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sur 302 notes
Reine Andrieu nous livre une histoire intense, celle de la famille Lenoir dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale.

La France libre est envahie à son tour, Lignon proche de Bordeaux, perd sa liberté. Les Allemands s'installent, réquisitionnent sans vergogne nourriture et logements chez l'habitant, sans autre forme de procès. Ainsi, la chambre libre au second étage du manoir campagnard du docteur Lenoir, devient le QG d'un jeune officier allemand, Günter Kholer.

Cette arrivée indésirable va brutalement changer les habitudes des Lenoir, la petite Solveig, enfant très éveillée, raconte dans un cahier bleu sa vie d'enfant sous l'occupation. le couple Lenoir va devoir jongler avec ses relations bourgeoises pro-vychistes et un engagement dans la résistance provoqué par l'arrivée de "l'indé".

Avec deux enfants, Solveig et Valentin de santé plus fragile, Noémie est occupée. Elle a ses bonnes oeuvres, avec un potager fourni elle distribue aux nécessiteux autour d'elle. Peu à peu, elle se rapproche de "l'indé", jusqu'à ce que sa situation ne soit plus tenable.

Le roman est découpé en plusieurs époques, il faut être attentif aux têtes de chapitre pour avoir le point de vue des protagonistes ou une vue sur les évènements au moment où ils surviennent.

Les changements de narrateurs Noémie, Germain, Günter, Solveig, Justin, donnent de la tension à la narration. le suspense est bien présent.

Comment se construire après un drame alors que l'on n'a aucune prise sur les évènements ? Que peut faire une enfant de 10 ans face à l'horreur de la guerre, la suspicion, la haine, la rancoeur.

C'est tout l'enjeu de ce roman que je remercie Babelio via son opération Masscritique de m'avoir permis de découvrir.

Je vous conseille vivement la lecture bouleversante de ce roman totalement addictif. Il pose la question des jugements hatifs et de la superficialité des relations "humaines" parfois.

J'ai été séduite par l'écriture de Reine Andrieu, j'irai m'attacher à lire "Le chant des amazones" où il est encore question de secret.
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Reine Andrieu nous conte la vie parallèle de ses personnages également dispersés dans le temps :
2011 - Solveig est une vieille dame de plus de 70 ans. Au fur et à mesure de son histoire, nous comprendrons ce qui la relie aux années 40.
1940 à 1946 - Noémie est l'épouse d'Armand. Elle est attirée par Günter, un officier allemand cantonné dans le manoir familial.
1946 - Justin est un gendarme de vingt-quatre ans chargé de l'enquête sur l'apparition dans le village de Lignon d'une petite fille amnésique d'une dizaine d'année.
1946 - Angèle est la petite fille dont Justin est chargé et qu'il a ainsi prénommée.
1940 à 1943 - Günter est un adjudant allemand hébergé chez les Lenoir, Armand et Noémie.
1940 à 1943 - Germain est le jardinier des Lenoir et un peu leur homme à tout faire.
1940 à 1943 - Armand, époux de Noémie, est le seul médecin du village de Lignon. Il fait son métier avec abnégation.
J'ai beaucoup aimé ce roman et trouvé les personnages attachants.
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En mai 1946, dans un petit village du Sud-Ouest, une fillette est retrouvée errante. Elle est amnésique, ne sait plus son nom ni d'où elle vient. le jeune gendarme Justin Mayol va mener l'enquête. Quelques années plus tôt, en 1940, la famille du Docteur Lenoir est réquisitionnée pour accueillir l'adjudant nazi Günter Kohler. Contre toute attente, Noémie, la femme du médecin, s'éprend du jeune officier mais ils doivent cacher leur aventure. La famille Lenoir va héberger en cachette des amis juifs en danger, les Bach, à cause des rafles. Mais ils sont dénoncés et Günter doit faire un choix douloureux. Peu après, les Lenoir disparaissent mystérieusement. Que sont-ils devenus ? Justin arrivera-t-il à découvrir qui est la petite fille amnésique ?

