J'ai "flashé" sur le titre de cet ouvrage, sans doute parce-que je suis native de ce mois! En fait l'auteur revient sur la disparition de sa mère , "
un après-midi de septembre". A cette occasion, Guy Archambault interroge les relations qu'il a eu à ses parents: ce père, distant et froid qui lui faisait peur et qui est mort brutalement dans la cinquantaine. Et sa mère, objet d'amour, de vénération, d'adoration ..... les qualificatifs me manquent pour décrire cette relation particulière, exclusive que l'auteur entretenait avec elle. Et justement, c'est cela qui m'a mis mal à l'aise: quel besoin d'étaler sur la place publique une relation qui (je ne veux pas faire ma psy ..... quoique....) est de l'ordre d'un oedipe mal résolu???? Je m'interroge encore.