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Critiques de Pascal Bruckner (342)
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Mon petit mari

"Mon petit mari" de Pascal Bruckner m’a offert une première rencontre littéraire surprenante et déconcertante avec l'auteur. Dès le début, j’ai été intriguée par l’histoire de Léon, qui, à 1 mètre 66, commence à rétrécir de manière absurde, perdant 39 centimètres après la naissance de chacun de ses enfants. Cette métaphore des sacrifices parentaux, bien que claire, prend rapidement une tournure fantaisiste, voire loufoque, qui m’a laissée perplexe.



La partie centrale du roman m’a semblé s’égarer dans des anecdotes futiles, donnant l’impression que Bruckner perdait le fil de son récit. Les personnages subissent des variations trop brusques, rendant la logique interne de l’histoire difficile à suivre. Ce manque de cohérence nuit à l’immersion et à l’attachement que l’on pourrait avoir pour Léon et ses mésaventures.



Cependant, malgré ces défauts, la plume de Bruckner est indéniablement originale et possède un charme certain. Cette œuvre, bien qu’imparfaite, m’a donné envie de découvrir d’autres écrits de l’auteur. Il y a une audace dans son approche qui mérite d’être explorée davantage, et je suis curieuse de voir comment il traite d’autres thèmes dans ses autres romans.

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Un bon fils

Un récit autobiographique émaillé de réflexions sur la vie, la famille, la mémoire. L'auteur, fils unique, grandit auprès d'un père violent verbalement et physiquement et d'une mère soumise. Le père nostalgique du maréchal Pétain, antisémite viscéral éduque son fils dans le racisme, la violence. Seule échappatoire : les livres et vers 17 ans Paris, une ville où à l'époque (milieu ou fin des années 1960), on pouvait avoir un destin autre. Il y rencontre de nombreux intellectuels qui le pousseront vers le métier d'écrivain. Le fils s'est construit en opposition à ce père violent mais il l'accompagnera par devoir et un peu par amour jusqu'au bout de la décrépitude de sa vieillesse. Ce sera l'occasion pour le fils de découvrir un secret.
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Lunes de fiel

Curieuse envie, que de revenir à ce roman lu adolescent sous le manteau, à la suite de la sortie du film éponyme en 1992. Un réservoir de fantasmes/fantômes intenses et pourtant déjà faisandés.



Didier et Béatrice forment un couple bien tranquille et se sont offert une traversée en bateau jusqu’à Istanbul, avant de continuer vers l’Asie. Ils rencontrent un duo mal assorti : le cynique Franz sur son fauteuil roulant et Rebecca, jeune beauté hautaine. Didier, fasciné par la jeune femme, va accepter d’écouter les logorrhées sordides de Franz sur leur relation maladive et se faire prendre au piège de ces anciens amants passionnels et sadiques.



L’auteur Pascal Bruckner (fruit paradoxal de mai 68 virant réac sur le tard) m’intéresse aujourd’hui à peu près autant qu’à 15 ans, c’est-à-dire nullement, aussi bien pour ses travaux d’essayiste (certains diront philosophe) que pour ses romans, dont un autre (Les Voleurs de beauté) m’était presque tombé des mains.



Pourtant, on ne peut que constater le caractère unique de Lunes de fiel, même après révision dépassionnée (l’âge aidant). Le moment, l’œuvre, où le positionnement nébuleux de Bruckner fait sens, renvoyant dos à dos les errements de la libération sexuelle et le couple monogame bourgeois. Bruckner dépeint une passion, une passion au sens étymologique, une souffrance. Une volonté de pousser l’amour jusqu’au bout mais aussi de le pousser à bout. Un chemin de croix. Les amants, émerveillés puis horrifiés de ce que l’amour leur fait, ne veulent pas laisser la flamme s’éteindre et repoussent toujours plus leurs limites.

Bruckner insiste aussi sur leur différence de classes. Franz plus âgé, plus érudit, plus aisé et installé, Rebecca peu sûre d’elle malgré sa beauté et honteuse de ses origines. Amour et sexualité intimement liés aux rapports de classes et humiliations diverses menées avec une délectation de plus en plus cruelle. La patience de Rebecca jouera en sa faveur, dans un retournement terrifiant et jubilatoire.



Encore une fois, l’âge nuance ma relecture, une amertume sur l’échec inévitable du couple ou la fuite en avant désespérée me laisse un goût nouveau, plus mélancolique. Amer est le constat du roman, le mensonge du fantasme de l’amour fou, jusqu’au-boutisme sans compromis ni fin, achève l’anéantissement de ses protagonistes.

