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Critiques de Åke Edwardson (207)
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Ombre et soleil

Très rythmé, ce polar commence lentement, les chapitres sont longs, lents, avec la vision de chaque personnage puis petit à petit, le rythme d'écriture s'accélère avec les évènements, les personnages se croisent, les chapitres deviennent de plus en plus courts, jusqu'à la dernière page.

On en ressort étourdi et essoufflé.
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La maison au bout du monde

Erik Winter est mort. Presque. Il a failli se noyer au fond d'une piscine de la Costa del Sol et, après deux ans de repos, il souffre toujours d'un implacable acouphène. Il vient de laisser sa famille en Espagne pour reprendre son travail en Suède. Le retour ne sera pas facile.

Dans une ville paralysée par le froid, il doit faire face à un premier crime : une femme et deux enfants assassinés dans une villa de banlieue. Un nourrisson est également retrouvé dans la maison, en vie, mais mal en point.

Pourquoi personne n'a-t-il donné l'alarme ? Et pourquoi le bébé a-t-il été épargné ?



Bof !!!

Une enquête qui se traîne sans jamais vous captiver.



À éviter pour les amateurs de vrais polars !!!





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Voile de pierre

Deux enquêtes (parfois avec quelques longueurs) qui s'entremêlent tout au long de ces 528 pages, bien qu'il n'y ait aucun point commun entre les deux. Il n'est pas évident pour Aneta Djanali et son collègue Fredrick Halters de sauver malgré elle une malheureuse victime de violences conjugales, signalée à la police par une voisine. Pourtant, ils persistent, ne renoncent pas, et cette enquête les entraînera sur des pistes inattendues…

Erik Winter, lui, ne peut ignorer l'appel de Johanna Osvald, une ancienne liaison qu'il avait connue vingt ans auparavant, au cours d'un voyage en Ecosse. Son père a disparu. Il est parti brusquement après avoir reçu un message, et il ne donne plus de nouvelles à ses enfants. Impossible de ne pas faire le lien avec la disparition du grand-père, au cours d'une partie de pêche, pendant la guerre.

Il décide de l'aider, d'autant plus qu'il connaît un policier écossais, Steve Macdonald. Erik va rejoindre son ami à Inverness pour tenter de résoudre cette énigme et de retrouver le pêcheur disparu.

Entre le récit des différents évènements liés aux deux enquêtes, s'intercalent les pages consacrées à l'errance d'un personnage. On ignore qui il est, on n'en aura la certitude que dans les toutes dernières pages !

Pour illustrer les états d'âme de nos inspecteurs, beaucoup de musique! Les musiciens qu'ils aiment, les refrains qui traînent dans leurs têtes. Gabin Désiré. Les Pink Floyd. Coltrane. Miles Davis. George Harrison… Quel regret que le livre ne soit pas sonore! J'en ai été réduite à consulter YouTube de temps à autre pour mieux me plonger dans l'ambiance !

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Danse avec l'ange

Assassinats de jeunes Suédois à Londres et de jeunes Anglais à Göteborg. Crimes similaires qui conduisent les enquêteurs des deux pays à collaborer.

Ces enquêtes se sont avérées difficiles à la fois pour les commissaires Erik Winter et Steve Macdonald, et pour moi !

Comme dans les précédents romans de cet auteur, pas facile de m'y retrouver! Le paragraphe commence par un "Il .." , oui, mais qui est ce "Il " ? Ake joue avec nous, il reste souvent imprécis, passe d'un évènement avec un groupe de personnages à un autre, dans la ligne suivante, sans nous prévenir! Combien de retours en arrière pour m'assurer que j'étais toujours sur la bonne route !

De plus, sa chronologie est parfois déroutante.

Bref, si on ne veut pas décrocher il est IMPÉRATIF de rester concentré sur les lignes de ce roman et d'oublier tout ce qui bouge autour de soi. Sinon, on peut aussi tout simplement le reposer sur son étagère et en choisir un autre …

Mais, comme dans le fond, j'aime bien Erik Winter et ses collègues, comme d'habitude, je suis allée jusqu'au mot FIN.

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Danse avec l'ange

Danse avec l'ange est le troisième roman d'Ake Edwardson mais la première apparition de son personnage récurrent, le commissaire Erik Winter.

