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Critiques de Jim Harrison (1059)
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Dalva

relu à vjngt ans d'écart. Un chef d'ouevre!!!
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Dalva

Un chef d'oeuvre tout simplement.Jim Harrison est un des plus grands ecrivains modernes americains et son oeuvre doit etre decouverte tant elle est riche et diverse.Ce livre se lit tres facilement car l'action est constante et maintient l'interet.Une bonne facon de decouvrir l'œuvre de l'auteur.
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Dalva

Un réel coup de coeur pour Dalva, personnage féminin attachant qui dévoile peu à peu les moments les plus intimes de sa vie. J'ai vraiment été touchée par l'histoire et j'ai adoré me promener dans le Nebraska (ses ranchs, ses paysages...). J'ai hâte de lire la suite et de retrouver Dalva et sa famille, dont le destin est assez tragique.
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Dalva

Troisième livre de Jim Harrison que je lis. J’aime ce bonhomme ! Quel talent pour évoquer ce lien qui nous unit à la terre et au vivant ! Ici, c’est au travers de l’histoire d’une femme Dalva, de sa famille et du génocide des Indiens. J’avoue m’être un peu perdue en lisant ce livre : il est épais et les allers-retours d’une époque à l’autre incessants. Mais finalement, mon errance au fil des pages répondait bien à celles de l’héroïne. Malgré la dureté des époques évoquées, il émane beaucoup de douceur des différents personnages. Livre réconfortant...
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Dalva

Le sujet :

Santa Monica, 1986. Parce qu’elle est menacée de mort pour avoir pris la défense d'un jeune garçon violé, Dalva décide de quitter Santa Monica pour le Nebraska, berceau de sa famille.

Son proche départ est l’occasion pour elle de se mettre à écrire une sorte de journal testament destiné à ce fils qu'elle a dû abandonner dès sa naissance.



Lire la suite de cet article :


Lien : http://monbiblioblog.blogspo..
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Dalva

J'avais entendu parler de Jim Harrison depuis un moment, sans pour autant m'être lancée dans un de ses livres. C'est chose faite avec Dalva, qui m'a tenue en haleine plusieurs jours d'affilée, me poussant à reporter le moment où j'appuierai sur l'interrupteur de ma lampe de chevet...

Malgré sa taille respectable, on reste accroché grâce aux changements de narrateurs, suffisamment bien faits pour conserver le fil de l'histoire et rythmer son déroulement.

Dalva nous emmène dans son passé, son présent et son futur à travers ses interrogations sur son fils "perdu", au milieu de l'histoire entre Indiens natifs et néo-américains qui cherchent à s'accaparer leurs terres pour construire l'"Amérique" telle qu'ils la voient.

Des paysages sublimes, une histoire bien menée et une Histoire bien racontée, du suspens, pas de déception à la fin du roman, la rencontre de peuples au niveau de la société et de l'individu, et les conséquences de leurs mélanges à différents niveaux : tout est là !
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Dalva

Un gros pavé ! Après un petit effort j'ai dévoré ce roman. Jim Harrison nous raconte l'histoire de DALVA dans les années 80, sa triste histoire d'amour avec un bel indien et également l'extermination des derniers indiens aux USA. Dalva est l'arrière petite fille d'un pasteur auprès des SIOUX.



L'auteur nous fait voyager au 19 ème siècle grâce aux archives de cette famille peu ordinaire. Michael, historien obtient l'autorisation de consulter ces documents exceptionnels.



Un peu de mal au début pour m'y retrouver entre les personnages et les retours vers le passé.



Vous allez découvrir la vie dans l'Amérique profonde.... j'ai aimé les promenades à cheval de DALVA, ses nuits seule au milieu de nul part, ses baignades avec sa jument. Livre très intéressant, Je le recommande vivement. François Busnel, La Grande Librairie m'a fait aimé Jim Harrison, Merci !

Mireine

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Dalva

Déception



Et bien là, je ne comprends pas du tout comment Dalva ait pu être mis dans la catégorie « Nature Writing »



Vraiment, de quoi s’agit-il ?

D’une femme Dalva qui à un très jeune âge a dû abandonner son bébé. Cette femme a des aïeuls sioux. Elle est originaire du Nebraska.

Elle raconte sa vie dans la première partie: son adolescence et l’épisode de sa grossesse sont les plus détaillés. Elle doit se ‘cacher ‘ chez son oncle etc etc

Sa vie d’adulte est racontée par bribes. Style particulier mais bon, jusque là je lisais encore avec motivation.

Un de ses nombreux amants, Michael, la persuade de lui donner accès à des documents détenus par sa famille afin d’écrire un livre sur les autochtones du Nebraska.



Michael devient le narrateur de la deuxième partie.

Il s’agit surtout d’alcool et de sexe, le tout entrecoupé de quelques textes ‘historiques ‘ datés des années 1860. Ce sont des textes extraits des journaux d’un missionnaire ( l’arrière grand père de Dalva). Ils évoquent sa quête et ses rencontres avec les Sioux. Dans ces textes j’ai apprécié la narration. La nature est présente ainsi que la bonté de cet homme qui s’est défait des préjugés communs de l’époque sur les autochtones.



