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Critiques de Upton Sinclair (81)
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La jungle

A lire pour se rendre compte des conditions de travail d'une autre époque. Terrifiant!

Le héros s'enfonce dans le drame. Sur la fin du livre, l'auteur oublie le héros de son roman au profit de ses idées politiques. J'aurai aimé une fin plus construite ...
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La jungle

Passionnant historiquement parlant et bouleversant humainement parlant
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La jungle

« On utilise tout dans le cochon, sauf son cri » : telle est la devise capitaliste chez Brown and Company. En racontant ce qui se passe à Packingtown, ce vaste quartier de Chicago comprenant les parcs à bestiaux, les abattoirs et les logements des ouvriers, Upton Sinclair va connaître son premier grand succès littéraire. L’auteur, qui rendra fous de colère les cartels, mais que son envie de réforme porte au combat, sera même reçu par Roosevelt à la Maison-Blanche.



La Jungle s’ouvre sur le mariage d’Ona et de Jurgis : on s’amuse, on danse, on mange… Mais la fête a coûté d’importants sacrifices et la liesse cache quelque chose de douloureux et de misérable.



Dans cette scène inaugurale, antithèse de ce que sera la vie des personnages, l’auteur annonce la tragédie d’une famille lituanienne qui se débattra pour ne pas sombrer dans le malheur total. Comme dans un roman naturaliste, Upton Sinclair nous narre l’histoire de Lituaniens, qui vendent tout ce qu’ils possèdent pour partir, espérant sortir de la misère et vivre le rêve américain. Ils sont douze à prendre le bateau pour cette nouvelle terre : Jurgis, Antanas (son père), Ona (sa fiancée) Elzbieta (belle-mère d’Ona), Jonas (frère d’Elzbieta) et les six enfants de celle-ci. Ils quittent leur pays natal le cœur rempli d’un espoir qui sera long à s’éteindre. Dès leur arrivée, ils sont freinés par la barrière de la langue. Heureusement, ils trouvent sur place des compatriotes qui les aident autant qu’ils le peuvent, leur donnent de quoi dormir et manger en attendant d’obtenir du travail.



À Chicago, à la fin du XIXème siècle, l’industrie de la viande est en pleine expansion : des abattoirs à perte de vue, des conserveries, une machine à tuer des milliers de bêtes par jour ! Lorsqu’on entre dans l’usine, on croirait lire la description de ce qui se déroule de nos jours dans les élevages industriels et les abattages à la chaîne, tels qu’on en a vu récemment grâce aux vidéos de L214, avec des ouvriers qui considèrent les animaux comme de la marchandise. Chacun est assigné à sa tâche : il y a celui qui assomme, celui qui écorche, celui qui balaie les boyaux, etc. La première fois que Jurgis et sa famille pénètrent au cœur des abattoirs pour une simple visite, ce ne sont que stupeur et dégoût.



S’ensuit une description de la roue à laquelle les animaux sont pendus avant d’être saignés. Mais, comme tous les autres, les spectateurs s’habituent, ravalent leur peur, passent leur chemin. Malgré des pages très fortes et brutales sur le sort réservé aux bêtes, le roman d’Upton Sinclair n’est pas réellement engagé sur cette question. En tant qu’écrivain-journaliste, s’il dénonce ces horreurs, c’est pour mieux mettre en lumière les rudes conditions de travail des hommes, exploités par des patrons sans foi ni loi et cupides. La cruauté envers les animaux n’est qu’une métaphore de l’existence pitoyable des travailleurs. En 1906, la conscience de ce que leur fait subir l’être humain n’a pas éclos. Upton s’intéresse à la condition de l’homme, à la grosse mécanique qui le happe et le broie : qu’il patauge dans le sang ou respire les phosphates des usines à engrais, c’est son malheur qui est mis en valeur, comme le fait qu’il puisse, déjà à cette époque, manger n’importe quoi.



(...)

La suite sur Le Salon littéraire.


Lien : http://salon-litteraire.lint..
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Pétrole !

Auteur presque complètement inconnu en France, Upton Sinclair mérite très clairement une réhabilitation à laquelle je m'attaque aujourd'hui.



Drôle de personnage, né en 1878 et mort en 1968, Sinclair était un socialiste progressiste convaincu qui, durant son vivant est peu à peu devenu aux Etats-Unis une légende vivante.



A l'aube des révolutions communistes, il n'a pas hésité pas à peindre des fresques romanesques inouïes, comme celle-ci, pour décrire, expliquer aux américains le quotidien des "travailleurs" américains en pleine révolution industrielle. Au point de transformer le quotidien de toute une nation puisque, après la publication de La jungle, son livre le plus connu, qui dépeignait en 1905 de manière hyper réaliste le quotidien effroyable des ouvriers des abattoirs de Chicago, le président Roosevelt fit voter deux lois modifiant considérablement le droit du travail !



