AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,92

sur 54 notes
5
9 avis
4
3 avis
3
0 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Paul delcroix avocat au barreau de tour,
aime beaucoup son pépè de 70 ans.
qui passe sa retraite à pêche 🎣 le goujon et bêché son jardin.
mais voila que trois braquers veulent lui prendre les clefs de sa voiture 🚗 alors,
qu'il boit son verre de blanc ou troquer.
mais comme il est pas d,accord, il font le buter. les braqueurs sont connus, mais la police et pas chaude pour les arrêtaient.
alors Paul delcroix va se transformé en justicier. une histoire plutôt violente mais plaisante.😆
Commenter  J’apprécie          220
« Pour venger pépère », c'est le titre plus que le nom de l'auteur qui m'a donné envie de livre cet ouvrage.

D'ailleurs, je ne connaissais pas l'auteur qui se nomme, en réalité, Alain Dreux Gallou, né Alain Fournier.

Alain Fournier, un nom difficile à porter pour qui n'a pas écrit « le Grand Meaulnes ».

Et A.D.G. n'a pas écrit « le Grand Meaulnes », mais « le Grand Môme », un pied de nez à un nom qu'il a eu du mal à porter au point de lui préférer des initiales.

A.D.G. est un auteur que je ne m'attendais pas à lire et encore moins à aimer (pour les mêmes raisons qui me retiennent de lire les « S.A.S. » de Gérard de Villiers). Car, si j'ai l'habitude de lire des romans « de gare » d'auteurs ancrés plutôt à gauche (Frédéric Dard, J.B. Pouy, J.P. Manchette, Didier Daeninckx...) j'ai toujours une réticence, stupide, je vous l'accorde, à m'intéresser aux mêmes genres d'ouvrages écrits par des auteurs très ancrés à droite (notamment parce que ce genre de roman est l'occasion de faire passer beaucoup d'idées politiques et d'opinions sur la société).

Mais, parce que MON « pépère » était un personnage particulier dans ma vie, au point d'en devenir un également dans mes histoires, parce que, mon grand-père, c'était, pour moi, pépère, le titre m'a forcé à me plonger dans les mots d'A.D.G.

Et alors ? Qu'en dire ? Que je remercie MON « pépère » de m'avoir fait m'intéresser à celui d'A.D.G. tant j'ai adoré le style, la plume, l'histoire et les personnages.
Tout d'abord, si le scénario du roman ne brille pas par son originalité, un homme cherchant à venger la mort d'un proche, ici son grand-père, il n'en est pas moins très touchant à travers tous les passages ou le personnage principal égrène ce qu'aurait dû faire son « pépère » aux moments où lui cherche ses meurtriers.

Mais, ce qui fait avant tout le charme du roman, c'est indéniablement la plume de l'auteur, un savant mélange de néologisme (par création, détournement ou francisation de mots anglais), d'argot, de jeux de mots et d'assonance.

Qui travaille ses mots et joue avec ne peut que m'intéresser. Mais de m'intéresser à me plaire, il y a un fossé qui s'appelle le Talent et de talent, A.D.G. n'en manquait pas. N'en manquait, car il est depuis mort en 2004 à 56 ans d'un cancer.

Mais le travail des mots ne fait pas tout à une histoire, il faut aussi des personnages forts et attachants. Et c'est le cas avec le personnage principal de ce roman, Pascal Delcroix, avocat, et son personnage subalterne, le journaliste Serguie Djerbitskine, alias Machin, car son nom est trop difficile à prononcer. Ces deux personnages reviendront dans d'autres romans, échangeant le premier et second rôle.
Alors que Delcroix se prépare à aller à la pêche avec son grand-père, ce dernier est abattu par des braqueurs de banque en fuite. Delcroix ne peut laisser ce crime impuni et se promet de « venger pépère ». S'en suit alors une quête du trio d'assassin ou, plutôt, de l'assassin et de ses deux hommes de main, quête qui le mènera à bousculer des gens de la Haute et à faire tomber des hommes protégés.

C'est donc à la chasse à Jouax, le tueur, un gauchiste (les auteurs précités en auraient fait un nazillon), que le lecteur assiste. Mais loin d'une chasse sans répit, celle-ci s'opère entre verres de vin, charcuterie et petites pépées, car, les personnages d'A.D.G. sont avant tout des hédonistes et, même la haine et le désir de vengeance n'empêche pas de se torcher la gueule, de se remplir la panse et se vider les douilles puisque l'usage d'armes à feu est fortement préconisé.

Si l'on excepte le méchant « Gaucho » et l'homosexuel qui est forcément pédophile, les opinions de l'auteur ne parasitent heureusement pas le roman (pas plus, me direz-vous que les méchants nazillons et les truands en col blanc des ouvrages des auteurs que je lis habituellement).

