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sur 818 notes
Et bien moi je me suis tout à fait laissée prendre à ce Turquetto, au point d'aller vérifier sur Wikipédia s'il recelait d'une pointe de vérité historique, ou juste de beaucoup de fantaisie chez l'auteur.

Résultat : pure littérature, et je dois avouer que ça me soulage... Pas que le Turquetto m'ait été particulièrement sympathique, mais l'idée d'avoir perdu presque toutes les toiles d'un peintre majeur De La Renaissance était profondément dérangeante.

Ce roman, puisque c'en est un, raconte l'histoire d'Elie, jeune garçon juif de Constantinople qui se fait passer pour chrétien dans la Venise de la Renaissance, afin de vivre un amour de la peinture que sa propre religion lui interdit. Pendant plus de 40 ans, il peint des portraits, mais aussi et surtout de très belles scènes bibliques, empreintes de douceur et d'humanité.

Cette vocation sincère l'oblige à constamment mentir et dissimuler, même à ses proches, le transformant en un personnage froid et énigmatique. Ce n'est donc à mon sens pas lui qui fait l'intérêt du livre, mais plutôt l'intrigue bien pensée, et aussi les intrigues tout aussi bien pensées de Venise hypocrite et calculatrice.

Art, religion, identité, mensonge, compassion, respect, manipulation, violence, le livre évoque tout cela, et plus encore... jusqu'à ce que le Turquetto dévoile La Cène et que tout change, à nouveau.
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C'est par une note au lecteur que Metin Arditi introduit son nouveau roman. A elle seule elle suffit à susciter l'envie de dévorer ses quelque trois cent pages. le postulat est le suivant : un tableau célèbre conservé au Louvre – dont la signature présente une discrète anomalie chromatique – serait l'unique oeuvre qui nous reste d'un des plus grands peintres De La Renaissance vénitienne. Un égal de Véronèse, un élève prodige de Titien lui-même que le grand maître surnomma ‘ le Turquetto ', le petit Turc. La petite histoire en appelle une grande, celle d'un destin mouvementé que Metin Arditi conte avec ferveur.

Ainsi débute le récit d'une passion, celle d'Elie Soriano. né de parents juifs en terre musulmane (à Constantinople vers 1519), qui ne peut concevoir de vivre sans dessiner. A la mine de plomb ou au pinceau, il veut saisir l'autre. Pénétrer son âme, la comprendre et la révéler, dans toute sa vérité. Mais les lois sacrées des Juifs et des Musulmans lui interdisent la représentation. Alors, pour assouvir sa passion, l'artiste triche, renie ses origines et fuit très jeune en Italie. A Venise, il masque son identité, fréquente les ateliers du Titien, et connaît une carrière exceptionnelle sous le nom de Turquetto. Il offre aux congrégations vénitiennes une oeuvre admirable nourrie de tradition biblique, de calligraphie ottomane et d'art sacré byzantin. Pourtant, au sommet de sa gloire un malheureux incident fera basculer son formidable destin.

C'est avec une grande force et une érudition inspirée que Metin Arditi nous entraîne inlassablement dans le tourbillon de cette vie aux identités multiples. En conteur averti, il dépeint, au coeur des rivalités et des fastes De La Renaissance, le destin d'un artiste dont le talent égale l'inspiration. Entre ombre et lumière, avec force détails, il met en perspective l'art pictural avec les contradictions du pouvoir, de la religion et de la filiation.
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Je n'ai pas fini ce livre dont j'ai lu hier la première partie... et je ne sais pas si je le finirai.
Pour moi, la lecture est un acte d'amour, un échange qui suppose qu'une connexion s'établisse, que le lecteur s'abandonne à la séduction ; or, ici, rien ne (se) passe, si ce n'est un profond ennui mêlé à une sourde exaspération.

Je partais pourtant facilement conquise : la renaissance italienne, le XVIème s. et le lien littérature/peinture sont trois passions qui ont aussi constitué mes champs d'étude... Mais quelle déception!

Dès les premières pages (la page 18 est assez insupportable et très représentative), l'overdose des points d'exclamations, qui tentent maladroitement de construire l'intériorité des personnages à défaut de maîtrise du discours indirect libre, a provoqué chez moi un rire nerveux ; c'est assez gênant, étant donné le manque total d'humour de ce récit...

Quant à l'érotisme de pacotille mettant en scène des jeunes filles (ou plutôt des enfants!) de douze ans, et convoquant les pires poncifs : le harem, le lesbianisme... Certes, page 66, l'auteur semble se souvenir que "c'est pas bien, l'esclavage" et ajoute in extremis une petite anecdote tire-larme, ce qui ajoute l'hypocrisie à l'ensemble.

