Un roman noir très prenant dans son caractère sombre et sombre, encore sombre! Séquestrée, livrée corps et âme à la folié et aux fantasmes de son prédateur, Flora, parvenue au bout de tout effort humain, n'a plus qu'une seule conscience, avoir la vie sauve malgré, qu'un seul fil de souffle la maintienne en vie. Lisa Gardner a eu toute la manie de nous plonger dans un huis-clos tout en nous gardant en haleine et en nous coupant le souffle à chaque avancée de notre lecture...
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Bonjour à vous.
Et oui, après plusieurs semaines d'absence, je suis de retour.
J'étais sur Instagram, à m'amuser, à me faire plein de nouveaux copains et à perdre mon temps. En passant, la quantité de copains ne compense pas pour la qualité.
Ha oui, j'ai aussi lu ce livre dernièrement.
Un classique de Gardner, qui n'a rien d'un Classique.
En fait c'est ordinaire et invraisemblable *
* Je viens de remarquer qu'invraisemblable n'a qu'un "S".
Un autre mystère de la langue française.
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Excellent!!!
Encore un livre de Lisa Gardner dont je me. Souviendrai comme la maison d'à côté.
Des rebondissements à chaque fin de chapitre pratiquement.
J'ai dévoré les 500 et quelques pages sans peiner.
Haletant, bouleversant,, prenant etc etc
Je recommande de lire ce livre si ce n'est pas déjà fait.
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J'ai vécu cette lecture comme une vraie automutilation mentale...
L'écriture est faussement foutraque et l'intrigue distile des taches d'eau et d'huile qui n'ont aucune chance de se mélanger un jour...
Mayday Alerte maximum: gros risque de déception!
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Mouais, bof et re-bof......
Une histoire tout ce qu'il y a de banal et de stéréotypé...
L'intrigue est cousue de fil blanc, et très vite on devine la vérité.( difficile de faire autrement d'ailleurs !!! )
Ce livre n'est pas franchement mauvais, mais en tout cas il ne me donne absolument pas l'envie d'en lire un autre de cet auteur.
Et en plus cette romance à la limite du crédible entre l'héroïne et le flic chargé de l'enquête.....pfffff, je ne vois pas ce que ça apporte à l'histoire....
Sitôt lu, sitôt oublié !!!!
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le roman policier démarre par un prologue ou Danny raconte "l'histoire de sa vie " : elle est la seule survivante de l'assassinat de toute sa famille par son père, et elle est sauvée par le shérif Wayne pour être confiée à sa tante maternelle Helen !
Vingt cinq ans plus tard, le commandant ( ou détective ) D.D Warren va se rendre dans une maison du quartier populaire de Boston ou 5 membres d'une même famille ont été tués, le père s'est raté mais va mourir dans le transfert en ambulance ! D.D Warren comprend rapidement que l'affaire est plus compliquée qu'il n'y parait et, aidé d'Alex, de Phil, de son équipe : elle va tenter de trouver les raisons de ce familicide !
C'est un roman choral ou 3 voix, 3 narratrices vont apporter un éclairage différent sur le récit, à savoir :
*Danielle travaille dans une unité de soins psycho-pédiatriques aux cotés d'enfants schizophrènes, psychotiques, sauvages, martyrisés, abusés et, elle est obsédée par les dernières paroles de son père !
*Victoria s'occupe à plein temps de son fils de 8 ans qui est violent, la frappe, la martyrise au point que le papa a quitté le domicile en amenant Chelsea, la cadette pour la protéger ! Victoria avait refusé de mettre leur fils dans un institut spécialisé et, à chaque instant elle vit dans la peur de le voir se servir d'un couteau pour commettre le pire !
*D.D Warren est détective dans le service de police criminelle de Boston et, elle va être obligée de prendre en charge dans un autre quartier de Boston, un autre familicide qui ressemble en tous points au premier !
Ces familles ont-elles un lien avec le service psycho-psychiatrique de l'institut ou travaille Danielle ? Dans l'affirmative : lequel ? D.D Warren va être obligée de se plonger dans l'univers de la psychiatrie !
