Fahrenheit 451

Dans Fahrenheit 451, les savants, les scientifiques, les artistes et les philosophes sont méprisés et pourchassés. Tout loisir ou activité qui pousse à raisonner ou à remettre en question la politique ou le règlement sont d'office bannis. Dans ce monde, les livres sont interdits. Les pompiers, au lieu d'éteindre l'incendie, ont pour mission de brûler les bibliothèques et d'envoyer leurs propriétaires à l'asile où ils se font laver le cerveau, quand ceux-ci ne préfèrent pas disparaître avec leurs livres …
L'histoire tourne autour de Montag, un pompier qui se rebelle contre le système …

J'aime les dystopies en général, et celle-ci avait tout pour me séduire : interdire les livres ! Quelle superbe idée de roman ! Je fonce ! J'étais toute réjouie en l'achetant et pleine d'attentes en l'entamant ... Mais le meilleur était déjà derrière moi : la 4ème de couverture ! Dedans, rien de passionnant, on s'ennuie presque. Fahrenheit 451 n'a rien d'un chef d'oeuvre pour moi. Il lui manque tant de choses : de la profondeur (on reste dans le superficiel), des personnages fouillés (Montag est d'une platitude!), de la chaleur (un comble pour une histoire de pompiers pyromanes!), un point culminant (l'écriture est affreusement linéaire), un vrai dénouement ...

J'espère que l'adaptation cinématographique me fera passer un meilleur moment ...

Fahrenheit 451 est considéré aujourd'hui comme un classique de la science fiction. Pourtant ce roman m'a laissé un sentiment de vide et d'incompréhension. Attendant un moment fort, vu la notoriété de Ray Bradbury, c'est avec avidité que je me suis lancée dans cette aventure. Et là, la douche froide. Dès les premières phrases, l'écriture et le style me dérangent. Très froid, trop plat, voire impersonnel. Les mots s'alignent, se suivent sur les pages, mais ne m'atteignent pas. Même plus, ils finissent par m'agacer.
Le thème abordé est pourtant très intéressant. Que serait la vie dans une société privée de sa culture et de sa littérature ? Cette société future inventée et décrite par Ray Bradbury fait peur car elle n'est aujourd'hui pas très éloignée de notre société actuelle. La recherche effrénée des plaisirs futiles et immédiats, le besoin de consommer rapidement et sans trop de réflexion...on y est presque ! Ce contexte aurait dû me passionner, m'indigner, me mettre dans tous mes états. Pas du tout, je suis restée un spectateur passif, au bord de l'ennui.
Montag m'est apparu pathétique et banal. Son monde, ses pensées m'ont laisser un goût amer. Bref, il m'a agacée au plus au point !
Je suis déçue d'être passer à côté de l'enthousiasme des nombreux lecteurs qui ont encensé ce roman.
En bref, j'ai vu, l'ai lu mais je ne suis pas convaincue ! Désolée....
Lien : http://lacaveauxlivres.blogs..

Voilà plus de dix ans que je veux lire ce roman que l'on m'a toujours présenté comme un classique de la SF... Je m'y suis essayée à 5 reprises... avec différentes éditions, en numérique mais j'ai toujours fini par lâcher Fahrenheit 451, tellement peu accrochée par l'écriture de Ray Bradbury. Ce livre est devenu un défi personnel, je voulais le finir, et j'ai finalement opté pour une version en livre audio... J'ai écouté les aventures du pompier pyromane en faisant la vaisselle, et en passant la serpillière... et ainsi j'ai pu en arriver à bout. Enfin ! Verdict : jusqu'à la fin ce roman est rasoir. Pourtant j'ai espéré être brûlée, j'avais la volonté d'aller au coeur du brasier ... Tout m'a semblé daté en dehors que quelques idées intéressantes, le style est si froid, si dénué d'intérêt, les dialogues sont carrément chiants. Les personnages n'ont aucune chair. Fahrenheit 451 : de cendre et d'ennui.

