AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Estelle Billon-Spagnol (Autre)
EAN : 9782377314676
240 pages
Sarbacane (02/09/2020)
3.63/5   58 notes
Résumé :
Un vendredi soir comme un autre au Dakota, la boîte de nuit à la mode du moment. Les jeunes, venus des quatre coins de la campagne champenoise, se retrouvent, boivent, dansent, s’éclatent.
Parmi eux : Poussin, Griez et Sko, trois amis qui ont grandi dans le même village – aussi différents que potes à la vie à la mort. Pas loin d’eux, il y a Annabelle, la plus cool des filles, et sa petite soeur Cléo qui bouillonne d’admiration et de rage pour son aînée.
... >Voir plus
Que lire après Y a pas que la vieVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
3,63

sur 58 notes
5
9 avis
4
11 avis
3
3 avis
2
2 avis
1
0 avis
Coup de coeur pour ce roman pour adolecents qui réussit la prouesse d'être ultra réaliste et crédible , et par instants poétique...

Dés le début, on sait ce qui nous attend... Un accident de la route qui fauche deux jeunes au sortir d'une boîte de nuit, le Dakota . Un article de journal, relate un fait comme il en arrive malheureusement tous les week-ends. La vitesse et l'alcool serait à l'origine du drame.
Seulement, on ne sait pas qui est mort...

Et on fait la connaissance de ces jeunes, et on s'attache...
Sandro- dit Poussin, Oscar- dit Griez(man) et Alexis dit Sko.
Trois jeunes inséparables et si différents, qui vivent dans la même rue du même bled, comme il en existe des milliers... Sko sort depuis trois ans avec Manon, qui a perdu son père, mais Sko a eu un coup de foudre pour Annabelle , nouvelle dans la région et qui a vite fait "son trou" tellement elle possède de l'assurance.
Quand l'accident arrive, évidemment tout vole en éclat tellement il y a du chagrin, mais les cartes amicales et amoureuses sont aussi redistribuées. Ce roman raconte l'avant et l'après du drame avec une justesse dans le caractère de ses adolescents, qui m'a bluffée. On s'y croirait... Dans ce village, dans les tourbillons de l'adolescence, dans cette énergie, ces questionnements, cette rage, ses vascillements, ces moments de up and down.
Il y a ces surnoms que s'attribuent l'adolescence comme pour renaître du prénom donné par les parent.
Il y a cette petite soeur qui ne va pas bien du tout et qui ne supporte pas la grande, elle est sur le seuil du précipice et écrit son "journal". Des choses noires, affreuses, mais très belles du point de vue littéraire...

Y a pas que la vie, il y a aussi les morts qui les hantent, et il y a ceux qui restent et qui sont ravagés par le chagrin. Y a pas que la vie n'est pas un roman triste. Il est débordant de vie. de plein de vies.
Il est magnifique et réaliste, si réaliste...

Le premier roman de Estelle Billon-Spagnol était différent , plus drôle, mais formidable aussi : Amour, vengeance & tentes Quechua. Un coup de coeur également...
Commenter  J’apprécie          545
Ce roman est un immense coup de coeur, je vous le dis d'emblée ! Une fois n'est pas coutume chez les éditions Sarbacane, j'ai eu l'occasion de lire une histoire à fleur de peau, qui m'a remuée, m'a prise aux tripes et m'a rafistolée. Oui j'ai beaucoup de coups de coeur chez cette maison et oui ce roman est un service de presse, pourtant je vous assure qu'il n'y a pas de cause à effet. Quoique si, c'est parce que je savais que j'aurais de nombreux coups de coeur et des auteurs / autrices chouchous que j'ai demandé à être partenaire avec eux encore cette année !