J'ai passé un agréable moment avec ce livre qui se passe en partie durant la Seconde Guerre Mondiale et dans les années immédiates. le côté historique m'a beaucoup intéressée ainsi que l'histoire d'amour interdite entre Noémie et le soldat allemand. On est placés dans une famille bourgeoise française tiraillée entre les exigences politiques nationales et les propres valeurs d'un couple. Cette ambivalence se retrouve aussi dans l'histoire d'amour entre la femme du médecin et "l'indésirable" soldat ennemi qu'ils doivent héberger.
En même temps, l'intrigue autour de la fillette amnésique est pleine de suspense.
L'écriture de ce roman est agréable à lire et fluide, on est facilement immergés dans l'histoire.
Quant à la fin du roman, elle est glaçante, je ne m'attendais pas à ça, c'est vraiment horrible.
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Un grand merci à Babelio de m'avoir proposé ce livre, et aux Editions Préludes de me l'avoir envoyé. le manoir représenté sur la couverture et le parc, les roses, concordent avec l'histoire de ce roman choral. En effet, les chapitres alternent les récits de différents personnages, entre 1940 et 2011. Tous sont liés et chacun d'entre eux permet d'avancer dans la résolution de l'énigme qui soutient l'ensemble: qui est cette petite fille d'une dizaine d'années, seule, les genoux salis et les habits déchirés, qui semble sortir de nulle part, en 1946, dans un village non loin de Bordeaux? Cette enfant est amnésique et semble avoir vécu un grand traumatisme.
Si l'identité de l'enfant ne reste pas longtemps mystérieuse pour le lecteur, ce qu'elle a vécu en revanche n'est dévoilé progressivement que peu à peu et ça m'a véritablement tenue en haleine, je n'ai pas pu aller me coucher avant d'avoir le mot de la fin, ce qui avouons-le, est un sacré indicateur de réussite pour l'auteur.
Le roman entremêle donc plusieurs existences: celle de notables bordelais, Noémie et Armand, celle de Günther, l'officier allemand qui vit chez eux. Et puis celle de Justin, le gendarme qui va prendre en charge la petite fille trouvée. le lecteur traverse la guerre puisque le livre démarre en 1940, et il faut souligner ici la justesse d'écriture de Reine Andrieu qui parvient parfaitement à dresser le portrait de personnages loin d'êtres fades!
Au départ Noémie est une épouse docile, dirons-nous. Un peu terne. Mais s'engager dans la Résistance va la révéler aux yeux de son mari et à elle-même surtout. Découvrir de quoi l'on est capable, se sentir exister! Et paradoxalement, tomber amoureuse d'un soldat allemand, car avant de voir l'ennemi, elle a vu l'homme. Mais ce soldat allemand lui-même est torturé par sa conscience: jusqu'où peut-on aller pour sa patrie sans se perdre soi-même?
Autant de destins mêlés, dans lesquels la vengeance aveugle va tenir un rôle capital...Autant de vies croisées et de destins brisés dans cette fresque romanesque que j'ai lue avec grand plaisir.
Merci Babelio, Merci Préludes!
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Un livre passionnant et bien écrit. Il mêle tous les ingrédients d'un livre à succès : amour, intrigue, trahison, mais c'est surtout sa dimension historique qui m'a plue : bien que née en 1965, et ayant beaucoup entendu sur la guerre 40, je n'avais jamais été plongée dans la vie de tous les jours de cette époque. Et beaucoup d'évènements (et de comportements) s'en trouvent éclairés d'un jour nouveau...

Une fillette de 10 ans est retrouvée errante et amnésique en 1945. Progressivement, son histoire se précise, liée à la relation amoureuse qu'a nouée sa mère avec un allemand, le tout sur fond de collaboration et de résistance.
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Quel petit bijou que ce roman !!! Ce récit choral dont l'intrigue principale se situe dans la période de l'Occupation allemande m'a passionnée ! J'ai vraiment apprécié le fait que divers protagonistes racontent l'histoire d'un point de vue interne, et que le va- et -vient entre 1940, 1946 et 2011 puisse permettre au lecteur de se mettre dans la peau d'un témoin, comme s'il pouvait enrôler la fonction d'un éventuel collègue pour Justin, le gendarme chargé de résoudre l'affaire ici présente. En effet, le point de départ de cette histoire réside dans l'apparition d'une petite fille complètement amnésique, blessée et dénutrie sur la place de Bournelin, un village du Bordelais, en 1946.

Le lecteur est alors projeté en 1940, à Lignon, commune proche de Bordeaux, chez la famille Lenoir. Armand est médecin, et son épouse, Noémie, est mère au foyer, comme c'est l'usage à l'époque dans les familles nobles. Ils ont deux enfants, Solveig et Valentin ; ainsi que deux domestiques à demeure, Germain qui s'occupe de l'extérieur et Ernestine, qui s'occupe de la maison et des enfants. le quotidien de ce petit monde va être fortement ébranlé lorsque les Allemands leur imposent d'héberger l'un de leurs adjudants, Günter Kohler. « Leur obséquiosité m'horripilait. Ils vous servaient du "Madame Machin" à toutes les phrases, comme si cela devait les rendre plus aimables et nous faire oublier que nous étions sous leur férule odieuse. » Les Lenoir sont outrés, gênés par cette intrusion dans leur univers franchement patriote.