Lisa Gardner va sur 567 pages nous conduire avec ces 3 voix à découvrir les drames des familles, de leurs parts d'ombres, de leur impuissance à maîtriser leurs pulsions et surtout celles de ces enfants en souffrance !
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Je découvre cette autrice avec ce roman.
Il s'agit d'un très bon thriller psychologique mêlant crimes actuels et anciens.
La narration du point de vue de plusieurs personnes apporte un plus indéniable au récit.
L'intrigue est solide, même si je regrette l’accélération du rythme à la fin.
Il s'agit du premier tome français de la série D.D Warren mais c'est le second en V.O (non traduit). Je l'ignorais et j'ai été un peu déçu des liens entre ce roman et le précédent. Toutefois, il n'est pas indispensable de l'avoir lu pour suivre l'intrigue.
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Des coups retentissent dans une jolie maison ou un couple y est domicilié et ou un enfant devrait voir le jour !
Mais voilà Evie future maman est retrouvée avec le fusil à la main !
Alors pourquoi a t'elle tué son mari ? Ou alors ce n'est pas elle ? Sauf qu'Evie à un lourd passé... Elle a déjà tiré sur un homme son propre père !
Simple coïncidence ? Manipulation ?
Place à D.D Warren pour résoudre ce sac de noeuds !
Pour moi chaque début d'année est un vrai bonheur car un roman de Lisa Gardner sort ! Et jadore ! D'autant plus quand c'est avec D.D Warren ! Et quel plaisir d'y retrouvé également Flora !
Ce livre ne déroge pas à la règle, j'ai passé un moment magnifique !
Ce n'est pas pour rien que Lisa Gardner fait partit des reines du thriller psychologique ! J'ai dévoré ce roman ! Il ce lit à une vitesse incroyable tellement le suspens est intense !
Voilà maintenant je me sens vide... Encore un an à attendre...
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Attention, addiction possible donc bien choisir le moment pour le commencer car difficile de le poser. Vous connaissez ce syndrome :" allez encore une page et j'arrête "ou pire "à la fin du chapitre..."
C'est ça, nous y voilà.
Il faut dire que quand une famille entière se fait enlever sans raison apparente, il y a de quoi motiver Tessa la détective .
Comme toujours, le FBI opère face au privé et à la police locale. Mais ça va, ils ne s'étripent pas.
On attend le motif de ce drame qui ne vient pas et pourtant la famille va de plus en plus mal et les motifs, et bien vous en aurez plein la tête car de parfaite, il ne reste que l'intrigue.
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Il y a quelques jours j'ai dévoré Famille parfaite de Lisa Gardner.
Les Denbe semblaient sortir des pages des magazines glamour : un mariage modèle, une belle situation, une ravissante fille de quinze ans, une demeure somptueuse dans la banlieue chic de Boston… une vie de rêve.
En apparences évidemment et comme tout le monde le sait... les apparences sont trompeuses :)
Un jour, ils disparaissent sans laisser de traces, la mère, le père et la fille !
Pas d’effraction, pas de témoin, pas de motifs, pas de demande de rançon. Juste quelques traces de pas et des débris de cartouches de Taser sur le sol de leur maison.
Pour la détective privée Tessa Leoni, l’enlèvement ne fait aucun doute. Mais que pouvait bien cacher une existence en apparence aussi lisse ?
Famille parfaite est un roman qu'on m'a prêté et j'ignorai qu'il suivait Preuves d'amour que je n'ai pas lu ! En soi ce n'est pas plus gênant que ça, sauf que du coup je n'avais pas certaines informations sur Tessa Léoni dont la situation a changée. Mais il faut avouer que ce n'est pas hyper dérangeant, j'ai compris quand même car l'auteure distille quelques informations sur l'affaire ici et là :)
J'ai apprécié de retrouver Tessa Léoni, j'ai aimé l'histoire que j'ai trouvé bien ficelée. L'ambiance m'a plu, ainsi que les personnages.
J'ai passé un bon moment toutefois je ne suis pas certaine d'en garder un grand souvenir.
