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Critiques de Lauren Weisberger (582)
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Le Diable s'habille en Prada

A peine sortie d'une prestigieuse université, Andrea décroche un poste d'assistante dans Runaway le magazine de mode New-Yorkais le plus en vue. Elle s'y est engagée pour un an tout heureuse de se dire que ça va être un tremplin pour sa carrière (son souhait étant d'écrire pour le NewYorker) et qu'elle va retrouver son amoureux Alex et sa meilleure amie Lily. Elle va très vite désenchantée, se rendant compte qu'elle n'est employée que pour effectuer les basses besognes (aller chercher le café de sa patronne, remplacer au pied lever la baby-sitter...). Par ailleurs, elle subit la tyrannie de sa patronne qui en demande toujours plus et le mépris de ses collègues. Si elle est consciente de tout cela et qu'elle se rend rend compte du décalage entre son univers et celui de la mode dans lequel elle évolue, elle va se laisser prendre au piège, accepter certaines choses, se perdre...Ella va s'éloigner de sa famille, de son fiancé, de son amie Lily et de ses valeurs. Jusqu'à ce qu'un accident se produise alors même qu'elle se trouve à Paris pour l'un des plus grand défilés de mode. Elle va, alors, prendre conscience de certaines choses et stopper l'aventure. Mais qu'en sera-t-il de son avenir tant professionnel que personnel ? Sera-t-il trop tard ? A vous de le découvrir...

Mes sentiments : j'ai bien aimé le côté caricatural et satirique du roman. J'ai aimé le ton cinglant et sarcastique d'Andrea, on a souvent le sourire aux lèvres. L'écriture est agréable et fluide. Il y a toutefois, des longueurs et des passages où il y a trop de détails.

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L'Enfer est pavé de bonnes intentions

Le commentaire de Lynda :



Quand on a lu : Le diable s'habille en Prada, de cette auteure, qui était un excellent roman, la barre est haute pour arriver à égaler ce grand succès. Je dois dire que ce roman-ci, et bien, il n'est pas très loin du premier titre que j'ai lu de cette auteure.

Emily est maintenant travailleuse autonome, conseillère en communication pour les stars qui dans un moment de non-lucidité commettent des choses pas très belles pour leurs images, Émily viens donc à la rescousse.

Alors quand Karolina, une amie et épouse d'un homme politique américain se fait arrêter en état d'ivresse avec ses enfants sur la banquette arrière de l'auto, super Emily vient à la rescousse pour sauver les meubles. Et se sera également avec l'aide de Myriam, mère au foyer (avec un peu de difficulté), les deux vont se rallier pour sauver la réputation de Karolina.

C'est l'amitié entre ses 3 femmes qui sera le point central de cette histoire. Dans un milieu huppé de New York, où le mieux paraître est le plus important de tout, les 3 héroïnes de ce roman, sont différentes, mais se complètent très bien. Emily, mettra tout en œuvre pour sauver sa copine Myriam, même si pour cela, elle doit un peu trafiquer la réalité, embellir les choses, car ce qui est le plus important, c'est bien de protéger l'image de sa copine.

Ce roman est vraiment une satire sociale, on y voit tout le côté qui brille dans cette société américaine, bien souvent blasée, où rien n'est épargné pour garder une image étincelante.

Lauren Wesberger, n'y vas pas de main morte, et à travers son histoire, c'est un peu dire les quatre vérités, à ce monde très, et même trop superficielle.

De grands passages très drôles, d'autres un peu moins, des personnages colorés et à qui on s'attache assez facilement malgré leurs petits travers.

Encore une fois, l'auteure saura gagner le cœur de son lectorat avec cette lecture, elle touche et relate différents sujets bien d'actualité, et c'est fait avec franchise et humour.

Pas très loin d'un coup de cœur, alors pour une lecture légère et sans cassage de tête, je vous recommande vraiment ce titre !
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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L'Enfer est pavé de bonnes intentions

Nous retrouvons Emily rencontrée dans le diable s'habille en Prada dont la carrière subit quelques revers. Son amie Miriam et une amie de cette dernière Karolina.