Ake Edwardson, tout comme ses confrères scandinaves, utilise l'intrigue policière afin de pointer du doigt les travers et les dysfonctionnements de la société moderne, d'autopsier ses contemporains en proie au mal-être des sociétés modernes,  ne donne pourtant pas dans le roman policier " anti-social" . Il procède d'une manière plus subtile, moins "rentre-dedans": çà et là, on relève de discrètes allusions : " L 'humiliation suprême devenait un business important, possible à cause de l'ignorance des dirigeants, de leur naïveté politiquement correcte et de leurs bavardages sans fin".

Le souci de vraisemblance de l'auteur se devine dans l'évocation d'affaires antérieures; le commissariat dans lequel travaille Erik Winter n'a pas vu le jour comme par magie avec la première ligne de Danse avec l'Ange. C'est un peu comme si Ake Edwardson nous en contait la chronique: « Un meurtre à Peckham à Noël l'année dernière. Notre seul indice était qu'un homme en voiture avait quitté les lieux à peu près à l'heure qui nous intéressait. Il y avait des témoins ».



Le roman commence par un prologue déroutant qui a pour effet de susciter l'intérêt et la curiosité du lecteur: alternance 1ère et 3e personne : «  Il manœuvra pour se garer, coupa le contact, se pencha sur le volant. Je suis touché. J'arrive à garder le masque jusqu'à Sankt Sigfrids Plan, pas au-delà. » «  Ensuite, il ne réfléchit plus beaucoup. Comme si les câbles du cerveau avaient été coupés, laissant les pensées se déverser en vrac dans la tête puis s'écouler au dehors, avec le sang. Je sais que c'est du sang, que c'est le mien. Je comprends. Je ne sens plus le truc froid, c'est peut-être fini. Je pense à des choses à venir. »

Puis, la première apparition du commissaire Winter: en hiver, juste après Noël, il assiste à l'enterrement de son ami Mats.=> Ambiance très sombre, qui donne le ton à la suite du roman.

Un cambrioleur trouve des vêtements couverts de sang séché dans l'appartement qu'il visite.

Deux meurtres : un à Goteborg, l'autre à Londres, à Clapham, dans le sud de la capitale.

Similitude : empreinte d'un gant trouvée à chaque lieu de crime et au même endroit.

Le jeune anglais, Geoff Hillier, reçoit une lettre de Goteborg. Il a une correspondante suédoise depuis longtemps.

3e meurtre en direct.

Enquête dans les clubs de strip-tease dans les milieux de la pornographie, de la prostitution masculine.

Winter à Londres.

Nouveau crime  à Londres : un témoin indirect simple d'esprit. Winter enquête avec Macdonald.

Ake Edwardson a été qualifié de " successeur" d'Henning Mankell. Je n'irais pas jusque-là...bien qu'il fasse preuve de maîtrise dans la peinture des personnages récurrents ou secondaires, ainsi que la mise en scène de la ville de Goteborg, où se déroulent nombre de ses intrigues. Son style est plus épuré, plus "léger", dans le sens où, en dépit de fréquentes et parfois sévères mises en garde concernant l'avenir de la Suède moderne, sa vision est moins pessimiste, moins désespérée que celle de ses confrères, en tout cas dans les premiers épisodes de la série.

Le personnage du commissaire Erik Winter, dandy fan de jazz, est un peu plus atypique que ses collègues littéraires: il a moins tendance à broyer du noir, sans doute grâce à une vie privée plus équilibrée que celle de Kurt Wallander ou de Martin Beck; bien que le doute ne l'épargne pas, ni les états d'âme quand Angela, sa compagne, le met au pied du mur, il fait preuve de plus de fantaisie, d'une vision moins pessimiste de sa propre destinée, de celle de son pays.     

Bien sûr, Ake Edwardson se révèle un fin observateur de son époque; mais sa vision est plus nuancée, plus discrète, la critique sociale est diffusée dans ses romans par petites touches. Les crimes sont tout aussi horribles mais résultent plus d'esprits pervers que de graves dysfonctionnements de la société moderne, contrairement à Mankell qui a tendance à imputer la responsabilité à la déliquescence de la Suède moderne.

Edwardson nous offre un autre point de vue, tout aussi passionnant et instructif...



Pour une chronique plus complète, cliquez sur le lien suivant:


Lien : https://legereimaginarepereg..
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Un cri si lointain

L'intrigue de Un cri si lointain est complexe, mêlant plusieurs histoires qui ne semblent posséder aucun lien entre elles. Fin de l'été. La canicule s'est abattue sur Goteborg,produisant des effets pervers sur la population: tensions, affrontements , violences sont devenues le lot quotidien d'une ville en ébullition. L'inspectrice Aneta Djanali se fait agresser, apparemment en raison de la couleur de sa peau. On comprend qu'il est sans doute arrivé quelque chose à une jeune mère et à sa fille.

