AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jim Harrison (1054)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Amérique : Des écrivains en liberté

A l'occasion du salon America à Vincennes en 2016, j'ai découvert les deux auteurs fort sympathiques, de ce beau livre qui par la juxtaposition de photographies et de textes vous fait parcourir les US et découvrir le monde dans lequel vivent de nombreux auteurs américains, célèbres ou à découvrir.

Au fil des ans, ce livre reste toujours très visible sur mes étagères et j'ai toujours plaisir à y revenir pour une petite visite, façon de remettre un peu de carburant dans mon moteur de lecteur.
Commenter  J’apprécie          20
Amérique : Des écrivains en liberté

Jean-Luc Bertini, photographe et Alexandre Thiltges, professeur de littérature, ont parcouru les routes des Etats-Unis, des dizaines de milliers de kilomètres pour aller à la rencontre des écrivains américains dans leur cadre de vie, chez eux ou dans leur ville pour parler de leurs oeuvre littéraire et vivre quelques heures de leur quotidien. On y croise Jim Harrison, James Crumley, William T. Vollmann, Louise Erdrich, Richard Ford, Percival Everett… plus de trente écrivains rencontrés aux quatre coins de l’Amérique. Une entreprise gigantesque, un résultat remarquable. Les portraits et les paysages captés par Jean-Luc Bertini se mêlent magnifiquement aux textes d’Alexandre Thiltges qui a su retranscrire toute le sel et l’aventure de leur formidable épopée. A ranger aux côtés de l’ouvrage de Pauline Guéna et Guillaume Binet, L’Amérique des écrivains, qui donne, et c’est le plus important, envie de dévorer les livres de ces auteurs américains.
Lien : http://puchkinalit.tumblr.com/
Commenter  J’apprécie          30
Amérique : Des écrivains en liberté

En 2014, était paru un excellent ouvrage chez Robert Laffont, réunissant sous forme de road-trip, un certain nombre d’écrivains américains (et quelques canadiens également).

Celui dont il est question ici est à peu près dans la même veine ; à ceci près qu’il est davantage littéraire dans le texte, et dans la manière d’aborder les personnalités que l’auteur et son photographe ont rencontrés au cours de périple.



Si cet ouvrage fait référence à des auteurs connus, voire très connus, il y en a d’autres plus confidentiels, en tout cas présents sur la scène littéraire actuelle (à mon sens, évidemment).



Je retrouve avec plaisir des auteurs que j’ai déjà lus et appréciés ; d’autres présents dans ma bibliothèque et qui attendent (patiemment) leur tour. Mais il y a également un certain nombre de gens, qui bien que n’évoluant pas dans ma zone de confort, m’ont semblé intéressants à être abordés.



Big Jim, a une place de choix dans ce recueil puis qu’il y figure deux fois ; lui qui passe l’hiver dans l’Arizona, et le reste du temps dans le Montana. Il ouvre et ferme la ronde des écrivains, lui qui a eu la mauvaise idée de nous quitter quelques mois avant la parution de cet ouvrage.



Cinq années auront été nécessaires pour rencontrer ces écrivains essentiellement de l’ouest américain, pour les mettre en confiance, rentrer dans leur intimité et mettre en image leur cadre de vie et de travail.



Ce livre est à la fois une gourmandise, un précieux outil littéraire, et une mine d’or pour découvrir l’ouest américain, un jour, si c’est possible…..


Lien : https://leblogdemimipinson.b..
Commenter  J’apprécie          30
Amérique : Des écrivains en liberté

Un passage à la médiathèque... et je fais ma rentrée des classes à ma façon, en empruntant plus, et des choses différentes,; cette fois "Les âmes rouges" de Paul Gréveillac, et ce magnifique livre d'art et de littérature, édité dans un format impossible à ranger correctement dans nos rayonnages...[ format à l'Italienne, et un poids qui pourrait être dissuasif !!!]



Ces petits inconvénients ne sont rien comparés à l'extraordinaire anthologie de littérature américaine contemporaine qui nous est offerte...

enrichie de magnifiques photographies , très heureusement mises en valeur... : Portraits des écrivains, ou des larges espaces américains..Paysages saisissants,

portraits d'américains dans leur quotidien... Une mine de renseignements et un régal pour les yeux...