En ce qui concerne l'exotisme de Constantinople, je pense que la lecture du Guide du Routard m'apporterait plus de dépaysement : aucun univers ici, aucune odeur, aucun bruit, aucune matière, aucune couleur (ce qui est assez paradoxal lorsqu'on prétend raconter la vie d'un peintre) : quel manque de corps! (à part celui des jeunes filles dont j'ai déjà parlées...)

Tout ceci à travers une construction boiteuse, une structure qui manque de rythme malgré la brièveté des chapitres, des incohérences narratives : en une demi-page, le héros abandonne le projet mis en place sur plusieurs chapitres et part à Venise : pourquoi, comment? On n'en saura rien. Je ne sais pas non plus pourquoi une ellipse de 43 ans sépare les deux premières parties, sans justification particulière, provoquant l'abandon de la plupart des personnages "installés" au début ; on l'apprend peut-être plus tard... mais il faudrait pour le vérifier que je poursuive et je doute d'en avoir le courage...




Lien : http://solasubnocte.blogspot..
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Difficile de concilier sa vocation pour la peinture et sa religion juive car il est écrit dans le Deutéronome « Tu ne représenteras rien ni personne ». Et pour un jeune garçon tel qu'Elie, c'est véritablement le drame. Il ne peut même pas pratiquer la calligraphie !
Difficile aussi de concilier l'amour pour son père et sa gêne devant sa maladie et son humiliation.
Voilà pourquoi Elie quitte Constantinople, en septembre 1531, dès le décès de son père. Il s'enfuit, se cache et arrive à Venise.
Nous y voilà, en 1574. Elie est devenu « le Turquetto », et aux yeux de tous, y compris de sa femme et de sa fille, il est chrétien. Reconnu, admiré encore pour quelques années, pour l'extraordinaire profondeur de ses tableaux bibliques ou profanes, pour les regards sereins qu'il peint, consolateurs de la solitude, pour la paix pleine de compassion. Oui, le Turquetto est un maître ! Il a d'ailleurs été élevé à bonne école, celle du Titien.
C'est alors qu'il peint « L'homme au gant », qu'on attribuera au Titien. C'est alors aussi qu'il peint « La Cène »...tableau par lequel le scandale arrive. Il ne fait pas bon être Juif en pays chrétien au 16e siècle...

Ce roman à la gloire de l'art, cette histoire de la difficulté de cohabitation des religions, cette ode au regard m'a plongée dans le monde riche et rempli de contradictions et d'hypocrisie du 16e siècle. J'ai suivi avec intérêt la naissance d'une vocation et la fin d'une carrière.
Mais curieusement, je n'ai pas été « emportée ». C'est avec une certaine distance que j'ai parcouru la vie du Turquetto. Pourquoi ? Peut-être y avait-il trop d'informations, trop de personnages de tous bords, trop de débuts de descriptions psychologiques sans approfondissement...
Peut-être y gagnerais-je à le relire, plus tard. le 16e siècle m'attendra, tapi à l'ombre de ses doges, de ses ruelles malodorantes, du haut de sa magnificence, aussi.
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Constantinople....Venise.
Venise....Constantinople.
Deux villes splendides qui, au 16ème siècle, étaient en pleine effervescence artistique.

Elie est né de parents juifs en terre musulmane et sa passion, c'est la peinture.
seulement voilà, le judaïsme interdit toute reproduction :
" Tu ne feras point d'image taillée ou d'image de représentation des choses du ciel et de la terre. Tu ne représenteras rien, ni personne. Même la pierre de l'autel construit pour louer le Seigneur ne subira pas les coups de silex."
Alors, à la mort de son père, il fuit à Venise pour pouvoir enfin y exercer son art sous la fausse identité d'Ilias Troyanos, bientôt surnommé le Turquetto.
Une quarantaine d'années plus tard, il a acquis une grande renommée, car il est doué le bougre.
Il s'est marié à une catholique et a une fille.
Hélas, son identité juive le rattrape et il se trahit en réalisant une reproduction toute personnelle de la Cène, ce qui lui vaudra une condamnation par l'Eglise et un autodafé de toute son oeuvre.

Pour créer ce personnage du Turquetto, tourmenté par son art et sa judéité, Metin Arditi s'est basé sur une anomalie dans la signature de L'homme au gant du Titien.
Un roman comme je les aime, qui parle d'art et d'Histoire tout en nous faisant voyager dans des contrées au riche passé culturel.
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Je retrouve cet auteur, dont j'ai bien aimé » La confrérie des moines volants », avec un immense plaisir.

J'ai beaucoup aimé ce roman, car il s'agit bien d'un roman, bien que Metin Arditi nous propose une note au lecteur concernant un portrait attribué à Titien : « L'homme au gant » où il semblerait que la signature Ticianus soit peinte de deux couleurs différentes. de là, naît la légende du Turquetto.