Le penchant pour le travail des mots et l'humour sont un point commun entre, par exemple, F. Dard, J.B. Pouy et A.D.G. mais, là où l'érudition de Pouy et ses références culturelles peuvent être un frein pour certains lecteurs, A.D.G. tout comme F. Dard, n'oeuvrent que pour les mots et par les mots. Bien évidemment, le frein, dans les deux cas, est, pour le lecteur obtu, de se braquer contre des mots inconnus ou méconnus, construits pour l'occasion ou ressortis des placards sans les avoir époussetés.

Mais, c'est justement ce qui me plait au plus haut point, tant dans mes lectures que dans mon écriture, d'utiliser des mots que l'on a oubliés dans un coin de notre langue, de notre cerveau, de notre poubelle. Pour moi, tous les mots méritent de prendre l'air de temps en temps, et c'est apparemment l'opinion, également, d'A.D.G. même si l'on sent très vite (et encore plus après la lecture de trois romans), que l'auteur a un mot fétiche « Prébende » (je n'ai jamais lu autant de fois ce mot que dans les livres d'A.D.G., d'ailleurs je ne me souviens pas l'avoir lu avant la lecture de ce roman).

Au final, avec une histoire touchante grâce à cet amour de l'avocat pour son grand-père et sa quête de vengeance, une véritable plume avec un sens réel de la tournure de phrase et du calembour, et un format assez court, « Pour venger pépère » s'avère être la quintessence du roman de gare dans le sens le plus mélioratif du terme (car non, le roman de gare n'est pas superficiel, surtout par quand il est issu de la plume d'un tel auteur.)

Si vous ne connaissez pas encore l'auteur ou le roman, sautez dessus !
Commenter  J’apprécie          196
A.D.G....
Alain Fournier est né à TOURS en 1947. Alain Fournier? Non, pas celui-là.
M. et Mme Fournier n'avaient pas lu le Grand Meaulnes et prénommérent leur fils Alain en toute simplicité. J'ai connu aussi un Marcel Proust boucher-charcutier et un André Breton employé au Crédit Agricole. Mais Alain voulait écrire. Il se forgea donc un pseudonyme, Alain Dreux-Gallou, qu'il abrégea finalement en A.D.G.
A.D.G. a rendu hommage à son homonyme dans son livre le Grand Môme.

Il fut un des fleurons de ce qu'on appela au tournant des années soixante le Nouveau Polar, comme il y eut les Nouveaux Philosophes, la Nouvelle Cuisine; il y fit entendre une voix différente; alors que la plupart des auteurs de cette mouvance étaient résolument à gauche, post- soixante huit oblige, A.D.G. était franchement à droite
Pour venger Pepère inaugure un cycle consacré à Pascal Delcroix, avocat au barreau de Tours, aussi réactionnaire que son auteur, Don Quichotte flanqué de son Sancho Pansa, Serguie Djerbitskine, dit Machin, journaliste à La Nouvelle République.
La quatrième de couverture d'un autre roman de la série indique que le personnage de Machin serait l'alias de Serge de Beketch. Peut-être mais A..D.G. y a sans doute aussi mis beaucoup de lui-même. Voir le surprenant J'ai déjà donné, conclusion quasi -posthume de la série, parue au début des années 2000
Le grand-père de Pascal est assassiné par "une bande de salopards en rupture de communauté" (je cite; je vous avez bien dit qu'il était réactionnaire). Pascal part à leur poursuite et en trucide certains Il a bien raison!
C'est court, bien écrit dans un style à la Boudard, souvent drôle, plaisant à lire.
J'ai une histoire particuliaère avec ce livre: il est partu et je l'ai lu à peuprès au moment où je m'installais en Touraine pour des raisons professionnelles; il m'a accompagné; et il donne finalement une assez bonne image de la région, aujourd'hui un peu nostalgique pour moi.
C'est bien sûr une oeuvre mineure, mais qui a sa place dans mon panthéon personnel
Il y a bientôt vingt ans qu'il nous a quitté; il tient compagnie à jean Raspail au paradis des Chouans et des Zouaves Pontificaux
Commenter  J’apprécie          105
A.D.G. (initiales du pseudonymes Alain Dreux Gallou derrière lequel se dissimulait Alain Fournier né en 1947, décédé en 2004) – "Pour venger pépère" – Gallimard / Folio-policier, 2000 (ISBN 978-2-07-041202-4)
– réédition du roman publié en 1980.

C'est probablement l'un des plus réussi parmi les neuf romans d'ADG centrés autour du trio réunissant le truculent "Djerbitskine dit Machin" (apparu en 1977 dans "le grand môme"), son avocat Pascal Delcroix, et Moune qui justement apparaît dans ces pages. Bel hommage au grand-père...