Pétrole ! est son roman le plus convaincant, une fresque gigantesque (1 000 pages serrées en format poche) que j'ai dévoré - et que vous allez dévorer ! - en quelques jours.



Lire la suite de ma critique sur le site Le Tourne Page
Lien : http://www.letournepage.com/..
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La jungle

Un roman paru en 1906. La jungle. La condition ouvrière dans les abattoirs de Chicago, la misère…



Un village transformé en ville industrielle en 50 ans. Un roman noir, comme la saleté et les vies brisées. Une investigation dans l’enfer des cartels, du capitalisme réellement existant, de la loi du plus fort…



Un banquet de mariage, « Chicago disparaît, avec ses bars et ses taudis ; surgissent des prairies verdoyantes, des rivières étincelantes sous le soleil, de majestueuses forêts et des collines enneigés ». Le temps suspendu à l’archet déchainé d’un violon. Et de suite l’argent, cette face permanente de la misère…



Les migrant-e-s. La découverte d’un « nouveau monde ». Chicago, « une épaisse fumée, grasse et noire comme la nuit, en jaillissait », le bruit, les meuglements lointains de bovins, la masse noire des bâtiments, les cheminées, les taudis, l’entassement…



Les abattoirs, « Le vacarme était effroyable, à vous déchirer les tympans », le travail, les couteaux, les carcasses, rien à jeter, « la division du travail poussée à l’extrême »…



Les trusts de la viande, les arnaques immobilières, les gangs et la pègre, la corruption et la police, la prostitution, la puanteur attachée à la peau, les chefs, l’alcool, les mises à la porte, les fermetures, les enfants mendiants, le froid, les dettes, le clientélisme, etc.



Les mort-e-s, les blessures, les abandons et quelques fois des lumières d’espoir….



Et une poignée d’ouvrier-e-s socialistes, comme un refus organisé, comme une attente au pays des rêves, de la démocratie frelatée, des violences policières et patronales…



Je ne fréquente que rarement cette littérature pouvant être qualifiée de naïve, « réaliste » ou moralisante. Je souligne, d’autant plus volontiers, la volonté de l’auteur de n’enjoliver ni les situations ni les personnes. Un monde de violence sociale donc aussi interpersonnelle. Le souffle puissant de l’évocation.



Ce livre eut un retentissement international. Il nous parle encore et encore.
Lien : https://entreleslignesentrel..
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La jungle

J'ai lu ce livre en 1969 ou 1970. J'étais alors au lycée et je l'avais emprunté à une bibliothèque. Il s'agissait d'une édition Suisse (éditions Rencontre à Lausanne). Il n'existait pas à ce moment d'édition française sur le marché. Ce livre m'avait mis une telle "baffe" que j'avais envisagé de ne pas le rendre ! J'avais même préparé pendant des heures un compte rendu de lecture que je voulais faire en classe en le proposant à mon prof de français afin d'éveiller l’intérêt de mes camarades et les inciter à le lire. Cet exposé ne s'est finalement pas fait. Mais pendant des années j'ai surveillé une éventuelle édition française, puis j'ai laissé tomber. Quand j'ai découvert par hasard, tout récemment qu'il en existe une édition française en livre de poche, je me suis rué chez mon libraire pour le commander.

En fait, s'il s'agit d'un roman, ce n'est pas essentiellement un roman. C'est avant tout une enquête, un travail de journaliste d'investigation. Car il faut dire qu'Upton Sinclair a donné de sa personne ; il n'a pas fait que recueillir des témoignages auprès de ceux qui vivaient cette forme d'esclavage ; il s'est fait embaucher aux abattoirs de Chicago ; il a vécu ce qu'il décrit dans son roman ; il a "mis les mains dans le cambouis" ; il a mouillé sa chemise !

C'est parce qu'il y a travaillé et a vu les choses de l'intérieur que son roman a tant de force et a eu tant de retentissement à l'époque. Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi il est si peu connu de nos jours !

En tous cas, je le place au panthéon de mes livres !
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Pétrole !

Grande fresque quasi historique de l'exploration pétrolière aux USA au début du siècle précédent, avec la relation du père autodidacte, venu de nulle part, et qui se débrouille bien dans un monde de requins avec son fils qu'il veut élever en bourgeois, en "héritier", alors que ce dernier, qui n'a jamais eu d'effort à fournir, est épris d'un idéalisme socialo-bolchévique.



Dommage, mais facile à dire aujourd'hui, que ce livre n'aie pas été écrit quelques années plus tard (il l'a été juste avant la grande crise de 1928)
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Pétrole !

lu après avoir vu le film
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La jungle

Ce livre nous plonge dans l'enfer de l'industrie de la viande, dans les Etats-Unis du début du XXéme siècle. Une famille d'immigrés va déchanter en découvrant l'envers du décor du rêve américain. Ils découvrent un système capitaliste qui broie l'humain dans sa chair et son esprit.