Et puis, au fil de regards échangés, de gestes attentionnés, Noémie va éprouver une attirance de plus en plus violente pour l'occupant de sa demeure. « Je compris que c'en était fini de ma vie d'avant. Je compris que cet homme qui allait être convalescent sous notre toit incarnerait ma perte, qu'il serait tout à la fois ma torture et mon enchantement. » Cette liaison interdite se fait à couvert, mais dans une période trouble où chacun espionne son voisin, au risque de le dénoncer, quelles conséquences risque-t-elle d'entraîner ? le lecteur, lui, se demande, dans la première partie du roman quel sera le lien avec cette petite fille amnésique retrouvée en 1946. Mais il va le comprendre assez vite, et personnellement, c'est ce qui fait que ce roman n'a pas été un coup de coeur…

Sinon, ce récit m'a véritablement embarquée et la plume de Reine Andrieu est un vrai plaisir de lecture, fluide, savante, sans être pompeuse. On sent les heures de recherches documentaires pour nourrir le récit mais aussi un véritable travail de style dans l'écriture. Je ne peux que conseiller ce voyage littéraire plaisant et touchant !

Merci à Babelio pour la Masse Critique et aux éditions Préludes pour l'envoi du livre.
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Le roman commence sur l'arrivée d'une petite fille complètement dépenaillée dans un village. Qui est-elle ? D'où vient-elle ? Où sont ses parents ?

Tout au long de ce roman, c'est la question que l'on se pose et on est tenu en haleine par cette réponse car on redoute le pire.

Le roman est très bien construit : on passe du passé, 1940, au présent, 1946, et d'un narrateur à l'autre.
D'un côté, l'enquête sur la petite fille et de l'autre la narration de la famille Lenoir.

Les personnages sont entiers avec leurs forces et leurs faiblesses. Ils sont touchants, parfois fragiles. Reine Andrieu montre que, en temps de guerre, tout n'est pas noir ou blanc, tout est en nuances.
Les préjugés que l'on peut avoir n'ont pas lieu d'être devant la souffrance ou l'horreur de la guerre.
J'ai beaucoup aimé le couple que forment Noémie Lenoir et Günter, l'officier allemand. Mais j'ai encore plus aimé l'amour profond, inconditionnel et véritable de Noémie et Armand, son mari.

C'est un véritable page-turner et un coup de coeur.
Merci Netgalley et les éditions Préludes pour cette pépite.

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Grâce aux Masses Critiques j'aime essayer de sortir de ma zone de confort et découvrir des nouvelles lectures vers lesquelles je ne serais pas allée spontanément, parfois ça fonctionne et parfois non... Malheureusement ici ça ne s'est pas fait. J'ai souvent été déçue par les romans contemporains sur la seconde guerre que j'ai lus jusqu'ici et L'hiver de Solveig n'a pas fait exception.

Par contre pour une fois c'est moins le fond que la forme qui a pêché.
L'autrice a choisi la forme d'un roman choral pour raconter son histoire, et je crois que ce n'était pas la meilleure des idées. Ce ne sont pas moins de sept personnages différents qui narrent tour à tour le récit chacun à la première personne. Un choix que j'ai trouvé problématique car il est superflu et très perturbant. L'utilisation de la 3ème personne via un narrateur omniscient, tout en gardant l'alternance des personnages, aurait à mon avis largement suffit.
Mais ce qui a achevé de m'exaspérer c'est l'écriture parfaitement similaire entre les personnages ; que soit la fillette de 10 ans qui parle ou le gendarme ou la mère de famille ou l'officier allemand, chacun s'exprime de la même façon alors même qu'on "change de tête". Cela donne un résultat non seulement peu vraisemblable mais surtout impersonnel, en plus de créer une impossibilité à s'immerger.
Une autre conséquence de choix c'est l'effet redondant que cela a crée; beaucoup des éléments de l'histoire sont répétés quand chaque narrateur raconte sa version des faits (puisqu'ils se côtoient tous) ce qui alourdi encore davantage la lecture.
Et tout ça servi dans un style que j'ai trouvé relativement plat et sans relief...

C'est vraiment dommage car l'histoire telle qu'elle est racontée aurait pu avoir pas mal de potentiel ; cette fillette retrouvée amnésique à la fin de la guerre dont on tente de retrouver la famille et ce qui leur est arrivé. Et là malheureusement le fond a également un peu péché, j'ai trouvé l'histoire légèrement caricaturale ; l'épouse française qui tombe amoureuse du soldat allemand, le mari résistant, le cousin maquisard, la famille juive cachée etc.

Et enfin, dernier élément décevant, c'est le cadre historique qui est expliqué façon cours d'histoire. L'autrice a fait des recherches oui,...mais ça se voit. Au lieu d'être subtilement incorporés dans l'histoire, les faits sont récités succinctement à chaque début de chapitre et qui plus est par les personnages eux-même !, qui ont bizarrement un peu trop de recul sur l'époque...et ça donne encore une fois une effet non crédible et dissuasif.