C'est du Lisa Gardner, c'est agréable à lire, ça se lit d'ailleurs rapidement mais après.. pas sure quand même de m'en rappeler dans quelques mois.
Je mets trois étoiles et demie.
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"Le saut de l'ange" est mon premier contact avec Lisa Gardner. Je n'ai pas été déçue.
Le début du roman est relativement simple : un accident de voiture. Nicole, la conductrice, s'en sort mais laisse penser aux sauveteurs qu'elle n'était pas seule dans la voiture. Les recherches notamment avec Annie, chien policier, sont négatives, aucune trace de Vero, la petite fille.
Malgré les séquelles dues à plusieurs TTC (traumatismes cérébraux-crâniens) et contre l'avis médical Thomas, son mari, exige que Nicole quitte l'hôpital et rentre chez eux.
La police doit enquêter car "la conductrice puait la gnôle, mais d'après les analyse effectuées à l’hôpital, elle n'avait que 0.6 gramme..."
Les enquêteurs Wyatt et Kevin, et Tessa (maîtresse de Wyat), consultante en sécurité, sont des personnages que l'on peut retrouver dans d'autres ouvrages de l'auteure.
Très vite l'affaire se complique : qui sont vraiment Nicole et Thomas, quid de leur identité et de leur passé ? Vero a-t-elle existé ?
il est aussi question de disparition de petites filles (enlevée ? vendue ?) de maison victorienne au passé douteux, de pyromane, d'amitié, de haine...
L'histoire est fort bien construite. Les chapitres se succèdent et font monter le suspens. Le texte est soit écrit à la première personne : la police de caractère est alors modifiée, normale si Nicole parle et pense au présent, en italique lorsque ses souvenirs lui reviennent "en rêve", soit à la troisième personne.
"Le saut de l'ange" est le genre de livre dans lequel vous avez parfois du mal à entrer, puis passé le cap des premières pages, vous ne pouvez plus vous en détacher avant d'arriver à la dernière page.
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Un thriller sépulcral et patibulaire plein de suspens et arcanes nous tient en haleine le long du récit surtout au milieu du roman il vous sera difficile de d’interrompre sa lecture .IL évoque les réseaux pédophiles et les méthodes de traque de ces prédateurs sexuels En parallèle L’histoire de Charlie héroïne du récit, la jeune femme traquée, opératrice dans un commissariat de police a ’Boston, qui porte sur ses épaules toute la misère des appels de détresse qu’elle traite chaque nuit tout autant que sa propre histoire personnelle.
Le rebus de l’arcane réside dans le passé de Charlie, que celle-ci a effacé de sa mémoire dans un mécanisme d’auto-défense que l’on retrouve souvent chez les victimes de traumatisme important. Gardner joue avec maestria avec les zones d’ombre de la mémoire chancelante de la jeune femme – et aussi avec les nerfs de son lecteur, qu’elle emmène de fausse piste en rebondissement jusqu’à la manifestation de la vérité et dévoilement .
Un roman digne de Lisa Gardner a’ ne pas regretter
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Une analyse très réaliste du mal irréparable qui transforme un innocent en monstre.Une incursion instructive dans l'univers des arachnides.
Un agent du FBI qui risque sa vie pour aller au bout d'une enquête après la disparition, de prostituées.Haletant!
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Ce Lisa Gardner attendait sagement son tour dans ma PAL depuis presque trois ans. Il s’agit de mon quatrième roman de cette auteure. J’avoue qu’elle fait partie de mes « chouchous » !
Le Saut de l'ange (de son titre original ‘Crash and Burn’) est paru en 2015 et traduit en français en 2017. Il s’agit du troisième de la série ‘Détective privée Tessa Leoni’.
Difficile d’en parler sans spoiler… Une jeune femme est victime d’un accident (à première vue) de voiture. Elle parvient à s’extirper de la voiture et, alors qu’elle est emmenée par les secours, elle crie à qui veut l’entendre qu’il faut sauver la petite Véro, 6 ans, qui était vraisemblablement dans la voiture avec elle. Problème, on ne trouve personne… Pire encore, son mari affirme que cette petite Véro n’existe pas…
La jeune femme en ressort en partie amnésique, ne reconnaît pas vraiment son mari.