J’avoue cependant de grosses réserves sur des passages pendant lesquels je n’ai pu retenir de méchants ricanements, devant des tentatives de mêler trivialité et envolées lyriques (n’est pas Genet qui veut). Et le personnage sordide de Franz glisse sur une pente menant droit sur Houellebecq, à quelques années de là, ce à quoi (et cela n’engage que moi) je suis moyennement sensible.



Un petit mot sur le film de Polanski-Voldemort. Sans aller aussi loin que le roman, celui-ci grandit en pertinence avec la patine du temps et ce qu’il perd en lyrisme (mais est-ce vraiment une perte), il le gagne en prosaïsme et en ironie. Les jeux sur les clichés sont assez jouissifs, allant de romantisme (baiser sur peau de bête face à la cheminée) en simulacres sado-maso troublants ou grotesques. Et je ne me suis jamais totalement remis d’une certaine bouteille de Yop et d’un grille-pain facétieux.



Quant à la raison inconsciente de cette relecture, si je devais chercher quelques solutions afin de prévenir l’usure du couple, je prendrais mes jambes à mon cou et fuirais loin du chemin tracé par Lunes de fiel.

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La tentation de l'innocence

Il est gentil Bruckner. Outre qu'il est raciste, il est aussi symptomatique de la déshumanisation de nos sociétés occidentales élitistes ? En effet, il critique avec une part de verité les travers de l'individualisme mais en même temps sous couvert de toxicité du christianisme qu'il juge comme loi du "troupeau" il ouvre une boîte de Pandore à la déshumanisation et à la barbarie ? Inquiétant ?
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Les voleurs de beauté

A la fois roman philosophique et thriller, cette histoire au style rétro dégouline de cruauté. J’ai pensé à sa lecture aux livres de Françoise Sagan « bonjour tristesse » mais aussi trouvé des références à « La laisse » de cette même auteure dont le héros est sans personnalité, poltron, attachée à sa femme pour mieux en dépendre et vivre paisiblement sa vie d’homme entretenu opportuniste.

Les voleurs de beauté ne sont pas que ceux que l’on croit ; cela commence dès le début du roman avec Benjamin qui compile la beauté des mots des grands auteurs du 19ème siècle pour créer son « propre » livre en collant bout à bout, mot pour mot, les citations et le vocabulaire de ces illustres pairs.

Sous ces airs parfois fantastiques, sur la fin en tout cas, ce roman recèle de renvois à des notions actuelles : le consentement, le néo-féminisme, cela n’est pas sans rappeler l’essai que je suis en train de lire « un coupable presque parfait » du même auteur.

Cette beauté fait résonnance au concept de vieillesse et de transparence : passés 30 ans, nous ne sommes plus regardés par les autres, alors que/qui sommes-nous ? L’être humain se définit non pas dans le regard qu’il porte sur lui mais dans celui qu’il lit dans les yeux de ses congénères.

Un roman qui ne laisse pas de marbre et ouvre la porte à la réflexion.

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Je souffre donc je suis : Portrait de la vi..

Je suis d'accord avec 80% de ce qu'écrit Bruckner, mais cet auteur a le défaut de beaucoup de sociologues : il répète dix fois la même chose sous des angles différents et le style laisse vraiment à désirer. C'est touffu, parfois confus et manque souvent de clarté, rigueur et précision. D'après la biographie présente en début et en fin de bouquin, il en écrit presqu'un par an, ceci explique peut-être cela… Il n'en reste pas moins que beaucoup de passages sont très bien sentis et raviront ceux qui, comme moi, sont horripilés par le concert de jérémiades charrié par la presse et les réseaux sociaux.
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La tentation de l'innocence

super livre, critique acerbe d'une société et de ses travers. Un recueil de tout ce qui se fait de plus lache et tordu, une malhonnêteté intellectuelle quotidienne.

Tout le monde en prend pour son grade, personne n'est innocent mais beaucoup ne sont que des pauvres personnes subissant leur vie sans se poser la moindre question du sens de leurs actes
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Le Sacre des pantoufles

J’avais été dubitative lors de ma dernière lecture de Bruckner (La tyrannie de la culpabilité) mais le questionnement annoncé pour ce nouvel essai m’a titillée et poussée à retrouver ce penseur actuel.



Le propos est simple : la pandémie de Coronavirus et les diverses annonces apocalyptiques de notre temps encouragent l’humain à mener une petite vite étriquée, confinée dans son espace privé. A partir de cette base, Bruckner ratiboise large pour une critique en règle de l’époque : réseaux sociaux, météo, mode casual, castration médiatique des mâles etc. Il évoque également la guerre entre la Russie et l’Ukraine à plusieurs reprises. Le tout est saupoudré de références philosophiques et littéraires nous rappelant que de tout temps, certains ont préféré l’ombre à la lumière, le dedans au dehors, la léthargie à la vie.



