AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jim Harrison (1060)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Dalva

Bon , on va pas se mentir , y a comme un méchant sentiment de frustration au final . Souvent comparé à Joseph Boyden que j'adore et inversement proportionnel à la tengente , j'esperais me perdre corps et ame dans une nature magnifiée , exacerbée . Je n'irais pas jusqu'à parler de perte de temps , restons honnete , mais le constat est bien là : déception !

Tel le petit galopin à la vue d'un grand huit tentaculaire , j'ai pris place dans ce wagonnet tentateur , gravissant lentement et inexorablement une pente qui , immanquablement , déboucherait sur un palpitant et enivrant plaisir de lecture . Livre terminé . Je pense en avoir appréhender les lignes directrices , si , si , ne soyez pas désobligeants . Et j'ai toujours cette vaine espérance d'un manege prometteur qui jamais ne me grisera .



Pourtant , au vu des critiques ditrhi , dihti , raaaaahhh , élogieuses , la trame historico-familiale s'avérait plaisante ! Des personnages forts , emblématiques et fouillés . De magnifiques paysages , véritables invitations au voyage et au dépaysement . Mais là ou le bat blesse , c'est cette profusion de détails , d'évenements circonstanciés qui , par manque de liant , ont fait que jamais au grand jamais je ne me suis senti concerné par ce récit . Véritable spectateur passif d'une histoire aussi fouillée que fouillie . Le style est enlevé et pourtant , cette surabondance de faits , cet éclatement narratif justifient pleinement cette absence d'empathie et d'implication de ma part . Un manque de sobriété pénalisant et faisant d'un bouquin chronophage un livre juste agréable...Dommage..



Dalva , 45 ans , femme libre hantée par un noir passé . 15 ans , déces de son pere en Corée . 17 ans , disparition de son grand-pere devenu alors tuteur et modele . Elle se verra également enlevé son fils des la naissance , fruit d'un amour interdit et contrarié . Sinon , tout va bien...

Michael , son petit ami du moment , plus prompt à la faire rire qu'à la faire jouir ( dixit l'auteur ) et féru d'histoire Amerindienne, la convainc alors de l'autoriser à mettre son nez dans les journaux de son arriere grand-pere . Dalva , quand à elle , est bien décidée à retrouver et renouer avec un fils qu'elle ne connait pas . Voilà le point de départ d'un drame familial se jouant sur quatre générations . Les voyages temporels s'enchainent . Les écrits apportent leur comptant de révélations historiques et familiales . Les pérégrinations de Michael , pur citadin laché dans un environnement hostile et au contact d'autochtones surprenants qu'il découvre , sont plutot jubilatoires . Le dénouement est sublime mais ne suffit pas à combler et faire oublier ces longs moments de solitude . Cette persistante sensation que le bouquin ne va jamais décoller...



J'avais sorti le canoé , m'attendant à etre balloté par des flots tumultueux ! Au final , ce triste sentiment d'avoir pagayé sur une mer d'huile en faisant du surplace...Ça devait monter...

Ce qui ne m'empechera pas , afin d'infirmer ou de confirmer une premiere impression plus que mitigée , d'attaquer Sur la Route du Retour...de flammes ! Qui sait ?



Commenter  J’apprécie          979
Dalva

souvenir unique de lecture : ils sont peu nombreux les romans que j'ai terminés en ayant carrément une boule dans la gorge et les yeux brillants à la dernière phrase. Parce que vous savez à cet instant précis que, ça y est, vous avez quitté le livre, c'est fini.

Et pourtant je l'avais commencé à contre coeur et pour me débarrasser car mon frère n'arrêtait pas de me dire " lis le ! " et moi ça m'agaçait ...

Jim Harrisson vous emmène avec lui et vous raconte l'Amérique, vous la fait rêver, sentir, respirer, écouter en compagnie de personnages en souffrance mais beaux, et surement beaux parce qu'en souffrance ...On rit beaucoup, on sourit, on a mal, on est émerveillés. On se laisse entrainer aveuglément même si on ne sait pas ou on va car on sent qu'on ne risque rien : l'amour est là partout, dans chaque mot, chaque phrase de Jim Harrisson ...
Commenter  J’apprécie          150
Dalva

Dalva, femme du Middle West, raconte à travers son journal, sa vie et celle de sa famille, riches fermiers respectueux de la Nature et de la culture indienne. Dalva se cherche à travers l'histoire de sa famille, car elle n'arrive pas à trouver un équilibre sentimental et professionnel, tant elle est hantée par l'abondon de son enfant alors qu'elle n'était qu'une adolescente.