Qui dit la vérité ? Elle... ou lui ??
Une enquête est lancée. Elle ne sera pas facile pour le sergent Wyatt Foster et Tessa Leoni…
Idem pour le lecteur, difficile de deviner ce qui se trame là-dessous !
Un excellent roman, une fois de plus pour Lisa Gardner, un page-turner très excitant. Une fin qui n’est pas bâclée, un dénouement incroyable, un régal !!
Il me reste trois Lisa Gardner dans ma PAL et je suis impatient de les découvrir !!
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Un homme est abattu de trois balles. Sa femme, Evie, est retrouvée sur les lieux, l'arme à la main. D.D. Warren reconnait en la jeune femme l'adolescente qui a accidentellement tué son père des années plus tôt. Une coïncidence qui éveille la curiosité de l'inspectrice.
C''est le premier roman de Lisa Gardner que je lis (en l’occurrence, que j'écoute) et je dois avouer que je suis agréablement surprise. Si l'enquête est menée de manière on ne peut plus classique, le rythme haletant les personnages attachants et les fausses pistes rendent le roman difficile à lâcher.
Le roman se déroule à trois voix : D.D., qui mène l'enquête, Evie, suspectée de meurtre, et Flora, jeune indic au passé douloureux qui reconnait la victime. Cette alternance de points de vue constitue les pièces d'un puzzle qui s'assemble petit à petit sous nos yeux.
Si l'on peut reprocher au roman d'être très américain (et du coup peu subtile), difficile de nier l'intensité de la plume de l'autrice, ici portée à la perfection par Colette Sodoyez qui incarne parfaitement ces trois voix féminines.
N'avoue jamais est un roman d'une efficacité redoutable qui tient en haleine le lecteur jusqu'au bout.
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Parmi les trois livres de Lisa Gardner déjà lus, "Preuves d'amour" est sans conteste à mes yeux son polar le plus abouti. Il est magnifiquement construit autour du thème universel de l'amour maternel.
On y retrouve son enquêtrice fétiche, D.D. Warren, officier du Boston Police Department, qui venant de s'apercevoir qu'elle est enceinte, se questionne sur ses aptitudes réelles à être mère. Appelée sur les lieux d'un meurtre, elle découvre l'agent de police Tessa Leoni qui vient d'abattre à bout portant son mari avec son arme de service. Les traces de coups sur le visage et le corps de la jeune femme laissent supposer qu'elle était victime de violences conjugales, elle pourrait donc invoquer la légitime défense. Mais impossible pour les enquêteurs de mettre la main sur Sophie, la fille de 6 ans de Tessa. Cette dernière affirme qu'elle a disparu, tout en restant évasive sur le réel déroulement des faits.
J'ai beaucoup aimé l'affrontement de ces deux femmes qui au final ont le même but, celui de protéger un enfant. L'auteure a excellé dans la façon de construire l'intrigue policière. Elle tricote point par point un ouvrage à charge contre Tessa par le biais des prémices de l'enquête elle-même. Puis en alternance, chapitre après chapitre, Tessa se confie au lecteur en lui dévoilant son passé, et fait ainsi s'évanouir peu à peu toutes ses certitudes du départ. Coupable, victime, l'hésitation perdure au fil des 500 pages, mais pas un instant, je ne me suis ennuyée, le suspense se mêlant à l'émotion.
Même si Lisa Gardner construit souvent ses intrigues autour d'une disparition d'enfant et des apparences de la famille idéale, j'ai trouvé que dans "Preuves d'amour", elle avait davantage travaillé la psychologie de ses personnages, notamment celle des deux héroïnes, apportant ainsi plus de profondeur à ce qui n'aurait pu être qu'un simple polar à l'américaine. Une lecture qui se conclut par un 19/20.
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Audiolivre.