Au final, grâce à son style clair et direct, on passe un agréable moment à acquiescer au propos, se disant que « Mais oui, comme il a raison ! » Cependant, après une petite digestion on s’interroge : et quoi ? Que nous apprend Bruckner ? Pas grand chose : il dépeint une société désenchantée, crache à gauche à droite sur les féministes et les écologistes mais n’apporte pas de « solution ». Car la question - qui se pose en filigrane - est celle-ci : comment (sur)vivre bien dans un monde en pleine mutation ?
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Le sacre des pantoufles : Du renoncement au..

J’ai apprécié ce livre qui, partant des contraintes que nous a imposées la pandémie, arrive à une thèse beaucoup plus générale montrant l’évolution de notre société vers une vie de plus en plus tournée vers l’intérieur de nos foyers plutôt que vers l’extérieur.

Preuves à l’appui, exemples tirés de grands livres en démonstration, Pascal BRUCKNER met bien en évidence ce changement sociétal.

On a le sentiment que le meilleur contrôle de la COVID ne va pas nous faire complètement revenir en arrière dans nos habitudes quotidiennes. Le fait d’avoir été cloîtré chez nous pendant la crise nous a donné des idées de ce qu’une autre vie, moins aventureuse que par le passé, constituait un autre mode de penser et de vivre.

Il n’est pas sûr que cela soit une bonne nouvelle comme nous le fait comprendre, souvent avec humour, Pascal BRUCKNER.

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Je souffre donc je suis : Portrait de la vi..

Cet essai, bien documenté, de Pascal Bruckner, nous démontre, avec de nombreuses illustrations, comment le déclin de la religion et son remplacement par le confort nous amène à souffrir de la réalité que nous jugeons injuste, accablante.

Comment beaucoup d'entre nous, victimes réelles, ressaient de trouver dans la "victimisation" une raison de vivre et/ou une possible indemnisation.

Et comment cela nous éloigne de la joie et du bonheur.

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L'Euphorie perpétuelle : Essai sur le devoir ..

« L’euphorie perpétuelle » est un livre difficile, brillant d’intelligence et développant des idées à contre courant de la pensée dominante.



Les références (philosophes, écrivains, scientifiques, journalistes) utilisées par Bruckner sont réellement impressionnantes et totalement maitrisées.



Le cheminement est imparable, avec chaque étape historique marquant une évolution vers la notion de bonheur.



Mon sentiment est que privé de puissants systèmes de pensées religieux, philosophiques ou politiques, privé aussi souvent de grands évènements lui rappelant sa fragilité (guerre, épidémie, catastrophe) , l’homme occidental moderne se raccroche artificiellement à une conception factice d’un bonheur inatteignable pour combler le terrible sentiment de vide en lui qu’aucune recherche de biens matériels ou de richesse ne saurait combler.



C’est donc comme si la société se droguait elle-même au bonheur pour ne plus voir la petitesse, la vacuité et l’inutilité de la condition humaine.



A mon sens la science est à terme une illusion, il y a eu un avant l’homme et il y aura un après.



L’homme n’est qu’un voyageur, une ombre de passage, le comprendre c’est déjà avoir la lucidité nécessaire pour tenter de faire quelque chose de sa vie pour rendre ce passage le moins désagréable possible tout en acceptant que les moments pénibles succèdent inlassablement aux moments heureux dans un infernal ballet cyclique ou l’homme subit plutôt qu’il n’agit.



Même si Bruckner est dur avec l’insensibilité stricte des philosophes Stoïciens, je me sens beaucoup plus proches du messages des philosophes grecs que des tous les autres avec cette approche de la recherche d’un équilibre entre passions et besoins corporels avec comme unique boussole (certes grandement imparfaite) l’intellect faisant office de régulateur.
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Je souffre donc je suis : Portrait de la vi..

Le souci des humiliés est l’honneur et la grandeur d’une civilisation. Mais selon Pascal Bruckner, l’envers de ce progrès, la victimisation, est un chantage permanent et une incitation à la résignation.
Lien : https://www.lesoir.be/577570..
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La tyrannie de la pénitence

Requiem un peu pathétique d'un vieux mal blanc sarkozyste qui voudrait que rien ne bouge.

Surtout ne pas se remettre en question...

La révolution en cours est peut-être un peu excessive mais ça ne pas être autrement.

Mais salutaire.

Désolé Pascalou...
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Je souffre donc je suis : Portrait de la vi..