Tous les personnages sont attachants, leur sincérité est touchante... l'oncle voyagant par monts et par vaux, Ruth, la soeur qui veut être enceinte, le beau-frère devenu homosexuel, la belle-mère amoureuse des oiseaux...

Jim Harrison raconte l'Amérique profonde dans une histoire où chaque mot est un hymne à l'amour, à la vie, à la nature

Commenter  J’apprécie          120
Dalva

Que m'est-il arrivée? Normalement, j'adore Jim Harrison mais je ne suis arrivée à lire ce livre entièrement car je me suis, tout simplement, ennuyée.
Commenter  J’apprécie          10
Dalva

Dalva est un chef d'œuvre, comme un puissant révélateur de qui nous sommes. L'auteur est bien plus que l'ogre des grands espaces que l'on nous vend. Ce livre est inclassable, terriblement humain, parfaitement écrit, la vie sans cliché, l'amour, la nature, la famille ... je le relis depuis quinze ans, et redécouvre à chaque fois sa richesse
Commenter  J’apprécie          00
Dalva

Ce livre est un coup de coeur qui n'a pas eu l'immédiateté du coup de foudre de Dalva pour Duane. C'est dans le soin apporté aux détails, que ce soient les descriptions, la lente évolution de ses personnages, les incartades gastronomiques qui font saliver et la fresque historique sous-jacente que ma lecture a pris le temps de m'habiter. Au fil des pages, mon coeur s'est gonflé d'amour et de liberté. Je crois que ce livre possède une atmosphère tout à fait particulière qui fait apprécier pleinement le fait d'être en vie à partir de choses simples et de relations humaines bienveillantes malgré leur complexité. La famille de Dalva est magnifique et magnifie tout ce/ceux qui l'entourent.
Commenter  J’apprécie          180
Dalva

C'est une cliente-amie qui m'a prêté ce livre. Je le lisais chaque jour dès que j'avais un moment et je l'appréciais. Seulement, le 02 avril, j'ai subi un braquage où je bosse(ais?) et j'ai arrêté de lire, je ne pouvais plus me concentrer. La concentration est revenue mais j'ai abandonné la lecture de ce livre.
Commenter  J’apprécie          10
Dalva

. J’ai mis un peu de temps à entrer dans ce roman mais le plaisir qui a suivi n’en a été que plus grand . A travers ce portrait de femme en quête ,le grand Jim entraîne son lecteur dans un tourbillon de sensualité où tous les sens sont nourris , dans une réflexion sur la mémoire et l’Histoire ,grande et petite et ,comme toujours chez lui ,en arrière-plan, grondent les tambours de la « Ghost dance » des Indiens massacrés .
Commenter  J’apprécie          81
Dalva

C'est l'histoire d'une famille américaine, de la fin du XIXième siècle jusqu'aux années 1980. Elle est contée par Dalva, arrière petite-fille d'un pasteur missionnaire auprès des Sioux pendant les guerres contre les indiens, et par Mickaël, un historien qui étudie les archives de la famille.

Jim Harrison écrit à sa manière habituelle, comme si ses histoires étaient une suite d'anecdotes, avec des retours en arrière, des ellipses, des récits qui arrivent comme au fil de la pensée, comme on le ferait dans un journal. On retrouve ses thèmes de prédilection, les indiens, la botanique et l'ornithologie, l'homme face à la nature et aux grand espaces, le tout avec l'humour dont il est coutumier. Comme d'habitude, ses personnages aiment l'amour, la bonne nourriture et le bon vin, et sont en quête de leur passé.