On suit leur tribulations qui tournent autour des déboires conjugaux de Karolina. Le tout entre New York et Greenwich.

Mais la magie n'y est pas, l'humour non plus. Une histoire assez plate qui m'a parue caricaturale parfois.

Et j'ai l'impression que l'auteur a fait beaucoup de placement de marques.



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Love and the city

J'ai beaucoup aimé et ça aide à se remettre a l'anglais!! Mais les histoires sont vraiment très courtes!!

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Stiletto Blues à Hollywood

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Vengeance en Prada : Le retour du Diable

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Le Diable s'habille en Prada

C’était l’été. Qui dit été dit lecture légère. Le Diable s’habille en Prada me paraissait être le compagnon idéal pour lézarder et affiner son bronzage.



Andrea Sachs – Andy pour les intimes –, fraîchement sortie de l’université, rêve d’écrire pour un célèbre magazine new-yorkais. Avant d’y accéder, elle décroche un job d’assistante à Runway, LA référence dans le domaine de la mode, un poste pour lequel « des milliers de filles se damneraient », et qu’elle devra exercer pendant 1 an. Seulement bémol, Andy n’y connaît rien à la mode. Pire, elle n’a jamais entendu parler de Miranda Priestley, figure emblématique qui règne en maître sur le monde impitoyable de la mode. On suit donc le parcours du combattant d’Andy, navigant entre les caprices d’une patronne tyrannique et sa vie privée qui ne tient plus qu’à un fil.



Le Diable s’habille en Prada contient tous les ingrédients pour une bonne chick-lit traditionnelle : une jolie jeune fille, à la poursuite d’un job de rêve, une meilleure amie un peu fantasque, un petit ami presque idéal, un « love interest » (le monsieur intrigant et sexy mais qui n’est pas le petit ami). De plus, l’écriture assez fluide aide à avancer dans les pages. Il manque pourtant ce petit piquant, caractéristique de la chick-lit, cette petite touche d’humour qui fait sourire au fil de la lecture ; ce piquant est, selon moi, parti dans le film. Car oui, il faut préciser que j’ai vu (et re-vu, et re-revu, et re-re-revu) le film éponyme, et donc, mon avis ici n’est sans doute pas objectif . L’adaptation cinématographique donne une autre perspective aux événements et aux personnages sans pour autant dénaturer l’ADN de l’histoire originelle.



Ici, on voit effectivement Andy perdre de vue tous ses principes, négliger ses amis et sa famille, et se transformer en un larbin pendu toute la journée à son téléphone pour exaucer les vœux d’une patronne dictatrice. Elle est entourée par des personnages secondaires plutôt transparents: Emily, la collègue qui est clairement le lèche-botte de Miranda ; Lily, la meilleure amie, immature, qui aime un peu trop picoler et dont la vie sentimentale est plutôt instable ; Alex, le petit copain presque parfait (mignon, gentil, attentionné, prof, et très amoureux, tellement amoureux qu’il fait preuve d’une patience monstrueuse devant la nouvelle Andy), Christian, écrivain de talent hyper sexy qui tente d’attirer Andrea du côté obscur de la force (elle n’est plus à ça près après tout)… Mon point scandale serait : MAIS OÚ EST NIGEL ?! Alors que ce personnage est quasi essentiel dans le film, très présent et charismatique, il est totalement absent dans le livre (non, je ne compte pas les 3 pauvres lignes qui lui sont consacrées, et qui le décrivent comme une espèce de grande perche portant une combinaison moulante et un boa, le faisant passer pour une folle. NON. Nigel est petit, chauve, il porte des costumes et il a un sens de l’humour et une classe qui n’appartiennent qu’à lui). Vous l’aurez compris, j’ai été corrompue par le film.