A force d'être protégés, soignés, sécurisés, serions-nous devenus hypersensibles ? L'essayiste s'interroge.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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Le sacre des pantoufles : Du renoncement au..





C'est une série historique. L'auteur commence avec Oblomov de Ivan Gontcharov. Un gars qui a passé sa vie entre le lit et le canapé. Le comble a été le confinement de la pandémie. Le pantouflage de Oblomov a été choisi tandis que celui de la pandémie, imposé. Mais... est-ce qu'on a aimé ?



Pascal Bruckner a recherché dans les écrits, fiction ou pas, situations qui font que le pantouflage peut devenir une envie latente.



On ne peut ne pas parler d'internet, les téléphones portables, les réseaux sociaux, ... qui font qu'on est, en apparence en contact avec quelqu'un sans devoir sortir de son lit. Mais il y a un tas d'autres raisons : le défaitisme, la sensation de manque d'avenir, le cocooning, ...



Cette envie de rester chez soi à ne rien faire est devenue réalité avec le confinement. Possibilité de rester en pyjama toute la journée, tout en télétravaillant. Des posts dans les réseaux sociaux ont montré des situations cocasses telles le coup de la vidéo en route pendant que le télétravailleur se lève et apparaît juste en slip.



Le confinement est fini, mais il a validé le télétravail qui s'est généralisé. Avec beaucoup d'avantages aussi bien pour les employeurs que pour les employés.



Livre intéressant qui montre, parfois avec humour, que le pantouflage est, pour beaucoup, une tendance naturelle.



En effet, pour les introvertis qui ont envie ou besoin d'avoir beaucoup de moments de solitude, c'est parfait. Par contre, le risque de casser des liens sociaux, de générer un individualisme excessif, est important.
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Les voleurs de beauté

Le plot me semblait vraiment intéressant, malheureusement j'ai vite déchantée. Beaucoup trop d'images du corps de la femme mince et tout en courbe, trop de scènes X sans intérêt (même si certains diront qu'il y en a peu et que je chipote).



J'ai juste apprécié la fin, petite vengeance bien amenée.
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Parias

On parle du livre le mieux noté (sur Babelio) du prolifique Pascal Bruckner... Je plante le décor !

Question écriture, à n'en pas douter, c'est une belle plume qui convient parfaitement aux exigences descriptives de l'Inde. Cet auteur a le talent de savoir nous immerger directement dans le cadre avec un style proche du carnet de voyage, qui ne nous fait aucunement douter du vécu et du récit que l'on croirait presque autobiographique...

J'arrête là mes compliments qui collent très bien à la première partie du tableau.

L'arrivée progressive des personnages va ébranler ce bel édifice et nous devrons quitter la découverte du sous continent pour la psychologie et les âmes torturées d'européens en mal d'aventures. Quelques saillies çà et là vont nous aider à garder les yeux rivés au texte mais les efforts pour atteindre la conclusion se feront à chaque page plus importants. Et tout cela est bien dommage.
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Le Divin enfant

Une lecture intéressante et qui nous ouvre à de nombreuses questions. L'écriture est précise, joueuse, même si j'ai parfois ressenti quelques longueurs. Une œuvre originale qui pousse son idée jusqu'au bout.

Mais je ne suis sûrement pas le public qui peut adorer ce roman.
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Trois jours et trois nuits

«Un pamphlet réactionnaire d'écrivains accueillis par des chanoines traditionalistes [...] emphatique rumination antimoderne à la radicalité stupéfiante». Guillaume Gendron, "Libération".



Un ouvrage salué par toute l'extrême droite (Boulevard Voltaire notamment).



«[...]ce livre un pur projet de reconquête politique déguisé en livre de prière, dans un moment tout sauf innocent, tant dans le village qu’au niveau de la nation. Les écrivains conviés à ce projet le savent et en remplissent le cahier des charges, à commencer par Sylvain Tesson, très loin de son image grand public consensuelle, dont le texte est d’une radicalité réactionnaire inouïe.» Patrick Boucheron, médiéviste, professeur au Collège de France de la chaire «Histoire des pouvoirs en Europe occidentale, XIIIe – XVIe siècles ».
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La tyrannie de la pénitence

On m’a prêté cet essai suite à une discussion sur le décolonialisme. C’était gentil mais j’ai abandonné au 3/4 du livre…

Aux antipodes de la position de Vergès que j’ai lu récemment, je découvre la pensée de Bruckner sur le goût qu’aurait un certain Occident à s’autoflageller par rapport à son passé (entre autres colonial). Ce n’est pas que le propos n’est pas intéressant; il l’est très certainement mais, c’est un peu comme dans certains essais d’Onfray : on a compris après vingt pages et le reste n’est que redites et exemplification.
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