J'ai choisi de lire ce livre, à la fois pour sa thématique, qui me rappelle celle du "parfum d'Adam" de
Jean-Christophe Rufin que j'avais aimé et parce que j'avais envie de retenter l'expérience de lire du théâtre, souvenir de
Molière ou de
Victor Hugo lus quand j'étais élève, et plus récemment, le 8e volet de "Harry Potter", qui m'a plu.
Après quelques instants pour me réadapter à la lecture particulière du théâtre (succession des paroles de personnages) , je suis entré dans l'histoire, qui m'a paru très courte. le livre se lit vite (136 pages) et me donne l'impression de n'être qu'une introduction.
L'auteur parvient subtilement à montrer que différentes raisons peuvent amener une personne à s'engager pour l'écologie, et différentes façons de voir les solutions (plus ou moins radicales) pour que l'humanité cesse d'être un problème à la planète.
Sur fond de relations amoureuses, qui évoqueront "Roméo et Juliette" pour les uns, "les feux de l'amour" pour d'autres, cette histoire permet d'aborder, à l'heure ou d'autres se battent pour des bouts de territoire, le vrai danger qui menace l'humanité entière.
Il est possible que cette oeuvre contienne des symboles subtils que je ne suis pas parvenu à percevoir.
Je n'ai pas reconnu un « thriller écologique qui tient en haleine jusqu'à son dénouement » comme promis sur la 4e de couverture. Mon impression générale reste donc très mitigée.