La 3ème partie est de nouveau racontée par Dalva elle-même. Là encore je suis restée sur ma faim.



Ce livre est souvent d’un sexisme ridicule.

Michael est un type pathétique et plutôt détestable.

Et Dalva? Très belle, riche et très forte de caractère. Pourtant elle ne m’a pas convaincue.



Le contenu historique est intéressant mais j’aurais préféré que l’auteur s’en tienne aux journaux du missionnaire. Le reste est selon moi souvent de mauvais goût.

J’ai aimé qu’il y ait des animaux comme les chevaux les oies et les chiens. Ça n’a pas été suffisant pour moi comme vous l’avez déjà compris 😅



Avez-vous apprécié Dalva?



J’espère découvrir d’autres livres sur les amérindiens.



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Dalva

Quelle déception. Sur le papier, ce livre avait tout pour me plaire. Dans les faits, si j'ai aimé les descriptions du Nebraska, les passages axés sur les Sioux et ceux liés à la maternité de Dalva, mon expérience a complètement été gâchée par le personnage de Michael et par l'obsession de Jim Harrison pour le sexe. L'auteur a du talent, c'est indéniable, et il aborde des thèmes passionnants. Mais j'aurais aimé pouvoir lire ce livre de plus de 500 pages sans avoir toutes les deux pages au choix : une érection incongrue, une tentative de viol prise à la légère y compris par la victime, un homme qui regarde sous la jupe d'une femme ou touche ses fesses sans son consentement, une gamine qu'on traite de trainée et d'aguicheuse alors qu'il s'agit d'une mineure sexualisée par un homme trentenaire voire plus âgé... Quant au personnage de Dalva, je suis assez mitigée. Elle est très certainement plus aboutie que le personnage féminin de l'autre roman que j'ai lu de Jim Harrison (Un bon jour pour mourir), mais j'ai souvent trouvé que ses émotions n'étaient pas assez creusées et j'ai fréquemment songé que dans de telles situations, une femme n'aurait pas fait ou pensé telle ou telle chose. Quelque chose ne sonnait pas juste. Dalva m'a semblé plus tenir d'une incarnation féminine fantasmée de l'auteur que d'une femme authentique.

Et pourquoi écrire toute la deuxième partie du livre du point de vue de Michael ? Ce fut un véritable calvaire à lire. Ce personnage est l'un des plus pitoyables qu'il m'ait été donné de lire. Je n'explique pas le succès (sexuel) qu'il a auprès des femmes, si ce n'est par la volonté de l'auteur. Il est agaçant plus qu'il n'est intéressant et n'apporte rien à l'histoire.

Par ailleurs, je ne sais pas si c'est parce que j'ai eu du mal à rester concentrée sur ma lecture ou s'il s'agit d'un défaut réel, mais j'ai eu la sensation de passer plus d'une fois du coq à l'âne, c'était confus et je ne comprenais pas comment nous en étions arrivés à certaines situations.



J'ai l'impression d'avoir lu un livre complètement différent de celui décrit par les autres critiques et par la quatrième de couverture qui évoque un "chef d'œuvre humaniste" et un "hymne à la vie". Tout cela est très certainement quelque part, noyé dans les défauts du roman. Quel gâchis.
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Dalva

De grands espaces, l'histoire des indiens, une femme incroyable, une histoire d'amour, des histoires de famille, un roman qui mêle passé et temps présent...que demander de plus?
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Dalva

Le roman de l'Amérique. Jim Harisson tient toutes ses promesses, et pourtant, j'en avais entendu sur ce livre : le plus beau de tous les temps, le meilleur que j'ai jamais lu, etc. Eh bien, je n'ai pas été déçue. Du style, des idées, de l'humour, tout pour plaire. Un grand moment de lecture et, osons le mot, de littérature...
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Dalva

Un livre lu il y a quelques années mais qui m'évoque un souvenir ému à chaque fois que je vois quelqu'un le lire.
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Dalva

Délivrance! C'est le sentiment que j'ai eu en terminant ce livre. Il se compose en trois parties: la première racontée par Dalva elle même (présent), la deuxième racontée par son petit ami professeur qui étudie les journaux de l'arrière grand-père de Dalva (missionnaire impliqué dans la défense des sioux) et la troisième à nouveau par Dalva. Certes on ne peut que tomber amoureux de Dalva, femme libre capable de se débrouiller toute seule dans la nature hostile de son Nebraska natal. Certes on est sensibilisé à la cause des amérindiens et on a envie d'en savoir un peut plus après la lecture du livre (notamment à propos des grandes figures sioux, de la "danse des fantômes", du massacre des indiens). Mais le style d'écriture ne m'a pas plu du tout. C'est très dense et bourré de sous-entendus. Chaque mot a son importance. On ne peut pas le lire à la légère. Ce qui m'a le plus gênée, c'est la deuxième partie racontée par le professeur que j'ai trouvée ultra ennuyante. En outre, dans le journal de l'arrière grand père de Dalva, c'est bourré d'allusions que je n'ai pas toutes comprises faute de connaissances géopolitiques et historiques de la cause des sioux.
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Dalva