Je n’ai pas eu de plaisir particulier à lire cette chick-lit qui s’annonçait plutôt prometteuse, vus le film et l’engouement autour. Je ne peux cependant pas dire que je suis déçue, dans la mesure où les deux œuvres sont sensiblement différentes : alors que dans le film certains aspects de l’histoire des personnages sont survolés (notamment l’amitié qui lie Lily et Andy), d’autres sont plutôt mis en avant (l’histoire d’amour entre Alex et Andy) ; l’angle choisi dans le film m’a beaucoup plus enthousiasmé que le livre.



Néanmoins, suivre les aventures d’Andy n’était pas désagréable en soi, mais la lecture a été aussi longue et laborieuse que le temps qu’elle a passé à Runway...
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Le Diable s'habille en Prada

Dans le monde impitoyable de la mode, surtout au USA, une jeune assistante se bat, jusqu'au jour ou elle réalise, arrivée au sommet, qu'elle doit reprendre sa vie d'avant si elle ne veut pas perdre sa vraie personnalité.

Le film avec la merveilleuse Meryl Streep est très fidèle au roman.

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Le Diable s'habille en Prada

Anna Wintour aura sans doute avalé de travers ce roman. A titre de rappel, elle était la légendaire rédactrice en chef du magazine VOGUE made in US. Lauren Weisberger, l’une de ses anciennes assistantes, n’a pas hésité à s’inspirer d’elle pour rédiger à l’encre acide son roman. Un livre qui égratigne l’univers de la mode et qui revient sur les excès d’une femme capricieuse, intransigeante et travailleuse. Une satire qui brocarde la fatuité d’un univers impitoyable, où les faibles sont écrasés et qui laisse un goût amer dans la bouche.
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Vengeance en Prada : Le retour du Diable

La suite tant attendue du diable s’habille en Prada !

Une suite adorable , à la hauteur de la chick lit que Lauren weisberger nous proposer à ces débuts ! Un vrai coup de Cœur 💖

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Le Diable s'habille en Prada

Ayant beaucoup aimé l'adaptation ciné et surtout Meryl Streep dans ce rôle joué à la perfection de Miranda, j'avais un peu peur de me lancer dans ce roman de chick-lit, genre que je lis vraiment très rarement et sans grand intérêt.

Ce roman n'a pas dérogé. J'ai apprécié mais sans que cela soit transcendant et une fois n'est pas coutume j'ai préféré et de loin le film au livre. J'ai trouvé Andrea beaucoup plus fade et bien moins attachante qu'Anne Hathaway et ses choupissimes fossettes. Elle ne sait pas se positionner, elle se coule bien trop vite et trop dans le moule, tout en étant d'un mépris manifeste pour certains aspects de son boulot. Et les personnages secondaires manquent clairement de saveur. Christian est tout simplement insupportable dans le genre tête à claques et Andrea n'éprouve pas tant de remords d'être tombée entre ses griffes. Emily est transparente. Seule Miranda est assez fidèle si on la croise avec l'admirable interprétation du film, en plus odieuse si c'est possible.

Le style est assez pauvre même s'il se lit très facilement. On a l'impression de lire le script d'un téléfilm, les répétitions sont nombreuses et assez pénibles à force. Et que dire de la vision de la femme, au secours... bref sans doute le trait est-il très marqué du fait du contexte fashionista mais bon...

Une lecture sympa si tant est qu'on est vu le film avant. Un roman qui est bien loin d'égaler son adaptation, à voir elle de toute urgence.
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Le Diable s'habille en Prada