L'intrigue est bien menée, l'écriture assume la filiation avec Céline, certes, mais aussi Frédérique Dard : le duo Delcroix/Machin rappelle irrépressiblement San-A/Berrurier.

En relisant, en ce début de l'an de dis-grâce 2021, ce classique publié en 1980, on ne peut qu'être frappé par les fréquentes allusions qui y sont faites (répétons-le, en 1980 !) aux turpitudes pédophiles d'une certaine classe politico-médiatico-intellectuelle que notre génération a bien connu, car elle tenait le haut du pavé.

On se rappelle cette livraison du quotidien "Le Monde" datée du 26 janvier 1977, dans laquelle fut publiée une pétition de soutien aux pédophiles, signées par 69 "personnalités" ou "intellectuels" de la gauche caviar, parmi lesquels bien évidemment Jack Lang (l'idole cultureuse de cette fange), mais aussi Bernard Kouchner (père du gamin violé par le Duhamel), Guy Hocquenghem (prônant à cette époque carrément la dépénalisation de toute pédophilie), Aragon, Ponge, Barthes, Beauvoir, les Deleuze, Glucksmann, Guattari, Solers, etc.
Les mêmes, avec d'autres portant leur nombre à 80, récidivent dans la livraison de ce même quotidien publiée le 23 mai 1977, réclamant la pure et simple dépénalisation des relations sexuelles entre adultes et enfants. Il va de soi que le quotidien "Libération" appuie ces prises de parole visant à "lever un tabou" réactionnaire (c'est encore aujourd'hui un véritable mantra de cette caste). C'est l'époque aussi des grandes envolées autour de Gabriel Matzneff, Tony Duvert (qui se voit attribuer le Prix Médicis en 1973 pour un roman faisant ouvertement l'apologie de la pédophilie) et autres sagouins de même acabit.

Ceci me rappelle une fois de plus les émissions "Apostrophes" consacrées à Cohn-Bendit (23 avril 1982) et Matzneff (12 septembre 1975, avec la violente intervention de Denise Bombardier laissant le Pivot bouche bée) : à cette époque, dans ces cercles-là, ça faisait bien de brandir ce genre de "brise-tabou" pour "épater le bourgeois" comme le dit piteusement et hypocritement le Cohn-Bendit, pour se défendre par la suite.
Il fallut l'affaire Dutroux (vers 1990) pour que cette caste de la bien-pensance commence à réaliser l'ampleur de son imbécillité : qu'à cela ne tienne, elles et ils roulent toujours pour la drogue, et la possibilité pour les jeunes mineurs de changer de sexe !
Rien n'ébranle leur nombrilisme, qui ne se situe même plus à leur nombril mais est descendu à leur entre-jambes.

Et c'est précisément ce que ce roman met en lumière, dès 1980. Que l'on ne vienne plus nous faire le coup du "on ne savait pas", tout était sur la place publique...
En ce mois de février 2021, cette même nomenklatura qui approuvait la pédophilie s'apprête discrètement à légaliser la drogue, enjolivée sous l'appellation "cannabis récréatif"...

"Pour venger pépère" est sans conteste l'un des meilleurs romans d'A.D.G.


Commenter  J’apprécie          51
La Touraine, entre la Loire et le Cher coule le montlouis. Véretz, loin de Paris ou de Marseille, ici le malheur c'est de n'être point prêt pour dix heures, l'heure des braves, de la pêche et du vin blanc. La Touraine a l'air paisible mais quand trois malfrats tapent le Crédit Agricole de Bléré en dézinguant pépère et deux pandores, que la maréchaussée soit ou non d'accord, les sangs s'échauffent et la chasse aux malfaisants est ouverte.

Comme le dit le petit-fils attristé mais revanchard : Pépère s'est fait repasser ; "Il n'y aura plus jamais de casse-croute de dix heures. Rillettes et rillons, ne rions plus" mais menons l'enquête aidé de Machin alias Serguie Djerbitskine et des ses amis tous gais "hydropathes".

A.D.G, maître du roman noir, déroule tranquille son enquête entre fillettes de blancs, rillons et d'audacieuses spéculations impliquant de notables peu recommandables quand, au détour d'une page, deux petites frappes démolissent notre héros. le commissaire Hennique en personne n'avait-il pas prévenu d'un discret : "Faites très attention, ne cherchez pas trop autour de cette affaire. Tout est simple". Simple tu parles, Charles. Resserre-nous donc deux Montlouis !

Grâce à la rencontre de l'étrange Monsieur Godot, "un type fort à la mine avenante d'un qui ne se torche pas à l'eau minérale", le fil nous mène d'un mauvais chrétien, Christian Jouax, tueur de son état au père Cétieux, baron local de la république et du pognon réunis.

