L'Accro du shopping à Hollywood

Sophie Kinsella nous plonge dans un autre univers : celui de Los Angeles, d'Hollywood et de toutes les stars mais aussi les contraintes qui vont avec. Notre héroïne, Rebecca (alias Becky) Bloomwood (pardon Brandon puisque c'est dorénavant son nom d'épouse) a déménagé avec son mari, le séduisant et riche homme d'affaires Luke et leur petite fille Minnie vers un autre monde, celui des stars de cinéma et elle va mettre un certain temps avant de se rendre compte que ce monde-là est en fait bien plus cruel et bien plus impitoyable que celui de la finance (dans lequel travaille son mari) ou tout ce qu'elle a pu connaître jusqu'à présent. Elle qui rêve de percer dans le monde de la mode, voilà l'univers idéal et qui d'autre que Luke, qui a décroché un gros contrat avec l'actrice Sage Seymour serait le plus à même à pouvoir l'aider. Cependant, il refuse à voir sa femme à s'immiscer dans ses affaires et Becky, qui n'en démord pas moins, est bien décidée à se débrouiller par elle-même. Certes, elle fera d'incroyables rencontres, décrochera des opportunités de contrats mais tout cela au final pour quoi ? Pour empiéter sur sa vie de couple, sur son rôle de mère et au final ne réussira qu'à la brouiller avec tous ceux qu'elle aime et notamment avec sa meilleure et plus fidèle amie Suze. Becky sait très bien que lorsque l'on atteint les sommets de la gloire, sa vie change du tout au tout mais est-elle réellement prête à tout sacrifier pour ne serait-ce que fouler le célèbre tapis rouge ? Elle le croyait dur comme fer jusqu'à ce qu'elle se rende compte que dans la vie, le plus important n'est peut-être pas la gloire et être sous les feux de la rampe tout le temps mais l'amour : celui de son mari, celui de ses amis et celui de ses parents car, contrairement à la célébrité, ces liens-là, eux, sont plus solides que tout mais encore fau-il savoir les conserver bien serrés !

Un roman dans lequel, encore une fois, je me suis laissée entraîner, sans avoir eu la peine de relire les tomes précédents au préalable (il me semble d'ailleurs que j'ai du rater un épisode). Ne pas réfléchir, se laisser évader même si l'on sait pertinemment que des histoires comme celles-ci n'arrivent jamais, ou très peu. Peu importe, le lecteur y croit - ou du moins, veut y croire - tant cela ressemble à un comte de fées mais qui pourrait très bien se retourner en véritable cauchemar si notre chère petite Becky n'y prend pas garde !
Une écriture fluide et légère, une lecture qui fait du bien de temps à autres et que je ne peux que vous recommander, même à vous chers messieurs !

J'ai retrouvé Becky avec plaisir dans ce 7ème tome de "L'accro au shopping". La trame est un peu différente des autres tomes, ce qui apporte un peu de fraîcheur à la série.

Je préfère quand même espacer les lectures des tomes pour les apprécier au mieux, car je ne peux pas nier que Becky m'a parfois agacée dans celui-ci. le schéma se répète : elle refait sensiblement les mêmes erreurs, avant de s'acharner à les réparer. Niveau évolution du personnage, ça pêche un peu.

Cela dit, ça fait partie de son charme et l'avantage est de savoir à quoi s'attendre. Parfait si on cherche du divertissant et du léger !

Globalement, ce tome m'a moins emballée que les autres, mais je reste fidèle à la série et surtout à la plume de Sophie Kinsella.

J'ai beaucoup aimé cette lecture il est vrai que Sophie Kinsella est à moins avis une des meilleures auteurs de chick litt que je connaisse et il est rare d'être déçue.

Surtout lorsque l'on retrouve avec grand plaisir Becky Brandon et tous les personnages qui vont avec comme Luc son mari, Minnie sa fille, Suze son ami, Tarquin le mari de celle-ci.mais également son père, sa mère et sa belle-maman.

Dans ce tome Becky et Luc partent à Hollywood car Luc devient le conseiller d'une des plus grandes stars de cinéma. Becky est donc ravie de pouvoir le suivre dans cette destination de mode, cinéma et star. Les situations cocasses vont bien sûr arrivées vu que Becky est toujours autant gaffeuse. Chose original pour ce tome celui-ci n'a pas de fin et l'auteur nous invite à retrouvé la suite des aventures de Becky dans un prochain tome, c'est la première fois que je rencontre ce genre de fin dans un livre de chick-litt. J'attends donc le prochain tome avec impatience afin de lever le mystère sur ce qui se passe dans les dernières pages (je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler ce bouqin).

Aurais- je changé ,"à l'insu de mon plein gré" ?
Aurais-je grandi ? (Non , ça c'est fait ...)
Aurais-je mûri ? ( argghhhh , faut pas rêver ...)
Alors pourquoi , cette 7° aventure de Becky me fait moins d'effet ? A vrai dire , je préfère Sophie Kinsella dans ses romans plutôt que dans les aventures de Becky ... le premier ( Confessions d'une accro du shopping " ) était "topissime" , les autres m'ont toujours un peu agacé . le concept est toujours pareil : Becky fait chauffer sa carte bleue au rayon layette , Becky dépense à NY , Becky fait n'importe quoi à la campagne , son mari s'énerve à LA .... etc... C'est toujours sympa ,des fois très drôle mais l'effet surprise est passé .

Les affaires professionnelles de Luke l'emmène à L.A et toute sa petite famille se retrouve embarquée avec lui .
Hors de question pour Becky de buller au bord "de la piscine dans son p'tit pull marine " ; elle a un projet : devenir styliste de stars . A elle , les thés détox avec Gwyneth , les séances yoga avec Jennifer A , les papotages à la sortie de la maternelle avec Jennifer G . Sauf, que ça ne se passe pas comme ça ! Ses contacts sont toutes folles et pas fiables . Sa copine Suze débarque avec famille et bagages , , son père fugue et sa belle-mère (Madaaame !) , se fend d'une petite visite . On peut faire confiance à Becky pour tout foirer , faire sa folle - dingue et nous faire marrer . Becky s'agite , Becky agace , mais au fond Becky est une brave fille .
Quand on a lu beaucoup de romans (chick-lit ou autres ) se passant à L.A , on n'est pas surpris . Je dirais même que certaines choses sont de l'ordre du déjà vu .
Mais on sourit souvent ... Et en cette période de vaches maigres dans les maisons d'éditions qui préfèrent décliner les 50 nuances à l'infini , (plutôt que de publier de la chick-lit qui met de bonne humeur), c'est déjà pas si mal !
Alors "Let's the sunchine " ... Sortez vos lunettes de soleil , chaussez vos compensées , et bienvenue à Hôtel California , avec Becky dans le rôle principal .

Ca faisait un moment que je n'avais pas lu cette auteure. C'est toujours un plaisir de retrouver Becky. Une lecture détente sans prise de tête. J'ai trouvé cet opus un peu différent des autres, la trame n'est plus tout à fait la même et c'est une bonne chose. Ca reste quand même de la Chick-lit, Rebecca est toujours aussi superficielle, mais certains sujets abordés sont un peu différents, moins futiles, et ce tome se termine sur un suspens. Ca coupe la monotonie qui commençait à s'installer dans les tomes précédents.