C'est très bien écrit, la description d'une société, le Chicago laborieux des années 1920, est réaliste et vraiment prenante. Car si ce livre est un plaidoyer il nous raconte surtout l'histoire d'un homme. A la fois documentaire et romanesque.



Amateurs de romans historiques ou de récits à la Zola foncez !
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La jungle

C'est le premier livre que j'ai lu... lorsque j'étais ado... (houuuuu, il y a tellement longtemps que je ne saurais vous dire la date) mais... je me souviens parfaitement qu'il traite de la condition humaine dans cette Amérique que certains de mes camarades cherissaient tant... et que je ne pouvais manifestement "déjà" plus entrevoir comme un El Dorado.



Vision d'ado: mais ho combien réaliste!



A lire absolument!
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La jungle

Écrit en 1905 et terriblement contemporain; migrants, exploitation, misère, capitalisme, productivisme, corruption, cynisme, mouvements sociaux. Upton Sinclair nous plonge dans les prémices d'un monde nouveau !!!

On ne ressort pas de cette lecture indemne et sans questionnement.

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La jungle

Un livre étonnement moderne, au final le monde n' a pas tellement changé depuis plus d' un siècle tant les parallèles que l' on peut faire avec notre époque sont nombreux.
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Pétrole !

Pétrole ! est un des rares livres où je n'ai pas réussi à me faire un avis clair une fois la dernière page tournée. Première certitude, j'ai préféré La Jungle, du même auteur, plus prenant et plus halletant.

Mais ce roman, n'est pas dénué d'intérêt, bien au contraire. Dans Pétrole !, Sinclair prend le temps d'installer ses personnages, et leur fourni une complexité rare. Mention spécial à Papa, dont on comprend, dès les premières pages, que derrière ce magnat du pétrole, qui n'a pas peur de se salir les mains pour réussir, se cache "un bon type" qui essaie de faire du mieux qu'il peut. Il aurait été plus facile de choisir un rapace qu'on aurait pris plaisir à détester. Mais Sinclair n'a pas opté pour la facilité et le pari est réussi.

Puis, il y a Bunny. Le fils, dont le tiraillement entre son milieu, son père, et ses idéaux socialistes, au sens large du terme, vont constituer le socle de ce roman fleuve de presque 1000 pages. Parfois agaçant, on ne peut cependant que compatir aux conflits de loyauté qui ne cessent de l'animer, tout en s'interrogeant sur la manière dont il va pouvoir finir par concilier, ou pas, ses sentiments avec ses aspirations politiques.

Ce livre dépeint également particulièrement bien une époque, celle de la ruée vers l'or noir, avec ses (basses) méthodes, et dans un contexte de montée du communisme. Tout parait alors possible à ces ouvriers qui doivent affronter une répression qu'on n'imaginait pas plusieurs décennies avant la Guerre froide.

Un grand roman, certainement. Mais avec un petit quelque chose qui manque, sans que je n'arrive bien à définir quoi. Peut-être que, tout simplement, j'en avais des attentes trop grandes après la gifle que m'avait infligé La Jungle.
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La jungle

Un livre coup de poing comme on en voit rarement. Entre le reportage sociologique et le conte politique, Upton Sinclair nous ouvre les yeux sur une réalité imaginable, celle de ce pauvre Jurgis et de sa famille, qui devront batailler au quotidien pour ne serait-ce que survivre.

Si la réalité a bien évolué depuis, l'exploitation de l'homme par une minorité de privilégiés prêts à tout pour accroitre leurs bénéfices reste malheureusement d'actualité.

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La jungle

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La jungle

Ils quittent la Lituanie à 12. Six adultes et six enfants de la même famille s’embarquent pour les Etats-Unis où ils vont rejoindre un ami qui possède un restaurant dans le quartier des abattoirs à Chicago. Ils vont se briser contre leur rêve Américain en dépit des efforts de Jurgis Rudkus le héros du roman, un homme fort, courageux, travailleur, qui ne pas pas être préparé à l’Amérique de l’époque et que ses qualités desserviront. Tout le Chicago du début du XX ème siècle et sa misère est dans ce livre, les abattoirs d’abord ou les hommes et les animaux mélangent leurs tragiques destins au profit du lobby de la viande, où les hommes meurt les pieds rongés par l’acide et les enfants dévorés par les rats, les syndicats ensuite et leurs arrangements avec les différents partis pour truquer ou acheter les élections. Le travail des enfants, les marchands de sommeil, la prostitution, les réseaux sous terrains clandestins de Chicago pour approvisionner les différentes usines aux nez et à la barbe du syndicat des camionneurs. Il n’y a pas grand chose à sauver dans le Chicago de 1907 tant l’égoïsme, l’opportunisme, la malhonnêteté sont la sainte trinité, tous coupable. Petite lueur d’espoir les références faites à ces socialistes incorruptible qui tentent de gagner du terrain et que Jack London décrivit si bien dans ses écrits socialiste.