C'est toujours un bon moment passé avec Gardner... Ce n'est rien de transcendant, mais tous les ingrédients y sont pour faire de ces lectures, des lectures confortables... Et l'intrigue est toujours suffisamment bien développé et captivante pour faire des romans de Gardner des pages turners... Bon, ici, c'était en audio, donc pas de pages tournées, mais, j'avais toujours hâte de retrouver l'habitacle de ma voiture pour continuer cette histoire...
On suit Adeline, qui, atteinte d'une maladie très rare, ne ressens aucune douleur. Avec une espérance de vie très faible, Adeline a surpris tout le monde et est maintenant une femme accomplie, bien établie, ayant fait de grandes études et s'étant spécialisé dans le traitement de la douleur. Ironique, n'est-ce pas ? Et Adeline cache de biens sombres secrets... et elle de qui tenir... fille d'une sérial killer et soeur d'une meurtrière condamnée à la prison à vie... Un personnage complexe et très intéressant que cette Adeline... Et puis, il y a toujours notre chère DD Warren qui enquête sur le Tueur à la Rose... une série de meurtres pas jojo... Le destin de DD croisera celui d'Adeline, pour le plus grand plaisir des lecteurs...
Une histoire qui tient la route. Une intrigue très intéressante. Des personnages forts pour qui nous éprouvons très facilement de la sympathie... Bref, un bon bouquin !
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Sandra Jones, professeur, forme avec son mari Jason, journaliste, et leur petite fille de 4 ans, Ree, une famille que l'on peut considérer comme ce qu'il y a de plus normal. Sauf qu'un soir, quand Jason revient, Ree est toute seule à l'étage, et Sandra a disparu.
C'est l'inspectrice D.D. Warren qui mène l'enquête. Et D.D. est extrêmement troublée de voir que cet étrange mari sembler se soucier comme de sa première chemise de la disparition de sa femme. Ce qui en fait son suspect numéro 1. Ceci dit, il y a également le jeune homme au coin de la rue, fiché comme pervers sexuel. Elle se demande bien ce qu'il a à voir avec cette histoire.
J'ai fini de lire ce livre et ma réflexion c'est : tout ça pour ça !! La maison d'à côté, Grand prix des lectrices de Elle policier en 2011, est le livre qui m'a le moins plu de cet auteur, que j'apprécie généralement pour ses histoires au suspense psychologique bien ficelées. J'ai trouvé la première moitié du livre plutôt ennuyeuse, je me suis même demandé si je n'allais pas arrêter ma lecture. Il faut dire qu'il ne s'y passe pas grand chose. On passe du point de vue de Sandy, en italique, à celui de son mari Jason, qui a une grosse tendance à la culpabilisation, à celui du "pervers sexuel" et à sa vie difficile "en cours de réinsertion", et enfin, à D.D., qui n'a rien à se mettre sous la main pour faire partir son enquête. L'histoire piétine, tout comme les personnages principaux, et le lecteur tourne en rond...
La seconde moitié est plus réussie, de nouveaux personnages permettent de donner un nouveau souffle et de nouvelles directions aux pourquoi, comment, qui et avec qui. La tension monte (enfin !) un peu, et le puzzle commence à s'emboiter. Et quand intervient l'explication finale, on se dit qu'on s'est fait berné. A mon avis, un Lisa Gardner très dispensable !
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Dans cet opus , il me semble que notre sympathique commandant D.D. Warren est plus spectatrice qu'actrice. J'ai eu l'impression qu'elle assistait à ce qui se passait ou alors qu'elle était dépassée par ce qui se passait. On connait la recette de Lisa Gardner et on se laisse quand même prendre chaque fois. Alors Les morsures du passé ne font pas exception, on veut aller au bout de la lecture pour comprendre. Et perso, ici, j'ai trouvé le dénouement de l'intrigue un peu emberlificoté. Pas trop compris les mobiles qui sont , à mon avis, un brin simplistes/tordus/surréalistes. Mais bref, il semble que ce soit ce qui fait le succès de la recette de cet auteur.
Petite question aux fans de Lisa Gardner. Je n'ai lu que 2 titres de cet auteur mais je me demande, est-ce que toutes ses intrigues nous parlent d'enfants ?
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