Aussi, quand  le corps d'une femme inconnue est découvert sur les bords d'un lac des environs, avec pour seul indice qu'elle a un jour donné la vie, on ne peut s'empêcher d'établir un lien entre les deux affaires, bien qu'aucun indice ne vienne étayer cette hypothèse. De fait, le commissaire et son équipe pataugent littéralement dans la choucroute: aucune piste, aucun témoignage.

Mais un jour, une voisine de la jeune femme disparue, une dame âgée toute timide et d'apparence insignifiante, n'ayant pas aperçu sa jeune voisine depuis quelques temps, se décide à écrire à la police. Un nom, une adresse, et l'enquête est relancée. Petit à petit, les indices font surface redonnant courage à l 'équipe d'enquêteurs qui parvient à établir des connexions avec une affaire vieille de 25 années et avec le Danemark. Malgré tout, l'enquête sera longue et éprouvante, surtout dans l'ambiance survoltée qui continue de transformer la ville en un immense champ de bataille: détournement de bus, fusillade, bagarres...On n'a jamais vu ça !!

L'enquête: comme dans de nombreux polars, surtout scandinaves, l'histoire est racontée du point de vue de l'enquêteur, ce qui permet au lecteur d'assister à toutes les étapes de l'enquête, les investigations, les recherches d'indices, les perquisitions, les interrogatoires, mais aussi ce que je considère comme la partie la plus passionnante: les séances de briefing, lorsque toute l'équipe, ou en tout cas certains membres, se réunit pour analyser les indices et explorer les différentes pistes; comme dans cet extrait où Winter discute avec son supérieur: "Un lieu est rarement choisi au hasard. On l'a souvent constaté. Le meurtrier le choisit. Surtout dans un cas comme...celui-ci. -Je suis d'accord. Je crois. -Nous devons nous demander pourquoi elle a été retrouvée à cet endroit précis. Au bord du lac. A cette extrémité du lac." (Page 120)...

Le commissaire Winter essaie de comprendre ce qui s'est passé en reconstituant les faits, partageant ses interrogations avec son fidèle ami, j'ai nommé le lecteur : "Aurais-tu fait ça si tu avais tué quelqu'un, Winter? Aurais-tu pris la direction du lac? Pourquoi avait-on laissé le corps à cet endroit? Combien de nos criminels connus aiment à étrangler leurs victimes? Ont-ils des lieux favoris? Que savons-nous de cet endroit?" (Page 68).



Un cri si lointain est un polar solide, lourd, sombre...comme le cri du mal qui sourd des profondeurs de la terre, qui remontent des abysses de l'océan, qui descend des abîmes insondables des cieux qui nous entourent...comme une bête tapie dans l'ombre guettant sa proie inlassablement. L'intrigue, malgré la complexité de ses ramifications, est bien ficelée.

Les personnages ne sont pas du tout superficiels; d'ailleurs rien chez Ake Edwardson n'est superficiel. Certes, ils ont leur rôle à jouer dans l'histoire (après tout, ils ne sont que des personnages de fiction), mais ils ont leur propre vie professionnelle et personnelle, cette vie qui leur donne de l'épaisseur, de la profondeur.

Quant à l'ambiance, l'impression de lourdeur due à la canicule qui ne semble pas naturelle, jumelée à l'enquête qui s'enlise, est relayée par la sensation que quelque chose de mauvais agit à l'insu de tous; qu'il y a des remous en souterrain, des remous qui émergeront un jour et qu'il faudra alors affronter. Car la fuite ne sera pas de mise. La fuite n’apparaît jamais comme une solution viable dans les romans d'Edwardson. Bien au contraire !!
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Ombre et soleil

Je n'ai pas voulu rester sur la mauvaise impression de « Chambre N° 10 » et j'ai donc, une nouvelle fois, tenté de lire cet auteur. Rien à faire. C'est encore pire que le précédent, je n'ai pas pu aller jusqu'au bout.

Courage. Il m'en reste un à lire. Ce sera peut-être le bon !
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Ce doux pays

Crépusculaire enquête dans les milieux kurdes... Mais surtout en fait des les milieux fermés où différentes solidarités se heurtent.
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Ce doux pays

C’est assurément la curiosité (qui est l’assassin ?) qui m’a poussé à terminer ce roman, passablement ennuyeux et confus.

Il y a d’abord le style : il s’agit le plus souvent de dialogues faits de répliques très brèves, de phrases pleines d’ellipses, où l’on finit par devoir compter les lignes pour voir qui a dit quoi : un vrai ping-pong !