Ah la belle et tranquille province et Chinon, petite ville, grand renom, assise sur la pierre ancienne, au haut le bois, au pied la vienne, écrivait Rabelais.

Et voilà que, sur un ton badin émaillé de jeu de mots et de considérations viticoles, ça défouraille, ça joue du PM et du P38. Les chiffres de la mortalité tourangère s'affolent….et comme il est de bon ton, le gentil dézinguera le méchant…

"Sans doute nous étions-nous croisés, il y a quinze ans, lorsque les chaines de vélo servaient de dialectique entre les différents quartiers de la ville…mais il avait croisé mon chemin une fois de trop."

Lien : http://quidhodieagisti.kazeo..
Commenter  J’apprécie          50
Se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment, le grand-père de Maître Delcroix est assassiné par Jouax, chef d'une bande de gauchos venant juste de braquer une banque. Dans cette cavale sanglante, un automobiliste et un flic trouveront également la mort. Mais Delcroix, qui aimait beaucoup son « Pépère » comme il l'appelait, décide de mener l'enquête, de retrouver Jouax et ses sbires et de débarrasser la société de cette vermine. Malheureusement, ce dernier bénéficie de complicités aussi nombreuses que crapuleuses dans les plus hautes sphères de la société et le projet de notre justicier va se révéler particulièrement difficile à réaliser.
Roman policier picaresque ou plutôt noir de terroir tourangeau, « Pour venger Pépère » est un petit bijou d'écriture (dans un style proche d'Alphonse Boudard ou de Frédéric Dard), d'humour et de dérision. Maniant avec art l'argot, le patois, le calembour et le jeu de mots, A.D.G. ne se fait aucune illusion sur la bonté foncière du genre humain tout en se montrant un épicurien accompli. En cela, c'est un véritable prototype d'homme de droite (malheureusement trop tôt disparu) c'est à dire un « pessimiste joyeux » par opposition avec son alter ego de gauche, l'« optimiste triste ». Les personnages sont intéressants, un peu caricaturaux voire taillés à la serpe. Une mention spéciale pour le journaliste Machin Serguie sous les traits duquel on reconnaîtra facilement le tonitruant Serge de Beketch. Si vous aimez la langue verte, le franc parler bien dru et bien gaulois et l'authentique politiquement incorrect, ne ratez pas ce livre !
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
Commenter  J’apprécie          51
J'ai découvert A. D. G. avec ce roman. L'un des meilleurs polars que je n'ai jamais lu !
Après une cavale minable qui se solde par trois morts dont son grand-père, Pascal Delcroix, avocat au barreau de Tours, décide tout naturellement de le venger en exécutant un "empêcheur de vivre heureux" prénommé Christian Jouax, meneur d'une communauté prônant le retour à la Terre.

Brillant policier aux ressorts soigneusement huilés et cohérents doublé de brûlot TRES PEU politiquement correct, Pour venger pépère est aussi divertissant que drôlissime, entre jeux de mots en rafale et situations improbables.

A noter que le roman s'inspire d'une véritable affaire : en 1977, deux soixante-huitards ont commis un braquage en Lozère où trois malheureux ont perdu la vie. le meurtrier, Pierre Conty, n'a jamais été coffré et vivrait actuellement en Afrique du nord. A. D. G. rend donc un sympathique hommage aux victimes de cette triste histoire.
Commenter  J’apprécie          33
Tout simplemnt excellent. du polar monté sur une trame digne d'un orfèvre.
Pensez, ce livre à été écrit en 1980 au siècle dernier donc, et il n'a rien perdu de son punch et de sa pertinence. Bien sûr le décor à changé depuis, de nos jours les brigands ne roulent plus en R5, mais ces particularités de l'époque ne gâchent rien à la maitrise et la virtuosité du récit. Polar de terroir, peuplé de vrais gens habitaient par une quotidienneté qui les abîment, ADG s'inscrit pleinement dans cette veine du polar social et réaliste. Un coup de maître.
On pourra toujours décrier les prises de positions politiques de l'auteur ancrées à droite toute, d'ailleurs cela transparaît dans le livre, mais cela n'enlève rien à son talent.
Un incontournable du polar français, fleurant bon la province,la vengeance crédible d'un avocat opiniâtre quand il s'agit de venger pépère. de bons jeux de mots, un phrasé travaillé et pertinent. En fait c'est ce genre de bouquin, décrié par les intellos qui donne toute ses lettres de noblesse au genre. Pas de facilité ici, ami lecteur lance toi sans apriori dans ADG tu ne le regretteras pas.
Commenter  J’apprécie          20
L'auteur A.D.G. n'est pas "politiquement correct". Ses livres le sont néanmoins dans une certaine mesure.
"Pour venger pépère" est un roman bien dans la tradition française de nos provinces et très réjouissant.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (133) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2867 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}