Dieux que j'ai détesté cette dystopie !
Mon cauchemar de 3ème.
Je sais que mon avis ira à contre courant de tout ce que les lecteurs pensent, mais, je n'ai pas accroché.
Les pompiers qui brûlent des bouquins, ça ne doit véritablement pas être ma tasse de thé !
Ni 1984, ni "le bûcher des vanités", le roman manque à mon sens de mordant... Sans doute à l'époque où il a été écrit c'était une révolution mais pour moi, c'est un énorme fail !

Où sont les femmes ???
Un mot : déception.
Je m'attendais à savourer ce classique de la SF, prête à partir bras dessus bras dessous avec ce pompier se révoltant contre son affreuse mission : brûler les livres. Tous. Il aurait du me sembler sympathique ce pauvre pompier. Et puis non. Aucune empathie. Rien. Zéro.
Bien que je sois une femme il est rare que j'ai des pulsions féministes...et ce roman m'en a provoqué une !
Je regrette infiniment que la seule image des femmes qu'il y ait dans ce bouquin soit une sombre idiote scotchée à son triple écran et ne vivant plus que dans le virtuel. Je pensais qu'on allait finalement croiser des femmes dignes de ce nom vers la fin (je ne dévoile pas tout...) avec les autres hommes-mémoire. Et non. Donc oui, je suis déçue et assez d'accord avec un des autres commentaires : on dirait une ébauche de bon roman.
Je trouve aussi qu'il a un peu vieilli...

Faut-il le lire ? Non. Franchement non. Ou alors juste pour vous permettre de savourer encore mieux de vrais bons romans de SF.

Une journée pour lire 191 pages (oui, je sais je suis lente) et j'arrive à la fin de ce livre, tant apprécié sur Babelio (126 critiques), et qui m'a laissé de marbre.

Personnellement, j'ai misé trop sur ce roman qui parlait des livres et d'un monde où on brûle les publications philosophiques, historiques et autres…
Je n'ai pas, autant, apprécié que « Comme un roman » ni eu un plaisir égal à celui produit par « Au bon roman ».

J'avais du mal à rentrer dans le monde de Montag !

Dans ce roman, les livres sont interdits. Toute personne qui sera vue en possession d'un livre sera détruite avec ou bien envoyé en institution. On est vraiment dans un espace de régime totalitaire, où la population n'a pas vraiment le contrôle de ses propres connaissances. Dans cet univers, les pompiers sont là non pas pour éteindre des incendies mais pour brûler tout ça qui a un rapport avec la connaissance. Et nous allons suivre Montag, un pompier depuis 10 ans qui va tout remettre en question et même voler un livre après avoir eu plusieurs conversations avec une certaine Clarisse, sa voisine.

▪️J'ai vu et entendu de bonnes critiques sur ce grand classique dystopique et bien évidemment il fallait que je fasse comme toute le monde, que je le lise. Et bien je peux dire que ça ne l'a pas fait avec moi. le style d'écriture ne m'a pas plu. Les mots s'enchaînent sans me toucher. J'ai trouvé ça plat.

▪️Montag non plus ne m'a pas fait beaucoup d'effet... Je n'ai pas du tout réussi à m'attacher à lui. Je l'ai trouvé froid, sans importance. Ne parlons pas de sa vie de couple, le néant total... Ils n'arrivent pas à se rappeler ou est-ce qu'ils se sont rencontrés il y a 10 ans 😅.
Au moins j'aurais essayé mais après un roman de 1953 je me dis que ça peut être un peu trop vieilli.
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Cette critique révèle des éléments clés de l'intrigue!

Si je me permet d'ajouter ma critique au nombre déjà impressionant de celles déjà exixtantes de ce livre, c'est parce que d'une part, dans leur grandes majorité, elles proviennent de lecteurs charmés par ce livre, d'autre part parce que les rares critiques négatives sont pour la plupart courtes et qu'il reste des choses à dire.