MON AVIS

Le roman s'ouvre sur une soirée. Ça y est Sandro, appelé Poussin par ses potes, s'envole vers de nouveaux horizons : les forces de l'ordre. Alors forcément ça se fête ! Avec lui il y a Oscar -Griez- et Alexis -Sko-, et pas mal d'alcool, et des filles et de la musique. Une parfaite vie d'adolescent teenage d'aujourd'hui à l'orée des premières années d'études et de l'indépendance. Pas tout à fait encore des adultes. Pas tout à fait encore des enfants. Au début j'étais perplexe et anxieuse. Parce qu'on sait que deux jeunes vont mourir. Alors j'épiais, secrètement, chaque comportement à la recherche de la moindre faille et il y en avait une de taille : l'alcool. L'alcool qui désinhibe, qui rend la tête cotonneuse et le coeur mou type marshmallow. Ça c'est ce qui arrive à Sko lorsqu'il croise le regard d'Annabelle, lorsqu'il sent ses ongles bleus électriques. Pourtant Annabelle il ne la connaît pas vraiment, mais c'est comme ça, il n'y peut rien, entre eux c'est magnétique, et même les textos angoissés de Virginia, sa petite amie, n'y changent rien. Parce que les coeurs s'appellent, parce que les corps se croisent, parce que hormone, parce que amour.

Ce personnage, je pense que bon nombre d'entre vous vont le détester. Encore un homme, un couple qui se brise pour une pulsion ? Ne pouvait-il pas garder ses mains dans les poches ? Moi c'est un personnage que j'ai adoré. Parce qu'il est prisonnier d'un quotidien qui lui déplaît, enferré dans une relation de convenance avec son amie d'enfance (qu'il adore hein, c'est pas le problème, le problème c'est l'étincelle…et le bleu des ongles d'Annabelle), et qu'il ne rêve secrètement que d'une chose : s'échapper. Avoir sa dose d'aventure. Comme son pote qui part loin d'ici pour l'école de police. Comme son autre pote qui fait des projets de soleil chaud et d'Espagne. Alors je ne sais pas… Je l'ai trouvé réaliste, tendre et touchant dans sa façon de vouloir ne pas tout briser, quitte à faire des erreurs, quitte à devenir dingue.

De l'autre côté de ce trio de choc, nous avons Virginia et Cléo. Virginia qui parle avec son père décédé dans ses rêves, qui se conforme à une image d'enfant parfaite et de vie modèle, je ne me suis pas reconnue en elle, mais je l'ai trouvée profonde à sa manière, forte et fière dans sa colère. Cléo, elle, c'est la soeur d'Annabelle. Celle qui ne sera jamais aussi belle, aussi rayonnante, aussi tout qu'Annabelle. Celle qui s'engouffre dans ses plaids et ses vêtements trop grands pour s'enfuir, loin des regards et des moqueries des autres. Une vingtaine de taillades sur les bras, autant sur son coeur écorché. Nous la suivons surtout à travers son journal qu'elle écrit en vers, en prose, où elle livre sa colère, sa tristesse, et son amour aussi, à sa drôle de façon. Ce personnage est très sombre, très mal dans sa peau, et j'ai eu peur qu'elle ne perde pied mais le roman nous force à espérer, à croire en elle, et à imaginer un sourire sur son visage. On retrouve le sujet du harcèlement (oui c'est un sujet vu et revu mais tant qu'il existera il sera nécessaire) à travers Cléo mais aussi Griez, de façon similaire et différente.

Finalement le sujet du deuil, de la reconstruction, n'est abordé qu'en seconde partie du roman. Je connaissais l'identité d'une des victimes, parce qu'il fallait qu'il y est une forme de culpabilisation, de secret, de poids à porter et que c'était aisé de deviner qui allait porter quoi. Pour la seconde j'ai été surprise, parce qu'on la connaît peu, mais que sa mort a tout de même un impact. Sur le quotidien d'autres personnes. Et j'ai trouvé ça très fort de la part de l'autrice d'amener cet angle là. Même si la mort ne te touche pas personnellement, même si tu ne la ou le connais pas, et bien cette mort est là. C'est une existence de perdue, envolée, effacée. Ça pourrait n'être qu'un nom sur une liste mais non. C'est le fils de, la femme de, le père de. C'est comme une vague qui bruisse sur la toile de ton existence.