Il y a aussi le déroulement de l’énigme, que l’auteur se complaît à masquer dans un brouillard permanent.

Il y a en prime le nom des personnages, suédois du côté de la police, kurde du côté des suspects et des victimes : difficile de leur associer une image précise.

Bref, ce n’est pas demain que je lirai un autre roman de °Ake Edwardson !

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Rendez-vous à Estepona

Coups de coeur de Florence Daubert sur France Bleu Maine.
Lien : http://www.francebleu.fr/pla..
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Ce doux pays

Content de retrouver Erik Winter pour une nouvelle enquête et tous ces collègues. Mais cette fois-ci, je suis déçu. On retrouve bien cette ambiance tranquille, ce rythme lent typique de l'auteur. Mais là, il prend trop son temps. L'histoire n'avance pas, cela tourne en rond. Toujours les mêmes lieux et toujours les mêmes personnages interrogés.
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Voile de pierre

Ça me laisse froid





Je ne voulais pas revoir l'équipe de Goteborg. J'avais raison et c'est laborieusement que je suis venu à bout de 500 pages presque sans intérêt à mon goût. Il me semble maintenant que, très emballé par le premier que j'aie lu, "Danse avec l'ange", mon goût pour Ake Edwardson a assez vite faibli. Je l'ai déjà écrit, j'avais dit adieu au commissaire Winter, devenu "Winter of my displeasure", merci Shakespeare. L'écriture me paraît particulièrement plan-plan, les boulevards et rues de Goteborg, surabondamment cités, m'ont passablement endormi. Et puis les histoires, je les trouve interchangeables, très série télé, pas désagréables mais me privant de lire autre chose et le temps nous est compté. Il ne suffit pas pour nous faire sentir le noir de Goteborg, deuxième ville de Suède, d'aligner les itinéraires des flics soigneusement formatés, du veuf à l'immigrée d'Afrique, et l'on pourrait multiplier les exemples.



Ce n'est pas non plus parce qu'on cite Miles Davis ou Coltrane ou les Doors que la pulsation du roman "confectionné" adopte un tempo jazz qui touche au cœur. On est loin du compte. Dans "Voile de pierre" Erik Winter retrouve un collègue écossais d'où la touche sociale sur la crise de la pêche en Mer du Nord. Dans "Voile de pierre", violences conjugales pour bien nous faire comprendre que ce n'est pas une spécificité latine. Dans "Voile de pierre", recherche du père et du grand-père qui, devinez, n'était pas forcément celui que vous croyez. Il y a tout cela dans "Voile de pierre" comme partout ailleurs. Exit donc le modèle suédois mais ça on avait crû le comprendre déjà.



Au revoir commissaire Winter. Ake Edwardson lui-même avait dit l'abandonner. Puis je crois qu'il a changé d'avis. Libre à lui. Moi aussi j'avais tiré ma révérence à l'équipe de Goteborg. J'ai changé d'avis, j'ai eu tort. Mais il y a d'autres auteurs là-haut comme nous le disent les autres participants de cette littérature...

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Un cri si lointain

Ce roman est dense et demande beaucoup de concentration.

Deux histoires s'entremêlent.

Dans un premier temps, on comprend qu'il arrive quelque chose à une femme et à la petite fille qui l'accompagne.

Puis un cadavre de femme est découvert dans les environs de Göteborg. On fait le lien entre les deux. Des passages narratifs du point de vue de la petite fille s'insèrent régulièrement, amis j'ai eu du mal, pendant un certains temps, à les insérer dans la chronologie des événements.



L'affaire est prise en charge par le commissaire Erik Winter. Une apparence de rocker cet été-là, alors qu'il a habituellement une carapace: un uniforme de travail constitué de coûteux costumes de marques.



Pendant des semaines, Erik Winter et son équipe pataugent. La morte reste inconnue, aucune trace de sa fille. Comment peut-on vivre aujourd'hui avec une enfant, et disparaitre sans que personne ne s'inquiète?

Jusqu'à ce qu'une voisine écrive timidement à la police pour signaler qu'elle ne voyait plus la jeune dame blonde et sa fillette...



Un nom, puis une adresse relancent l'affaire...

Petit à petit, les indices arrivent, les enquêteurs reprennent espoir, et la connexion se fait...

...avec une affaire si lointaine, vieille de 25 ans...

...avec le Danemark...

...avec la disparition d'une jeune femme qui laissait déjà une fillette derrière elle, dans les mêmes circonstances...