Des noms m'étant complètement inconnus, comme





-Eric Miles Williamson, "le bad boy des lettres américaines"

- Dagoberto Gill

- Marilynne Robinson, " le coeur de l'Amérique protestante"

- Sherman Alexie, "un Amérindien partagé "

-Gary Snyder, "Méditations zen sous les sapins enneigés de la Sierra Nevada"

-Rick Bass, "l'Homme des montagnes"..

-Tim O'Brien

- Chris Offutt, "l'homme des bois à Iowa City"

- Iain Levinson, l"e factotum des Lettres modernes"

-Jim Nisbet, "San Francisco noir"

- Thomas McGuane, "le cow-boy solitaire"

- Danzy Senna, "l'apparence ne veut rien dire"

- Charles D'Ambrosio, "Quand le profane touche au sacré", etc.



Mise en page très attractive; les photographies très réussies, sont mises en relief, jusqu'à des doubles pleines pages...



"Louise Erdrich

L'écriture est très importante dans ma vie, j'en ai besoin et j'écris quotidiennement. Je pourrais dire que j'en suis amoureuse, comme on pourrait l'être de la nature ou du ciel, d'une montagne, de quelque chose qui n'est pas humain. (p. 134)"





"Sherman Alexie -- Je me suis retrouvé à de trop nombreuses reprises aux côtés d'écrivains qui me rabaissaient pour la simple raison que j'étais un Indien. Il ne faut pas se voiler la face, tous les problèmes de race, de

classe et de sexe d'un pays se retrouvent au sein de sa communauté littéraire , et le racisme pourrit aujourd'hui encore le monde des lettres américain. "(p. 168)



Ce beau livre débute et se conclue sur Jim Harrison...une passionnante balade à travers l'Amérique: Un double voyage dans les mots et dans les grands espaces....



" Ils sont bien là, ces écrivains dont nous aimons tant les livres, l'indépendance et la liberté de ton. Du regretté Jim Harrissn à Louise Erdrich, de Laura Kasischke à Philippe Meyer, se dessine un portrait saisissant de l'Amérique d'aujourd'hui, à travers la littérature. Grâce aux magnifiques photographies qui accompagnent le livre, c'est également une véritable invitation au voyage" ----- François Busnel
Commenter  J’apprécie          313
Amérique : Des écrivains en liberté

Amoureux de la littérature américaine, je crois que cet album d'un format imposant, grand et lourd, pas spécialement pratique à lire, peut vous plaire, mais pour des photos cette dimension est idéale.



Il est réalisé comme un voyage à travers l'immensité du continent, une Odyssée américaine, à la rencontre d'écrivains cultes de notre époque mis en scène dans leur environnement, avec des entretiens portant sur tout et rien, ou bien, axés sur leurs sources d'inspiration et leur regard sur le monde.



C'est essentiellement une histoire d'hommes, faite par deux hommes, rédacteur et photographe. Les femmes sont très minoritaires. Il en manque beaucoup, dont la grande voix de Toni Morrison par exemple, même si les auteurs hispaniques, amérindiens, noirs ou métis sont présents avec leur vision spécifique de la société américaine. L'album s'ouvre et se referme sur Jim Harrison dont on partage avec les auteurs, des instants non loin de la fin de sa vie, et c'est très émouvant.



On apprend aussi plein de choses sur le statut de l'écrivain aux Etats-unis. Beaucoup travaillent ou effectuent tel Iain Levinson des petits boulots comme ses personnages. Pas mal enseignent l'écriture créative à l'université. C'est compliqué de vivre de sa plume et d'émerger dans le monde des lettres. L’un d’entre eux conseille donc avec humour à ses étudiants d'épouser quelqu’un de riche pour survivre dans le milieu hostile de l'édition. Certains sont même allés en prison. Ils sont le reflet de leur environnement, ils sont parfois des porte paroles.