Le Diable s'habille en Prada est un roman que L'Express, Lire, ainsi que des magazines féminins, ont encensé de critiques élogieuses, et l'adaptation cinématographique de 2006 (si mes souvenirs sont bons) avec Anne Hathaway et Meryl Streep n'a fait que renforcer le succès dont bénéficiait déjà le livre. Alors que j'étais en hypokhâgne, en classes préparatoires littéraires, je me suis plongé dans la lecture de cet ouvrage, histoire de prendre une pause avec les monuments littéraires que je devais étudier. Ce roman a suscité chez moi le rire par ses sarcasmes, et son humour acerbe : Andrea Sachs, la narratrice, récemment diplômée de l'université Brown, se lance à la conquête de New York, afin de faire carrière dans le journalisme. Ce qu'elle veut, c'est mettre sa plume au service du New Yorker. Faute de contacts pour la pistonner (c'est toujours comme ça dans le monde de la presse, je suis bien placé pour le savoir, puisqu'il fut un temps où je souhaitais ardemment devenir journaliste), Andrea fait de timides débuts chez Runway, célèbre magazine de mode dont la rédactrice en chef est Miranda Priestly, l'archétype de la patronne impitoyable. Bon, on devine aisément que Miranda a été créée autour de l'emblématique Anna Wintour, rédactrice en chef de Vogue, magazine de mode que je n'ai pas besoin de vous présenter. Sauf qu'Andrea est embauchée en tant qu'assistante, et que ses tâches se résument essentiellement à : guetter sur son portable les appels de Miranda, consigner ses requêtes, et les exécuter. Attention, c'est un véritable agenda de ministre pour Andrea qui doit accomplir des missions n'ayant nullement trait à la presse écrite. Au contraire, la nouvelle recrue doit le plus souvent aller récupérer des habits pour sa patronne, lui apporter ses repas préparés par les chefs des meilleurs restaurants situés à l'autre bout de New York, ou simplement un café de chez Starbucks. Et encore, je vous résume ses journées de travail dans les grandes lignes ! Attendez de voir la course au manuscrit d'Harry Potter (si, si, il y a bel et bien un passage consacré à une telle mission). Cependant, après des débuts laborieux, Andrea parvient à se conformer à l'image que Runway cherche à donner. Mais pervertie par le carriérisme qui gangrène la rédaction, Andrea sacrifie sa vie sentimentale et ses amitiés, au profit de sa réussite.



Si le personnage de Miranda est très intéressant à observer, celui d'Andrea m'a agacé pour les raisons suivantes : j'ai eu l'impression que la narratrice faisait une crise d'adolescence à retardement  dans ce roman ; notre jeune diplômée se retrouve confrontée au monde du travail dans lequel elle fait ses premiers pas, et se heurte à une réalité qu'elle n'avait jamais soupçonnée. Bref, après avoir pris du bon temps sur les bancs de la fac, Andrea découvre ce que c'est que de vivre en solo sans ses parents, en colocation avec des amis, puis son bien-aimé. Et en dépit de son cheminement dans l'œuvre, sa personnalité n'évolue pas : elle demeure la même gamine qui veut tout sur le champ ; vingt-trois ans, mais quatorze ans d'âge mental. En ce qui concerne le regard de l'auteur sur le monde de la mode, son analyse est tout à fait pertinente : le roman démontre à quel point la mode happe ceux et celles qui veulent faire carrière dans ce domaine. J'ai particulièrement été frappé par les descriptions récurrentes qui dépeignent des filles à la silhouette rachitique, juchées sur des talons de huit ou douze centimètres. L'attitude du personnel de la rédaction n'échappe pas non plus à la plume de l'auteur qui insert des dialogues sournois et tordants. En ce qui concerne le personnage de Miranda, nous avons le cliché le plus réussi de la patronne d'un journal de mode: comme toute créatrice de tendance qui se respecte, elle est convaincue d'en savoir plus que quiconque sur quoi que ce soit, elle reste résolument campée sur ses positions, et bien entendu, ne se remet jamais en question, pas plus qu'elle ne se soucie de la déontologie du travail ni du sort de ses larbins. Égocentrique, narcissique et hautaine, la rédactrice en chef se contente de laisser son équipe faire tout le travail pour elle, et considère indigne de sa personne des tâches comme mettre sa signature au bas d'un document officiel, à tel point que son personnel doit imiter sa signature (qu'est-ce que je vous disais au sujet de la déontologie?), tous les prétextes sont bons pour ne pas lever le petit doigt, alors que son équipe se plie en quatre pour elle.