Et ce titre, « Y a pas que la vie », me fait doucement sourire. Parce qu'il correspond si bien à ce roman. A ce début où il y a la vie, les tracas, les fracas du quotidien, les amours naissantes, les coeurs en suspend, les baisers volés, les rires en musique, un peu d'alcool dans les veines, et les lendemains de soirées difficiles. Et à cet après où il y a la mort, les larmes, les cris silencieux, les sanglots que l'on s'arrache, les mains que l'on étreint, les yeux que l'on cherche encore, les mots que l'on voudrait entendre, les sourires que l'on ne verra plus. Il n'y a pas que la vie. Il n'y a pas que la mort. Il y a tout un tas de choses entre les deux : les concessions, les emmerdes, les lâchers prises, les colères, les reconstructions, les renouveaux, les printemps et les automnes.

Ce roman il a eu l'effet d'une thérapie. Un peu comme celui de Thibault Bérard, Il est juste que les forts soient frappés (est-ce étonnant qu'il l'ait édité alors ?). Parce que j'ai eu un ami. Un ami comme un rayon de soleil à qui je racontais des journées entières, à qui j'écrivais des poèmes et qui m'en composaient comme on compose des relations et des musiques. Un ami que je n'ai jamais rencontré. Qui ne m'a jamais rencontrée. Et pourtant, ensemble, on a construit des cabanes de mousse dans nos jardins pour accueillir nos pensées et nos rires. On trouvait tout les coins qui se ressemblaient un peu, chez lui, chez moi, et on composait ces cabanes de bouts de bois. Jusqu'à ce qu'il meure sur la route, accident de moto, coeur meurtri, et mes mains pressés sur mon ventre avec l'envie de hurler. Et m'entendre dire que les amis du net n'étaient pas de vrais amis. Alors voilà ce roman c'est ma thérapie, mon baume sur le coeur, et rien que relire les dernières lignes pour vous les livrer ici, m'a fait monter les larmes aux yeux.

Bien sûr qu'on a tous un rapport différent à l'écriture, à l'histoire et aux personnages. Bien sûr que cette chronique est subjective, comme toutes mes chroniques coups de coeur d'ailleurs !

EN RESUME

Y a pas que la vie est un roman coup de coeur, de ceux qui te bouleversent parce qu'ils te touchent profondément, intensément. J'en ai adoré chaque lettre, chaque page, chaque phrase déployés avec talent par Estelle Billon-Spagnol. Il nous parle autant de la vie, que de la mort, des coeurs qui s'appellent et des rages enfouies, et j'ai eu franchement une belle surprise avec le personnage de Sko ❤
Lien : https://lesdreamdreamdunebou..
Commenter  J’apprécie          00
Sandro Lousta appelé Poussin, Oscar Gagnon surnomme Griez, et Alexis Skovalski surnomme Sko forment une bande de la rue des Oiseaux à Malzieux, un village champenois. Ils ont passé toute leur enfance ensemble, unis comme les doigts de la main. Aujourd'hui, Poussin s'engage dans la police, Sko mène une vie tranquille en suivant un BTS de conducteur de travaux et en affichant un amour sans aspérités avec Virginia Ruisseau dont Griez est aussi amoureux mais sans le lui avouer et sans même se l'avouer. Toute leur vie bascule quand Sko rencontre en boîte de nuit Annabelle Mattaz avec qui il entame une liaison brûlante quand bien même elle sort officiellement avec Tomas Portiche. Une nuit, Tomas rentre en voiture de la boîte de nuit avec Annabelle, ils ont un accident et ils meurent sur le coup. Sko ne peut accepter cette tragique disparition et il entame une conversation par sms avec la petite soeur d'Annabelle, Cleo Mattaz qui détestait sa grande soeur et bascule dans une profonde dépression avec des accès d'automutilation.
C'est un roman sombre sur l'adolescence. Les trois héros perdent la joie de leur enfance et surtout la fidélité de leur amitié quand toutes leurs certitudes s'effilochent inexorablement. le héros principal, Sko, mène une vie plutôt morne dans un petit village champenois, il suit des études qu'il n'a pas vraiment choisies, il a une petite amie qu'il aime sans ferveur jusqu'à ce qu'une tornade bouscule toute sa petite vie ordonnée. Elle s'appelle Annabelle, elle est belle et sauvage, elle lui fait découvrir des plaisirs sexuels insoupçonnés mais elle meurt brutalement. Sko enrage, il a envie de hurler mais personne ne peut et personne ne veut comprendre son désarroi. Ses amis s'éloignent et ne lui pardonnent pas d'avoir trompé sa fiancée. Tous les héros plongent dans cet abîme du passage à l'âge adulte avec ses angoisses, ses difficultés. Ni le sexe ni l'alcool ne permettent d'oublier cet avenir sinistre dans une campagne prés de Reims. Si l'ensemble de l'oeuvre nous permet de suivre les méandres des pensées des trois garçons et de deux filles, la fiancée de Ski et la petite soeur d'Annabelle, le roman s'achève sans que l'horizon s'éclaircisse.
Commenter  J’apprécie          10
J'ai été heureuse de recevoir ce livre dans le cadre de la Masse critique Babelio ! En effet, je l'ai déjà vu passer plusieurs fois, et cela m'avait donné envie de le découvrir !

