C'est dans une nuit comme celle-là, où l'on se sent comme un radeau perdu au large d'un océan, que j'ai pu aller à ta rencontre, que j'effeuillais tes Élégies, Rainer, que je piétinais dans ton Weltinnenraum.
Parfois, je pleurais comme toi, comme cela t'arrivait de pleurer, le visage pris entre les mains. Et c'était pour moi comme un dénouement, comme un fruit qui tombe. Ne disais-tu pas que les pleurs sont les frères cadets de la joie, mais inversés, comme p...
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