Le roman nous montre un implacable constat qui aujourd'hui encore s'avère réel : seuls les plus tenaces, les plus opiniâtres et les plus pugnaces parviennent à s'imposer dans ce milieu où vous ne pouvez pas vous permettre d'être vous-même. Une fois que vous vous êtes démarqués lors de l'entretien d'embauche, vous devez vous hâter de devenir ce que les autres veulent que vous soyez. Voilà l'expérience que fait Andrea. Ne vous méprenez pas sur mes propos, je respecte le monde de la mode qui encourage et préserve un savoir-faire (et puisqu'on parle de mode, mon style favori est celui dit preppy), mais ses problématiques soulevées par la représentation de l'humain, par la pédophilie (la mode, au même titre que le cinéma d'ailleurs, fait partie de ces industries qui sont viciées par des problèmes de ce genre), et par le rapport au corps me heurtent. Pour en revenir à l'ouvrage de Lauren Weisberger, c'est un livre agréable à lire, très drôle, mais qui dévoile ce que nous ne soupçonnions pas au sujet de l'usine à rêves qu'est cet univers glamoureux. Alors, êtes-vous certains de vouloir obtenir un CDD pour travailler auprès de Karine Roitfeld ? Vous êtes prêts à faire abnégation de votre personne ? À renier votre humanité ? Vous ne vous souciez que de la rentabilité et de tout ce qui a trait à l'apparence ? Vous vous investiriez dans ce travail au péril de votre vie (sans rire) ? Alors ce poste est fait pour vous !
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Le Diable s'habille en Prada

Enfin, je l’ai terminé.



J’ai « aimé » les 50-100 premières pages. Le reste, j’ai trouvé long, répétitif et voilà.

Je suis allée jusqu’au bout pour pouvoir au moins dire: je l’ai lu. Mais cela ne m’a vraiment pas emballé.

Je ne suis pas sure de retenter un livre de cette autrice, malheureusement je ne crois pas que ce soit vraiment mon style.
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Le Diable s'habille en Prada

J’avais besoin d’un livre cocon pour sortir de ma panne de lecture. Et bah, ce livre n’a pas vraiment aidé.

J’ai vraiment adoré être dans l’univers de la mode. Je ne me suis pas ennuyée parce que j’ai trouvé l’univers très bien décrit. Je ne peux pas critiquer au niveau des stéréotypes qu’il y aurait ou non car je ne m’y connais absolument pas dans ce domaine.

Cependant, Andrea/Andy m’a horripilée du début jusqu’à la fin. Elle est égoïste, désagréable et elle se plaint tout le temps ! Les autres personnages sont toujours là pour sauver les meubles à sa place.

Ensuite, je cherche toujours l’intrigue ? Je ne me suis pas ennuyée mais bon, une bonne intrigue n’aurait pas été de trop.

Je n’ai pas vu le film. Je ne peux donc pas effectuer de comparatif.

Je suis très mitigée sur ce livre.
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Le Diable s'habille en Prada

A seulement 23 ans, Andrea décroche le job pour lequel des milliers d’autres filles se damneraient pour être à sa place ! Sur un coup de chance, elle devient l’assistante personnelle de Miranda Priestly, la rédactrice en chef du magazine de mode new-yorkais Runway. Souhaitant rédiger des articles pour le New Yorker, Andrea est totalement ignorante du milieu de la mode, mais voit dans ce travail une opportunité de se faire un nom dans le milieu de la rédaction. Mais très vite, elle va se rendre compte que travailler pour Miranda est encore plus éprouvant qu’elle ne l’avait imaginé, et que la côtoyer est un véritable enfer.