Point positif dès la première page : il y a une liste bande-son ! J'adore l'idée, que je trouve très originale !! C'est d'ailleurs la première fois que je le vois dans un livre !

Concernant l'histoire, nous allons suivre ici le quotidien d'adolescents : leurs doutes, leurs erreurs, mais aussi leurs choix, réflexions et envies...

Jusqu'à ce moment tragique : la mort de deux personnages...

Nous aborderons ainsi les thèmes du deuil et sa brutalité, de la reconstruction...
Mais sans oublier que nous avons l'amour et l'amitié qui côtoie malheureusement le harcèlement, la jalousie...
De nombreux thèmes importants et variés !

Je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages, même si j'ai été quelque peu touchée par le mal-être de Cléo et également par Griez.
.
Je me suis d'ailleurs un peu perdue au début, entre les noms des personnages et leurs surnoms. Des fois je ne savais plus qui était qui...
Mais en tout cas, je les ai trouvé très réalistes car humains, imparfaits.

J'ai aimé le fait que l'on ait plusieurs de points de vue : c'était vraiment intéressant d'avoir celui des parents de temps à autre ! Car tout autant que les ados, ils peuvent se sentir démunis et impuissants !

Cela nous démontre aussi que nous devons tous traverser des épreuves douloureuses, certes, certaines plus que d'autres... mais personne n'est épargné...

Cela nous permet aussi de prendre conscience que malgré la perte et la douleur, le monde continue de tourner ... que même si l'avenir s'assombrit, nous pouvons toujours entrevoir un espoir...

Force est de constater que le titre correspond à merveille à cette lecture.
Aussi je trouve la couverture très belle !


Cependant, malgré ces nombreux points positifs, cela restera malgré tout, une lecture sans plus pour moi...
Commenter  J’apprécie          10
J'ai été déçue par ce livre. Je n'ai même pas aimé, mais je pense que c'est ma faute.
Enfaite j'ai tout de suite été attiré par le résumé du livre, qui laissait sous entendre que des personnages allaient avoir un accident, je me suis dit que le sujet serait intérressant et imporant à souligner, qu'il serait rempli d'émotions, qu'il serait moralisateur mais surtout qu'ils parleraient de l'éphémérité de la vie et du drame que c'est de mourir tragiquement lorsqu'on a encore toute la vie devant soi.
Mais ce n'est pas du tout ce qui s'est passé ni ce que j'ai ressentie.
Déjà je pensais que l'accident concernerait les personnages principaux et cités sur la 4ème de couverture : que fut m'a déception quand j'ai vu que les concernés étaient des personnages hyper secondaires, dont on connait rien et dont franchement : je me fichais totalement. J'ai pris un coup, et ça a été très dur de finir pour moi ce livre.
De plus, j'ai eu beaucoup de mal avec l'écriture de l'auteure et même juste avec la typhographie, la façon dont s'est écrit et présenté. J'avais parfois du mal à comprendre, qui parlait, je m'embrouillais dans ce qu'il se passait, il y avait parfois des sauts dans le temps sans transition, j'avais du mal à comprendre que le personnage était dans ses souvenirs.
Il y avait parfois des longs pavés d'une dizaine de lignes sans une seule virgule et le texte était tout le temps collé, pas de saut de ligne pour introduire les dialogues.
Bref, je n'ai pas trouvé que l'accident était le sujet principal de l'histoire, cela m'a apporté aucune émotion et j'ai été agacée par le comportement d'un des personnages qui se comporte tout simplement comme un con sans aucune justification et qui croit être amoureux alors qu'il est juste obsédé par une fille tout en traitant mal sa copine...

