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EAN : 9782352946373
672 pages
Bragelonne (31/05/2013)
3.99/5   438 notes
Résumé :
C'est le printemps en Styrie. Et avec le printemps, vient la guerre.

La guerre est un enfer, mais c'est aussi un gagne-pain pour certains, comme Monza Murcatto, la plus célèbre et redoutée des mercenaires au service du grand-duc Orso. Ses victoires l'ont rendue très populaire... trop, même, au goût de ses employeurs. Trahie, jetée du haut d'une montagne et laissée pour morte, Monza se voit offrir en guise de récompense un corps brisé et une insatiable... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (90) Voir plus Ajouter une critique
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Servir froid est mon premier Joe Abercrombie. Je me suis lancé dans la lecture de cet ouvrage et de cet auteur suite à des critiques très positives sur Babelio et bien m'en a pris. de plus, il s'agit d'un livre unique qui, même s'il se situe dans le même univers qu'une autre série de livre, peut toutefois se lire séparément sans aucun problème.
L'histoire se déroule dans un monde imaginaire, mais très inspiré de notre Renaissance, et notamment la Renaissance italienne avec ses cités et ses petits royaumes souvent en guerre les uns contre les autres.
En arrière plan de l'intrigue principale, on découvre ce monde créé par l'auteur. Des villes à peine sortie du Moyen-âge avec ses ruelles sinueuses, paradis des coupe-jarrets, des tours au détours des rues, vestiges d'un passé pas si lointain mais déjà branlantes, des armes blanches mais quelques bouches à feu et arquebuses. Des familles nobles en pertes de vitesse face à des condottieres et des banquiers.
Un arrière plan très fourni et qui ne nous est jamais décrit en tant que tel mais au service de l'histoire. Celle-ci est plutôt simple. Monza est un chef de mercenaires efficace et de plus en plus populaire. Trop populaire pour Orso, le maître de Talins qui l'a engagé. Piégée, elle est laissée pour morte. Perclus de souffrance et de douleurs physiques et psychologique, elle ne survie que pour une obsession, se venger. D'où le titre du livre.
Elle a 7 hommes à tuer. Les 7 qui ont participé au complot qui a aussi coûté la vie à son frère bien aimé. Elle engage donc une troupe de personnages louches ou déjantés, qui semblent tout d'abord sortir d'un jeu de rôle, le barbare du Nord, le maître empoisonneur,etc. mais chacun va avoir un développement personnel propre et évoluer tout au long du livre. le plus fascinant, au début, en tout cas est ce guerrier impitoyable mais obnubilé par les nombres.
Toutefois ici, et c'est assez rare dans ce genre de roman de fantasy, pas de longues scènes introductives où chaque personnage est présenté. On suit Monza et on découvre les personnages au fur et à mesure de l'évolution de l'intrigue. Ce qui rend le roman addictif dès le début et renforce sa dynamique. Pas de temps morts, pas de description à n'en plus finir. Malgré les presque 800 pages en format poche, on lit très vite les chapitres les uns après les autres.
Cette quête de vengeance va ensuite se dérouler avec son lot de violence, de guerres, de massacres, de coups-bas, de sang, de trahisons, de surprises parfois, car l'auteur ne ménage pas ses personnages et les retournements de situation, surtout dans la deuxième partie sont assez nombreuses. On découvre, quelques cités les unes après les autres. On devine la présence d'un grand royaume ou d'un empire éloigné (mais pas tant que ça!).
Cela se lit donc très bien et se dire qu'on a un exemple de ce qu'aurait pu être la collaboration entre Sergio Léone et Quentin Tarantino sur une histoire de guerre du XVIe siècle européen est plutôt bien vue.
Une petite remarque qui n'apporte ni positif ni négatif, mais est-ce bien un roman de fantasy ? Parce que outre l'invention du monde dans lequel se déroule l'action, de surnaturel, de magie, de sorcellerie, pas de trace. C'est pour moi surtout un roman de cape et d'épée dans un monde imaginaire. Mais j'adore les romans de cape et d'épée !
Une lecture qui donne donc envie de poursuivre avec l'auteur. Peut-être la trilogie de la Première loi qui se déroule dans le même univers !
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Monza, ex-Capitaine général de la bande de mercenaires dite des mille épées a été trahie par son employeur et ses sbires. Laissée pour morte, son unique objectif est désormais la vengeance. 7 hommes. 7 hommes à tuer et peu importe les conséquences.