Ils écrivent de tout, des romans sociaux, des polars, des histoires fantastiques, des scénarios, des articles de presse et ces conteurs magnifiques laissent émerger la désespérance des petites gens, leur fragilité personnelle et les fêlures de l'âme Humaine, de quoi donner à leur oeuvre une coloration universelle.



L'album se termine par une bibliographie pour chacun, afin de vous précipiter aussitôt dans votre médiathèque préférée pour plonger dans l'Amérique de Louise Erdrich, de Percival Everett ...et bien d'autres .



Non exhaustif sur le sujet, cet album n'en est pas moins une ouverture, une porte entrebâillée. A vous de vous engouffrer dans le passage pour découvrir cette littérature passionnante et ces grands espaces fascinants.







Commenter  J’apprécie          320
Aristocrates sauvages

Etre poète, pour Snyder, ce n'est pas regarder le monde d'un point de vue contemplatif ou méditatif, mais essayer (et l'expérience poétique rejoint ici le zen) de se déployer tout entier dans le grand tout, sans souci de hiérarchie. Ne pas raconter l'histoire d'un arbre, mais écrire un poème pour s'entretenir avec lui. Jim Harrison a cette très belle formule qui pose le risque et la beauté d'une telle aventure : "Un poème est l'exemple d'une sorte de chaos pondéré. "
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
Commenter  J’apprécie          00
Aristocrates sauvages

Un superbe aperçu de la conversation sur le site des éditions Wildproject, au sommaire du onzième numéro de leur revue, consacré à "L'Orient de l'écologie" :
Lien : http://www.wildproject.fr/re..
Commenter  J’apprécie          30
Aristocrates sauvages

Fruit de rencontres nourries, substrat poétique et excellente introduction à l’œuvre de Gary Snyder, ces entretiens inédits nous offrent aussi de découvrir un autre Jim Harrison.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
Commenter  J’apprécie          10
Aristocrates sauvages

Penser la nature.

Les précieuses éditions Wildproject diffusent depuis 2009 la pensée écologiste hors des carcans technocratiques ou scientifiques avec l'espoir, comme Gaïa, de percoler en profondeur dans les strates des intelligences humaines. Dans leur collection « Tête nue », elles rééditent en 2022 les entretiens entre Gary Snyder et Jim Harrison préalablement parus en 2011. Par ces discussions en rhizome, c'est-à-dire souterrainement nourrissantes, le lecteur fait connaissance avec deux auteurs américains majeurs, tous les deux habités par le sentiment de nature. Alors qu'Harrison se met en retrait, pose les questions, relance parfois le sujet, c'est Snyder qui développe des idées totalement intriquées à son mode de vie. Intelligence animale, méditation (laisser l'environnement agir sur soi), poésie (être attentif à l'aspect divin de l'ordinaire), parcours de vie, nature du langage (« l'animalité se reflète dans la langue »), anthropologie (avec la critique de la prépondérance occidentale), biorégionalisme (défini par des communautés biologiques) sont quelques uns des thèmes abordés dans une conversation à bâtons rompus très accessible en surface, plus complexe dans l'assimilation des concepts. Dix-huit poèmes de Gary Snyder s'ensuivent. Une postface d'Antoine Wyss revient sur la poésie de Snyder ancrée dans la nature qu'il met en regard avec celle de Mallarmé toujours à la recherche quasi obsessionnelle du verbe idéal. La préface de Brice Matthieussent, grand traducteur de la littérature anglo-saxonne et notamment de Jim Harrison, insiste intelligemment sur la prise en compte politique du non humain. Un cahier photographique en noir et blanc encadre et enrichit les textes. Gary Snyder, bonze souriant, lutin vif, irradie tandis que Jim Harrison, vieil ours édenté, fait danser les ombres.
Commenter  J’apprécie          60
Aristocrates sauvages

Entretien entre deux figures emblématiques de la littérature « Beat » états-unienne. Jim HARRISON pose les questions ou donne le tempo tandis que Gary SNYDER répond, développe et anecdotise. SNYDER témoigne de son expérience de vie. Attiré très tôt par la culture zen et le bouddhisme, il a vécu une dizaine d’années au Japon, d’où il en a retiré une culture de vie très personnelle et spirituelle.