Mais quelles circonstances?



L'enquête est longue et éprouvante pour toute l'équipe.



Ce roman dresse en même temps le portrait d'une Suède hors des sentiers battus. Un livre lourd, dense, mais qui nous tient en haleine tend on a hâte de savoir ce qui est arrivé à la fillette.

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Le dernier hiver



J 'ai commencé les enquêtes du commissaire Winter ..par le dernier livre de ses aventures...

Deux femmes sont retrouvées mortes étouffées par un oreiller, les conjoints sont les premiers suspects ...L'histoire et l'explication des crimes est quelque peu complexe . Les personnages du commissaire et de l'adjointe sont intéressants et attachants dans cet univers nordique. L'auteur mène et présente l ' enquête avec précision, ce qui permet de tenir l'intérêt de la lecture.
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Le ciel se trouve sur terre

'ai lu tous les opus du commissaire Winter. Celui-ci est paru en France après toute la série. C'est un peu dommage, car on retourne dans le passé du commissaire, du temps où il n'est pas encore marié à Angela... L'éditeur avait-il perdu ce volume sur le coin d'une étagère ? Le traducteur avait-il oublié d'envoyer son manuscrit traduit ?...



Toujours est-il que j'ai quand même retrouvé avec plaisir l'équipe du commissariat de Göteborg. L'écriture d'Ake Edwardson est pleine de non-dits, ce qui la rend si particulière. Le rythme est toujours empreint de lenteur, même si ce livre a un rythme un peu plus soutenu bien sûr, (tout est relatif). On ne lit pas Ake Edwardson pour de l'action ou de l'hémoglobine. On le lit pour l'ambiance, pour la psychologie des personnages, pour la noirceur de la nature humaine. Amateurs d'émotions fortes s'abstenir ! Boules de nerfs s'abstenir également !



Pour ma part, j'ai encore une fois apprécié sa lecture (enfin, je ne suis pas une molassone non plus, que les choses soient bien claires entre vous et moi). Deux enquêtes s'entremêlent. Il faut juste bien situer tous les personnages dès le début, car ils sont nombreux, et il n'est jamais évident de retenir qui est qui, à cause de l'exotisme des noms de famille.



Une série a été adaptée à la télévision suédoise assez récemment. Elle a été diffusée sur Arte, et je trouve que l'acteur principal a été bien choisi. Par contre, le rythme de la série est aussi lent que le rythme des livres. A ne pas regarder le soir en fin de semaine, à moins d'avoir des problèmes d'insomnie... Dans ce cas, ça peut être assez efficace !
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Ombre et soleil

Le premier crime survient, bien après la centième page...et l'action se développe crescendo dans un mouvement quasi-nonchalant, qui contraste avec la violence suggérée (scène du crime et disposition des victimes, musique black métal, sang, violences familiales...). A force de suivre sans coupure les personnages dans les lieux différents et décrire des scènes vides où il ne se passe presque rien, on a l'impression de lire un polar expérimental.
Lien : http://killing-ego.blogspot...
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Voile de pierre

Voile de pierre est le 5° volume de la série Winter. On retrouve tous les personnages de la série, cela permet de voir leur évolution. Mais il y a trop de personnages autour de Winter, s'intéresser à leur devenir ralentit l'intrigue policière voire la rend inexistante.

Je n'ai pas retrouvé ce qui avait pu m'intéresser dans les premiers volumes. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de verbiages. L'intrigue est peut être trop alambiquée.



Même l'évolution de Winter ne me semble plus aussi intéressante que dans les précédents volumes, pour moi l'intrigue passait au second plan, je voulais savoir s'il allait emménager avec sa copine, s'ils allaient avoir un enfant.

Je ne vais pas dire que j'ai été déçu car j'avais senti une baisse de régime dans le précédent. Mais c'est dommage qu'il n'y ait pas eu d'amélioration.
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Le dernier hiver

Une enquête qui se déroule en Suède. Je n'ai pas du tout accroché à ce livre. Le style basé sur des dialogues trop hâchés, difficiles à suivre ne m'a pas convenu.
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Voile de pierre

j'ai été très pertubée par la confusion qui règne dans ce livre : plusieurs histoires qui sont sensées s'imbriquer, mais qui ne font qu'empècher la compréhension de l'énigme principale. Et que dire de la traduction : certains paragraphes sont incompréhensibles tellement ils sont mal traduits !
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Chambre numéro 10

long,lent bref chiant j'ai vraiment eu du mal à aller jusqu'au bout tant l'histoire est ennuyeuse
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