J'avais beaucoup entendu chanter les louanges de Jim Harrison et je dois dire que ma déception est immense à la lecture de ce roman. Pour qu'un roman soit réussi, trois éléments sont indispensables. Une bonne histoire, des personnages forts et un style de qualité. Harrison écrit très bien et ses personnages sont crédibles, là n'est pas le problème. En revanche, il a tout bonnement oublié d'inventer une histoire. Ce roman est une succession de bavardages stériles et Dalva, hormis coucher avec tout ce qui a un zizi, ne fait pas grand-chose. J'ai lu que lorsque l'auteur a écrit ce livre, il tâtait de la bouteille. Cela se voit au résultat. Dommage car Jim Harrison a incontestablement du talent. Il y a de très beaux passages mais l'ensemble est bien trop décousu.
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Dalva

En 1989, paraît le roman Dalva par Jim Harrison, qui sera qualifié comme "le grand roman de l’Amérique éternelle, l’Amérique de la prairie et des forêts".



Dalva, c’est une jeune femme moderne, évoluant dans les années 1980 dans cette Amérique en plein changement. Une jeune femme qui cache bien des mystères, à commencer par une partie de son sang indien, qui est à la base de son prénom et de bien d’autres secrets de famille. Dans ce roman touffu et complexe, s’entrecroisent en effet la modernité des États-Unis de cette époque, mais également la résurgence des antagonismes qui ont traversé le 20e siècle : la question des Indiens, les krach boursiers, etc.



La plupart du temps pourtant, le texte nous emmène dans une Amérique sauvage, digne de l’ère des grands westerns, alors que cela me semblait être une époque révolue : mais ici, pas de cow-boys héros, mais de pauvres ranchers au cœur dur qui tentent de survivre à la modernisation des pratiques; pas de belles indiennes à sauver mais un peuple opprimé qui peine à retrouver son identité, et qui aujourd’hui encore, souffre des préjugés des Américains.



"Il m’a rétorqué qu’il ne voulait pas entendre parler des Indiens parce qu’ils causaient des ennuis. Et il causait des ennuis parce que c’étaient des "animaux" différents de nous [..] Cette remarque assez précise m’a paru intéressante. Nous autres universitaires croyons volontiers que nous irradions la logique et la raison pure dans tout le pays, alors qu’il suffit de s’arrêter à une station-service ou d’ouvrir le journal pour s’apercevoir du contraire. L’éducation n’a jamais réussi à éliminer la loufoquerie fondamentale de l’esprit américain."



Dalva, c’est aussi une belle mais terriblement triste histoire d’amour, qui comme beaucoup d’histoire d’amour romanesque est celle d’un lien impossible entre la jeune fille et un jeune Indien, victimes de contingences familiales.



Dalva c’est aussi la quête d’une mère qui s’est vue arracher son enfant et qui portera ce poids toute sa vie.



Dalva c’est aussi le sauvetage d’un intellectuel qui va découvrir la beauté et la dureté de la campagne, et sortir de son alcoolisme par le travail et la découverte d’un terrible secret familial …



Bref, Dalva est un roman magnifique, par les thèmes qu’il aborde, les personnages qu’il fait intervenir, et je suis bien obligée d’avouer que c’est un texte de qualité. Malheureusement cela n’a pas suffit et je dois également avouer que je suis un peu passée à côté, souffrant presque à chaque fois que je le reprenais : je m’embrouillais dans les noms, dans les époques (car on passe allégrement de 1850 à 1980), dans les histoires …



Un roman que je conseille cependant car je reconnais toutes ses qualités, même s’il fut un échec pour moi.
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
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Dalva

lu il y a longemps

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Dalva

En cours de relecture pour le plaisir. J'adore.
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Dalva

J'ai retrouvé Dalva avec beaucoup de plaisir.

Cependant, avec l'age ce roman m'a encore plus touché.

C'est un magnifique "road movie" associé à une très belle histoire d'Homme. C'est toujours aussi touchant. Je le relirai surement...

Mais plus tard.
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Dalva

Un gros coup de cœur pour ce très beau roman, ce voyage au cœur de l'Histoire américaine. Ce fut un grand bonheur de retrouver l'écriture savoureuse de Jim Harrison. De découvrir ces portraits magnifiques, et une très puissante dénonciation de l'extermination des indiens d'Amérique. A lire et relire.
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Dalva

Après avoir visionné nombres d'interviews et de reportages, et notamment le dernier film émouvant de François Busnel et Adrien Soland « Seule la terre est éternelle », je me suis enfin décidée à découvrir la plume de Jim Harrison. Et quelle rencontre !!

Un kaléidoscope de récits entrecroisés, des transitions historiques instructives, l'évocation des grands espaces. Grandiose !!

Une rencontre par-delà les mots, par- delà les sens. Immense coup de coeur pour cet écrivain qui entre dans mon panthéon livresque de la Grande Littérature américaine où j'ai encore tant à découvrir.

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