Je n’en attendais pas beaucoup de ce roman, et pourtant il m’a déçue. Pour commencer, il y a énormément de longueurs, l’intrigue tourne en rond. On devine sans problème la tournure des événements, il n’y a aucune surprise. Ensuite, on retrouve beaucoup de stéréotypes propres au milieu de la mode : la majorité des employés sont des filles jeunes et maigres qui sautent des repas, comptent les calories de leurs plats, jugent l’apparence des autres filles… quant aux quelques hommes qui y travaillent, ils sont homosexuels. Le personnage d’Alex, le petit-ami d’Andrea, est aussi plutôt stéréotypé : il incarne le petit-ami parfait extrêmement compréhensif, qui prend toujours les bonnes décisions et ne s’énerve jamais. Le personnage d’Andrea, lui, n’est, à mon sens, pas suffisamment complexe pour un personnage principal. Elle n’a pas de profondes réflexions ni de remises en question. A part à la fin, et encore… Quant à Christian, on a l’impression qu’il est là pour pimenter l’intrigue, mais il n’est pas réellement pris en compte dans la fin du roman. D’ailleurs, la fin est selon moi tirée par les cheveux. Pour finir, j’ai trouvé l’écriture fluide, c’est un roman qui se lit rapidement. Par contre, elle est parsemée de tentatives d’humour qui n’ont pas eu l’effet escompté sur moi, mais m’ont surtout paru lourdes.

Vous l’aurez compris, je n’ai pas vraiment apprécié cette lecture… Peut-être que les amateurs et amatrices de mode s’y retrouveront davantage !
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Le Diable s'habille en Prada

Lu il y a très longtemps maintenant j'en garde un bon souvenir. Un petit roman léger sans prise de tête.
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L'Enfer est pavé de bonnes intentions

Qui ne connaît pas le grand classique télévisuel qu’est Le Diable s’habille en Prada ?



Il faut savoir qu’il s’agit de l’adaptation d’un roman de Lauren Weisberger, roman dans lequel elle met en scène une patronne tyrannique, Miranda Priestly et son assistante Emily.



Après le succès de ce premier roman, elle décide d’écrire Vengeance en Prada, qui n’aura rien à envier à son prédécesseur.



Cette année, nous avons pu retrouver la suite des aventures d’Emily et de Miranda Priestly dans un 3ème roman intitulé L’enfer est pavé de bonnes intentions, paru aux éditions Pocket le 30/04/2020.



Nous y retrouvons Emily, devenue conseillère en communication auprès des célébrités.



Tout marche plutôt bien pour elle jusqu’à ce qu’une concurrente vienne lui voler ses clients les plus importants.



Heureusement, une de ses amies, Miriam, connaît la femme d’un sénateur qui a grandement besoin de son aide après avoir été arrêtée ivre au volant d’une voiture alors que des enfants se trouvaient sur la banquette arrière.



Emily se retrouvera en pleine banlieue new-yorkaise et déploiera alors toutes ses armes pour prouver l’innocence de Karolina . Elle découvrira que l’être humain peut être capable de tout pour manipuler l’opinion publique et obtenir ce qu’il désire.



Comme les autres romans de l’auteur, celui-ci m’a énormément plu.



Nous retrouvons le style du Diable s’habille en Prada avec ses héroïnes principales tout en y trouvant une intrigue plus prenante.



L’apparition de 2 nouvelles héroïnes, très attachantes, permet d’adoucir le côté très tranchant d’Emily et de Miranda.



Je conseille ce roman à toutes celles et ceux qui ont aimé Le diable s’habille en Prada et sa suite. Vous ne serez pas déçus.



Et si vous ne connaissez pas cette auteure et ses romans, alors je ne peux que vous dire une chose : procurez-les vous. Vous serez contents de les découvrir dans votre jardin ou au bord d’une piscine cet été.



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Vengeance en Prada : Le retour du Diable

Lecture décevante.

Ce livre faisait partie de ceux raflés dans ma bibliothèque le dernier jour avant le confinement, parce qu'il était sur un présentoir et parce que j'avais gardé un bon souvenir du premier.

Là, je n'ai pas ressenti grand-chose à part de l’énervement envers le personnage principal : j'avoue que j'ai eu du mal à comprendre ses réactions, qui m'ont semblé assez irrationnelles et disproportionnées par rapport aux évènements qui les suscitent.

Du coup je ne sais pas si je vais me lancer dans le troisième également disponible dans ma bibliothèque.

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Le Diable s'habille en Prada

Ennuyeux
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Le Diable s'habille en Prada

Humour piquant, chouette livre, fidèle au film que j'avais aimé à l'époque
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