Avant toute chose, je tiens à replonger ma lecture dans son contexte: en fin de troisième, nous recevons la liste des lectures d'été à achever avant d'entrer en seconde. Sur celle-ci figure "Fahrenheit 451". Dans ma famille, à mes amis, j'en parle, ce livre est un grand classique de l'anticipation, les commentaires sont unanimes, c'est un des livres qu'il faut avoir lu, et on rajoute que j'apprécirais surment étant donné que dans l'année, j'avais dévoré "Le meilleur des mondes "et surtout "1984".
Avant même de l'avoir acheté, d'avoir pu lire la quatrième de couverture, je fonde de grands espoirs sur ce livre. Lorsque je l'ai entre les mains, la couverture me charme, le résumé m'enchante, je me mets aussitôt à la lecture.

C'est là que le bât blesse: j'abandonne bien vite la préface qui m'ennuie, et m'attaque aux premières pages.
Le début, sans rester au niveau de mes attentes, me plaît: l'Univers est cohérent, ne manque pas d'intérêt, et, si j'ai du mal à me représenter le personnage de Montag, qui reste abstrait dans mon esprit, et qui manque d'attrait à mon humble avis, celui de Clarisse, en revanche, est assez extraordinaire: elle est charmante, pour le lecteur autant que pour Montag.
A ce stade, c'est la présence rafraîchissante de ce personnage qui fait l'intérêt de l'oeuvre, l'Univers, particulièrement intéressant dans l'idée ne parvenant plus à me faire accrocher au reste.
Sa disparition prématurée et inexpliquée, donnera à l'oeuvre un nouvel intérêt: j'attendrais jusqu'à la dernière page la vérité, ou un élément de vérité qui puisse éclairer cette disparition. Si j'ai terminé l'oeuvre, c'est au moins autant pour répondre à cette attente que par obligation scolaire, alors, imaginez ma déception quand, arrivée au point final, on réalise que passées les 20 premières pages, il n'est plus aucune mention ni de ce personnage ni de ce qui à pu lui arriver!
Les aventures de Montag, ses histoires avec sa femme, avec les pompiers, me parraissent sans saveur.
L'intrigue m'a déçue, les personnages m'ont déçu, l'Univers, si prometteur, m'a déçu lui aussi. Ce livre, qui n'a rien de mauvais, et est même sans doute meilleur que bien d'autres à qui j'ai donné de meilleures notes, m'a tellement déçu que tout ce que j'en retiens, c'est la frustration que j'en aie tiré.
En définitive, ce livre à souffert des attentes trop hautes que je lui portais et de la comparaison avec les deux classiques de l'anticipation que j'avais lus avant lui.

Bienvenu dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury où l'action se déroule dans un futur très lointain.
Entrons dans ce monde futuriste avec le pompier Montag où son travail est de mettre le feu contre tout ce qui s'oppose à la législation.
Sa principale mission est de détruire tous les livres. Tout citoyen qui empêche le travail de soldat du feu pourrait subir le même sort.
Le monde de Montag va changer à jamais, suite à la rencontre de Clarisse, une jeune fille de 17ans.
Ce roman de science-fiction m'a quand même déçue. D'abord, c'est un schéma récurrent, classique bien connu Outre-Atlantique. de plus, ce livre ne m'a pas tenu en haleine. C'était très prévisible et je n'arrivais pas à m'attacher aux personnages. L'auteur rentre trop dans des petits détails qui m'agaçaient. Bref, à partir de la moitié de l'histoire je m'ennuyais à mourir.

Cela fait quelques années sur j'ai ce classique dans ma PAL, j'ai enfin décidé de le sortir et... Tout ça pour ça ?

J'adore la science fiction et la dystopie mais malheureusement ce livre n'aura pas fonctionné sur moi. Quitte à me faire des ennemis pour dire ça, je me suis ennuyée durant la totalité de ma lecture, et heureusement qu'il est assez court sinon je ne pense pas que je l'aurais terminé. Au bout d'un moment j'ai même commencé à le lire en diagonal tellement je m'ennuyais et ne comprenais pas l'engouement autour de ce livre à l'heure actuelle. Je serais d'ailleurs incapable de vous en faire un résumé tellement il n'a rien laissé en moi.

Mais heureusement, tous les goûts sont dans la nature et il est le préféré de beaucoup de monde. Ce qui ne fonctionne pas sur moi, marche à merveille sur d'autres. Malgré tout, je suis contente de l'avoir lu pour ma propre culture même s'il n'était pas mon goût.
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