du pain.
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Quand je vois chacun de nous sans cesse occupé de l'opinion publique étendre pour ainsi dire son existence tout autour de lui sans réserver presque rien dans son propre cœur, je crois voir un petit insecte former de sa substance une grande toile par laquelle seule il paraît sensible. La vanité de l'homme est la toile d'araignée qu'il tend sur tout ce qui l'environne. Commençons par redevenir nous, par nous concentrer en nous, commençons en un mot à nous rassembler où nous sommes…
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Jean-Jacques Rousseau
L'haleine de l'homme est mortelle à ses semblables : cela n'est pas moins vrai au propre qu'au figuré
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Tout est fini pour moi sur la terre : on ne peut plus m 'y faire ni bien ni mal .Il ne reste plus à espérer ni à craindre en ce monde .ni prochain .et m 'y voilà tranquille au fond de l 'abîme .pauvre mortel infortuné . mais impassible comme Dieu même .
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Vivre est le métier que je veux lui apprendre.
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Ces heures de solitude et de méditation sont les seules de la journée où je sois pleinement moi et à moi sans diversion, sans obstacle, et où je puisse véritablement dire ce que la nature a voulu.
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Jean-Jacques Rousseau
Je ne suis à moi que quand je suis seul
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Le repos est moindre, il est vrai, mais il est aussi plus agréable quand de légères et douces idées, sans agiter le fond de l’âme, ne font pour ainsi dire qu’en effleurer la surface.
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Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède.
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Celui-ci est est le mécanicien qui invente la machine, celui-là n' est que
l' ouvrier qui la monte et la fait marcher. " Dans la naissance des sociétés , dit
Montesquieu, ce sont les chefs des républiques qui font l' institution et c' est
ensuite l' institution qui forme les chefs de républiques.
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La conclusion du discours :

"Il suit de cet exposé que l'inégalité, étant presque nulle dans l'état de nature, tire sa force et son accroissement...des progrès de l'esprit humain et devient enfin stable et légitime par l'établissement de la propriété et des lois."

"...puisqu'il est manifestement contre la loi de nature...qu'une poignée de gens regorge de superfluités, tandis que la multitude affamée manque du nécessaire."
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Le sentiment de l'existence dépouillé de toute autre affection est par lui-même un sentiment précieux de contentement et de paix qui suffirait seul pour rendre cette existence chère et douce à qui saurait écarter de soi toutes les impressions sensuelles et terrestres qui viennent sans cesse nous en distraire et en troubler ici bas la douceur.
Mais un infortuné qu'on a retranché de la société humaine et qui ne peut plus rien faire ici bas d'utile et de bon pour autrui ni pour soi, peut trouver dans cet état à toutes les félicités humaines des dédommagements que la fortune et les hommes ne lui sauraient ôter.
Il est vrai que ces dédommagements ne peuvent être sentis par toutes les âmes ni dans toutes les situations. Il faut que le cœur soit en paix et qu'aucune passion n'en vienne troubler le calme. Il y faut des dispositions de la part de celui qui les éprouve, il en faut dans le concours des objets environnants. Il n'y faut ni un repos absolu ni trop d'agitation, mais un mouvement uniforme et modéré qui n'ait ni secousses ni intervalles. Sans mouvement, la vie n'est qu'une léthargie. Si le mouvement est inégal ou trop fort il réveille ; en nous rappelant aux objets environnants, il détruit le charme de la rêverie, et nous arrache d'au-dedans de nous pour nous remettre à l'instant sous le joug de la fortune et des hommes et nous rendre au sentiment de nos malheurs. Un silence absolu porte à la tristesse. Il offre une image de la mort. Alors le secours d'une imagination riante est nécessaire et se présente assez naturellement à ceux que le Ciel en a gratifiés. Le mouvement qui ne vient pas du dehors se fait alors au dedans de nous. Le repos est moindre, il est vrai, mais il est aussi plus agréable quand de légères et douces idées sans agiter le fond de l'âme ne font pour ainsi dire qu'en effleurer la surface. Il n'en faut qu'assez pour se souvenir de soi-même en oubliant tous ses maux.
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Jean-Jacques Rousseau
Quel était donc ce bonheur et en quoi consistait sa jouissance ? Le précieux far niente fut la première et la principale de ces jouissances que je voulus savourer dans toute sa douceur...
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Notre manie enseignante et pédantesque est toujours d'apprendre aux enfants ce qu'ils apprendraient beaucoup mieux d'eux-mêmes, et d'oublier ce que nous aurions pu seuls leur enseigner. Y a-t-il rien de plus sot que la peine qu'on prend pour leur apprendre à marcher, comme si l'on en avait vu un qui, par la négligence de sa nourrice, ne sût pas marcher étant grand ? Combien voit-on de gens au contraire marcher mal toute leur vie, parce qu'on leur a mal appris à marcher !
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J'ai des passions très ardentes, et tandis qu'elles m'agitent, rien n'égale mon impétuosité : je ne connais plus ni ménagement, ni respect, ni crainte, ni bienséance ; je suis cynique, effronté, violent, intrépide ; il n'y a ni honte qui m'arrête, ni danger qui m'effraie : hors le seul objet qui m'occupe, l'univers n'est plus rien pour moi. Mais tout cela ne dure qu'un moment, et le moment qui suit me jette dans l'anéantissement.
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Il lui apprend l'art difficile de supporter patiemment l'adversité.


NDL :
J'aurai beaucoup de choses à dire là-dessus... Tiens, je pourrais écrire un petit conte avec ce thème, il ne me reste plus qu'à trouver des personnages et une trame...
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il n’y a point de bonheur sans courage ni de vertu sans combat » …
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Jean-Jacques Rousseau
La mode étouffe le goût.
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D'ailleurs, tout malfaiteur attaquant le droit social devient, par ses forfaits, rebelle et traître à la patrie, il cesse d'en être un membre en violant ses lois, et même il lui fait la guerre.
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Mon esprit, restant dans la plus solide assiette que j'avais pu lui donner, s'accoutuma si bien à s'y reposer à l'abri de ma conscience, qu'aucune doctrine étrangère ancienne ou nouvelle, ne peut plus l'émouvoir ni troubler un instant mon repos.
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