J'avais beaucoup aimé "De Marquette à Veracruz" et "Retour en Terre", mais là c'est encore un niveau au-dessus. Le thème de fond (le génocide des indiens et l'indifférence, voire l'ignorance des Américains à ce sujet) est ici encore plus fort, ce qui rend cette lecture encore plus intense.

Une lecture à déguster par petites gorgées.



Eh les babéliami-e-s, c'est comment qu'on met une sixième étoile ?
Commenter  J’apprécie          551
Dalva

Jim Harrison est le grand spécialiste des espaces infinis de l'Oncle Sam, ses vastes plaines désertiques, ses ranches isolés dans la steppe, ses ravins ocres et rocailleux. Ses chevaux indomptables, ses daims farouches, ses coyotes, ses serpents, ses loups. Ses tribus indiennes oubliées. A travers l'album familial de son héroïne, il fait renaître deux siècles d'histoire, ou comment ces civilisations reculées, guerrières mais avisées, emplies de cette sagesse de la nature qui nous fait tant défaut, se sont faites spolier leurs terres et massacrer leurs enfants par une société de brutes irréfléchies mais mieux armées - la notre.



Cette histoire, elle nous est racontée à travers plusieurs voix. Il y a Michael, l'amant de la ville, historien, scientifique, urbain sans repère hors des murs bétonnés et habité d'une forte propension à boire, buller et regarder les jupes.

Il y a Wesley, l'arrière-grand-père témoin, ami des Sioux et insoluble tourment des généraux.

Il y a ces quidams que l'on croise, dans les bars, dans les fermes, dans les fêtes de village, ces bourrins joviaux, limités mais honnêtes, taiseux et braves.

Et puis au centre, il y a Dalva. De filiation sioux, elle est sauvage, obstinée, travailleuse et solitaire. Elle garde toujours au fond de son coeur Duane, l'amour de jeunesse impossible. Duane le fier, l'insaisissable. Duane qui lui a laissé un fils mais qu'elle ne connait pas, qu'elle n'ose pas connaitre, et qui la hante.



A vrai dire Dalva est peu avenante. Elle n'est pas votre amie, et vous aurez du mal à l'approcher. Mais son destin est parsemé de personnages hauts en couleur qui, eux, vous emporteront immédiatement. Son ami décalé, sa soeur un peu paumée, ses rustres de voisins, son aïeul passionnant.

Harrison aime autant sa patrie qu'il la hait : il sait simplement d'où il est. Et à sa suite nous aussi, on se sent un peu yankee.



3/5
Commenter  J’apprécie          140
Dalva

En 1986, Dalva est une femme de quarante-cinq ans vivant seule en Californie. Farouchement indépendante, elle s'investit dans le domaine de l'aide à l'enfance et a de nombreux amants qui deviennent bien souvent des amis proches lorsque toute relation amoureuse a disparu. En dépit de sa force apparente, Dalva souffre. Et pour exorciser cette souffrance elle tient un journal à son image, tout en digressions sur son passé et son avenir, avec le vocabulaire direct qui lui est propre.



C'est par ce biais que le lecteur apprend que Dalva a du sang Sioux dans les veines et que sa vie est jalonnée de deuils et de ruptures brutales. Parmi ces dernières, il y a cet enfant qu'elle a été contrainte d'abandonner à la naissance, alors qu'elle n'avait que 16 ans, et qu'elle brûle de plus en plus de connaître. C'est en nous relatant cette prise de conscience qu'elle nous raconte une Histoire de l'Amérique à sa façon, une Histoire que cinq générations de sa famille ont vécu, le pan le plus sombre de la grande Histoire des Etats-Unis.



Pour cela Dalva est relayée dans sa narration par l'un de ses amants, qui entreprend les recherches historiques les plus lointaines, dès la fin de la Guerre de Sécession, et qui nous fait découvrir de larges extraits du journal intime de l'un de ses ancêtres qui passa sa vie à défendre les Sioux. Mais entre chacun de ces extraits, il nous parle aussi de Dalva telle qu'il la perçoit, et cherche une solution pour saisir enfin pleinement sa personnalité.