Mais dans cet ouvrage c’est surtout de nature dont il sera question. Les deux auteurs sont proches d’elle, lui ont dédiés de nombreuses pages, de nombreux chapitres. Leur philosophie naturaliste peut se voir comme complémentaire, c’est en tout cas la sensation dans ces échanges d’une grande beauté. « Je marchais un jour dans les montagnes de la Sierra Nevada, parmi les talus d’éboulis, en regardant mes pieds. Et j’ai alors remarqué que chaque caillou était différent. Il n’y avait pas deux pierres identiques. Il n’y a donc peut-être pas d’identité dans l’univers, pas deux choses exactement semblables ». C’est SNYDER qui parle.



Cet entretien peut être lu comme une biographie rapide de Gary SNYDER, il donne quelques détails sur certaines expériences de sa vie, certaines conclusions que le poète a pu en tirer. Quant à HARRISON, il est l’intervieweur donc il prend peu la parole, souvent pour acquiescer aux dires de son interlocuteur, ou pour bien sûr, sortir une plaisanterie dont il a le secret. Les deux poètes sont de la même génération (SNYDER, né en 1930, HARRISON en 1937) et les souvenirs de l’un peuvent raviver une flamme chez l’autre. SNYDER tient en revanche le gouvernail dès qu’il s’immisce dans la culture orientale et asiatique.



Les animaux : SNYDER les respecte, peut-être même les révère-t-il. « Nous sommes encore dans une phase où l’on apprend à connaître les animaux, à interagir avec eux. Les inclure dans notre dialogue est déjà une grande nouveauté ». Le progrès : « L’Amérique est maintenant à soixante-quinze pour cent urbaine. Quand je suis né, c’était l’inverse : elle était à soixante-quinze pour cent rurale. Pour un gars de la campagne comme moi, le problème est que le niveau d’attention dont j’ai besoin en ville m’épuise très vite ». Cependant, ne vous attendez pas à obtenir de criantes révélations sur la vie de Jim HARRISON puisque le bouquin est tout de même consacré avant tout à SNYDER.



À l’issue de cet entretien sont proposés 18 poèmes de SNYDER en version bilingue avant une longue postface d’Antoine WYSS. Au début et à la fin de l’ouvrage, des photographies de la collection personnelle de Gary SNYDER mais pas que. Même si leur impression ne ressort pas forcément par manque de qualité, elles sont là pour témoigner elles aussi.



Enfin, ce joli livre est accompagné… d’un DVD, « La pratique sauvage » ! Il est en quelque sorte la version filmée de ce face à face de deux géants (mais pas tout à fait non plus, je vous laisse la surprise), mais aussi des lectures des poèmes de Gary SNYDER par lui-même, ainsi que des prises de paysages somptueux. De nombreuses interviews viennent étoffer le DVD. Le tout est sorti en 2011 dans la collection Tête nue de Wildproject éditions.



https://deslivresrances.blogspot.fr/


Lien : https://deslivresrances.blog..
Commenter  J’apprécie          10
Aventures d'un gourmand vagabond

Voilà un livre qu'il vaut mieux déguster avec ce qu'il faut dans une marmite toujours à portée de main. Si votre frigo est vide, le supplice est garanti !
Commenter  J’apprécie          11
Aventures d'un gourmand vagabond

Un plaisant moment de lecture en compagnie d'un bon vivant amoureux de la viande d'oiseaux sauvages, du vin, des femmes, des livres. Jim Harrison nous fait partager ses passions, ses doutes, ses faiblesses avec une sincérité touchante.

J'aurai lire ces chroniques en anglais car on sent parfois la traduction et ça nuit un peu au style ...
Commenter  J’apprécie          50
Aventures d'un gourmand vagabond

Jouissif pour les amateurs de littérature, et les gourmands, de la cuisine et de la vie.
Commenter  J’apprécie          50
Aventures d'un gourmand vagabond

Incroyable!

Réussir à tenir le lecteur en haleine avec des récits de grosses bouffes et de ballades digestives à travers la campagne... chapeau!