Dans le même univers que la célèbre trilogie de la première loi, le livre peut se lire tout à fait séparément. Dans un contexte médiéval facilement identifiable, il y a toujours des pays, des duchés des régions en guerre les uns contre les autres. On notera par contre que contrairement à la première loi, le surnaturel et/ou magie/sorcellerie sont totalement absents de ce tome.

De l'Abercrombie dans toute sa splendeur. De la Dark Heroic Fantasy bien sanglante. On zigouille à tour de bras, on empoisonne, on torture et le sang coule à flot.

700 pages d'une rivière, d'un fleuve d'hémoglobine qui charrie des cadavres en nombre. C'est jouissif, tellement jouissif en fait que c'en est même un peu lassant à la longue. (c'est ce qui vaut la demi-étoile en moins).

7 hommes à abattre, et on se doute bien qu'elle arrivera au bout (sinon le livre n'aurait que peu d'intérêt) avec son lot de dommages collatéraux, son lot de trahisons, contretrahisons, dans un contexte de guerre, il y  en a de la description de charcutage. La note du boucher est salée diront certains et le plat n'aura pas le temps de refroidir avant d'être servi.


Ceci dit, l'auteur truffe son texte de bons mots, et la gouaille de certains de ses personnages, la personnalité étrange des autres nous fait passer un excellent moment dans son univers. Tiens, le gentil co-héros du Nord qui tombe à point nommé et qui veut devenir un homme bien est en fait le personnage le plus fade de l'histoire.

Black Mamba, Edmond Dantes et Alicia de Vries réunis dans un même esprit vous feront passer un très bon moment de lecture.
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Servir froid de Joe Abercrombie est le premier titre que je lis de cet auteur.
J'avoue avoir acheté ce livre suite à la lecture de plusieurs critiques enthousiastes sur Babelio, (merci entre autres à Alfaric) et je n'ai absolument pas regretté cet achat au contraire.
Une découverte donc de l'univers d'Abercrombie, puisque d'après ce que j'ai compris, certaines de ses histoires (dont la trilogie La première Loi) s'y déroulent aussi.
Dès le début, on comprend que ce qui attend le lecteur (et la lectrice), c'est une histoire rythmée, nerveuse malgré la taille conséquente de ce pavé. Et aussi que nous sommes dans un univers qui est tout sauf manichéen : ici pas de fier chevalier qui a ses principes et qui s'y tient, pas de jolie princesse elfe qui sait parler aux animaux….Non, pas vraiment….Et, c'est bien pour cela que j'ai savouré cette histoire. Ici, on se castagne, on se trahit, on s'empoisonne et on se répond de façon vacharde….Bref, amis du politiquement correct, il faudrait peut-être envisager de passer votre chemin…
Non seulement, il y a de l'action à revendre dans ce livre, mais les personnages sont…comment dire …. Un mélange de héros de westerns spaghettis et de films de Quentin Tarantino ….Bon, évidemment, c'est selon mes critères très personnels, mais je n'ai pu m'empêcher d'y penser à de nombreuses reprises.
Je verrais bien l'héroïne, Monza, incarnée par Uma Thurman, l'inoubliable Black Mamba de Kill Bill….Apres tout, les deux ont pas mal de points communs en ce qui concerne le chapitre de la vengeance….
Je n'en dirais pas plus sur ce livre, d'autres que moi ont écrit d'excellentes critiques et analyses de ce livre, donc, jetez y un coup d'oeil….
En conclusion, je rajouterais cette phrase : j'ai adoré et puis c'est tout !

A l'issue de cette lecture, au vu du plaisir ressenti lors de cette lecture, et comme ma Pal comporte encore 4 ou 5 livres de cet auteur, je pense que je vais assez rapidement me mettre à en lire un autre…et encore un autre….


Challenge Mauvais Genres 2020
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En résumé : J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman qui nous offre une histoire de vengeance, certes classique et à la fin qu'on devine, mais qui pourtant va se révéler vraiment passionnante, sans temps morts ni longueurs et parfaitement maîtrisée par l'auteur, nous offrant trahisons, rebondissements et des surprises jusqu'à la conclusion. L'univers se révèle solide même si le fait de changer régulièrement de lieux frustre un peu le lecteur, mais le tout est compensé par une politique efficace et captivante et par d'autres aspects vraiment intéressants. Les personnages sont vraiment soignés, complexes, complètement ambigus et pourtant on s'accroche et on s'intéresse à eux et à leurs histoires et leurs évolutions. Des personnages humains qui doivent faire des choix et qui sont portés pars des dialogues vraiment savoureux, percutants et remplis d'humour noir. La plume de l'auteur se révèle vive, efficace et pleine d'ironie. Voilà un roman de Dark Fantasy qui tord vraiment le cou aux codes de la fantasy et qui ne plaira sûrement pas à tout le monde, tant il n'y a aucun héroïsme ou autre, mais juste des hommes égoïstes qui cherchent à faire aboutir leurs ambitions personnelles, et pourtant moi j'ai adoré et trouvé cela rafraichissant.

Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Il était une fois en Styrie les psychopathes, les brutes et les truands.
J'ai lu ces 666 pages uniquement avec du Ennio Morricone en fond sonore : c'était l'éclate totale ! C'est la foire à la vendetta impitoyable. Tout le monde veut se venger de tout le monde. Cela trahit dans tous les sens, les alliances contre nature se multiplient et les dommages collatéraux sont légions… L'ensemble baigne dans une amoralité parfois au 2e degré, parfois complètement étouffante.
Et les nombreux moments d'humour noir peuvent déboucher sur des scènes d'une grande noirceur. Autant le dire tout de suite, Joe Abercrombie est un digne héritier de Glen Cook ("La Compagnie Noire")

Un cinéphile averti pourrait lister tous les films de capes et d'épées, tous les wu xia, tous les westerns spaghetti et tous les films de gangsters qui sont mis à contribution : le tâche est ardue car les références sont nombreuses. On alterne sans transition dialogues légers et ultraviolence, petits espoirs et grandes désespérances. Bref on retrouve tout un esprit tarantinien de bon aloi : marche-t-on dans les pas de "Kill Bill" ou d'"Inglorious Basterd" ? Dans tous les cas on est plus près des "Douze Salopards" que des "Sept Mercenaires" !

Pour atteindre ses objectifs, Monza réunie une fine équipe de salopiots :
- un guerrier nordique complètement paumé (transfuge de la "Première Loi")
- un bagnard atteint de troubles obsessionnels compulsifs
- un empoisonneur philosophe atteint d'un complexe d'infériorité, tout droit sorti d'un wu xia hongkongais, et sa sémillante apprentie plus ambitieuse qu'il n'y paraît
- une mère de famille tortionnaire (autre transfuge de la "Première Loi")
- un condottière alcoolique (transfuge de la "Première Loi" lui aussi)
S'il s'agit d'un roman indépendant, je déconseille fortement de le lire après la trilogie de la "Première Loi" : même univers, même esprit, mêmes thématiques, personnages transversaux, des allusions toutes les 5 pages…

L'introduction est parfaite : on est tout de suite plongé dans le roman sans passer par une longue mise en place. C'est très bien construit : à chaque partie correspond une cité, un plan, un développement et un dénouement. Les 7 parties du roman constituent ainsi autant d'étapes dans la quête de vengeance de Monza. Et comme c'est du Joe Abercrombie rendez-vous à l'amère fin qui renvoie tout le monde à la case départ. Monza marche ainsi dans les pas de Glotka, Caul Shiver dans ceux de Logen Neuf-doigts…

Mais c'est plus subtil que cela et on retrouve tout l'esprit sergioleonesque dans une autre lecture du roman. Car on nous raconte l'histoire de 2 couples maudits :
- d'un côté on nous raconte l'histoire de Monza à travers les yeux de Caul Shivers
- d'un autre côté on nous raconte en filagramme l'histoire de Benna à travers les yeux de Monza
La 2e finissant là exactement où commence la 1ère, on nous ce qui nous gratifie d'une belle narration à rebours.
Difficile de ne pas penser aux flashbacks du maître du western spaghetti qui raconte une histoire dans l'histoire.
Si Monza suit un chemin qui aurait pu être celui du polémique Nevada Smith (plus elle se rapproche de son objectif, moins la rage la consume), Caul Shivers lui entame une descente aux enfers mêlant amour et haine.

Et que serait un livre de Joe Abercrombie sans un subtext ultracorrosif ?
Derrière les années sanglantes styriennes, qui rappellent le très bon film "La Chair et le Sang" de Paul Verhoeven, se poursuit la grande lutte entre les banquiers de Bayaz et les religieux de Khalul. L'auteur ne se gêne pas pour dynamiter notre société moderne bien pensante : on dézingue les politiques et la politique, on dézingue le financiarisme mortifère, on rappelle que le morale ne résiste pas 2 secondes face à l'opportunisme au quotidien. Et pour couronner le tout la maxime sans cesse répétée « la pitié, c'est la lâcheté » est celle du tristement célèbre Jack Neutron, maître à penser de tous les managers et directeurs des ressources humaines du monde entier. Des thèmes éthiques d'une brûlante actualité qui n'ont pas besoin de littérature blanche pour être développés.