Mise à part ça, les personnages sont plutôt réalistes. L'histoire se passe en France donc on peut reconnaître certains endroits. Il y a des petites références au football (étant une grande fan). Les adolecents ressemblent à des adolescents, et certains moments peuvent nous rappeler notre propre jeunesse.
Je tiens aussi à dire que le couverture est vraiment très belle, au moins il aura sa place dans Ma bibliothèque.
Commenter  J’apprécie          00


critiques presse (1)
Ricochet
01 mars 2021
Accompagné d’une bande-son discrètement introduite et d’un phrasé extrêmement naturel, le roman donne l’impression de « crier » dans nos oreilles toute une souffrance que le temps apaisera – épilogue pour preuve.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
J'ai écrit ces mots : qu'elle parte , qu'elle meure. Je les pensais pas. Je le jure. Je le pensais pas. J'ai écrit ces mots : qu'elle parte , qu'elle meure. Je les pensais pas. Je le jure. Je le pensais pas. J'ai écrit ces mots : qu'elle parte , qu'elle meure. Je les pensais pas. Je le jure. Je le pensais pas. J'ai écrit ces mots : qu'elle parte , qu'elle meure. Je les pensais pas. Je le jure. Je le pensais pas.
Commenter  J’apprécie          130
C'est quoi le but ?
C'est quoi le but d'apprendre à faire du vélo sans roulettes si c'est pour crever ensuite ?
TU FAIS CHIER.
N'importe quoi de mourir, aussi.
Commenter  J’apprécie          240
Un shoot de calme s'écoule dans ses veines, s'empare millimètre par millimètre de son corps et la tire plus loin. Là-bas, elle n'entend ni le hurlement des freins ni les cris de la tôle broyée.
Commenter  J’apprécie          80
Elle aurait quand même préféré que la maisonnée soit au complet avant de se rendormir.
Mark dort comme un bébé (...) Elle envie son mari d'être aussi " cool", comme disent les filles. Elle lui en veut également, même si elle ne le dira jamais.
Commenter  J’apprécie          50
Vivre tue, l'alcool tue et les platanes aussi.
Commenter  J’apprécie          210

Videos de Estelle Billon-Spagnol (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Estelle Billon-Spagnol
*** DES LIVRES TOUT HAUT ***
Talents Hauts lance une nouvelle collection de livres audio : « Des livres tout haut ! ».
Accessibles sur toutes les plateformes d'écoute, ces versions audio interprétées par des comédiennes de talent peuvent être écoutées seules ou en accompagnement du livre papier pour une expérience de lecture immersive. De quoi bousculer les oreilles de vos enfants !
Disponible sur Spotify, Deezer, Nextory, Amazon Music ou téléchargeable sur Audible, Google, Aple, et bien d'autres…
Déjà 12 titres disponibles, soit près de deux heures d'écoute. Princesse Grilda veut un crapaud, Monsieur Dupont En cas d'attaque, Séverine Huguet Clic et Cloc, Estelle Billon-Spagnol le fils des géants, Gaël Aymon, ill. Lucie Rioland Chouchou, Sophie Carquain, ill. Zelda Zonk Un jour mon prince viendra, Agnès Laroche, ill. Fabienne Brunner J'aime pas être belle J'aime pas le foot J'aime pas être grand J'aime pas la danse J'aime pas les poupées J'aime pas les super-héros Stéphanie Richard, ill. Gwenaëlle Doumont

#livrestouthaut #livreaudio #livrejeunesse #album #histoiredusoir #histoireaecouter
+ Lire la suite
autres livres classés : Accidents de la routeVoir plus
Les plus populaires : Jeune Adulte Voir plus


Lecteurs (149) Voir plus



Quiz Voir plus

Livres et auteurs chez PKJ (pocket jeunesse)

Qui est l'auteure de "Eleanor & Park" et "Carry on" ?

Cat Clarke
Marika Gallman
Rainbow Rowell
Jo Witek

20 questions
82 lecteurs ont répondu
Thèmes : jeunesse , littérature pour adolescents , jeune adulteCréer un quiz sur ce livre

{* *}