Bon, le sujet est un peu plus maigre que l'écrivain, mais ça passe tout seul, digestion un peu lourde.



Je le réserverais tout-de-même aux amateurs de Harrison....
Commenter  J’apprécie          30
Aventures d'un gourmand vagabond

Où l'auteur, presque sosie d'Hemingway (au propre et au figuré), nous raconte ses chasses, ses pérégrinations dans la nature, sa cuisine et celle de restaurateurs fameux de France, des US et de Navarre, ses quelques tournées littéraires. Pratiquement à la fin du livre, se trouve un échange de lettres avec Gérard Oberlé, le célèbre chef alsacien.

J'ai moyennement apprécié : la langue est truculente, mais l'auteur est trop "viandard", tout tourne autour de la cuisson des gibiers et autres ragouts, ortolans, etc...
Commenter  J’apprécie          190
Aventures d'un gourmand vagabond

Putain .....il est mort ..juste quand je commencais à le découvrir ....j'ai vachement aimé ce bouqin ...un peu le frérot de Bukowski .......RIP
Commenter  J’apprécie          00
Aventures d'un gourmand vagabond

Un changement de voyelle suffit pour passer des mots aux mets et, dans une joyeuse appétence, s'adonner au plaisir littéraire comme à celui de la chère. Quand Jim Harrison passait à table.
Lien : http://www.lexpress.fr/cultu..
Commenter  J’apprécie          00
Aventures d'un gourmand vagabond

Un monument d'un monument!Le style,tellement beau,tellement pur.Les digressions si puissantes que le lecteur que je suis saisit à chaque envolée que tous les cerveaux ne tournent pas à la même puissance.Et tant mieux après tout!Des rencontres,des repas,des pensées vécues,relatées et retranscrites par le grand Jim que je place aux côtés d'Hemingway!
Commenter  J’apprécie          00
Aventures d'un gourmand vagabond

A ne pas lire en période de régime. Une fois de plus Jim Harrison affiche son côté bouffeur de la vie : repas gargantuesques et vins dont il fait une haute éloge. Une trentaine de rubriques et lettres écrites dans les années 1990. Lu avec des coupures tellement ses textes font saliver. Un bel hommage à la France, à Paris et à son art de vivre. On le suit dans son quotidien : la chasse à la bécasse avec sa chienne, la marche, puis rentré chez lui, il déplume, prépare et fait mijoter, souvent pour les copains qui vont l’accompagner. Il prône particulièrement l’ail, le meursault, le bandol en nous dévoilant ses meilleures adresses à travers le monde. Il nous fait des confidences sur son métier, ses lectures, ses voyages. Il nomme des gens que j’aime comme Jimi Hendrix, Janis Joplin et l’alpiniste Reinhold Messner. Ah que nos papilles sont mises à rudes épreuves avec ce gourmand et gourmet
Commenter  J’apprécie          110
Aventures d'un gourmand vagabond

Munissez-vous avant tout de votre feutre préféré et d'un joli calepin car chaque page souffle un secret. Ou une évidence : « Les hommes qui mettent le monde en pièces sont souvent des petits garçons ».

Le grand Jim ne peut cacher sa mélancolie et sa souffrance derrière une plume érudite, qui ne se veut pas que gourmande. Il faut du silence, ou la vison intérieure de l'esprit délicat d'une grouse, pour espérer reprendre son souffle après la première (ou l'énième) lecture des Aventures d'un Gourmand Vagabond.

Une oeuvre plus que mémorable, où l'homme au visage bouleversant bouscule les codes et les coeurs. Merci aussi à Brice Matthieussent pour son excellente traduction.

Commenter  J’apprécie          30




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jim Harrison Voir plus

Quiz Voir plus

Jim Harrison, l'homme du Michigan...

Parmi ces nouvelles, laquelle ne figure pas dans le recueil "Légendes d'Automne" paru en 1979?

Une vengeance
Légendes d'Automne
En route vers l'Ouest
L'Homme qui abandonna son nom

10 questions
118 lecteurs ont répondu
Thème : Jim HarrisonCréer un quiz sur cet auteur

{* *}