Cette histoire est passionnante, tout d'abord, elle est écrite d'une façon tellement prenante que le premier réflexe est d'aller vérifier si le Turquetto a vraiment existé (cf. les nombreuses recherches en ce sens sur Google).

D'autre part, cet enfant Elie, de confession juive, la famille ayant fui l'Espagne pour émigrer en Turquie (musulmane) et le père vit dans un quartier où se retrouvent aussi des chrétiens orthodoxes, des Arméniens et travaille pour un marchand d'esclaves, notamment des jeunes filles destinées aux harems.

Elie a honte de son père qui est malade et n'a qu'une seule envie : dessiner, peindre. Or la religion juive interdit la reproduction qui sous-entendrait oser se comparer à Dieu. Il va apprendre la calligraphie chez un musulman Djelal, mais c'est considéré par son père comme une transgression.

A la mort de son père, il fuit à Venise pour apprendre la peinture auprès de Titien en prenant un nom grec et se faisant passer pour un chrétien car à Venise les juifs sont des parias et doivent porter le bonnet jaune et vivre dans un ghetto.

Un très beau roman sur la quête de l'identité, sur la transgression, sur la religion catholique à cette période et son intransigeance, son intolérance, avec deux personnages à l'opposé l'un de l'autre : le cardinal Gandolfi chrétien tolérant et le juge Scanziani, véritable inquisiteur, rusé, manipulateur.

Metin Arditi nous livre un portrait sans concession de Venise au XVIe siècle, avec les arrivistes de tout poil qui veulent se faire un nom, tel Cuneo, mais aussi sur la peinture, la représentation des scènes bibliques.

Ce Turquetto m'a beaucoup plu avec sa quête spirituelle, sa recherche de l'identité, qui tente d'allier des dogmes de chaque religion de les faire coexister, une quête bien d'actualité par ces temps où l'on tue au nom de Dieu, où certains parlent de reconstruire El Andalous. La religion, n'est-ce pas ce qui nous relient ?

L'atmosphère m'a rappelé un roman que j'ai beaucoup aimé de Amin Maalouf : « Léon l'Africain » obligé de quitter l'Andalousie? Reconquista oblige pour s'exiler à plusieurs reprises.

J'aime beaucoup ce genre de récits, c'est une époque et des thèmes qui m'intéressent, donc je continuerai à lire l'oeuvre de cet auteur dont l'écriture est pleine de magie.

Un lien intéressant: https://www.littera05.com/rencontres/metinarditi.html
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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1531, Elie juif de douze ans , orphelin de naissance vient de perdre son père , vendeur d'esclaves à Constantinople. Alors, il s'embarque pour Venise.
A Venise, Elie est devenu Ali Bay, il s'est fait passé pour chrétien aux yeux de tous , même plus tard à ceux de sa femme et sa fille. Il a refusé son identité de juif pour pouvoir peindre ce qu'il aimait , des portraits, des scènes bibliques. Après avoir travaillé dans l'atelier du Titien , il a eu son propre atelier et s'est fait connaître par ses oeuvres sublimes. Mais un jour la réalité va le rattraper .

J'ai bien aimé ce roman dense et plaisant à lire sur la passion, l'art, la religion, le pouvoir, la manipulation.
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Même les amoureux de Metin Arditi vont être étonnés. Avec le Turquetto, l'auteur s'est surpassé. Ce livre est une extase de lecture et ce, pour bien des raisons. L'histoire déjà, qui, à partir d'un fait quasi avéré (L'homme au gant, exposé au Louvre, n'est pas du Titien) permet à Arditi d'imaginer la vie d'un peintre du XVIe siècle, dont l'oeuvre aurait entièrement disparu. Et c'est parti pour 280 pages d'une biographie haletante d'un homme qui a dû mentir toute sa vie. A Constantinople où, jeune juif, sa religion lui interdit toute représentation d'images, lui qui dessine déjà comme un dieu. A Venise, peintre reconnu qui dissimule sa judéité au risque de finir pendu. le récit est plein de rebondissements, à la fois fresque historique, thriller et roman humaniste. Son style, d'une fluidité parfaite, d'une pureté d'opale, s'accompagne de dialogues étincelants. Et que dire des portraits de ceux qui côtoient le Turquetto, surnommé "Petit rat" dans son enfance ? Un père malade, une esclave musulmane "fournisseuse" et testeuse de concubines (quelques passages érotiques valent le détour), un calligraphe passionné, un mendiant qui voit et comprend tout. Et cela, seulement pour les 80 premières pages. Arditi peint de manière graphique le tumulte du grand bazar de Constantinople puis décrit avec finesse les intrigues politiques de Venise. le Turquetto brave les interdits tout au long de ce roman épatant qui réussit le tour de force d'allier rapidité et sens du détail. Au-delà de son intrigue, l'auteur évoque le syncrétisme religieux et la condition du peintre, obligé de plaire à ses mécènes et à rester dans la norme. L'humanisme qui s'en dégage est puissant et raffiné. C'est rare d'aimer un livre aussi bien pour sa forme que pour le message philanthropique et tolérant qu'il véhicule. le Turquetto est un roman total, une merveille absolue.
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Si j'ai aimé me plonger dans la vie de Venise j'ai moins apprécié tout le côté religieux de l'affaire de la Cène.
J'apprécie notamment tout le côté artistique du roman, comment en apprenant auprès d'un faiseur de couleurs, le petit Elie a su manier le calame avant le pinceau, a su confectionner ses couleurs tout en finesse et devenir un peintre talentueux.
Toute la splendeur, la grandeur de l'art sont bien retranscrire par le biais d'Elie. Il fut victime de la bêtise humaine, une fois encore, une fois de trop.
Le roman est riche historiquement, on y apprend beaucoup, je ne savais pas qu'à cette époque les juifs devaient se couvrir d'un bonnet jaune.
Je ne savais pas non plus qu'ils étaient à ce point déjà persécutés.
Alors comment Elie a su mener sa barque sans se faire prendre, jusqu'au jour où !
Heureusement ce n'est que fiction, mais quand même cela m'a titillée plus d'une fois d'aller à la recherche de ce peintre Turquetto . le tableau 'L'homme au gant" existe bien, et signé de Titien, dont une anomalie et un mystère se trouvent dans la signature. Serait-il possible que le Turquetto ait vécu et que l'auteur ait su le faire revivre à travers ce roman.
Je reste dans le doute, et j'irai voir ce tableau de plus près.
Intéressant pour le côté artistique et historique, mais moins passionnant pour le côté lecture.