Le roman joue donc avec de nombreuses voix, que ce soit celles des morts ou celles des vivants. En cela, Jim HARRISON démontre qu'il est un admirateur éclairé du « courant de conscience » de William FAULKNER, style littéraire spontané, et en apparence erratique, mais bel et bien travaillé à l'extrême pour rendre compte du fait que les souvenirs lointains, même les plus oniriques, sont fortement ancrés dans la conscience présente. C'est ainsi que Dalva retrouve finalement son fils, mais seulement après avoir retrouvé ses propres origines.



HARRISON se démarque toutefois de son modèle puisque là où les héros de FAULKNER sont hantés par la culpabilité, Dalva se sent elle parfaitement innocente et vit pleinement avec son temps. Cela en fait une héroïne duale, à la fois romantique et pragmatique, et très émouvante, le lecteur étant transporté par le récit de sa vie et de celle de ces ancêtres. Cela fait aussi de ce roman une oeuvre d'une rare force pour rendre compte de la manière la plus subtile qui soit de la tragédie du peuple Sioux.
Commenter  J’apprécie          180
Dalva

Je trouve qu'il emmène dans un univers très enrichissant. Il me fait voyager là où je n'ai jamais mis les pieds. J'adore sa façon de nous présenter une vie ordinaire, la rendant magistrale. Je suis conquise par cette plume depuis plusieurs livres déjà...
Commenter  J’apprécie          00
Dalva

Un des meilleurs livres du grand Jim

Commenter  J’apprécie          10
Dalva

Un bouquin merveilleux !
Commenter  J’apprécie          00
Dalva

Je sais que beaucoup ont encensé ce livre, je ne serai pas du nombre. Je l'ai trouvé barbant en fait, plein de longueurs et de blablas pas très utiles à l'histoire. J'ai cru que j'aurais pas le courage d'aller jusqu'au bout d'ailleurs. Je crois pas que je tenterai de lire un autre livre de cet auteur, c'est pas ma tasse de thé je pense.
Commenter  J’apprécie          10
Dalva

Deuxième tentative de lecture et cette fois ci c'est la bonne.

Comme la première fois je n'ai pas été enthousiasmée par la vie de Dalva mais c'est la consultation des archives de la famille à Dalva qui m'a interpellée.

L'arrière grand-père Northridge était missionnaire et ami des sioux au point de tuer des soldats qui humiliaient ce peuple.

Harrison, écrivain américain nous interpelle sur le génocide des amérindiens et plus particulièrement sur le massacre de Wounded Knee en1890 durant lequel furent mitraillés plus de 200 Sioux dont des enfants et des femmes.

Un roman à l'âme triste.







Commenter  J’apprécie          11
Dalva

En 1989, paraît le roman Dalva par Jim Harrison, qui sera qualifié comme "le grand roman de l’Amérique éternelle, l’Amérique de la prairie et des forêts".



Dalva, c’est une jeune femme moderne, évoluant dans les années 1980 dans cette Amérique en plein changement. Une jeune femme qui cache bien des mystères, à commencer par une partie de son sang indien, qui est à la base de son prénom et de bien d’autres secrets de famille. Dans ce roman touffu et complexe, s’entrecroisent en effet la modernité des États-Unis de cette époque, mais également la résurgence des antagonismes qui ont traversé le 20e siècle : la question des Indiens, les krach boursiers, etc.



La plupart du temps pourtant, le texte nous emmène dans une Amérique sauvage, digne de l’ère des grands westerns, alors que cela me semblait être une époque révolue : mais ici, pas de cow-boys héros, mais de pauvres ranchers au cœur dur qui tentent de survivre à la modernisation des pratiques; pas de belles indiennes à sauver mais un peuple opprimé qui peine à retrouver son identité, et qui aujourd’hui encore, souffre des préjugés des Américains.



"Il m’a rétorqué qu’il ne voulait pas entendre parler des Indiens parce qu’ils causaient des ennuis. Et il causait des ennuis parce que c’étaient des "animaux" différents de nous [..] Cette remarque assez précise m’a paru intéressante. Nous autres universitaires croyons volontiers que nous irradions la logique et la raison pure dans tout le pays, alors qu’il suffit de s’arrêter à une station-service ou d’ouvrir le journal pour s’apercevoir du contraire. L’éducation n’a jamais réussi à éliminer la loufoquerie fondamentale de l’esprit américain."