L’incroyable histoire de ce livre et de son auteur c’est qu’ils vont transformer l’industrie de la viande aux Etats-Unis. La misère sociale, l’esclavage moderne tout le monde s’en fout, mais manger des saucisses relevées de sciures ou de mort au rat, ça c’est proprement inacceptable.

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La jungle

Une sorte de Zola à l'Américaine ! C'est un livre audacieux pour l'époque (Sinclair s'attaque à un lobby de la viande très puissant) et assez bien écrit, quoiqu'avec quelques passages très pathétiques. La fin laisse également assez perplexe, elle donne l'impression d'avoir été bâclée...
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La jungle

Lire c est pour se divertir, mais c est aussi pour s instruire.

Et ici avec " La jungle " c est bien le cas.

On aura beau dire ,c est un roman, l auteur y a mis ce qu il a voulu, oui, mais l auteur s inspire aussi de l air du temps comme de ses tragédies pour trouver l inspiration

Et ici l inspiration c est la misère humaine de tous ces ouvriers étrangers venus chercher l or que leur promettait le réve américain

les conditions de travail insoutenables.

Il faut quand meme lire ces témoignages venus d un autre temps qui ne sont peut etre plus aussi visibles en Europe, mais qui doivent bien perdurer dans d autres pays.

j ai trouve que ce livre faisait un bon écho a ce que j ai lu de Steinbeck, son roman En un combat douteux , est aussi sur la dureté de la vie au début du 20 éme siècle très poignant et de la lutte des ouvriers pour obtenir de meilleures conditions de vie

J oserai peut etre un rapprochement avec Zola et son Germinal, qui etait aussi un témoignange réaliste , fait aprés que l auteur se soit rendu dans des mines de charbon

Pour ceux qui croiraient qu un patron ne pouvait maltraiter ses ouvriers ni briser une gréve en faisant tirer sur les ouvriers, jettent un oeil a l histoire du MASSACRE DE LUDLOW

Ou 1200 mineurs grévistes, dont le patron était Rockfeller lui meme, l homme le plus riche du monde, furent attaqués par des briseurs de gréves et par la garde nationale...

Massacre qui se solda par la mort de 26 personnes

eh oui, ca a bien existé...

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La jungle

Prenant! poignant! un livre qui ne laisse pas indifférent parce que nous pourrions être cet homme aspiré dans un monde dont il ne connaît aucun des rouages et des pouvoirs qui le dirigent .Dans ce livre , pas d'angélisme, pas de pathos, seulement une humanité qui espère, ploie, cède et reprend espoir....C'est à la fois terrible et magnifique à chaque fois que l'espoir surgit à nouveau.J'ai appris beaucoup sur l'Amérique de cette époque et j'ai une multitude d'annotations de l'auteur à approfondir!
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Pétrole !

Pétrole, c’est un livre sur la société et pas uniquement sur l’industrie pétrolière et sa classe ouvrière. Les raisonnements sur l’industrie par l’auteur peuvent être étendus à l’ensemble de l’économie. Un roman éducatif, sans trop verser dans le bourrage de crâne. À travers le roman, nous voyons l'évolution du capitalisme de ''compétition'' vers le capitalisme monopolistique.



Mais, ce roman est encore plus. C’est principalement l’histoire d’un fils de bourgeois de l’industrie pétrolière qui est constamment chamboulé dans ses valeurs. Il alterne entre des valeurs individualistes et un mode de vie de riche et un mode de vie simple caractérisé par l’entraide et la solidarité. C’est aussi l’histoire d’un ouvrier qui chemine dans sa pensée à cause des évènements qui lui arrive (guerre, mauvaises conditions de vie, grève, schisme dans le mouvement ouvrier, etc.). Mais, encore là, j’ai l’impression de n’avoir rien résumé. D’ailleurs, quand on lit le quatrième de couverture, le lecteur peut avoir l’étrange impression qu’elle ne dit pas grand-chose. Pourquoi? Parce que c’est dur de résumer ce livre, c’est dur de le vendre en quelques lignes.



À travers cette petite brique, on arrive à voir plusieurs facettes de la société sous un angle rarement émis. Du moins, en Amérique du Nord et au Québec, probablement moins en France. L’auteur ne cache pas ses sympathies pour les idéologies anti-capitalistes et franchement, il n’y a pas de mal. Un peu de nouveauté pour ceux qui ne lisent jamais cela et un peu de réconfort de n’être pas seul au monde pour les autres.

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