Gilles Archambault parle de Kerouac comme personne, parce qu'il en parle un peu comme de lui-même. Or, il n'y a pas deux façons d'aimer Kerouac : il faut se mettre dans sa peau. Alain Gerber, Jazz Magazine.
Le Voyageur distrait, comme les autres romans de Gilles Archambault, nous surprend à ce point de déréliction que touche l'expérience humaine quand, un jour ou l'autre, elle est forcée de reconnaître que les buts, les actions, ne peuvent satisfaire...
>Voir plus