Quelques trucs pour autant pas très bien négociés :
Le fine équipe de Monza nous offre de réjouissants moments à la "Ocean's Eleven". Avec des descriptions plus nombreuses et plus travaillées cela aurait tout balayé sur son passage C'est vraiment dommage que la plume de l'auteur ne soit pas assez capiteuse pour y parvenir. Et une fois le groupe éclaté, le rythme et la tension baissent un peu d'un cran. le traitement des personnages devient alors inégal et c'est fort dommage ! Castor Mooveer et Cordial avaient encore quantité de choses à nous raconter…
L'histoire de Shenkt et la relation entre Caz et Shylo manquent de clarté : il manque des trucs pour tout comprendre correctement.

Et était-on obligé de mal traduire le jeu de mot de l'auteur qui se base sur des citations françaises ?
« La vengeance est un plat qui se mange froid » (Choderlos de Laclos)
« La vengeance est un mets que l'on doit manger froid » (Talleyrand)
« La vengeance se mange très-bien froide » (Joseph Marie Eugène Sue)
C'est quand même assez nul de se retrouver avec « Servir Froid »…
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critiques presse (2)
SciFiUniverse
04 juillet 2013
Le récit prend au fil des pages une envergure que l'on ne lui soupçonnait pas au premier abord. Cette histoire de vengeance, à mi-chemin entre Le comte de Monté Christo et Kill Bill, réserve ainsi son lot de surprises et de rebondissements, et se révèle portée par un groupe de personnages badass eux aussi plus intéressants que prévu.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Elbakin.net
02 juillet 2013
La vengeance est peut-être un plat qui se mange froid, mais servi par Joe Abercrombie, c’en est surtout un qui se consomme sans modération.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (76) Voir plus Ajouter une citation
- Vous, les Gurkiens, vous croyez qu'il y a une raison à tout, non ? Que Dieu a un plan, et tout ça ?
- J'ai déjà entendu dire ce genre de chose, dit Ishri en posant les yeux sur lui. Et à quoi pensez-vous que ressemble le plan de Dieu, général Cosca ?
- J'ai longtemps soupçonné que c'était de m'emmerder.
Elle sourit. Ou du moins sa bouche s'ourla et révéla des dents blanches tranchantes.
- La colère, la paranoïa et un égoïsme épique réunis en une seule phrase.
- Toutes les qualités nécessaires à un grand chef militaire...
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Elle enroula ses doigts sur la poignée froide, sensation nouvelle dans sa main gauche, et fit glisser quelques centimètres de métal hors du fourreau. Elle brillait vivement à la lumière de la lampe. Le bon acier plie, mais jamais ne rompt. Le bon acier est toujours affûté et prêt à l'emploi. Le bon acier ne ressent ni pitié ni douleur, et surtout, jamais de remords. Elle laissa échapper un vrai sourire. Le premier depuis des mois. Le premier depuis que le fil de Gobba lui avait fendu le cou. La vengeance, alors. 
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Les choses ne sont plus ce qu'elles étaient est le cri de ralliement des esprits obtus. Quand les hommes disent que les choses étaient mieux, ils veulent invariablement dire qu'elles étaient mieux à leurs yeux, parce que dans leur jeunesse, leurs espoirs étaient encore intacts. Le monde semble forcément plus sombre quand on s'approche de la tombe.
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- Et où vous a mené ce goût pour la comédie ? demanda-t-elle à Ganmark.
- Au meurtre et au feu, dans un aller-retour aux portes de Puranti.
- Avez-vous réellement combattu ? s'enquit Benna, perplexe.
- Pourquoi l'aurais-j fait ? N'avez-vous donc pas lu Stolicus ? "Un animal se bat pour la victoire..."
- "Un général marche jusqu'à elle", termina Monza à sa place. Beaucoup de gens ont ri ?
- Pas chez les ennemis, je suppose. Chez nous, quelques-uns, mais ça reste la guerre.
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- Je crois que vous ne racontez que de la merde, ce qui n'est pas une surprise vu que votre visage ressemble à un cul. Vous, les nabots, vous êtes tous les mêmes. Vous essayer toujours de prouver à quel point vous êtes intelligents pour vous sentir fier. Mais peu importe combien de fois vous vous foutez de moi, j'ai déjà gagné. Vous ne serez jamais grand. […] Voir de l'autre côté d'une pièce remplie de monde restera à jamais un rêve pour vous.
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Vidéo de Joe Abercrombie
Une longue discussion autour de "Premier sang", le premier tome de La Première Loi de Joe Abercrombie, par la Garde de Nuit.
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