Dalva, c’est aussi une belle mais terriblement triste histoire d’amour, qui comme beaucoup d’histoire d’amour romanesque est celle d’un lien impossible entre la jeune fille et un jeune Indien, victimes de contingences familiales.



Dalva c’est aussi la quête d’une mère qui s’est vue arracher son enfant et qui portera ce poids toute sa vie.



Dalva c’est aussi le sauvetage d’un intellectuel qui va découvrir la beauté et la dureté de la campagne, et sortir de son alcoolisme par le travail et la découverte d’un terrible secret familial …



Bref, Dalva est un roman magnifique, par les thèmes qu’il aborde, les personnages qu’il fait intervenir, et je suis bien obligée d’avouer que c’est un texte de qualité. Malheureusement cela n’a pas suffit et je dois également avouer que je suis un peu passée à côté, souffrant presque à chaque fois que je le reprenais : je m’embrouillais dans les noms, dans les époques (car on passe allégrement de 1850 à 1980), dans les histoires …



Un roman que je conseille cependant car je reconnais toutes ses qualités, même s’il fut un échec pour moi.
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
Commenter  J’apprécie          383
Dalva

Merci petit Jésus, j'ai enfin terminé ce bouquin. Cette première phrase en dit long sur mon ressenti.



Non pas que ce soit mauvais: c'est bien écrit, bien construit, réaliste. Mais je suis totalement passée à côté. A mes yeux, ça manquait terriblement d'âme. Je ne suis jamais parvenue à me mettre dans la peau des personnages ou à simplement compatir avec eux. Dalva me semblait presque hors du monde, peu ou pas affectée par les événements qui l'entouraient (à quelques rares exceptions près), éthérée, absente, souvent trop lyrique à mon goût. Quant à Michael, n'en parlons pas: un intellectuel alcoolique et pathétique, mal taillé pour la vie, en permanence à côté de la plaque.



Au fond, ça racontait quoi, "Dalva"? Le fragment de vie d'une arrière-petite-fille descendante de sioux (soit 1/8e de sang indien) qui accepte de confier les journaux de son arrière-grand-père à un historien universitaire instable dont c'est la dernière chance de briller. A part ça, il ne se passe rien, ou pas grand-chose. Dalva fait le point sur sa vie, rentre dans sa région natale, décide d'y rester pour de bon et de lâcher un peu les fantômes qui la hantent. Michael a des révélations sur sa vie et ce qu'il en a fait. On entend le vent, les coyotes, les oies. On fait de belles ballades à cheval. On se baigne, on regarde les oiseaux. Voilà, voilà, voilà.



Je me suis ennuyée, j'ai failli zapper certaines descriptions qui s'étendent sur plusieurs pages, et jamais je ne me suis sentie touchée. Pourtant, il y avait matière, puisque le thème m'intéressait beaucoup. En refermant le livre, je me suis dit "Et alors? Tout ça pour ça?"



A lire si vous avez du courage, si vous aimez les longues introspections et que les grandes descriptions de paysages ne vous rebutent pas.
Lien : http://cequejenlis.canalblog..
Commenter  J’apprécie          90
Dalva

Portrait magnifique. Tous les matins de Dalva
Commenter  J’apprécie          20
Dalva

Un réel coup de coeur pour Dalva, personnage féminin attachant qui dévoile peu à peu les moments les plus intimes de sa vie. J'ai vraiment été touchée par l'histoire et j'ai adoré me promener dans le Nebraska (ses ranchs, ses paysages...). J'ai hâte de lire la suite et de retrouver Dalva et sa famille, dont le destin est assez tragique.
Commenter  J’apprécie          190




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jim Harrison Voir plus

Quiz Voir plus

Jim Harrison, l'homme du Michigan...

Parmi ces nouvelles, laquelle ne figure pas dans le recueil "Légendes d'Automne" paru en 1979?

Une vengeance
Légendes d'Automne
En route vers l'Ouest
L'Homme qui abandonna son nom

10 questions
119 lecteurs ont répondu
Thème : Jim HarrisonCréer un quiz sur cet auteur

{* *}