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Je viens d'achever la lecture de ce « chenapan » de « Turquetto ».
Une oeuvre qui reste loin de l'évidence.
Comme d'autres auteurs de critiques ici sur Babelio, j'ai failli le laisser sur le trottoir mais bien m'en a pris d'aller jusqu'au bout.

L'histoire se déroule en Orient et ce malgré le fait qu'une grande partie se situe à Venise. C'est une histoire d'orientaux et d'ailleurs, Venise, à l'époque était une ville « d'orientation » orientale.

L'on ne peut s'empêcher en le lisant de penser à l'ami Amin Maalouff, mais de loin car je ne crois pas que Metin, le turc, possède le talent narratif d'Amin, le libanais.
Qu'importe, je ne crois pas non plus que ce fut le souci de l'auteur que d'imiter le grand Maalouff.

Ici, nous sommes dans un autre registre. La critique de « Solasub » ici sur babelio est très corrosive et l'on peut la comprendre. Or, je ne crois pas que Metin Arditi se soit noyé dans une overdose de ponctuation en tous genres par manque de capacités narratives ou d'idées troubles.
De mon point de vue, il s'agirait d'une question de style et de personnalité. Il ne faut pas oublier que nous sommes en Orient et qu'il est coutumier des gens de ces latitudes de ne jamais finir leur phrases lorsque le fait de les conclure constitue une évidence, voire une immondice.

Il est question ici non pas de tolérance - mot et sentiment des plus abjects qu'il se soient jamais crées - mais de respect, de compassion et de compréhension entre être humains à tous les étages de ce qui en substance les constitue : Religion, culture, pouvoir, misère, pauvreté à tous les niveaux de la condition humaine.
L'auteur ne donne pas dans la philosophie, ni dans la démonstration, pas plus que dans la profusion de bons sentiments. Il ne nous vient pas avec les grands sabots de la mièvrerie et de la tolérance à tout va. Il se contente de décrire avec énormément de pudeur, et serais-je tenté d'imaginer, avec timidité, finesse et humilité - sous le couvert d'une intrigue artistique - les diverses strates de l'absurdité des rapports de force, entre autres, qui régissent les relations humaines. Metin ne veut pas vous dire ce que doit être le fond de votre pensée, pas plus qu'il ne désire vous révéler las sienne. Il se contente d'effleurer les sujets, d'ouvrir une parenthèse et de vous laisser la remplir et la refermer à votre aise.

Je conseille vivement aux lecteurs de pousser la lecture jusqu'au bout et de laisser le récit vivre en vous durant les quelques jours qui suivent la fin de la lecture car c'est alors que petit à petit la beauté et la profondeur des sentiments que renferme ce livre referont surface au niveau de votre âme.

Une dernière chose, ce livre parle d'amour, d'un amour bien spécial que les non orientaux, dont je suis, auront peut-être du mal à capter car tabou chez nous : l'amour entre êtres du même sexe. Et oui, en orient, les femmes et les femmes ainsi que les hommes entre eux, savent entretenir de belles histoires d'amoureux sans qu'il soit absolument question d'homosexualité. Ici, en Occident, nous en sommes très loin et la vie n'en est que plus morne.
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