Pour une passionnée d'histoire comme moi, c'était trop.
Pour toutes ses raisons je n'ai pas pu aller au bout de ce livre (si ce n'est en diagonale), et j'en suis désolée.
En tout cas merci à Babelio et aux éditions Préludes.
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L'hiver de Solveig est le premier roman de Reine Andrieu, et j'espère sincèrement que ce ne sera pas le dernier. Il prend place en été 1940, alors que la France est occupée par les Allemands. À Lignon, un petit village proche de Bordeaux, nous faisons la connaissance de la famille Lenoir, Noémie et Germain, les parents, Solveig et Valentin, les deux enfants. Contraint d'héberger un soldat Allemand dans leur demeure, ils cohabitent tant bien que mal avec cet homme qu'ils honnissent. Progressivement, cet Allemand, nommé Günter, va se rapprocher de Noémie pour finalement voir leur relation progresser et changer. En parallèle, fin 1946, alors que la guerre est finie, Justin, un gendarme de Bournelin, petite commune proche de Lignon, va récupérer une petite fille errante, qui a perdue la mémoire suite à un traumatisme trop violent. Il va tenter de retrouver son identité, ses origines et sa famille ; mais la tâche s'annonce longue et ardue.

C'est un roman très bien construit, qui alterne avec fluidité les temporalités présents et futurs, ainsi que les différents narrateurs. On entre dans l'esprit de chacun des personnages principaux à tour de rôle – Noémie, Günter, Germain, Solveig -, sans qu'il n'y ait de perturbation ou de flou narratif. L'histoire est rythmée et en devient addictive au possible : il est très difficile de lâcher ce livre une fois débuté, tant le récit est bien ficelé et les personnages attachants.

Sur fond de Seconde Guerre mondiale, on se retrouve confrontés aux problèmes liés à la cohabitation entre des peuples ennemis, à la mobilisation des français dans des actions de résistance, à la pénurie de nourriture, aux tortures insufflées aux juifs et à toutes personnes irrespectueuses des lois érigées, à la peur, quotidienne, omniprésente. Chaque vie est bouleversée, chacun devant apprendre à s'imprégner de cette nouvelle atmosphère et à survivre tant bien que mal, dans un pays en guerre.

À côté de ça, des problèmes d'ordres plus personnels font surface : les secrets et faux-semblants sont légions, les craintes et suspicions se multiplient, chacun imaginant son voisin trahir sa patrie pour quelque raisons que ce soient. Reine Andrieu brosse avec justesse les conflits intérieurs tels qu'ils pouvaient exister à l'époque : les consciences torturées face à des choix difficiles, impliquant très souvent des vies humaines. En ces temps-là, le climat de vie est anxiogène, difficile à supporter pour beaucoup. C'est pourquoi, les quelques joies que peuvent ressentir nos protagonistes sont des bouffées d'oxygènes bienvenues et essentielles à leur maintien psychologique. L'insouciance de Solveig particulièrement est touchant à admirer : face à l'abomination des actes ennemis, elle reste une petite fille courageuse, intelligente, très curieuse, désireuse de comprendre le monde dans lequel elle vit. Confrontée très tôt aux horreurs de la guerre, elle a dû s'adapter, comme bon nombre d'enfant de son âge et grandir bien plus vite que ce qu'il aurait fallu.

Premier livre de l'auteure et pas des moindres : un roman historique émouvant prenant, qui place l'humain, les sentiments et l'amour sur le devant de la scène, en pleine Seconde Guerre mondiale. J'ai vraiment beaucoup aimé et vous le recommande chaudement !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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1946, la guerre est terminée. Une petite fille est retrouvée dans un village, totalement amnésique. Justin, un policier, va s'occuper d'elle et prendre très à coeur son affaire. Quelques pages plus loin, c'est en 1940 que démarre l'histoire de la famille Lenoir qui se voit obliger d'accueillir un allemand sous son toit.
C'est un peu un roman puzzle que L'hiver de Solveig. Plusieurs époques, pendant la seconde guerre mondiale, puis 1946, 2011. Plusieurs voix, Solveig, Noémie, Armand, Gunther, Justin, Germain. Chacun apporte un éclairage nouveau sur cette intrigue et permet de comprendre l'histoire dans son ensemble.
Il est difficile de résumer le livre sans en dévoiler trop. La lecture est très fluide, très agréable, il est facile de passer d'un personnage à l'autre car l'auteur change de style en fonction de la personnalité. Les personnages sont attachants, sonnent justes et entiers, avec leurs qualités et leurs défauts.
C'est une lecture très plaisante et réussie pour moi.
Merci à Netgalley et aux éditions Préludes pour cette lecture.
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